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Temps de lecture estimé : 10 mn
08/05/06
Résumé:  Une jeune femme mariée joue un jeu dangereux avec un jeune vendeur
Critères:  fh fplusag extracon magasin essayage lingerie nopéné
Auteur : JFCorto            Envoi mini-message

Série : Le jeune vendeur

Chapitre 01
Le jeune vendeur 1

Le jeune vendeur vit le couple rentrer dans la boutique de l’hôtel dans laquelle il travaillait. Le couple était assez représentatif de cet établissement de luxe. Lui, 40 ans, faisant très businessman. La femme, la trentaine, très classe, était une très belle blonde très claire, les cheveux en carré, au visage un peu anguleux mettant ses yeux bleus en valeur. La longue veste de son tailleur vert amande tendue pas sa lourde poitrine et sa jupe portefeuille dévoilait ses longues jambes fuselées, gainée de gris.


Elle s’assit pour essayer des chaussures. Penché à ses pieds, il louchait sur ses cuisses dévoilées haut par sa position. Chaque fois qu’elle devait lever un pied pour se chausser, les pans de sa jupe s’écartaient de plus en plus, dévoilant d’abord la bande plus foncée du haut de ses bas et jusqu’à la peau blanche de ses cuisses. Ayant du mal à en mettre une, elle croisa les cuisses permettant aux yeux du jeune homme de plonger sur sa culotte grise de satin et dentelle ainsi dévoilée, moulant le renflement de son sexe. Au regard fixe du garçon, elle se rendit compte de l’inconvenance de sa position et rabattit sa jambe prestement. Elle s’apprêtait à le fusiller du regard, mais de le voir au rougir comme une pivoine, adolescent pris en faute, l’attendrit, aussi lui fit elle seulement les gros yeux et sourit, achevant de le troubler. Il était plutôt mignon et ne semblait pas méchant.


Mariée depuis dix ans, son couple s’était doucement étiolé au fil du temps. Issue d’une famille bourgeoise Suisse, elle menait une vie d’étudiante sérieuse un peu morne quand elle avait été séduite par la prestance de son futur mari croisé au cours d’un cocktail de bienfaisance. Sa situation professionnelle et sa générosité avaient également séduit sa mère qui l’avait subtilement poussée dans ses bras et lui avait mis la pression pour accepter le mariage malgré leur différence d’age. Ils avaient beaucoup voyagé au début de leur union et elle avait été grisée la vie de luxe qu’il lui avait fait découvrir. Mais il s’était révélé un amant moyen, et de plus en plus absorbé par son travail, leurs relations sexuelles s’étaient plus qu’espacées. Elle avait fini par se faire une raison, se satisfaisant des regards souvent appuyés des hommes que sa beauté attiraient, la rassurant sur son pouvoir de séduction. Son éducation la faisait se contenter de ces hommages, n’imaginant même pas tromper son mari.


Depuis leur arrivée à l’hôtel, elle s’ennuyait ferme, et exciter ce jeune homme sans que son mari s’en aperçoive l’amusa. Après tout cela ne prêtait pas vraiment à conséquence et mettrait un peu de piment dans son séjour. Aussi recommença-t-elle à croiser les jambes innocemment, le laissant mieux apprécier le dessin de sa culotte, sa jupe s’ouvrant parfois jusqu’à la taille. Continuant son jeu de séduction, elle se pencha pour attacher la bride de sa chaussure et lui laissa découvrir dans son décolleté généreux les flancs de sa poitrine comprimée de dentelles grises. Les yeux brillants du jeune vendeur lui montrait combien il semblait apprécier le spectacle de ses courbes ainsi dévoilées. Mais elle décida de mettre fin au jeu et s’en alla après avoir acheté finalement deux paires.


Cela l’avait amusé de l’exciter aussi décida-t-elle de revenir le lendemain, toujours flanqué de son mari, pour essayer d’autres vêtements. Elle réapparut de la cabine vêtue une robe de soie beige légère et très courte révélant la bordure de ses bas. Le tissu soyeux dessinait le relief de ses sous-vêtements, la fine dentelle de son soutien-gorge, le triangle étroit de sa culotte, et jusqu’à son porte-jarretelles. Elle déambula ainsi devant le miroir, et ne put manquer dans le reflet de la glace le regard admiratif du jeune garçon. Elle se changea et réapparut avec une robe longue noire, drapée devant, avec un long décolleté très lâche derrière, lui dénudant complètement le dos jusqu’à la taille. Les manches très échancrées révélaient l’abandon de son soutien-gorge, découvrant la naissance du galbe prometteur des seins.



Ce disant, elle écarta le tissu derrière, dévoilant un instant le haut du porte-jarretelles blanc et jusqu’à sa culotte de soie blanche disparaissant dans le sillon profond de ses fesses rondes. Pour lui ajuster la robe, il dut poser sa main sur sa hanche, sentant sous sa paume le contour de son porte-jarretelles et de sa culotte. Faisant de même pour le haut, il vint frôler les lourds globes élastiques de sa poitrine. Dans un mouvement du buste involontaire de la fille, son ongle en accrocha la pointe qui se dressa immédiatement, le corps de Sophie réagissant à cette caresse inattendue. Surprise par son propre trouble, elle regarda le garçon. Rouge comme une pivoine, il semblait hypnotisé par les pointes de ses seins qui tendaient maintenant le tissu gonflé par sa poitrine.



Il lui prit d’abord le tour de cou avant de descendre sur sa poitrine. En l’entourant avec le mètre il en profita pour lui caresser discrètement les seins, éprouvant du bout des doigts l’élasticité des globes fermes, frôlant les mamelons durcis. Pour le tour de taille, il posa sa main brûlante au bas du dos sur la peau dénudée, et Sophie frémit et se cambra instinctivement, ouvrant à un nouveau le tissu sur sa croupe superbe.

S’enhardissant, en prenant son tour de hanche, il posa une main bas sur ses fesses, et à travers la robe, les soupesa discrètement, savourant leur fermeté. L’air détachée, elle regardait droit devant elle. pourtant Sophie appréciait plus qu’elle ne l’aurait pensé cette escalade, lui rappelant que cela faisait plus d’un mois que son mari ne l’avait pas touchée.. De sentir la chaleur de son corps sous ses mains et son absence de réaction commençaient à rendre le jeune garçon un peu fébrile.



Démarrant d’un pied, il remonta le mètre le long de l’intérieur d’une cuisse, l’appuyant sur les reliefs de son bas, avant de s’arrêter au ras de la fourche de ses cuisses, le dos de ses doigts venant frôler le sexe de la jeune femme à travers sa robe et sa culotte. Il prit son temps et Sophie sentit les doigts se faire plus pressants, écrasant doucement sa toison avant de mourir sur la vulve gonflée. La chaleur embrasa le ventre de Sophie mais quand il frôla son clitoris elle eut un sursaut et se dégagea instinctivement de la main baladeuse.

Il se leva sans oser la regarder et balbutia :



Elle s’en alla au bras de son mari qui ne s’était pas rendu compte du trouble de sa femme. Sophie était surprise de ses propres réactions et du plaisir qu’avait ressenti son corps sous le contact des mains indiscrètes, réveillant de douces sensations. Inconsciemment, le jeune vendeur occupa ses pensées pendant le reste de la journée, mais de manière plutôt agréable, la rendant un peu euphorique.


Ils revinrent comme prévu le lendemain. Sophie avait décidée de continuer son jeu de séduction et elle laissa le rideau entrouvert quand elle se glissa dans la cabine d’essayage. Bien placé, le vendeur ne perdit pas une miette du spectacle qu’elle offrit en se déshabillant, dévoilant son soutien-gorge blanc de tulles et dentelles tendues à craquer par ses rondeurs pleines dont les larges auréoles roses se devinaient nettement et fit glisser son pantalon sur ses jambes galbées. Elle portait un collant blanc très fin, à peine plus opaque sur les hanches, remontant haut sur sa taille. Sous le voile blanc, il distinguait nettement le triangle échancré de satin blanc de sa culotte bien tendue sur ses fesses et qui se transformait en dentelle sur le devant laissant deviner la tache claire de sa toison. Elle fit rouler également le collant n’apparaissant plus vêtue que de ses sous-vêtements, mettant en valeur son corps harmonieux. En ce penchant pour le ramasser elle lui offrit la vue de ses fesses cambrées entre lesquelles disparaissait le satin, réapparaissant pour mouler son bas-ventre bombé. Sophie savait très bien que le vendeur la matait, et elle sentait son regard sur son corps comme une caresse brûlante, lui échauffant les sens. Mais son mari ne la lâcha pas ce jour là, et il ne put s’en approcher, devant se contenter de l’admirer de loin.




Ils ne revinrent que deux jours après avoir voyagé dans la région. Sophie se sentait nerveuse. Elle n’avait cessé de penser au jeune homme, impatiente de pouvoir de nouveau le vamper, comme pour la rassurer sur sa capacité à susciter le désir. Consciente malgré tout de la perversité du jeu qu’elle jouait, elle se rassura en se disant qu’elle en maîtrisait les règles et qu’elle saurait s’arrêter à temps avant que certaines limites soient franchies.


Elle était vêtue d’un pull bleu clair ras du cou, moulant ses seins ronds et d’un pantalon taille basse. Zippé sur le coté, il soulignait la douce déclivité de son ventre et moulait de manière affolante la fourche de ses cuisses. Elle se glissa derrière un portant, au fond de la boutique, l’appelant sous prétexte de vérifier une taille. Il se retrouva derrière elle et sous le prétexte de mieux lire les étiquettes Sophie se pencha plusieurs fois en avant, s’amusant à le frôler plusieurs fois de la croupe. Son pantalon fin se tendait chaque fois sur ses fesses rondes marquant précisément l’étroit triangle de son tanga. Affolé, le garçon jeta un coup d’œil autour de lui, mais personne ne le remarquait. Le mari était resté à l’entrée, passant des coups de téléphone sur son portable. Il se rapprocha alors d’elle et les frôlement devinrent beaucoup plus appuyés. Sophie sentait les mains s’appuyer plus franchement sur ses rondeurs offertes complaisamment, et malgré son trouble naissant, fit semblant de ne rien remarquer, continuant de lui demander ingénument des renseignements.


Perturbé par l’attitude pour le moins ambiguë de Sophie, le garçon, la gorge sèche ne savait plus sur quel pied danser, hésitant à aller plus loin. Mais il ne voulait pas manquer une telle opportunité et prenant son courage à deux mains, il posa brusquement ses mains sur ses hanches et l’attirant à lui, se colla à ses fesses rondes.


Sophie, surprise par l’initiative du jeune vendeur, se redressa instinctivement, trouvant que le contrôle du jeu lui échappait. Il se montrait plus entreprenant qu’elle n’aurait pu l’imaginer et elle voulut s’écarter doucement avec un sourire un peu gêné. Mais le garçon la maintint plaquée contre lui. Elle ressentit comme une décharge électrique quand elle sentit alors la bosse de son sexe durcir contre le creux de ses fesses, la figeant, le laissant lové contre elle, sa respiration s’accélérant. Les mains, encouragées par sa passivité, se firent plus entreprenantes, glissant de ses hanches à ses fesses, les caressant fébrilement. Sophie, inconsciemment, commença à rouler des hanches, se frottant contre son bas-ventre, les sens en feu, finissant de lever toute ambiguïté.


Les mains du jeune homme remontèrent sur sa poitrine, soupesant les globes lourds à travers la fine laine du pull-over. Incapable de contrôler les pulsions de son corps sevré depuis trop longtemps, elle le laissa pétrir doucement ses seins sentant ses pointes s’ériger. Descendant à sa taille, il se glissa sous le tissu remontant contre la peau nue de son ventre et vint empaumer le buste à même la dentelle du balconnet. Elle frémit quand la main se coula sous son soutien-gorge, contre la peau nue, griffant un mamelon qui devint dur comme du bois. De se faire ainsi caresser à quelques mètres de son mari la rendait folle, et se lâchant, elle glissa une main derrière elle, la plaquant à travers le pantalon contre la tige gonflée qu’elle massa délicatement, la sentant se raidir encore plus.


Sous l’affolant contact, la main du garçon se crispa sur sa poitrine tandis que l’autre main se nicha au creux de ses fesses, lui faisant creuser les reins comme pour mieux s’offrir. Haletante, elle ne réagit pas quand il descendit le zip de sa fermeture éclair sur le coté, dévoilant sa hanche nue barrée par le fin élastique blanc de sa culotte. Par l’échancrure ainsi créée, il se faufila sous le pantalon directement contre son ventre plat, se plaquant contre son mont de vénus qu’il palpa délicatement, appréciant à travers la fine dentelle l’épaisseur discrète de sa toison. Petit à petit, les doigts descendirent avant de plonger entre ses cuisses contre sa vulve moelleuse, en une caresse plus précise qui la fit gémir doucement de plaisir.


En plein délire érotique, elle le libéra, sentant son sexe venir battre contre sa paume et commença à le masturber, le sentant se gonfler encore plus. Elle l’entendit haleter plus fort dans son cou. Les doigts du garçon avaient fait glisser la dentelle de sa culotte sur le côté et il lui caressait maintenant librement les lèvres qui se gorgèrent de sang. Le vendeur n’en revenait pas de pouvoir caresser ainsi cette blonde superbe, qui se révélait d’une perversité inouïe. Il la sentait s’ouvrir sous ses caresses et il glissa deux doigts au creux de l’intimité brûlante, pénétrant son vagin trempé. Elle dut se mordre les lèvres pour retenir un gémissement, sentant l’orgasme monter, incontrôlable, sous l’exquise sensation des doigts qui la fouillaient.


Il fut là d’un seul coup, électrisant son corps d’une grande secousse. Elle dut se tourner pour cacher son trouble à son mari, échappant à la caresse du vendeur. Son regard descendit vers la belle verge fine du garçon au gland turgescent, qui palpitait entre ses doigts. Le garçon eut un regard suppliant, presque comique. Elle hésita mais après son le plaisir ressenti, elle ne pouvait le laisser dans cet état. Le ventre encore agité de soubresauts, elle s’accroupit brusquement et le vendeur vit comme dans un rêve ses lèvres s’entrouvrir et l’avaler goulûment. Au contact de sa bouche chaude et humide et de sa langue qui dansait un ballet affolant contre son sexe il ne tarda pas à exploser à son tour, se vidant à long trait au fond de sa gorge. Sophie but son sperme abondant en gémissant, finissant de le nettoyer du bout de la langue.


Les jambes tremblantes, elle se réajusta et se releva, l’air innocente, et saisissant une robe au hasard revint vers son mari qui ne sembla pas remarquer sa rougeur, sa bouche gonflée et humide et les pointes encore dures de ses seins, seules traces visibles de son orgasme.



Son petit jeu de séduction ayant pour le moins dérivé, elle avait même trouvé beaucoup plus que ce qu’elle était venu chercher. C’était la première fois qu’elle avait un orgasme aussi rapide, aussi intense. Même si il n’y avait pas eu vraiment pénétration, elle venait quand même de tromper son mari pour la première fois, et elle était la première surprise de l’élasticité de sa morale. En effet, encore sous le coup de l’excitation elle ne ressentait pas vraiment de culpabilité, juste un apaisement de ses sens. Finalement, l’adultère n’était pas si compliqué que cela, pensa-t-elle en souriant.



A suivre…