n° 10437 | Fiche technique | 17022 caractères | 17022Temps de lecture estimé : 10 mn | 21/05/06 |
Résumé: Après avoir cédé en partie aux avances du jeune vendeur, Sophie sent le diable la tenter à nouveau... | ||||
Critères: fh vacances essayage volupté voir fmast entreseins | ||||
Auteur : JFCorto Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Le jeune vendeur Chapitre 02 | Fin provisoire |
C’est une prolongation de la première partie, plus qu’une nouvelle aventure. Je vous recommande la lecture préalable.
Elle passa la journée dans un état second et sentait une boule de chaleur irradier son ventre chaque fois qu’elle se remémorait la scène de la matinée. Elle n’en revenait pas du fait que ce jeune garçon ait pu réveiller aussi fortement sa sensualité. Mais avec un peu de recul, son éducation reprenait le dessus et elle était un peu effrayée par la violence des sensations ressenties et la facilité de son abandon. Aussi refoula-t-elle son désir insidieux de retourner à la boutique, aidé en cela par la présence de son mari à ses côtés pour leur dernière journée de vacances. Il risquerait de trouver pour le moins bizarre son intérêt pour ce magasin de vêtements et elle se rendait compte qu’elle avait déjà pris des risques inconsidérés. Elle ne céderait pas à la tentation et plus sereine, finit par s’endormir sur la chaise longue du jardin de l’hôtel, quand son mari la réveilla, l’air contrit :
Sophie sentit brusquement sa respiration s’accélérer. L’opportunité crée par l’absence de son mari ruinait toutes ses bonnes résolutions en lui ouvrant la possibilité de revoir seule le vendeur. Son mari se méprit sur son trouble :
Sophie l’écoutait à peine, calculant presque inconsciemment que cela lui laissait plus de deux heures de disponibles. Elle sentait monter en elle de manière irrésistible l’envie de sentir à nouveau les mains du jeune vendeur sur son corps, balayant toutes les barrières morales qu’elle avait tenté d’établir. Inconsciemment, elle essayait pauvrement de justifier ses pulsions par l’abandon soudain de son mari. Après tout, c’est lui qui forçait le destin d’une certaine manière.
À peine son mari parti, elle se leva comme un automate. Dans une sorte d’état second, ses pas la dirigèrent vers la boutique. Une fois devant l’entrée, elle hésita. Elle était vraiment folle, elle, l’image de la femme respectable, allant se livrer comme la dernière des dépravées à un homme beaucoup plus jeune. Car elle savait très bien que sans son mari, le jeu entamé risquait d’aller beaucoup plus loin, compte tenu de la fougue du garçon.
C’est à ce moment que le jeune homme l’aperçut à travers la vitrine. Lui aussi n’avait cessé de penser à elle et il ne pouvait croire qu’il allait avoir une nouvelle opportunité de profiter de cette femme superbe, au corps si harmonieux mis en valeur par une robe tunique bleu marine, boutonnée sur le devant et s’évasant en pli serré à partir de la taille. Sentant l’hésitation de Sophie, il prit les devants et sortit pour l’aborder.
Ce disant, il la prit délicatement par le bras pour l’entraîner doucement à l’intérieur. Sophie était tellement tendue que le seul contact de la main sur son bras dénudé la fit frémir.
Une fois à l’abri des regards au fond du magasin, il ne lui laissa pas le temps de se ressaisir et l’enlaça brusquement.
Ses tentatives de refus venaient d’être stoppées par le jeune homme qui l’embrassa fébrilement à pleine bouche, tandis que ses mains exploraient son corps, une main pétrissant ses fesses, remontant sous la jupe directement contre la peau laissée nue par sa culotte étroite, l’autre se ruant dans son décolleté, directement contre la dentelle de son soutien-gorge.
Tétanisée par la soudaineté de l’assaut, elle avait l’impression qu’il avait quatre mains et en moins de trente secondes, elle se retrouva à moitié dépoitraillée, jupe troussée, les sens en feu. Consciente qu’ils pouvaient se faire surprendre, elle réussit à le repousser, murmurant :
La lâchant, il alla fermer la porte de la boutique à clé et revint vers elle, les yeux fous de désir. Mais ce laps de temps avait permis à Sophie de se ressaisir. Si elle n’était pas contre sa fougue, elle voulait en profiter à son rythme et donner libre cours à ses fantasmes.
Elle l’obligea à s’asseoir sur un canapé, et le fixant, commença à déboutonner sa robe, dévoilant la dentelle sophistiquée bleu pastel de son soutien-gorge. Bien découpés, les balconnets mettaient en valeur les rondeurs de sa poitrine, dévoilant son sillon profond. La robe glissa sur ses épaules, s’arrêtant sur l’évasement de ses hanches, révélant son ventre plat et le haut de sa culotte assortie. D’un gracieux balancement des hanches, elle se libéra du tissu qui glissa à ses pieds, lui laissant apprécier le triangle étroit de dentelle moulant la fourche de ses cuisses, gonflé par sa toison.
La gorge sèche, le garçon semblait hypnotisé par ce strip-tease lascif.
Avec un grognement, il libéra sa verge déjà bien tendue et commença à se masturber. Sophie ressentait l’intensité de son désir comme un hommage à sa beauté, l’encourageant à aller plus loin. Toujours aussi sensuellement, elle dégrafa son soutien-gorge et fit rouler sa fine culotte à ses pieds, apparaissant enfin complètement nue. Souffle coupé, il admira le corps superbe. Libres de toute contrainte, ses seins s’étaient épanouis sur son buste, révélant un galbe orgueilleux malgré leur volume. Les pointes déjà tendues se détachaient sur les larges auréoles rose pâle. Son regard descendit sur son ventre, se repaissant du triangle délicat de sa toison pubienne dont la blondeur des mèches laissait deviner le départ des fines lèvres de son sexe. Il voulut se lever, mais elle le stoppa :
C’était la première fois qu’un homme se masturbait devant elle et elle voulait savourer ce vibrant hommage. Il y avait longtemps qu’elle ne s’était pas sentie aussi désirée et découvrait le plaisir de s’exhiber. Son corps la brûlait et, fixant la main qui coulissait sur la verge tendue, elle commença également à se caresser, empaumant d’abord ses seins qu’elle massa doucement, tiraillant les pointes, avant de descendre entre ses cuisses pour une caresse beaucoup plus intime. Pour être plus à l’aise, elle s’assit directement le fauteuil en face, ouvrant le compas de ses jambes, dévoilant complément le dessin délicat de la fente de son sexe. Fasciné, il vit ses doigts tournoyer au sommet de sa vulve, ériger son clitoris rose pâle, avant de glisser le long des grandes lèvres qui s’ouvrirent délicatement, dévoilant l’orée déjà trempée de son vagin. Elle sentait le regard de l’homme comme une caresse sur son intimité brûlante, et en plein délire érotique, glissa une phalange au creux de son sexe avec un gémissement de plaisir. Elle commença à onduler du bassin pour mieux accompagner sa caresse. Le garçon n’en revenait pas de la voir se caresser ainsi pour lui, dépassant de loin ce qu’il aurait pu rêver, et commençait à gémir bruyamment. Sophie se rendit compte et se relevant, vint s’agenouiller entre ses jambes.
Le maintien du vouvoiement alors qu’elle était nue à ses pieds avait quelque chose de surréaliste qui excitait encore plus le garçon. Posant ses deux mains sur les cuisses du vendeur, elle courba délicatement la nuque et embrassa le gland turgescent. Elle avait cette fois-ci le temps et lui administra une vraie fellation. Il sentit avec délices la langue descendre sur toute la longueur de sa hampe dressée et grogna quand elle atteignit les bourses gonflées.
Sophie se laissait aller à des gestes qu’elle n’osait pas prodiguer à son mari et fit rouler les testicules contre sa langue, avant de remonter et de gober le sexe, qu’elle avala à mi-membre, le sentant palpiter au fond de son palais. Elle commença alors à le pomper doucement, montant et descendant le long de sexe tendu. Le spectacle de ses lèvres glissant le long de la colonne de chair, gonflant les joues, le rendait fou. Le lâchant, elle remonta pour embrasser son ventre. Il sentit avec délices la masse chaude de sa poitrine s’appuyer d’abord sur ses cuisses avant de venir se frotter contre son sexe, l’agaçant de ses tétons durcis.
Abandonnant ses cuisses, elle empauma ses seins, l’emprisonnant au creux de leur sillon profond et commença à le branler dans la douce gaine ainsi créée. Le spectacle de son gland apparaissant au sommet des globes généreux, lié à l’exquise sensation du frottement contre la peau élastique et chaude lui fit perdre tout contrôle et il explosa brusquement, se répandant sur la gorge généreuse. C’était la première fois qu’un homme jouissait ainsi entre ses seins et les longs traits brûlants qui maculèrent son buste la firent tressaillir de plaisir.
Elle était un peu déçue qu’il ait joui si vite, sans qu’elle ait pu elle-même atteindre son plaisir, mais il lui semblait si désolé qu’elle ne pouvait lui en vouloir, d’autant qu’elle était grandement responsable.
Dans cette position, la fourche de ses cuisses se retrouva juste à la hauteur du visage du jeune homme, et il distinguait avec une précision affolante les grandes lèvres luisantes au creux des boucles blondes. Lui posant les mains sur les hanches, il l’attira à elle et plongea son visage entre ses cuisses, nez dans sa toison pubienne, appréciant l’odeur poivrée de son excitation. Il embrassa alors le sexe offert à pleine bouche, et elle sentit avec délice sa langue glisser sur son intimité.
Il trouva vite le chemin du petit capuchon de son clitoris encore érigé, et le titilla de la langue, la faisant à nouveau gémir sous cette caresse inattendue. Ses paumes glissèrent sur ses fesses crochant les rondeurs fermes, ses doigts se nichant en leur creux, caressant leur sillon profond, du haut de ses reins jusqu’à sa vulve, l’électrisant. Elle tituba sous la caresse, devant s’accrocher à lui pour garder son équilibre, ravie se son initiative. Les doigts finirent par rejoindre sa bouche contre son sexe, écartant ses lèvres pour mieux livrer l’orée de son vagin à la langue indiscrète.
Grognant de plaisir, il put ainsi fouiller son intimité, et Sophie se sentit couler de plaisir. L’orgasme monta inexorablement et bientôt elle se tendit avec un grand cri, jouissant debout, les mains crochées dans ses cheveux, pendant qu’il lapait la cyprine salée qui s’écoulait de son ventre.
Elle se recula pour reprendre ses esprits, le corps enfin apaisé.
Il se leva pour l’enlacer pour un tendre baiser, lui faisant sentir le goût de son propre plaisir. Dans une douce torpeur, elle s’abandonna dans ses bras, se lovant contre lui, lui laissant apprécier la douce sensation de son buste opulent s’écrasant sur son torse, frottant doucement son bassin contre son ventre. Bientôt elle sentit avec délices le sexe du jeune homme durcir à nouveau et venir battre contre son ventre. Pliant les jambes, il le glissa entre les cuisses, frottant la longueur de son membre contre son intimité, le gland ressortant au creux de ses fesses. Ils s’excitèrent ainsi mutuellement quelques minutes, tout en s’embrassant fougueusement.
Mais il voulait aller plus loin et enfin posséder cette femme superbe. Il l’assit à son tour sur le canapé et se plaça entre ses jambes. Sophie, en pleine extase, ne se déroba pas et écartant les cuisses pour mieux s’offrir, vint le guider elle-même, calant son gland au creux de son sexe. Trempée comme elle était, il glissa sans forcer entre ses lèvres entrouvertes, envahissant son ventre d’une mâle poussée qui la laissa le souffle coupé. Il commença à la besogner d’abord doucement, fixant son sexe disparaître régulièrement au creux de sa toison, lui faisant creuser le ventre. Quand il accéléra, les cris de Sophie se firent plus aigus. Lui relevant alors les cuisses à la verticale, il se mit à la pilonner sans retenue et elle eut bientôt un deuxième orgasme qui la fit se cambrer, seins dressés, les yeux un peu hagards.
Voulant profiter jusqu’au bout de ce corps superbe, il se retira et la tourna, buste écrasé sur le canapé, fesses dressées. Il admira cette croupe cambrée, à l’arrondi bien mis en valeur par sa taille fine. Lui écartant les fesses des deux mains, il découvrit leur sillon, dévoilant à travers ses poils blond frisé, l’abricot fendu de son sexe et jusqu’au puits froncé de ses reins. Il resta ainsi un moment, savourant le spectacle de cette femme qui s’offrait ainsi à lui, se contentant de laisser traîner son sexe contre ses fesses comme pour éprouver leur élasticité.
Sophie, soumise, ne réagit pas, malgré l’impudeur de sa position, ne pensant qu’à une chose : le sentir à nouveau dans son ventre.
Il ne se fit pas prier et excitée comme elle était, n’eut même pas besoin de se guider de la main pour la pénétrer. Il glissa facilement dans le fourreau étroit, butant en une seule poussée au fond de son vagin, ventre plaqué sur les fesses rebondies, lui faisant dresser la tête avec un feulement rauque. Lui crochant les hanches, il resta ainsi un moment immobile, avant de commencer un lent mouvement de va-et-vient, ressortant quasiment à chaque fois son gland avant de replonger dans la gaine brûlante.
D’elle-même, elle commença à onduler du ventre, venant à la rencontre du pieu qui la perforait délicieusement. Il s’immobilisa alors, la laissant imposer son propre rythme. Inconsciemment, elle accéléra le balancement de ses reins au rythme de ses cris qui se firent plus aigus, s’empalant sur la hampe virile qu’elle sentait palpiter au fond d’elle, sa croupe claquant régulièrement contre les cuisses masculines.
Le souffle court, le jeune vendeur essayait avec difficulté de contrôler son plaisir, excité par le déchaînement de cette femme. Il glissa une main sous son ventre, venant agacer son clitoris, tandis que de l’autre main il vint palper la poitrine qui se balançait souplement entre ses bras.
C’en fut trop pour Sophie qui sentit comme une vague irrésistible l’orgasme monter, et dans un dernier mouvement, s’empala une ultime fois sur son sexe en roulant des hanches, jouissant bruyamment. L’homme explosa à l’unisson avec un grognement, noyant son ventre de longs jets brûlants, main crispée sur son ventre.
Elle s’affala sur le canapé, le sexe toujours fiché dans son ventre et ils restèrent ainsi un moment, reprenant leurs esprits. Elle se releva enfin, lui laissant une dernière fois admirer son corps superbe avant de se rhabiller, voilant de sa fine lingerie les rondeurs qu’elle lui avait si complaisamment abandonnées. Se penchant, elle lui flatta une dernière fois le sexe à demi bandé :