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Temps de lecture estimé : 12 mn
01/06/06
Résumé:  Ma veuve ne me donne pas, tout-à-fait, ce qu'elle m'avait promis...
Critères:  fh fplusag gros(ses) grosseins groscul poilu(e)s voir exhib odeurs anulingus fdanus fsodo
Auteur : Frédichounet            Envoi mini-message

Série : Salon de thé pour dames seules

Chapitre 02
Un peu plus loin dans la débauche !

Il parait que c’est bien, un petit résumé, alors…


RESUME


Un jeune homme répond à une annonce. Après une longue correspondance, de courrier d’abord, puis d’appels téléphoniques, il donne rendez-vous à une dame de plus de vingt ans son aînée…

Pour plus de détails, je vous invite à lire le n°1 de la série !

Et à lire la suite…




Des effluves de ses odeurs nous environnent : urine et mouille. Pourtant, cela ne semble pas la déranger. Une question me brûle les lèvres, mais je n’ose pas la poser. Elle me considère du regard quelque part au niveau de mon cou, n’osant pas affronter mon regard. Elle semble… sur la défensive, alors que c’est moi qui devrais me sentir gêné. Je la prends dans mes bras, pour que sa lutte intérieure cesse. Elle ne répond pas à mon étreinte tout de suite. Une sorte de sanglot nous secoue. Il vient d’elle. Sa détresse subite me désarçonne complètement. Je ne sais pas d’où elle vient. Tout-à-coup, je sens ses bras autour de mon corps. Elle se met à pleurer, en me serrant très fort.


Encore une fois, je tenais quelqu’un dans mes bras. Cette personne pleurait et je faisais tout mon possible pour la consoler. Je ne comptais plus le nombre de fois où cela s’était produit. Qu’est-ce qu’il y avait chez moi, qui faisait que les gens se sentaient écoutés au point de se lâcher comme ça ?!… La plupart de mes amis, hommes et femmes, s’y était retrouvée. Dire que la rumeur prétend que les hommes ne savent pas écouter !… Quand quelqu’un passe chez vous, et que la conversation, vous ne savez comment, dévie sur ses problèmes personnels, que voulez-vous faire ?… Ben moi, j’écoute… de tout mon être. Je m’implique, réfléchis, console, propose des solutions, me montre sans pitié quand c’est nécessaire !… Et pendant ce temps-là, je dois retenir mes propres larmes… me montrer FORT ! C’est ce dont ils ont besoin !… et ça me fait mal. J’en souffre mais je ne peux rien faire d’autre. Peut-être est-ce dû à mon empathie ?!


Elle ne le sait peut-être pas, mais en pleurant dans mes bras, comme elle le fait, elle est en train de faire de moi son ami. Et on ne fait rien de sexuel, avec un ami ! Peu importe. Si c’est ce dont elle a besoin, je serai son ami !



Je m’y attendais : quand vous dites à quelqu’un que vous consolez de se calmer, les pleurs redoublent, les sanglots se font douloureux. Comme une petite pluie qui se change soudain en violent orage. Mais ça ne dure pas.



Je me recule un petit peu. Elle a l’air très lasse, n’ose toujours pas me regarder, mais pas pour la même raison que tout à l’heure. Ce n’est pas grave : de ça aussi, j’ai l’habitude. J’essuie ses joues avec mes paumes, sans frotter, en les caressant. Puis j’attends que son regard monte. Elle va le faire ; c’est toujours comme ça que ça se passe. Elle va se demander pourquoi je reste là, à ne rien faire, ne rien dire, et elle va monter chercher la réponse dans mon regard.


Elle y trouve de la sollicitude, beaucoup de tendresse… et un tout petit sourire… qui l’oblige à y répondre, à cause de la tension nerveuse qui l’a quittée. Je peux, maintenant, l’abandonner le temps que je mette la bonde dans la baignoire, et que je fasse couler l’eau.



Elle reste plantée là, à me regarder préparer son bain. Quand je m’approche à nouveau d’elle, c’est pour la reprendre dans mes bras. Je lui fais une bise légère sur la joue et l’enlace. Je fais doucement descendre la glissière de la fermeture-éclair de sa robe. Elle ne fait rien pour m’en empêcher, juste :



Cette question, qui n’en est pas une, je m’y attendais aussi.



Elle éclate de rire. Non pas que ce que je viens de dire soit très drôle, mais parce que sa confiance en moi revient. Ses joues retrouvent un peu de couleurs. Elle se souvient, maintenant, que je l’ai léchée et qu’elle m’a pissé dessus. Et ses joues deviennent un coucher de soleil. Mais elle me regarde. Et me sourit.


Sous sa robe, que j’ai fait glisser lentement, en la caressant, je trouve une guêpière faite de dentelle et de lignes de coutures. Elle s’arrête au-dessus d’un nombril profond et tout mignon. Elle pose ses mains sous celui-ci.



De nouveau, elle ne veut plus me regarder. Je caresse ses joues et lui relève la tête. Je peux lire la peur et le doute, dans son regard.



Alors là, je me jette dans ses bras et l’étreins furieusement. Je viole sa bouche, cherche, tout de suite, sa langue. Je passe mes mains à l’arrière de sa tête pour la souder encore plus à ma bouche, la harcèle de mes baisers. Elle s’y attendait tellement peu que je ne sens pas ses mains sur mon corps. Un gémissement naît dans ma bouche pour aller mourir dans la sienne. Un baiser cochon, sale… dépravé ! Bien plus que ce que j’ai fait à sa chatte, tout à l’heure. Sa langue se met à jouer avec la mienne, pendant que ses bras enlacent mes épaules. Mes mains descendent, en une caresse, pour prendre possession de ses fesses, plaquer son bassin au mien. Un cri sort de sa gorge et elle se laisse gagner par ma folie. Mes mains, maintenant animées d’une autonomie propre, passent dans le sillon de son cul, frottent son anus, caressent son périnée. Deux doigts remontent sa fente, affrontent l’entrée de son vagin, vont y recueillir de la mouille. Ils refont le chemin inverse pour tenter de pénétrer l’entrée (on se demande pourquoi) interdite. Elle geint… ou pleure, je ne sais pas, mais son baiser se fait plus fougueux encore. Sa bouche se décolle de la mienne. J’ai juste le temps de voir un désir à l’état pur habiter les traits tendus de son visage, avant qu’elle me dise :



Et ses lèvres retournent aux miennes. Elle me rend le viol qu’elle a subi… au centuple ! Mes doigts, littéralement aspirés, s’enfoncent, presque immédiatement jusqu’aux jointures, dans son rectum. Un grognement sort d’entre ses lèvres. Je sens sa croupe onduler, pousser à la rencontre de mes doigts pour mieux les sentir encore. En même temps, ses lèvres produisent des bruits de succion, en glissant sur les miennes.



Et ses doigts à elle attaquent ma ceinture et les boutons de ma braguette, pendant qu’elle lèche mon visage, mes joues, mes lèvres. Moi, je suis rendu muet par ce qu’elle me demande. C’est la première fois qu’une femme me demande de lui faire ça ! Je ne sais pas exactement ce que ça me fait. Je suis partagé entre l’énormité du tabou à franchir, pour elle mais, pour moi aussi. Et par l’abandon et la confiance que cela implique de sa part.


Je la retrouve, presque par magie, agenouillée devant moi. Elle m’aide à me défaire de mes jeans et de mon caleçon, qu’elle me fait enjamber. Une de ses mains prend en coupe mes couilles, tandis que l’autre s’enroule autour de ma verge. La tempête qui faisait rage dans ma tête, descend instantanément dans mon bas-ventre. Ne me demandez pas comment je suis parvenu à ne pas exploser sur son visage, je serais incapable de vous répondre !… Seul un gémissement sort de ma bouche, qu’elle doit sûrement interpréter comme l’imminence de mon plaisir, puisqu’elle relâche, dans un réflexe, ce qu’elle tenait. Puis, elle pivote, et se met à quatre pattes devant moi. Elle me dit, simplement :



Mais, je n’y vais pas tout de suite. Je sais que je peux lui faire très mal… je ne sais pas si elle en a conscience. Alors je la prépare, prodigue mille caresses et douceurs à son cul, ses fesses. Je les avais sentis de mes doigts, tout à l’heure, mais maintenant, je vois les poils courir le long de sa raie, déborder un peu sur les fesses. Les odeurs qui montent de la merveille offerte à mes yeux me rendent fou !

Elle porte toujours sa guêpière qui rend, de par l’étroitesse de la taille, l’importance de son cul encore plus grande. Quand je m’agenouille, à mon tour, une énorme envie de la lécher s’empare de moi. Tout y passe : ma langue passe dans sa raie, lèche son anus, l’agace, tente d’y pénétrer. Je ressens les tremblements de son corps, ses mouvements de va-et-vient. Sa respiration se fait lourde, bruyante. Quand elle passe à des halètements et des cris, elle me supplie :



Je me dis que c’est un viol que je m’apprête à accomplir, alors je le fais, mais vraiment très lentement. Tout d’abord, mon gland refuse de rentrer, alors elle pose ses épaules au sol et ses mains viennent empoigner ses fesses, tirer dessus. Je ne sais pas comment elle fait, mais c’est elle qui l’absorbe, plus que moi qui pousse. En même temps, un gémissement sort d’entre ses lèvres. Elle laisse passer un court instant puis me murmure :



Je ne sais pas comment atténuer sa douleur, alors je pose mes mains sur ses fesses et les caresse, comme pour compenser. Je suis, curieusement, très lucide. Je pousse millimètre par millimètre, marquant des pauses quand je sens son anneau se resserrer autour de ma queue. Il me faut bien trois ou quatre minutes pour que mon bassin se plaque à son cul. J’ai senti son corps trembler et entendu son souffle tout le long de ma progression. Quelquefois, j’avais un peu mal, du fait de l’étroitesse qui tirait sur la peau de mon prépuce.


Je voyais son anus distendu autour de ma queue. Cette vue-là a enflammé, tout-à-coup, mon esprit. Des tressaillements se sont mis à naître dans mon ventre. Encore une fois, j’ai dû produire un effort désespéré pour ne pas venir sur-le-champ.

Elle commence, doucement, à faire aller et venir son cul le long de ma verge. Son souffle se change, progressivement, en halètements entrecoupés de petits cris. Je vois, par-dessus son corps, ses dents se serrer, des larmes couler sur ses joues. Tout en immobilisant son bassin, je lui dis, d’une voix désolée :



Sa voix monte dans les aigus, tandis qu’elle reprend les mouvements que j’avais interrompus. Maintenant, je peux entendre le plaisir, dans ses gémissements et ses cris. Je pose mes mains sur le haut de sa croupe et prends la relève. Mes allers et retours se font amples, profonds, puissants. Elle perd, de plus en plus, les pédales, geint, pleure, crie.



La cadence s’accélère, presque sans mon concours. Chaque fois que mon bas-ventre claque sur ses fesses, un cri sort de sa bouche. Ou un hurlement. La vitesse augmente et elle accompagne mes va-et-vient de violents coups de cul. Son corps se met à trembler pendant qu’un long cri de jouissance sort d’entre ses lèvres. Je crois ressentir des contractions de son sphincter autour de ma bite, qu’elle expulse, l’instant d’après, en s’affalant à plat ventre sur le sol.


Même dans cette position, son anus refuse de se refermer de suite. Un mélange de gémissements et d’expirations parvient à mes oreilles. J’ai envie de la rejoindre, mais ne le fais pas tout de suite. Il vaut mieux, d’abord, que j’arrête l’eau qui a commencé à déborder, sans qu’aucun de nous deux s’en rende compte.


Je retire la bonde un moment, pour faire baisser le niveau de l’eau, puis retourne à elle. Ses yeux dans le vague et son petit sourire me renseigne sur son état d’esprit. Je m’agenouille près de sa tête et lui caresse la joue, les cheveux.



Tout d’abord, elle ne bouge pas. Juste son sourire qui s’accentue un peu. Sa main saisit la mienne, que je lui tendais. Elle se met debout, avec mon aide, et chancèle un petit peu.



Je l’aide à s’asseoir, lui fais une bise sur les lèvres, puis lui tourne le dos. Je ne peux tout de même pas salir l’eau de son bain avec ce qui reste sur mon sexe encore bandé !… Le regard un peu fou que me renvoie mon reflet me confirme ce que je ressens déjà : je suis… hébété !… encore sous le choc de ce qui vient de se produire. Je fais couler de l’eau froide en espérant faire retomber mon érection. Peine perdue : la "bête" a décidé de n’en faire qu’à sa tête !


Quand je me retourne, je constate qu’elle ne m’a pas quitté des yeux. Elle se rend compte de mon état et je vois l’intrigue s’accentuer dans son regard. Mais, comment voulez-vous cacher une érection pareille dans d’aussi petites mains ?!… Sa bouche s’ouvre, mais je l’interromps :



Je vais la chercher, dans la buanderie qu’elle m’a indiquée, puis revient éponger tout ce qui a coulé sur le carrelage : urine, eau, bulles de bain-moussant. Plusieurs essorages de la serpillière sont nécessaires pour en venir à bout. Je rince cette deuxième chose dans l’évier que j’avais utilisé pour la première, laisse la serpillière, puis me coule dans la baignoire, face à elle.



Ma veuve favorite ne m’a toujours pas raconté son histoire… et à vous non plus !… on ne fait pas toujours ce que l’on veut, dans la vie ?!… Je sens que la complicité créée par un bain en commun est le lieu propice aux confidences.


J’ai aussi quelques questions à lui poser… et une confidence à lui faire.

Je vous demande juste un peu de patience.


Fred.