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Temps de lecture estimé : 10 mn
23/04/06
Résumé:  Suite des visites de Mélanie, sa fille
Critères:  grp fplusag hagé fagée jeunes poilu(e)s forêt amour odeurs pénétratio init
Auteur : Dalibor  (Auteur seulement sur ce site)      Envoi mini-message

Série : Pour l'amour de Mélanie

Chapitre 04 / 04
Taia

Après notre arrivée à Narbonne, après avoir pris nos quartiers, après la visite de sa copine d’enfance, nous avons visité sa fille naturelle Taia.

C’est une étrange histoire qui date d’une autre époque. Mélanie, dans sa jeunesse, avait eu des relations fructueuses et Taia en était le fruit. Ni Dieu, ni le diable, ni le pasteur ou le curé n’ont réussi à lui faire avouer qui était le père et, après avoir réussi de placer Taia dans le ménage de son frère, elle dut s’expatrier. Elle se rendit en Suisse où elle se mit comme gouvernante chez le Comte d’Ildefonse. Cependant, forte de cette première expérience qui ne fut pas sans conséquence, elle n’accepta plus la défonce sans précaution. Régulièrement, elle envoyait à son frère une pension pour l’éducation de Taia. Très jeune, Taia se maria, mais, très rapidement, elle perdit son mari au Vietnam, emporté par le paludisme.


C’est à cette occasion qu’elle revint dans le midi de la France, avec un boy qui lui servait d’homme à tout faire. Cependant, une veuve qui partage une grande maison avec un serviteur de couleur, crée beaucoup de problèmes et elle dut s’en séparer. Depuis cette époque, ce fût un peu la traversée du désert, avec très peu d’oasis. Juste un petit Coindoz pendant un été qui était venu comme homme de peine.


Maintenant, elle était dans la soixantaine, avec une belle chevelure blanche, la démarche sûre et le maintien plaisant. Ce fût la joie des retrouvailles, mais rapidement, ces deux caractères affirmés vont s’affronter sur de petites mesquineries. L’atmosphère devient souvent opaque et pesante. Je vois souvent les larmes poindre.

La première fois que je me retrouvai seul avec Taia, ce fut lorsque Mélanie dut aller chez le médecin pour un contrôle.

Après avoir pris le thé, nous avons commencé à discuter de tout et de rien. Je percevais une atmosphère un peu spéciale, car Taia m’attirait indiscutablement et je voyais du plaisir à ma compagnie dans son regard.


Soudainement, elle relève un peu sa robe pour me montrer son genou car elle me dit qu’elle s’est tapée et qu’elle a une bosse qui lui fait mal au niveau de l’articulation. Elle me demande de toucher, comme si j’étais un rebouteux. Délicatement, je touche ce genou et, effectivement, je remarque comme une petite enflure. Doucement, je masse et je lui demande si cela lui fait mal. Deux sentiments très contradictoires se font bataille dans ma tête.

Est-ce que je vais remonter le long de sa cuisse au risque de casser un moment de complicité et de compliquer ma relation avec Mélanie ?

Est-ce que j’en reste là, au risque de rater une occasion plus que prometteuse et de passer pour un homme peu galant manquant d’assurance de soi ?


Étant d’un naturel peu courageux, je décide finalement de ne pas continuer l’exploration plus en amont et me retire avec armes et bagages. Je ne sais si c’est une illusion, mais il me semble que Taia est un peu déçue du peu d’empressement que je mets à remonter aux sources du Zambèze. Mais, prudence, on verra si l’occasion se représente. (À Propos : Il paraît qu’au Zambèze, les filles sont jeunes et gentilles, c’est pas comme aux Z’Antilles)(Sic)

On passe la journée en attendant que Mélanie revienne, en faisant une petite promenade dans une très belle forêt de chêne. On joue à qui trouvera le plus de ceps. Cependant, pendant cette promenade, un problème lancinant tourne dans ma tête. Est-ce que je n’aurais pas dû, quand même, avoir un peu plus de courage. Quand je suis près de Taia, je respire une odeur fauve que j’ai déjà remarquée quand une femme est disponible. Surtout que les petits écureuils que j’ai remarqués sous ses aisselles me semblent de bon aloi. Son tablier de sapeur doit certainement faire pâlir de rage les amateurs de chattes glabres non pubères.


Dans ma tête, cela tourbillonne. Est-ce que oui ou est-ce que non ? That is the question, comme dirait un certain tchèque Spire(sic). C’est quand même sa fille, dans quel pétrin je suis en train de me mettre pour satisfaire le démon que j’ai entre les jambes. Bon, je ne vais quand même pas la culbuter au milieu de la forêt la première fois et surtout, à nos âges respectifs, on a besoin d’un minimum de confort.


Sagement, nous rentrons avec deux kilogrammes de jolis bolets qui vont faire le délice de la soirée.

Cette nuit-là, je fus démonté, mais pas démâté, au contraire. Mélanie fût même surprise de tant de fougue.


Le lendemain, en allant chez le boulanger au village voisin, je fis connaissance avec son commis Frobenius, qui est un charmant garçon, d’un commerce agréable, encore dans l’adolescence, bâti comme un lutteur, mais très, très timide et peu assuré. Nous sommes allés boire un petit remontant à 9 heures du matin et puis, ensemble, nous avons soulagé notre vessie. À cette occasion, j’ai pu voir le membre impressionnant de ma nouvelle connaissance. Un plan, assez pervers, s’échafaudait dans ma tête, comment réussir à introduire le loup dans la bergerie.


Je l’ai invité à souper (dîner pour les non Suisses). À l’annonce de cette invitation, j’ai bien vu qu’elle ne faisait pas l’unanimité, mais on fit bon cœur contre mauvais vent. Le souper fût bien arrosé avec un petit cru un peu doucereux et les deux femmes se sont détendues. La soirée s’est prolongée assez tard et il est venu le temps où le retour du jeune homme n’était plus possible. Le téléphone étant une belle invention de Bell, on le mit à contribution pour annoncer qu’il serait hébergé pour la nuit et la matinée puisque c’était son jour de congé.


Sur ce, en se retrouvant pour uriner avant d’aller dormir, je lui demandai à brûle-pourpoint, s’il était intéressé pour avoir une expérience avec une très vieille dame. Ce fût l’enthousiasme, car il m’avoua qu’il était toujours puceau, et qu’il avait peur d’être maladroit et ridicule. L’idée de le faire avec une personne d’expérience le comblait de joie. À cette occasion, je lui dis de ne rien faire avant que j’ai un peu préparé le terrain et que, lorsque je vais chuchoter que je vais aller pisser, ce qui est courant pour une personne âgée, il devrait prendre ma place et venir entre ses jambes et la prendre sans dire un mot.


Restait le problème des lits qui fut résolu en mettant deux grands matelas dans le living et nous nous sommes disposés pour la nuit, moi au milieu entre les dames et Frobenius à côté de Mélanie.


Je me sentais bien blizzard, avec ce plan on ne peut plus foireux. Mais comme il est dit, quand le vin est tiré, il faut le boire, surtout que celui de ce soir me semblait tout à fait approprié pour chahuter les idées.

J’attendis patiemment que Mélanie ait une respiration régulière et je mis ma main sous sa chemise et commençai à lui caresser les seins, préliminaire indispensable à la suite des opérations. Je pense que j’ai déclenché un doux rêve érotique car sa respiration s’accélérait un peu. Doucement, je descendis la main vers son sexe, ce qui déclencha une légère houle du bassin. Je crois que le moment est venu de mettre en marche le plan. J’annonce comme prévu mon intention d’aller me soulager la vessie.


A mon retour, je constate que la citadelle a été investie par le fougueux chevalier Frobenius De la Farine, qui d’un puissant coup de bélier a forcé les défenses de la place et depuis, il soumet le champ de bataille à un pilonnage consciencieux, ce qui n’a pas l’air de déplaire à la place assiégée et un cortège de soupirs et pâmoisons semblent confirmer mes hypothèses.


Évidement, que ce qui se passe à côté ne me laisse pas insensible et les us et phallus voulussent qu’il y « eusse » erectus(sic).

C’est alors que j’ai eu la nette impression d’une main curieuse qui s’introduisait dans mon pyjama pour se saisir de mon vit, que dis-je de mon mat (pas de Cocagne, il faut rester modeste dans ces moments).


Ainsi, il semble bien que mon inclinaison pour Taia ait été partagée. Faisant fi de mes voisins qui s’envoient en l’air à qui mieux mieux, je me tourne vers l’objet de mes désirs et je vais nicher ma tête sur sa poitrine, dans le creux de son bras, où ho ! Délice, un parfum fort enchante mes narines. Je bande de plus en plus fort. Dégageant un sein, je commence à le téter, Comme Taia, n’a pas lâché mon sexe, je sens que ce n’est pas la moutarde qui me monte au nez, mais autre chose qui ne va pas tarder à exploser si je ne mets pas le holà tout de suite. Pour ce faire, je me glisse entre ses cuisses pour lui faire une petite minette. Comme elle n’a pas le bras infiniment long, je suis sauvé momentanément du déluge. Cependant, les senteurs qui m’entourent ne contribuent pas à diminuer mon état de tension extrême. Je prie pour ne pas être emporté tout de suite pas une déferlante.

Comme je l’avais pressenti, Taia possède un magnifique astrakan entre les cuisses et les lèvres bien gonflées de son con, avec au centre un belle moule rose arrosées d’un jus généreux qui comble ma langue de suceur lécheur avide de ce divin nectar. C’est un grand cru, vous pouvez me croire.

Quant à son clito, qui est énorme, j’ai l’impression de tailler une pipe à un mec en le suçant. Ce qu’elle apprécie le plus, c’est cependant quand j’introduis ma langue dans son trou. Je sens son bassin se mettre en avant comme si elle voulait que j’aille encore plus profond dans sa caverne. La longueur de ma langue, que l’on dit bien pendue, a cependant ses limites.


Je constate que le résultat de mes caresses linguales commencent à créer une agitation qui n’a plus rien à envier à ce qui se passe à coté.


Étant enfin rassasié des plaisirs du palais, bandant encore comme un bouc en rut, je me lance à l’assaut de son pertuis qui ne demande qu’à être franchi. C’est chaud, c’est doux, quelle vie (pas vieille comme me suggère l’éditeur de texte que j’emploie). C’est alors que je vois un petit avantage de l’âge, après la première émotion, il faut limer longtemps pour obtenir ce qui dans ma jeunesse ne nécessitait que quelques coups de balancier et hop voilà la purée. Ce n’est pas ma partenaire qui s’en plaint, elle commence à entamer un roucoulement très surprenant, ce qui déclenche un fou rire de l’autre côté du matelas.


Son four devient de plus en plus chaud et je sens que mes burnes commencent à participer à la fête. La pression monte, les vannes sont prêtes à s’ouvrir. Je contrôle de moins en moins la situation. Ça chauffe, aie, aie, auouou, bouv hmmmmm. C’est parti, les soupapes ont lâché. Des étoiles dansent dans ma tête, Le ciel brille de mille lueurs, quel feu d’artifice ouah! Ouh! Le déluge inonde ma partenaire déclenchant également un orgasme géant. Oh que c’est bon quand c’est synchro. Le paradis n’est pas loin.


(C’est alors qu’elle se mit à mentir la sotte, alors, je descendais de son balcon puis j’allais muser, raqueux, au Lido où j’ai vu les philanthropies des ouvriers charpentiers. Ce n’est pas tout à fait dans le contexte, mais je n’ai pu m’empêcher de placer ces petits contrepets)


Pour en revenir à nos moutons, il faut préciser que les délices olfactifs, après la transformation de l’essai, se transforment facilement en surcharge olfactive, ce qui choque plus souvent qu’à son tour nos douces compagnes qui ne comprennent pas ce changement radical, entre avant et après. Du reste il est de notoriété qu’avant c’est toujours mieux car après c’est pendant.


Donc après cette puissante jouissance, je me tourne sur le dos pour récupérer, mais maintenant, l’odeur de mes délices précédents me poursuit et je n’y trouve vraiment plus de plaisirs. Une seule solution, la douche et la brosse à dent. Je suis surpris de ce revirement.


C’est un peu comme un calendaux (sic), (Camembert très très coulant pour les incultes) quand on crève la dalle, on saute dessus, mais la panse est bourrée, il soulève le cœur.

Appréciant les bienfaits de l’eau qui me lave le visage je respire un autre bonheur quand je vois Mélanie qui ouvre le rideau et me propose de me laver le dos avec le gant de crin.

Ce que j’accepte naturellement. C’est bon et très revigorant, finalement, elle enlève le gant pour continuer avec les mains. C’est encore meilleur.

C’est alors le flot de questions et de réponses, vu que pas très fier, je ne réponds que par des grognements plus ou moins distincts.



Doucement ses mains commencent de façon diabolique à créer un nouvel émoi au niveau de mon bas ventre. Il y a longtemps que je n’ai plus vingt ans et de forcer la mécanique n’est peut-être pas souhaitable. Ma Mélanie n’en a cure et vigoureusement, elle me masse la trique et sous la douche, qui nous arrose en même temps, elle vient s’emboutir. Cependant, debout, au milieu de la nuit, il ne faut pas rêver, lentement, l’enflure se résorbe et mon sexe redevient quiquette.

(Au fait connaissez-vous les vieilles qui quêtent pour les petits qu’ont faim).


En revenant vers la couche commune, vous ne me croirez pas, mais le bouillant chevalier de la Farine, insatiable, était en train de récupérer les restes de la bataille précédente et niquait fort consciencieusement Taia qui ne semblait pas se plaindre du traitement.

Aux coups de butoir succédaient d’autres coups de boutoir.

Après un assaut violent, un autre assaut encore plus violent.

Les belligérants, noyés dans le stupre et la luxure

arquaient leurs forces dans un élan de désespoir

Hé hé que croyez-vous qu’il arriva

Pas Zorro, mais Laky Luxe

Sans son cheval mais avec belle jambe de bois


Comme un coureur de fond, il fourrait gaillardement le con,

mais la chatte enfiévrée énamourée, renâclait pour de bon


Qui clapote si bruyamment dans cette galère ?

C’est Frobenius dont, le galop s’accélère

C’est Longchamp, la cadence s’affole,

Le pilote nous brouille l’écoute

avec sa panne de micro


Quand dans un effort suprême, jaillit du tréfonds,

L’orgasme libérateur dévaste le champ de bataille.

Les poux, les morpions et la racaille,

par ce déluge de sperme blond

dans le pertuis

se perdirent.

C’est l’élite

du coït




L’épilogue de cette histoire, fut que Frobenius, s’installa chez Taia.

Ils commandèrent souvent des enfants, sans succès, mais non sans plaisir. (Il faut pas rêver après 55 ans, le moule {ou la moule pour les esprits tordus comme moi}, pour le plaisir c’est encore bon, mais pas pour la survie de la race.)

Il avait trouvé sa voie et elle son laboureur.

Bonne année de lecture bien poivrée.



Prague janvier 2006 Dalibor



PS le délire épistolier provient peut-être de l’excès de Xeres ou de Staro Pramen.