n° 10313 | Fiche technique | 27709 caractères | 27709Temps de lecture estimé : 17 mn | 14/04/06 |
Résumé: En visite chez une ancienne amie de Mélanie en faisant un petit détour par la cure. | ||||
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Auteur : Dalibor Envoi mini-message |
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Lors du dernier épisode, nous étions arrivé à Perpignan où le frère cadet de Mélanie nous attendait.
Après avoir chargé les bagages dans sa vieille deux bœufs, cahin-caha, nous sommes arrivé au Mas. Une magnifique construction de style provençale avec de très belles pierres de taille et des façades fleuries de vigne vierge. Albert, son frère, nous attribue les chambres sur le même palier. Je reçois une belle chambre toute en bois travaillé et un lit de type fatigué qui tient plus du hamac que d’un bon lit type Bico. (Je fais un peu de réclame pour une marque suisse où selon le propriétaire on peut bénéficier d’un sommeil long et profond, grâce à ses poils de chameaux parait-il)
Je fais une petite sieste et tombe cependant dans un sommeil réparateur. Ce n’est pas tout à fait l’Hilton, les toilettes juste sur l’écurie et la salle de bain se résume à un tube. Enfin, à la guerre comme à la guerre. Après les ablutions rituelles, le ventre creux, je me dirige vers ce que je pense la cuisine car on y rit bien fort et je reconnais la voix et les rires de ma chère Mélanie.
Je frappe et je rentre dans une vaste pièces où je vois Albert rouge comme une tomate et ma douce entrain de remettre de l’ordre dans sa tenue. Aie ! Je pense que je vais avoir de la peine à passer la porte, les andouillers doivent frotter sur les montants. Quelle santé elle a l’octogénaire, depuis que j’ai débourrée. L’air de rien, je demande s’il est possible de se mettre quelque chose sous la dent, question de détendre l’atmosphère. L’air du Sud m’ayant creusé l’appétit.
Sautant sur l’occasion, on s’empresse de m’emmener vers ce qui est vraiment la cuisine. Là, un bon petit déjeuner à la française m’attend avec des bonnes baguettes de pain frais, du beurre maison et une confiture de derrière les fagots. Un bon café brûlant. Un régal quoi, surtout quand on est affamé.
L’après-midi, notre cher Albert, va au marché des moutons pour vendre quelques exemplaires, dont un bouc qui pue vraiment le bouc. C’est tout une affaire de charger ces bestioles dans la 2 bœufs. Enfin, nous sommes seuls avec mon trésor. Je prends un air sérieux en attendant des explications. Elles ne viennent pas et un silence gêné s’installe entre nous.
Là, sans trop de détour, je lui mets la main dans la culotte et je constate que ce n’est pas mouillé, mais cela ressemble aux chutes du Niagara. Hé bien, ma cochonne, les cotés pervers semblent te faire de l’effet.
Sans attendre beaucoup plus, vu qu’exceptionnellement, cette affaire m’a échauffé au bon sens du terme et que j’avais une belle trique, je l’embroche directement. Sans trop de tendresse, mais plutôt comme pour marque mon territoire.
J’ai l’impression qu’il faut que j’efface cette impression qu’elle sent la tomme de chèvre ou le bouc si vous voulez. Je préfère son odeur naturelle sans les effluves de son frère.
Tout d’un coup, je me souviens qu’elle me faisait des difficultés pour m’occuper de son oignon. Je crois que là, je tiens ma revanche.
Sans attendre, je la tourne comme une crêpe pour la prendre en levrette, ce qu’elle m’a l’air d’apprécier, je râpe, je lime consciencieusement. Elle gémit de plaisir et pense que tout est rentré dans l’ordre quand tout d’un coup, d’un doigt énergique, je pénètre sa rondelle. C’est la première fois de ma vie où je me fais déconner. La réaction est violente.
Cependant, je ne relâche pas ma prise, et doucement, elle se calme et ravale sa religion pour apprécier le massage. Car je masse entre temps, je masse et laboure avec un doigt d’abord et ensuite je double la dose. Il me semble que son enfer est en train de s’évanouir car un petit séisme est en route. C’est alors qu’un peu sadique, je retire mes doigts et laisse le chantier en friche. Elle me regarde fâchée.
Ajustant la cible, je prépare mon canon et gaillardement, je m’enfonce dans son fondement. J’ai eu de la chance, car avec mes problèmes d’érection, cela aurait pu tourner au désastre. Elle est bien serrée de ce coté. Comme le disait je ne sais plus qui, il est plus facile de rentrer dans une porte d’église que dans le chas d’une aiguille.
Simultanément, je prends ses seins dans mes mains en faisant rouler ses tétons entre le pouce et l’index (pas celui de Rome). J’aime le mouvement frénétique de sa croupe toute ridée. Le train est parti, ça roule. J’ai presque envie de ressortir pour lui faire une feuille de rose, mais je ne suis pas sûr que ce serait apprécié en haut lieu. Je glisse maintenant ma main droite dans son entre cuisse et je prends son bouton d’amour délicatement, avec la peau et je commence à le branler gentiment. Comme une petite branlette d’un homme. Je crois que j’ai fait une adepte de l’amour à la grecque. Je vois la mamelle (son sein pour les âmes sensibles) que j’ai relâchée, se balancer sous mes coups de boutoir. Finalement, nous explosons dans un merveilleux feu d’artifice.
Je retire mon outil. Il présente des tâches un peu brunes ne laissant pas trop de doute sur leur origine. Honteuse, (je ne sais pas pourquoi ?) Mélanie me supplie d’aller nettoyer ça, c’est dégoûtant. Elle a peut-être eu peur qu’elle doive le nettoyer elle-même avec la bouche. Cependant, il n’y a aucune chance, car, c’est vraiment dégoûtant.
Enfin, nous allons ensemble dans le tube faire notre toilette et là, je la bichonne partout, partout et ne voila pas qu’elle repart en transe quand je commence à lui nettoyer son minou pour enlever cette odeur de bouc.
Cependant, elle se maîtrise bien et m’offre le service inverse et commence à me laver d’un peu partout. Cela me rappelle de merveilleux souvenirs de jeunesse, quand mère grand, qui était affecté de la maladie de Parkinson, me faisait la toilette intime. C’était très agréable et elle rougissait toujours.
A l’époque, je ne savais pas si elle se faisait un cinéma. Mais régulièrement, sous son nettoyage, je me retrouvais avec le poireau qui se dressait, malgré mes dix ans. Je sentais qu’elle avait le souffle épais, mais maintenant, je ne suis pas sûr que ce ne fût que de la fatigue. Vu la santé des octogénaires. Finalement, quand la toilette est finie, malgré ses courbatures, Mélanie se penche sur mon chêne (pour le moment) et lui donne un petit bisou pour le remercier. En voyant la peau fanée de son dos, je suis pris d’affection et de tendresse. Je la prends dans mes bras et la serre fortement contre mon cœur, nous avons un moment de forte communion.
Je suppose de lui avoir bien fait plaisir, mais ce n’est pas le moment de se laisser aller, Albert doit bientôt rentrer et je ne voudrais pas de complications. Je ne suis pas chez moi.
Nous finissons nos ablutions et nous sommes entrain de nous sécher quand on entend le bruit de la 2 bœufs qui arrive.
Nous fîmes après le dîner (à midi) une longue promenade dans les alentours et on rendit même visite au curé du village qui fut tellement enchanté de revoir une ancienne paroissienne qu’il déboucha une bonne bouteille de vin de messe.
Je comprends que lors de la communion, les curés se le réserve que pour eux. Un nectar fantastique. Il n’y a pas à dire, en comparaison avec les pasteurs qui sont comme des âmes en peine avec leurs tasses de thé, les curés, ça sait vivre, bien manger et bien boire. Je sens que je me laisserai bien inviter une autre fois pour pouvoir tester si c’est vrai, surtout que quand j’ai vu la servante, elle m’a l’air d’une fine cuisinière au moins.
Vu les dispositions de Mélanie, je pense qu’à ce niveau, elle doit avoir encore une trentaine d’années à attendre avant d’atteindre l’âge canonique et qu’elle est toujours canonable. Il ne faudrait pas y envoyer le curé de Sensonens, je crois bien que ce serait plutôt l’âge du canon (pas le romain mais celui est entre les jambes), que canonique. Cela ferraillerait fort sous les jupes.
Mais notre brave curé, bien pensu et ventru, ne m’a pas l’air d’être trop affecté par les plaisirs de la chair, mais plutôt par ceux de la chaire.
Enfin, nous faisons nos adieux et continuons notre chemin pour aller chez Lidia, une ancienne amie de pensionnat de jeunes filles de Mélanie. Une femme d’un âge semblable à Lidia vient nous ouvrir la porte.
Malgré ses quatre vingt printemps, elle se tient bien et a une certaine allure. On sent que c’est une forte personnalité. Ses cheveux tout frisés sous un bonnet de dentelle, c’est très attendrissant, un peu comme dans l’histoire du petit chaperon rouge. Je me prends à avoir des pensées pas trop … et des envies de grand méchant loup, même si le pauvre il a mal fini dans l’histoire. Je crois que je suis entrain de devenir un authentique archéophile.
(Il ne faut pas exagérer, enfin, les illusions gouvernent le monde, il faut dire)
Comme il se faisait tard, nous pensions à rentrer pour souper pour qu’Albert ne se fasse pas des soucis. Elle nous propose de rester à souper pour lui tenir compagnie.
Mélanie, qui a le cœur sur la main et pas dans la soupe, comme le prétendent certaines mauvaises langues, prend le téléphone et annonce à Albert qu’elle est chez Lidia et que peut-être elle ne rentrera que demain.
Lydia est rayonnante, elle commence à être toute affairée pour préparer un bon souper et surtout, elle sort une bouteille de Saint-Emilion, dont je sens qu’on va lui faire un mauvais sort.
Elle nous mijote un foie d’oie saisi au beurre maison, hum, je n’ai jamais goûté quelque chose d’aussi bon. Fantastique. Cela fond sous la langue.
Finalement, après bien des babillages, viens le moment de passer aux choses sérieuses, se mettre au lit. Vu que je n’ai rien pris pour dormir, elle me passe un des pyjamas de son défunt mari qui me va comme un gant, juste que le pigeonnier baille un peu.
Mélanie, n’écoutant que son bon cœur, accepte et me dit tu n’y vois pas d’inconvénient, sinon, il te reste toujours le canapé dans le coin.
Nous voici réunis dans son grand lit, il est vraiment grand et bien dur, comme je les aime.
Je me place d’un côté pour laisser mes deux coquines encore discuter et je fais semblant de m’endormir. Il y a des mouvements de duvet à coté. Je sens que cela bouge. Le sommeil a de la peine à venir.
Tu crois qu’il dort ? ce serait dommage !
Je pense que oui.
En entrouvrant un œil, malgré le noir, je les vois qui sont dans les bras l’une de l’autre et qui s’embrassent comme deux gamines. (J’espère qu’elles ne vont pas se prendre les prothèses)
Je continue à simuler le sommeil quand je remarque que Lidia occupe la place du milieu et bientôt je sens une main furtive se glisser dans mon pyjama et s’emparer du colosse de Rhodes (aux pieds d’argile, cela fait du bien de se faire un peu de réclame)
Gentiment, elle caresse popaul qui prend de la consistance. Ne voici pas qu’elle se glisse sous mon édredon et embouche ma zigounette. Décidément, les filles, non seulement de Camarés, mais également de Perpignan ne sont pas mal dans l’art amoureux buccal. Au même moment, pour anticiper toutes protestations, deux lèvres se posent sur les miennes pour un savant baiser.
Une vraie langue fourrée, sans chocolat. Attention !, à ce rythme là, je ne vais pas tenir longtemps. Lydia a du sentir le danger car elle relâche son emprise et remonte le long de l’édredon, elle remonte même plus loin et bientôt, je me trouve en face de deux paires de seins, de même mouture que ceux de Mélanie, également avec des tétons bien érigés. Je n’hésite plus, je prends, je lèche, je suce, C’est aussi bon, si ce n’est meilleur, la nouveauté ! Ce n’est pas fini, sa remontée continue et je pense que Mélanie lui a dit que pour le broute minette, j’avais des qualités à ne pas négliger.
Bientôt, je vois arriver son sexe, à portée de ma bouche. Un vrai tablier de sapeur, encore très noir et sans poil blancs, surprenant. (Vous allez vous demandez comment j’ai fait pour le voir dans le noir, mais c’est le lendemain que je l’ai constaté)
Il est vieux, mais son goût est également délicieux, ses grandes lèvres se gonflent de plaisir. Par contre, c’est nettement moins humide que chez Mélanie, mais en plus concentré.
Un bouquet d’herbes de Provence, à croire qu’elle a passé l’après midi avec les fesses nues assise dans les herbes aromatiques. Ses grandes lèvres sont toutes douces et se remplisse lentement d’un nectar subtil. En remontant la fente, j’arrive avec ma langue sur son clitoris qui sort comme une petite pine. Doucement avec les lèvres, je l’aspire et avec la langue, je le caresse juste en dessous, sur le méat urinaire. C’est délicieux, de plus en plus je sens que la fontaine du plaisir coule à large flot. Ma barbe est imprégnée de ces savoureuses fringances.
Lydia me remet son trou sous la langue pour que je puisse fouiller plus profond. Non ce n’est pas ça. Je vois arriver une petite rosette bien douce dans la quelle je plonge ma langue. Je sens avec ma langue ses poils du cul. J’ai envie de mordre dans cette magnifique entrecôte à moustache. Je deviens fou comme c’est délicieux.
Moi pendant ce temps, je trique comme un mulet, Depuis que je suis avec Mélanie, je me surprends avec les érections successives que j’arrive à produire. Si Mélanie pense qu’elle a rajeuni de 30 ans, de mon coté, il doit y avoir également un effet similaire.
Pendant que je suis occupé de brouter dans le champ de Lydia, Mélanie me chevauche. C’est drôle, elles sont les deux, l’une à la suite de l’autre à me donner du plaisir (et à en prendre aussi)
A ce traitement, j’espère que le sommier va tenir, car il grince de plus en plus fort, sous les assauts répétés de mes deux bacchanales.
A ce rythme là, je ne sais comment cela va évoluer. Moi qui me visitais les services spécialisés une fois par mois à Fribourg pour décharger les burnes, maintenant, je passe à une fréquence de 2 à trois fois par jour. Il va falloir que je demande à Albert de m’aider si je ne veux pas y laisser ma santé
Je sens que la sève est en train de monter le long de mon pistil et que les étamines de mes deux gamines vont pouvoir en bénéficier. J’explose dans le minou de Mélanie qui entame une danse du scalp sur ma queue. Je pense que la situation un peu particulière, chargée d’imprévu agi sur mes deux comparses car elles partent en même temps. J’ai l’impression que Lydia ne me nourrit pas que de cyprine, mais un goût nettement plus ammoniaqué me suggère que la vessie a également lâché.
Bravement, je bois ce Mont-Bazilac féminin. C’est la première fois que je bois de la pisse d’une femme en jet. Des petits restes mal essuyés, oui, mais à la fontaine. C’est nouveau.
Rouge de honte, Lydia vient se blottir dans mes bras. Elle n’avait pas prévu que l’émotion allait lui faire lâcher son contrôle urinaire. Je la rassure que tout le plaisir que j’en ai tiré.
Finalement, après cette séance de gymnastique à 3 dos, épuisante, mais délicieuse, nous nous endormons dans les bras de Morphée cette fois.
A 9 heure du matin, nous entendons un bruit un peu poussif, comme si une 2 bœufs empruntait le chemin de l’impasse. Mais oui, c’est Albert qui nous amène les croissants.
Nous nous étirons sur le lit et Lydia va lui ouvrir. Il contemple le tableau
Effectivement, il faut que l’on recharge les batteries si on ne veut pas défaillir.
N’écoutant que sa conscience et son goût pour les bonnes choses, Albert, ni une ni deux, se retrouve à poil au milieu de mes deux tourterelles. Je ne suis pas jaloux, vu l’état de faiblesse sexuelle où je me trouve, je trouve ce soutien fort approprié
Mes deux ogresses me semblent disposées à le manger tout cru. Je vois leurs yeux qui pétillent devant le morceau de roi qui leur est présenté
Il faut dire que l’Albert, si il sent un peu le bouc, il en a aussi les attributs et avec un peu d’imagination, on pourrait se représenter un faune. Ses cheveux noirs frisés, Son teint mat foncé avec une barbe en forme de bouc et des yeux injectés de sang tellement il est tendu. Il est impressionnant pour ne pas dire effrayant.
Mes deux dompteuses ont pris les choses en mains si l’on peut dire, voire en bouche. En se repassant le bébé de temps en temps. Lydia a un sacré retard à rattraper, on sent qu’elle en veut. Sa façon de gober les œufs de notre fermier est remarquable, surtout que ce ne sont pas des œufs de pigeons, mais plutôt des œufs d’autruche. Impressionnant. Finalement, l’Albert n’arrive plus à tenir et Lydia qui est à la dégustation reçoit l’onction qui n’est pas extrême, mais très abondante.
C’est vrai en voyant leur mottes dégoulinantes, il semblerait qu’elles en redemandent.
Quelle santé elles ont, nous on est sur les rotules et elles à l’assaut.
Pour calmer un peu ces ardeurs amoureuses, nous nous consacrons au cunnilingus appuyé, voir anulingus, ce nectar est comme les bons vins, il s’est amélioré avec les années, mais il faut se dépêcher de le boire et reboire avant qu’il ne tourne définitivement en vinaigre. C’est reparti pour un nouvel orgasme double. On fait la course avec Albert. Qui arrivera à faire jouir la première avec la langue? On triche un peu en s’aidant des doigts. Un, deux, la main sans le pouce. Les sexes clapotent de bonheur. J’ai l’impression que Lydia est en train de prendre une longueur d’avance dans la course à l’orgasme. Comme je m’occupe de Mélanie, il faut que je la dope et hop, j’introduis le pouce dans la rondelle. Ha ! je crois que cela lui plait vraiment. Elle est en train de remonter son handicap et je vois que nos efforts vont être couronnés de succès quand…
Dring, Dring fait la sonnette.
C’est qui ? demande Lydia.
Là-dessus, nous nous rhabillons après avoir fait une mini toilette, il ne fallait quand même pas aller cher l’homme de Dieu avec un fumet de stupre et de fornication. Surtout que ceci était en dehors des liens sacrés du mariage.
Nous arrivons le plus vite possible au presse bitte en l’air, ou nous voyons monsieur le curé couché sur le carrelage grimaçant de douleur.
Finalement, à 5 on arrive à le soulever pour le porter dans son lit. Mais là, il y a un problème, il gémit et nous dit :
Lydia qui a toujours une solution à tout problème annonce :
Elle revient avec une cruche médicale faite pour quand on ne peut pas se lever. Là, elle met la main dans le pyjama du curé et sort son outil et le place dans la cruche pour qu’il puisse se vider. Ouf, il était moins une, c’est le déluge
Il faut dire que la mentule du curé a fait ouvrir grand les yeux de mes gourmandes. Un engin impressionnant, même si c’est grâce à l’urine qu’il est surtout impressionnant. C’est vraiment du gaspillage pour la gente féminine, surtout la bonne qui se dit qu’il fallait cet incident pour allumer ses ardeurs canoniques.
Après avoir vidanger, Lydia qui a garder la main sur l’objet du délit remarque que l’oiseau est entrain de prendre son envole et qu’il grandit, grandit.
Là-dessus, la servante bouscule Lydia et reprend les choses en main.
Excusez- moi, mais ceci fait partie de mes attributions.
Sans transition, elle gobe la trique pour lui tirer son jus. Elle sait y faire la Marie. Tant et si bien que finalement le Curé se paie une double vidange.
Je ne sais si le traitement était prévu par Escupale, mais la décontraction, amenée par l’évacuation d’un jus trop longtemps retenu, porte ses fruits et notre brave curé semble retrouver le moral à défaut de la morale. Le lombago s’est envolé, miracle.
Je sens que mes deux commères sont toutes retournées de ce spectacle qui semble les mettre en appétit, mais avec Albert, on estime que cela suffit pour aujourd’hui.
Après tout ces dévergondages, nous rentrons au mas dans la 2 bœufs qui nous trinqueballe tant bien que mal à destination.
Ah quelle journée, si je pouvais m’imaginer cela, dit Albert, qui n’est pas une grenouille de bénitier
Je crois qu’Albert n’a plus de soucis à se faire pour pouvoir se distraire de temps en temps et je pense que Lydia souffrira moins de la solitude maintenant, mais peut-être de la sollicitude.
Enfin le soir arrive et ma Mélanie me dit : ce soir couche avec moi, j’ai envie d’être un peu tranquille après les excès de cette nuit.
Je rêve ! Me dire de me coucher avec et rester tranquille, c’est le supplice de Tantale.
En conclusion avec cet épisode, Lydia, profitant d’une absence de Marie a pu goûter du manche sacré et d’un sacré manche par la même occasion et suite à l’absorption, recevoir l’absolution avec la pénitence de recommencer à la prochaine occasion. Quand le diable entre dans une église, il arrive que le serviteur de Dieu se prenne les pieds dans la moquette.
Cependant, l’utilisation du cierge ecclésiastique pour bouter le feu à la chapelle sextine me semble une bonne application du : aimez-vous les uns les autres, même si on ne le copie pas tout à fait.
Elle se mit en ménage avec Albert et devint une fervente pilier d’église en se con fessant plus que nécessaire en privé. Le bon curé, encouragé par cette dévotion récente, ne ménageait pas ses efforts pour maintenir cette brebis revenue dans la voie de la raide-emption, vu que sa voie était assez divine. Je peux le certifier sous la foie du cerf ment .
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