n° 10515 | Fiche technique | 22898 caractères | 22898Temps de lecture estimé : 13 mn | 13/06/06 |
Résumé: Un jeune homme encore puceau rencontre pour la 1ère fois sa cousine plus âgée. | ||||
Critères: fh jeunes cousins poilu(e)s volupté exhib lingerie nopéné | ||||
Auteur : Lucien Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : La rencontre Chapitre 02 | Épisode suivant |
Résumé de l’épisode précédent :
Lucien découvre que sa cousine France-Agnès est une coquine qui aime les dialogues érotiques et surtout qui adore s’exhiber.
Nous les retrouvons après leur petite promenade pendant laquelle ils se sont montré les parties intimes de leurs corps avant le repas.
Environ un quart d’heure plus tard, France-Agnès réapparut toute souriante dans l’encadrement de la porte de la salle à manger. J’eus bien du mal à retenir un sifflet d’admiration tant elle avait pris soin de se rendre la plus élégante et la plus séduisante possible.
Elle portait un chemisier blanc, au tissu totalement transparent, qui laissait deviner son ventre plat dont on apercevait nettement le nombril juste au-dessus de la ceinture de la jupe. Le corsage comportait un audacieux décolleté très arrondi qui lui dégageait presque complètement les épaules en laissant apparaître tout le dessus de ses seins et surtout une grande partie de la profonde vallée qui les séparait. Ce décolleté était néanmoins orné d’une très large frange de dentelle qui permettait ainsi de masquer ses seins ou bien les bonnets de son soutien-gorge si toutefois elle en portait un cette fois.
Sa jupe était blanche également, mouchetée de petits pois noirs clairsemés, elle était serrée à la taille puis très évasée à partir des fesses avec quelques plis larges et lui arrivait légèrement au-dessus des genoux. Je remarquais aussi que ses jambes semblaient scintiller car elles étaient gainées de collants d’un blanc brillant très léger.
Ses pieds étaient enserrés dans des souliers blancs à hauts talons aiguille qui lui faisaient paraître les mollets encore plus fins et plus galbés.
Elle s’était également délicatement maquillée, surtout ses jolis yeux bleu clair avec les paupières qui brillaient d’un dégradé bleu et blanc et dont le bord était orné d’un trait de crayon noir. Ses lèvres savamment peintes de rouge vif semblaient encore plus pulpeuses.
Sa mère remarqua également l’élégance de ma cousine, elle la détailla sous toutes les coutures comme pour rechercher un élément vestimentaire qui n’aurait pas été de sa convenance puis elle finit par lui dire :
Le compliment de sa mère plut visiblement à ma cousine qui s’approcha de nous le visage illuminé d’un immense sourire de bonheur. Elle prit une flûte de breuvage pétillant et devant l’absence de siège encore libre à cet endroit de la pièce, elle prit place tout simplement sur l’accoudoir de mon fauteuil. Sa jupe découvrait ainsi un peu plus ses cuisses et j’avais ses superbes fesses arrondies presque contre moi. France-Agnès dispensait également un parfum très capiteux qui envahissait tout l’intérieur de mon corps et troublait réellement mes sens. Elle se pencha pour trinquer avec moi, je vis son profond décolleté s’ouvrir très largement devant mes yeux et dévoiler entièrement la merveilleuse vallée qui séparaient ses seins moulés par un soutien-gorge blanc à balconnets qui les faisait paraître encore plus gros et plus impertinents. Je pouvais même voir la dentelle blanche des bonnets et les fines bretelles qui remontaient sur le côté des épaules.
Nous fûmes bientôt invités à passer à table, France-Agnès se leva la première et de dos je vis que son chemisier était si transparent qu’il laissait parfaitement voir les bretelles ainsi que la fine attache de son soutien-gorge, ceci la faisait paraître encore plus excitante. Elle s’arrangea pour être placée à ma droite à l’extrémité de la table rectangulaire qui était recouverte d’une grande nappe blanche qui retombait sur nos cuisses.
Durant tout le repas je m’efforçais d’être le plus attentif, le plus prévenant et surtout le plus galant possible envers ma jolie cousine. Ce n’était vraiment pas difficile tant elle m’attirait réellement et les moments si intimes passés ensemble le matin même me la rendait encore plus délicieuse. J’étais à ses petits soins, je lui faisais la conversation, je la servais, je lui versais à boire et France-Agnès était visiblement enchantée d’avoir trouvé en moi un chevalier servant. Nous discutions tous les deux de banalités laissant nos parents tout à leur conversation, puis elle me dit à voix basse :
J’étais vraiment ravi de la promesse de France-Agnès car je regrettais réellement de n’avoir pu apprécier les autres dessous de ma jolie cousine, mais j’étais néanmoins récompensé car parfois sa jambe touchait la mienne et je sentais ainsi la chaleur de son corps venir me chauffer le mollet…
A la fin du repas, alors que le café était déjà servi, la serviette de table de mon audacieuse voisine glissa à terre entre nos deux chaises et je m’empressais bien sûr d’entreprendre de la ramasser. Afin de me permettre de plonger la main, ma cousine souleva la nappe à l’instant précis où je me penchais vers elle, ainsi personne d’autre que moi ne pouvait voir le merveilleux spectacle qui s’offrait à mes yeux.
Le mot spectacle n’est pas trop fort et ce que je distinguais me surprit littéralement mais surtout m’enchanta, car France-Agnès avait, sous la nappe, relevé sa jupe jusqu’au dessus de son slip… Contrairement à ce que je pensais elle ne portait pas de collants, mais des bas dont le haut formait une très large bande de dentelle blanche. Ils étaient tirés par des jarretelles également recouvertes de dentelle et dont les lanières disparaissaient sous un minuscule slip d’un blanc complètement transparent… Je voyais ainsi toute sa toison très brune et très fournie au travers du nylon diaphane, une touffe de poils dépassait même copieusement au-dessus du petit slip entre la ceinture et son porte-jarretelles également en dentelle blanche. Ma cousine se pencha vers moi pour me glisser à l’oreille :
Devant mon regard complètement interloqué et l’impossibilité de faire le moindre geste, elle posa sa main sur ma tête pour m’obliger à me pencher vers elle tandis qu’elle rabaissait la nappe sur moi. Mon visage presque posé sur le haut de ses cuisses dont je respirais la chaude odeur, le nez au ras des jarretelles, je faisais glisser ma main le long de sa jambe pour remonter la serviette… Avant de me redresser, je trouvais le culot de tourner la tête vers ma cousine qui, à ce moment-là, écarta suffisamment les cuisses afin de me laisser admirer entièrement son petit slip. Je pus alors voir très nettement la chatte de France-Agnès sous le nylon tellement translucide qu’il ressemblait à un simple voile posé sur son sexe à la touffe crépue.
Ses dessous étaient encore beaucoup plus sexy que ce que je pouvais imaginer et ma cousine était assez salope pour oser, en présence de sa famille et en utilisant la nappe comme simple paravent, se retrousser sans aucune gêne bien au-dessus du minuscule slip qui ne cachait vraiment rien de son minou très poilu. Cette vision à laquelle je ne m’attendais pas du tout, tant elle était imprévue, complètement impensable et surtout très coquine, m’excita terriblement et je commençais de nouveau par sentir ma verge durcir rapidement. Je me redressais entièrement et je lui tendis fièrement sa serviette tout en affichant un large sourire de satisfaction. Tandis que France-Agnès replaçait la nappe sur ses cuisses et remettait la serviette de table par-dessus, je me penchais à son oreille pour lui faire part de mon ravissement…
Avant que je n’aie le temps de replacer ma main sur la table, ma cousine s’en empara résolument. Je pensais naïvement qu’elle désirait me tenir la main à l’abri des regards et cela me fit battre le cœur de plaisir. Mais qu’elle ne fut pas ma surprise de découvrir que ma voisine l’entraînait à nouveau sous la nappe pour la poser et l’abandonner en haut de sa cuisse. Mes doigts touchaient l’extrémité de son bas, j’en effleurais légèrement la dentelle mais aussi la jarretelle et je sentais sous mes doigts fébriles la peau douce et chaude de sa cuisse. Sans bouger la main, je caressais délicatement du bout des doigts, presque timidement, le haut de ses bas et l’attache de la lanière du porte-jarretelles.
France-Agnès reprit alors ma main pour la faire glisser lentement le long de la jarretelle jusqu’à son slip dont je sentais maintenant le bord au bout de mes doigts. Je me laissais faire sans aucune résistance mais sans avoir pourtant l’audace de prendre l’initiative de prolonger la progression estimant que ma main était allée jusqu’à un point que la décence et surtout la circonstance m’interdisaient de dépasser.
Ma cousine après s’être offerte à mes regards dans les poses les plus osées et les plus cochonnes, après s’être caressée la chatte et pelotée les seins devant moi sans toutefois me les dévoiler complètement, souhaitait désormais que ma main parte à la découverte de son corps ainsi que mes yeux avaient déjà commencé à le faire… Elle voulait que mes doigts effleurent le nylon de ses dessous sexy, mais elle en désirait sûrement encore beaucoup plus car à présent elle dirigeait doucement ma main qui, glissant le long de sa jarretelle, ne pouvait que s’enfiler sous son petit slip dont le bord était d’ailleurs légèrement soulevé par la lanière tendue.
C’était effectivement ce qu’elle souhaitait car lorsque le bout de mes doigts effleura sa touffe chaude et soyeuse, France-Agnès poussa alors délicatement mais franchement ma main dans son slip chaud… Ma cousine était redevenue la véritable petite salope que j’avais découverte dans la matinée. Mais oser faire cela ici, à table, au risque d’être surpris par nos parents devait l’exciter encore plus. Je savais pertinemment ce qu’elle désirait, et moi aussi je voulais partir à la découverte du corps de ma jolie cousine. C’était la première fois que mes doigts allaient toucher et peut-être même caresser le sexe d’une femme, aussi ma main continua lentement le mouvement commandé si tendrement par France-Agnès qui me murmura lentement à l’oreille :
Je n’osais pas regarder autour de moi de peur de rencontrer le regard de quelqu’un qui comprenne les gestes que j’étais en train de m’apprêter à faire. Lorsqu’elle sentit que je prenais timidement l’initiative, la main de ma cousine abandonna la mienne et alors que je ne m’y attendais absolument pas, elle la posa hardiment et franchement sur ma braguette.
Sa main, au-dessus du tissu, enserra doucement ma verge qui se raidit encore plus. C’était la première fois qu’une fille touchait franchement mon sexe même au-dessus des vêtements et France-Agnès sachant que nous étions assis à côté de nos parents avait des gestes très lents et très doux afin de ne pas nous faire remarquer. Ses doigts pressaient maintenant carrément ma queue au travers du pantalon la faisant ainsi grossir davantage… Elle s’enhardit même jusqu’à la caresser délicatement depuis la base jusqu’au gland, puis elle la resserrait ensuite entre ses doigts experts.
Pendant ce temps ma main s’était glissée lentement sous son slip. Mes doigts avaient d’abord touché le bord de la chaude toison aux poils abondants, doux, soyeux et la caressaient doucement, explorant délicatement toute sa surface. Puis ma main se glissa plus loin et la motte touffue de ma cousine se trouvait maintenant entièrement sous mes doigts qui étaient complètement enfouis en dessous de son petit slip dont le nylon très souple se distendait vraiment facilement. Tendrement, j’effleurais les poils si soyeux et si fournis et je sentais le bas-ventre de ma cousine se creuser sous ma main. France-Agnès, sous le plaisir des caresses, écarta ses cuisses et je sentis alors très nettement les lèvres bouger légèrement au bout de mes doigts.
Ma cousine tout en se faisant toucher la touffe avec délice me rendait les mêmes plaisirs, elle continuait à me caresser et à me presser la bitte avec science et délicatesse mais je devinais qu’elle désirait maintenant glisser sa main dans mon pantalon. Moi aussi j’avais envie que France-Agnès me prenne la queue dans sa main, j’avais surtout envie de sentir ses doigts habiles me caresser directement sur la peau de ma verge.
Elle essaya d’ouvrir ma braguette mais je dus l’aider de ma main libre en déboutonnant la ceinture du pantalon et en baissant complètement la fermeture à glissière. Elle put ainsi se rendre compte que j’avais également besoin de ses caresses et que je désirais aussi qu’elle aille plus loin. Elle glissa aussitôt sa main dans mon pantalon et elle caressa mon slip dans lequel ma bitte était tendue à m’en faire mal. Inconsciemment j’eus la même réaction que France-Agnès tout à l’heure et j’écartais les cuisses. Aussitôt sa main s’enfila plus loin et descendit le long de mon slip qui était soulevé par ma queue raidie du plaisir et des caresses données et reçues. Bientôt ses ongles effleurèrent mes couilles et lorsque je sentis pour la première fois ses doigts me toucher directement la peau j’eus bien du mal à retenir un petit cri de surprise mêlée à un plaisir encore inconnu. Ma cousine consciente de mon émoi se fit encore plus douce et elle se contenta, au début, de passer lentement le bout de ses doigts sur ma peau velue.
Heureusement que nous étions à l’extrémité de la table et que nos parents, tout à leur discussion, ne prêtaient absolument pas attention à nous car des regards attentifs auraient sûrement remarqué nos émois respectifs.
Les caresses de France-Agnès se firent plus précises, elle glissa franchement sa main dans mon slip et avec délicatesse elle prit mes bourses à pleine main. Tendrement elle faisait rouler les testicules entre ses doigts, par instants le bout d’un de ses doigts caressait le dessous de ma bitte et je sentais ses ongles la parcourir délicatement de la base jusqu’au bord du gland…
Mes doigts aussi continuaient à découvrir la chatte de ma cousine, j’avais senti ses lèvres légèrement frémir lorsqu’elle avait écarté les cuisses.
Je me souvins de la demande de France-Agnès me priant de lui caresser les lèvres, j’eus à cet instant la folle envie de toucher franchement sa chatte et ne plus me cantonner à lui caresser les poils. Ma main s’enfila encore plus profondément dans son slip, entre ses cuisses accueillantes et mes doigts touchèrent alors carrément la peau chaude de ses lèvres. France-Agnès se pinça la lippe, elle attendait sûrement cet instant depuis longtemps et elle écarta alors complètement sa jambe droite. Ses lèvres s’entrouvrirent sous le slip juste entre mes doigts et maintenant sans aucune retenue, je cajolais avec tendresse l’intérieur de la lèvre. Je découvrais une peau chaude et humide d’une très grande douceur et longuement je la caressais passant délicatement d’une lèvre à l’autre.
La chatte de ma cousine s’était maintenant franchement entrouverte sous mes caresses. Ainsi que j’avais vu ma cousine le faire, je glissais mon doigt le long de la fente et en la pressant doucement je commençais un lent mouvement de va-et-vient. Sans aucune résistance mon doigt évoluait maintenant entre les lèvres lubrifiées et mes caresses se faisaient de plus en plus amples. Par instants mon doigt s’enfonçait même légèrement entre les lèvres chaudes et humides sans pour autant pénétrer plus avant dans le chaud fourreau.
Soudain je sentis France-Agnès lever légèrement les fesses et elle fit un très court mouvement du bassin vers l’avant en prenant appui sur ses pieds. Ceci eut pour effet d’ouvrir encore plus sa chatte et de pousser plus profondément mon doigt entre ses lèvres. J’entrepris alors de la doigter lentement en faisant aller et venir mon doigt, France-Agnès lâcha mes couilles pour tenir ma bitte fermement dans sa main. Je continuais à lui titiller la chatte et soudain je sentis un flot de mouille chaude inonder sa chatte et dégouliner sur mon doigt. Ma cousine lâcha immédiatement ma queue, retira aussitôt sa main de mon slip et me bloquant le bras tout en se penchant vers moi elle me glissa très bas à l’oreille :
Lentement je retirais mon doigt des lèvres chaudes où il s’était glissé, ma main quitta délicatement le petit slip de France-Agnès, puis prenant un coin de la nappe j’essuyais avec délicatesse le haut des cuisses et la chatte trempés de ma cousine. Doucement je tirais sur son slip pour le replacer correctement sur son minou encore brûlant tout en caressant sa chatte et sa touffe une dernière fois. Réajuster ainsi les dessous sexy de ma cousine finissait de m’exciter…
Puis avec bien des difficultés je refermais mon pantalon et remontais le zip de ma braguette, ma bitte presque entièrement sortie du slip à l’intérieur du pantalon. Les joues de ma jolie voisine étaient toutes rouges et j’avais peur que les miennes ne le soient encore plus. Ma queue encore raide et échappée du slip me gênait terriblement et je dus me lever afin d’aller aux toilettes pour replacer mes attributs…
A mon retour, tout le monde était en train de débarrasser la table et mes parents examinaient le projet de nous rendre tous ensemble rendre visite à une grand-tante qui habitait à une trentaine de kilomètres. France-Agnès tenta de nous soustraire à cette visite :
Ma cousine était réellement très habile et moi aussi je préférais mille fois rester seul avec elle. Nos parents discutèrent quelques instants puis donnèrent raison à France-Agnès. Nous échangeâmes un long sourire complice et attendîmes avec impatience le départ de nos parents.