n° 10452 | Fiche technique | 22344 caractères | 22344Temps de lecture estimé : 14 mn | 25/05/06 |
Résumé: Rendez-vous entre une veuve un peu... perturbée, et un jeune homme un peu... fou !... | ||||
Critères: fh fplusag gros(ses) groscul poilu(e)s ascenseur voir exhib cunnilingu nopéné uro | ||||
Auteur : Frédichounet Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Salon de thé pour dames seules Chapitre 01 | Épisode suivant |
Quand j’ai passé la porte, mes yeux se sont, presque immédiatement, posés sur elle. Mon cœur cognait à tout rompre. C’était la première fois que je faisais ça. Un autre type était déjà en conversation avec elle, mais n’était pas encore assis à sa table. Donc, c’était encore "jouable". Juste avant mon premier pas, qui me mènerait jusqu’à elle, j’ai pensé dans un éclair, qu’il était encore temps de tout arrêter.
Non. C’était moi qui avais fixé les règles, et elle les avait acceptées. Je m’avançai donc, dans sa direction. Le cœur au bord des lèvres. Mais, qu’est-ce qui m’avait pris ? Dix mètres me séparaient, maintenant de ma folie, quand je me rendis compte que j’étais tout raide. Ma démarche devait paraître bien étrange. Mais non, personne ne me regardait… Sauf une dame seule, dans un coin, qui ne me quittait pas des yeux, en tournant machinalement sa cuillère dans sa tasse de thé. Elle ne portait pas une robe à manche courte, avec un ruban blanc autour du poignet gauche.
J’étais maintenant, dans un état second. L’adrénaline avait accéléré les battements de mon cœur, mais en même temps, elle avait augmenté ma perception de ce qui m’entourait. Je me forçai à un peu plus de calme. Géraldine était assise presque face à moi, et le jeune homme qui discutait avec elle était toujours debout, face à elle. Lui ne connaissait pas la phrase qui lui permettrait de s’asseoir. Je contournai la table, posai la main qui ne tenait pas le bouquet sur l’épaule de la dame au ruban blanc, me penchai, lui fis une légère bise et dis simplement :
J’ai trouvé cela un peu ridicule, d’appeler une dame ainsi, mais c’était notre phrase de reconnaissance. Elle a été presque parfaite, hésitant juste deux secondes de trop.
Puis, s’adressant à l’autre homme :
Il nous a regardés tour à tour, cherchant ses mots, puis a bredouillé :
Il avait l’air un peu… vexé, mais je trouvai qu’il ne s’en était pas trop mal sorti.
Pendant que je m’asseyais en face d’elle, Géraldine m’a dit :
Je me suis assuré que le jeune homme était loin avant de lui répondre :
Là, ses yeux se sont exorbités pendant que ses lèvres ont formées un "O", qu’elle a confirmé :
J’ai vu le serveur approcher de notre table.
Puis au "garçon" :
Elle se tenait un peu raidie sur son fauteuil, les joues pivoine, les yeux un peu humides.
Un sourire s’est dessiné sur son visage.
J’ai pris le temps de poser mon menton dans mes mains, les coudes sur la table. Je l’ai fixée avec beaucoup d’ironie dans le regard.
Le rouge, qui avait quitté son visage, est revenu enflammer celui-ci presqu’instantanément. Elle savait que, par mes mots, elle allait gagner encore quelques échelons de son excitation. Elle semblait le redouter aussi. Elle a été très courageuse, a juste hoché la tête, en avalant sa salive.
Je voulais la surprendre… la choquer, comme ça : au son de ce que j’allais lui dire.
Cela n’avait, en aucun cas, été prémédité de ma part, mais le serveur nous a interrompus, ajoutant à la tension qui nous enveloppait. Je bandais à en avoir mal. Quant à elle, sa bouche était entrouverte et je pouvais entendre son souffle, d’où je me trouvais. Quand il a été assez loin de nous, j’ai décidé que je l’avais assez fait languir :
J’ai laissé passer un "ange" - il était tout rouge, portait des cornes et une queue fourchue - le temps qu’elle encaisse bien tout ce que ma question impliquait. Un gémissement a jailli d’entre ses lèvres.
L’"ange" est passé dans l’autre sens et sa tête était toute environnée de flammes jaunes et bleues. Sa lèvre supérieure tremblait, comme si elle était sur le point de pleurer… ou d’avoir un orgasme. Elle a vraiment fait un gros effort pour ne pas jouir, là, au milieu de tous ces couples, qui étaient plus ou moins en train d’arranger un rendez-vous galant. Je crois bien qu’elle a "perdu", mais je n’en suis pas sûr.
Un bon moment a passé avant qu’elle ne recouvre ses esprits.
Je me rendais bien compte qu’il y avait urgence, mais je devais "garder le contrôle" ! C’était ce qu’elle souhaitait. Je savais que l’on n’était qu’à un quart d’heure de marche de chez elle ; c’était pour ça que j’avais choisi ce salon de thé. J’en connaissais plusieurs autres, dans cette ville. Ils servaient tous à permettre aux dames seules de trouver de la compagnie.
Pourtant, ce n’était pas par le biais de l’un de ceux-ci que l’on s’était rencontrés, mais par une petite annonce, passée par elle :
"Dame 45 ans, seule, recherche le garçon qu’elle gardait. Est prête, à nouveau, à lui donner tout son amour. Annonce N°…"
J’avais répondu à son annonce un peu par hasard… beaucoup par jeu, me disant que je ne risquais pas grand-chose. À la fin de la deuxième lettre qui m’était parvenue, elle me demandait mon adresse, arguant que cela était plus pratique que de passer par le journal. Un peu réticent, j’avais tout-de-même accédé à sa requête. S’en était suivi une longue correspondance au cours de laquelle nous en avions beaucoup appris l’un sur l’autre. Elle tenait, plus que tout, à garder le côté "crapuleux" de notre future rencontre. Moi, je comprenais qu’elle n’avait pas pu aller plus loin. Elle m’avait raconté, au cours d’une longue lettre, comment elle n’avait jamais pu avoir d’enfant, qu’elle comprenait le côté amoral de son annonce, mais que c’était ce qu’elle voulait. J’avais lu sa lettre "entre les lignes" et avais cru comprendre qu’elle en souffrait beaucoup. Dans une autre de ses missives, elle avait ajouté son numéro de téléphone, en me disant : "appelle-moi, mon chéri, je t’en prie". C’était la première fois qu’elle me tutoyait… Et elle me donnait même du "mon chéri" ! Moi, ça me gênait beaucoup, mais j’avais "senti" de la détresse. Je sentais, confusément, qu’elle commençait à un peu trop se prendre au jeu.
Cela faisait maintenant plus de six mois que nous nous téléphonions régulièrement et, devant son insistance des derniers appels, je lui avais demandé ce rendez-vous. Et maintenant, face à cette dame de vingt ans mon ainée, je devais bien m’avouer qu’elle me plaisait énormément. Certes, elle avait quelques kilos en trop, des rides charmantes autour des yeux et un visage un peu rond, mais son apparente douceur rachetait largement ces quelques "défauts".
Je me suis levé pour aller payer nos consommations au bar, et suis revenu à notre table pour l’aider à enfiler sa veste. Elle s’est accrochée à moi, comme à une bouée de sauvetage. Elle semblait avoir des difficultés à tenir debout toute seule. Je lui ai parlé comme un garçon reconnaissant parlerait à la femme qui l’a élevé, pendant toute la durée de notre marche. Elle tenait mon bras, pendant ce temps et moi, je caressais sa main. Elle a tiré un trousseau de clés de son sac à main, devant l’immeuble cossu où elle habitait. J’avais pris son bouquet de fleurs pour la débarrasser, mais j’ai dû lui rendre. Elle tremblait beaucoup trop pour introduire la clé dans la serrure de la porte du hall d’entrée. Son appartement était au septième étage. Je me suis effacé pour la laisser entrer dans l’ascenseur. Pendant qu’elle refermait l’antique grille de celui-ci en me tournant le dos, j’ai posé mes mains sur ses hanches. Elle a eu comme un instant d’attente, puis a appuyé sur le bouton 7 en soupirant bruyamment. Elle a pris une voix sucrée pour me dire :
J’ai répondu en plaquant mon bassin à ses fesses et en laissant courir mes mains sur son ventre rebondi. Je sentais que des soubresauts parcouraient son abdomen. Elle tournait la tête vers moi, cherchant ma bouche. Simultanément, mes mains ont pris des directions opposées : la gauche vers sa poitrine et la droite vers son bas-ventre. Elle gémissait et poussait son cul à la rencontre de mon bassin. Je ne savais pas si c’était pour que j’arrête ou pour mieux sentir mon sexe épouser le sillon de ses fesses. Alors, j’ai pris possession de son sein d’une main et de sa chatte de l’autre, par dessus sa robe, et l’ai attirée violemment à moi, en lui mordant la nuque. Ses cris hésitaient entre les pleurs et la joie. Elle avait renoncé à m’embrasser. Plus assez de souffle pour ça ! Je me disais que jamais je n’arrêterai. L’instant le plus érotique de ma vie !
L’ascenseur s’est arrêté au septième. Nous aussi.
Il y avait trois portes identiques sur le palier. Je l’ai regardée. Nous étions incapables de parler, l’un comme l’autre. Elle m’a juste indiqué sa porte d’un geste très lent et plein de grâce. Sa chevelure avait subi quelques désagréments, ses joues étaient toutes rouges et elle gardait la bouche entrouverte. J’ai dû utiliser mes deux mains pour introduire la clé dans la serrure. J’aurais pu la prendre sur le champ tellement j’avais envie d’elle. Il fallait que je me calme un peu. Je me suis effacé pour la laisser entrer et ai refermé la porte. Elle avait continué d’avancer dans le hall, d’une démarche pas très assurée. Je l’ai rattrapée, lui ai saisi une main pour la plaquer à un mur. Pendant que je collais mon corps au sien, en ne quittant pas ses yeux des miens, elle a lâché son sac, et m’a dit, d’une voix très lasse :
J’ai violé sa bouche. Elle gémissait et répondait à mon baiser. Pendant que je m’appliquais à lui faire aimer le jeu de ma bouche avec la sienne, mes mains sont descendues le long de son corps pour saisir sa robe, au niveau de ses hanches. Je l’ai fait remonter pendant que mon baiser alternait pressions et effleurements. Quand j’ai senti l’ourlet dans mes mains, j’ai plaqué mon bas-ventre au sien pour lui faire sentir mon érection. Mes mains glissaient maintenant sous sa robe, très lentement, en direction de ses fesses, et le mur a arrêté leur progression. Elle a poussé du bassin, comme pour m’inviter à prendre possession de son cul. Les caresses ont continué. Je sentais les coutures de sa culotte qui couvraient l’intégralité de son généreux fessier. Simultanément, j’ai pétri son cul en le tirant à moi, mon baiser s’est fait plus profond et mes gémissements ont répondu aux siens qui n’avaient pas cessés depuis que mon "viol" avait commencé. J’étais sur le point d’éjaculer dans mon slip, comme un vulgaire collégien lors de sa première fois. Je me suis forcé à arrêter.
Quand j’eus éloigné ma tête de la sienne, j’ai pu constater qu’un cataclysme avait ravagé son visage : des larmes avaient répandu la légère trace de rimmel qui entourait ses yeux quelques instants auparavant, les ailes de son nez palpitaient et ses lèvres tremblaient. Le tout était baigné d’un mince filet de sueur. Nos souffles chaotiques se répondaient, y mêlant des gémissements. Mes joues me piquaient, comme si j’avais pleuré aussi. Je lui ai dit simplement :
Elle a fait un geste de son bras gauche.
Je me suis reculé et ai fermé les yeux. J’attendais la gifle et les cris qui allaient me jeter hors de chez elle. Rien de tout cela ne s’est produit. Elle m’a juste parlé d’une voix très douce et très "jeune" :
Je me suis enfui - réfugié - dans la salle de bains !… Je suis resté un long moment à tenter de fixer les yeux de mon reflet dans le miroir. Je n’étais pas très fier de moi. Il y avait même de la fureur, dans mon regard. J’avais tout gâché !… Je n’étais qu’un DETRAQUE ! Et j’allais fracasser le miroir d’un coup de tête quand la porte s’est ouverte. Elle semblait avoir peur, être un peu perdue. Moi, j’ai caché mon visage dans mes mains : j’avais trop honte de moi ! Deux mains se sont posées sur mes poignets et ont enlevé mes mains de devant mes yeux. Je pleurais maintenant. De rage et de dégoût de moi-même.
Elle a fait descendre mes mains le long de mon corps, m’a enlacé, puis a posé une bise sur mes lèvres.
Pendant qu’elle me disait tout ça, elle déboutonnait tout doucement ma chemise, en me souriant. Des pointes de honte et d’excitation passaient dans son regard. Après avoir tiré les pans de ma chemise de mon jean, elle l’a délicatement fait glisser pour me la retirer, en me caressant. Elle m’a aidé à me coucher sur le carrelage de la salle de bains. Ses yeux me disaient qu’elle avait envie. Elle se mordillait la lèvre inférieure en fermant à demi les yeux, semblait en proie à une lutte intérieure. Puis, son regard s’est affermi. En quelques secondes, elle s’est retrouvée debout et a enjambé mon visage, un pied de chaque côté. Son regard restait accroché au mien, y cherchant du courage.
Dans ma tête, un tourbillon de pensées contradictoires virevoltait en une danse folle. Je me disais que tout cela était trop fou. Pourtant, je mourrais d’envie qu’elle le fasse. Je me disais que sa pudeur allait l’en empêcher… Et puis d’ailleurs, à aucun moment je ne l’avais vu retirer sa culotte ?! Je me disais aussi qu’au dernier moment, elle allait se "réveiller" et se rendre compte de l’énormité de ce qu’elle s’apprêtait à faire… Que se serait trop pour elle, qu’elle allait finir par exploser, m’insulter, me frapper… me virer à coup de pieds au cul !
J’ai de nouveau fermé les yeux. Presque immédiatement, j’ai entendu :
J’ai vu son bassin se rapprocher, pendant qu’elle s’accroupissait en retroussant sa robe. Sa chatte s’est arrêtée à quelques centimètres de mon visage. Sa culotte avait disparu. Elle avait dû l’enlever avant d’entrer dans la salle de bains ! J’ai vu dans ses yeux qu’elle avait compris que j’avais compris. Son visage s’est enflammé.
Je l’ai regardé. De ses grandes lèvres dépassaient de plus petites qui étaient d’une couleur légèrement saumonée, tirant sur le rouge. Elles paraissaient très épaisses… boursouflées. Une toison brune assez fournie environnait sa fente. Tout cela baignait dans une mouille abondante. Un mince filet s’est détaché pour finir sur ma lèvre inférieure, que ma langue est venue recueillir. Comme celle-ci était sortie, je n’ai pas pu l’empêcher de balayer sa fente sur toute sa longueur. Son goût était un délice. Son parfum un appel au viol !
J’ai plaqué mes lèvres à celle de sa vulve, tentant d’aspirer le plus de jus possible. Ses doigts ont empoigné mes cheveux pour reposer ma tête sur le sol. J’ai levé les yeux pour croiser son regard. Elle semblait au seuil d’un orgasme dévastateur. Elle n’a pas pu résister au regard implorant que je lui ai lancé. C’est elle qui s’est mise à faire aller et venir sa chatte sur mes lèvres. Elle se frottait de plus en plus furieusement dessus, en poussant des cris de démente. Je sentais son clitoris heurter mes dents. Ses cris vrillaient mes tympans, ravageaient mon cerveau !
J’ai empoigné ses fesses à pleines mains pour immobiliser son con au-dessus de ma bouche. Ma langue a tenté de pénétrer dans son vagin, puis elle a parcouru sa fente de sa base jusqu’à son gros bouton tout dur. Je l’ai aspiré et l’ai harcelé de ma langue. Elle criait, pleurait, gémissait, râlait et grognait. Elle a explosé. Littéralement. Mon menton a reçu un supplément de mouille pendant qu’elle criait et cherchait son souffle. Ses genoux sont venus heurter le sol pendant qu’autre chose sortait de son sexe… de son méat urinaire, plutôt.
Dire que je pensais qu’elle n’y arriverait pas.
Le jet coulait et coulait, par saccades ou en continu, sur mon menton, mes lèvres, mes joues. J’ai tenté d’y goûter : sa chaleur et son acidité me brulaient un peu la gorge, mais, finalement cela faisait un goût plutôt… bon. Je reconnaissais le goût de sa mouille aussi. Quand la source s’est tarie, elle s’est laissé rouler pour rester allongée là, sur le carrelage de sa salle de bains. J’ai rampé jusqu’à elle pour la basculer sur le dos. Elle semblait exténuée, sur le point de pleurer.
Je ne voulais pas mais, elle a attirée ma tête de ses deux mains, ne me laissant pas le choix. Elle a forcé mes lèvres de sa langue et a cherché la mienne. J’ai capitulé. On s’est embrassés, léchés. Elle a nettoyé toutes les traces d’elle sur mes joues, mon menton, mes lèvres. Puis elle a reculé mon visage du sien. Son regard était très doux.
…
La suite une prochaine fois…
Fred.