n° 10479 | Fiche technique | 9654 caractères | 9654Temps de lecture estimé : 6 mn | 04/06/06 |
Résumé: Laura et Simon se racontent leurs délires. | ||||
Critères: fh jeunes hotel revede | ||||
Auteur : Mario Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Délire andalou Chapitre 03 | Fin provisoire |
J’ouvre un œil !
Un œil et demi….
Et je referme tout ça !
Inconfort et chaleur !
Pourquoi ai-je l’impression d’être allongé dans une flaque d’eau ?
Pfft ! Il doit faire plus de 35° dans la chambre !
J’ai perdu un litre !
En aveugle j’accroche ma bouteille d’eau et finis ce qui reste. C’est tiède !
Je palpe l’humidité des draps… c’est vraiment trempé !
Une flaque visqueuse sous mes fesses me rappelle l’intensité du rêve érotique que j’ai fait dans mon sommeil…
En éjaculant, je me suis brièvement réveillé, m’inquiétant comme à chaque fois de l’inconfort à dormir dans des draps souillés, mais l’inquiétude s’est rendormie avec le soldat… dans l’instant…
Je croyais que les rêves érotiques étaient l’apanage des ados !
J’ai dû rester ado !
Mes quinquets s’ouvrent plus que totalement lorsque je réalise que l’objet de mon rêve dort profondément à ma gauche, me tournant le dos, totalement nue !
Dieu que cette fille est belle !
Aussi belle, plus belle même que dans le rêve !
Je me tourne silencieusement de son côté pour mater le spectacle plus confortablement….
Quelle croupe !
Tout à l’heure, lors du strip-tease, je ne m’étais pas rendu compte qu’elle avait un cul aussi majestueux ! Il n’est pas gros ! il n’y a pas de cellulite, mais c’est un cul, un vrai !
On devine le satiné de sa peau ! On a envie de le toucher !
Elle bouge !
Je l’entends gémir !
Dort-elle ou rêve-t-elle ?
Je me relève délicatement prenant appui sur un coude. J’ai presque peine à me décoller du drap tellement il colle !
Mais j’oublie aussitôt ce léger inconfort et n’ai d’yeux que pour le spectacle de roi qui m’est offert !
Car Laura, qui semble dormir profondément, a sa main droite en cuillère sur son sexe ! J’observe son doigt qui s’agite légèrement….
J’aimerais être fourmi dans son cerveau pour espionner la nature de son rêve !
Délicatement je me rapproche. Je ne veux pas la toucher. Pas tout de suite. Je veux voir du plus près possible les ondulations de son cul de déesse. Je veux sentir son corps.
Mon nez est à 3 centimètres de sa peau. Le parfum qui exhale est un subtil mélange de ce savon espagnol qu’on appelle « Heno de Pravia »… mes yeux se ferment et aussitôt je l’imagine nue sous la douche, cette savonnette de couleur vert sombre à la main, l’eau qui ruisselle sur son corps, la mousse blanche… la fragrance musquée du savon… ses cheveux mouillés tirés vers l’arrière, l’apaisement de la douche tiède sur son corps….
La chaleur de la pièce transcende les senteurs ! Mes narines viennent humer le parfum de son cul et de sa chatte… Elle doit mouiller, elle mouille, abondamment même… et le silence de la chambre souligne le frottement imperceptible de son doigt sur son intimité humide…
L’effet d’un tel spectacle a été quasi immédiat !
J’ai l’impression que mon sexe est enfermé dans un étau inconfortable, douloureux et prêt à éclater…
C’est un bois planté en moi…
J’ai dû trop m’approcher, mes cheveux, ma main ou peut-être même mon sexe m’ont trahi…
Car la main de Laura quitte sa cage humide pour venir se poser sur mes cheveux !
Pris au piège, pris en flagrant délit !
Elle tourne lentement la tête vers moi :
Elle laisse passer un instant avant de répondre à ma question qui du coup n’en est plus une ! Le temps pour mes mains de s’aventurer un peu plus… Le temps pour elle d’accepter la caresse… Le temps pour moi d’apprendre que cette caresse en appelle beaucoup d’autres.
Elle m’a collé un bref baiser sur le front ! Le contact de ses lèvres bien dessinées et charnues sur mon front m’a fait tressaillir.
Elle pose son doigt sur mon téton droit
Nous rigolons tous deux, et je m’empresse de toucher à mon tour l’un de ses tétons, et constate qu’elle n’a pas eu besoin de frissonner pour que ce dernier soit dur comme une flèche plantée !
Elle caresse puis s’empare de mon sexe, flattant sa forme et ses courbes, le découvrant, l’évaluant peut-être, le taquinant aussi, en caressant gentiment son point le plus sensible du plat de la main…
Quel doigté elle a, quelle classe !
Ses doigts poursuivent leur exploration.
Un grand vide suit cette longue tirade…
La main de Laura continue ses longs va-et-vient sur mon sexe, et mon index continue sa gentille caresse…
Nous rions franchement, et Laura profite de cette pause dans le discours pour se lever.