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Temps de lecture estimé : 32 mn
28/06/06
Résumé:  Après des confidences érotiques et des caresses sous la table pendant le repas, France-Agnès et Lucien se retrouvent seuls à la maison.
Critères:  fh jeunes cousins poilu(e)s amour volupté voir exhib strip lingerie fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio
Auteur : Lucien            Envoi mini-message

Série : La rencontre

Chapitre 03
Ma cousine France-Agnès (03)

Après leur petite promenade pendant laquelle ils se sont faits des confidences coquines et se sont montrés les parties intimes de leurs corps, puis pendant le repas, où sous la table ils se sont touchés et caressés, les deux cousins France-Agnès et Lucien se retrouvent seuls dans la maison.




Nous échangeâmes un long sourire complice et attendîmes avec impatience le départ de nos parents.



Je brûlais d’impatience de découvrir ce qu’elle allait faire et elle me proposa aussitôt d’aller écouter de la musique dans sa chambre, puis elle m’invita à la suivre, ce que je fis avec empressement. France-Agnès monta l’escalier et je restais délibérément plusieurs marches derrière elle, ainsi je pouvais voir ses cuisses sous sa jupe évasée et par instants j’apercevais même la dentelle en haut de ses bas ainsi que les jarretelles qui les maintenaient. Elle m’entraîna ainsi jusqu’au second étage et elle s’effaça devant la première porte en haut de l’escalier pour me faire pénétrer dans une grande pièce très claire.

C’était la première fois que j’entrais ainsi dans la chambre d’une jeune fille avec l’espoir qu’elle allait encore me faire voir ses dessous si sexy et surtout peut-être même aussi m’exhiber ses seins et sa chatte sans aucun voile pour les masquer. J’avais maintenant vraiment envie que ma cousine continue de se comporter comme une petite salope et qu’elle me montre sans aucune réserve, mais surtout me fasse toucher ses seins, ses fesses et sa chatte sans avoir à nous cacher ou à craindre d’être surpris.


La chambre était très joliment meublée d’un lit pour deux personnes avec deux tables de nuit, d’une armoire dont les trois portes étaient uniquement constituées de grands miroirs ainsi que d’une commode. Tous ces meubles étaient en bois laqué blanc ce qui apportait un caractère de jeunesse et de quiétude à la chambre. France-Agnès me proposa de m’asseoir en face de l’armoire, sur son lit qui était recouvert d’un dessus blanc et elle se rendit à la commode pour placer un Compact Disc dans le lecteur. Elle avait choisi une musique très langoureuse et vint se placer entre l’armoire et moi, de ce fait, je pouvais voir ma jolie cousine sous toutes ses faces.



Elle se plaça de dos, face aux miroirs, puis elle commença à se balancer langoureusement au rythme lent de la musique. Je pouvais ainsi voir son côté face dans les miroirs des portes de l’armoire et directement son côté dos. Je la regardais avec plaisir, ses mains parcouraient lentement son corps qu’elle effleurait au travers du tissu de son chemisier et de sa jupe tandis qu’elle se regardait dans les miroirs de son armoire. Je suis persuadé qu’elle s’excitait uniquement en s’observant en train de se caresser. Par instants ses yeux croisaient les miens dans le miroir, elle voyait mon regard admiratif qui la déshabillait avec avidité et cela l’encourageait à m’émoustiller comme elle avait déjà su si bien le faire. Tout en ondulant lascivement son corps, elle écarta légèrement les jambes et ses mains placées de chaque côté des cuisses relevèrent avec une extrême lenteur le bas de sa jupe. Je n’osais pas dire un mot, me contentant de contempler ma cousine avec ravissement.



Elle continua de remonter longuement sa jupe en prenant soin de bien marquer un arrêt à chaque fois qu’un endroit excitant était atteint. Tout d’abord France-Agnès me dévoila le haut de ses bas en dentelle et je voyais avec ravissement les attaches des jarretelles qui les tiraient en haut des cuisses. Ainsi légèrement retroussée, elle ondula longuement son corps afin de bien se laisser admirer. Puis elle continua de relever sa jupe qui maintenant, dévoilait complètement ses jarretelles, une grande partie des lanières qui les tenaient et la peau blanche et nue de ses cuisses, elle atteignit ensuite son minuscule slip transparent qui disparaissait dans la fente de son joli petit cul rond.

Tout aussi langoureusement, mais cette fois sans s’arrêter, ma cousine remonta ainsi sa jupe jusqu’à la taille découvrant alors complètement son porte-jarretelles blanc qui lui entourait la taille au-dessus de son slip. Les jambes écartées, elle se mit ensuite à remuer les fesses d’une manière très aguichante, je voyais par instants le nylon blanc du slip enfoui dans la raie de son cul. Toujours de dos, France-Agnès tourna la tête et me regarda en souriant tout en continuant à remuer son joli croupion. Puis elle s’inclina en avant, la jupe complètement remontée au-dessus des reins, ainsi penchée, elle m’offrait ses fesses qui semblaient encore plus rondes. Le petit slip très étroit cachait à peine son trou du cul.


Ma cousine se redressa ensuite puis, restant retroussée et les jambes écartées, elle se retourna pour me faire face. J’avais maintenant devant les yeux son porte-jarretelles en dentelle qui la ceinturait au niveau du nombril et les fines lanières de dentelle des jarretelles qui glissaient sous l’élastique recouvert de dentelle du petit slip transparent pour en soulever les côtés. Une touffe de poils bruns s’échappait copieusement entre le porte-jarretelles et le slip ainsi que de chaque côté de celui-ci et je voyais nettement sa chatte sous le nylon complètement translucide. France-Agnès me souriait malicieusement, elle aimait vraiment se comporter comme une petite salope et s’exhiber ainsi devant moi.


Elle abandonna alors sa jupe qu’elle avait coincé sous la ceinture afin qu’elle reste relevée au-dessus du porte-jarretelles, elle tendit le buste vers moi, puis elle commença à déboutonner lascivement son corsage marquant un arrêt à chaque bouton pour faire encore plus monter l’excitation. Bientôt je vis entièrement son soutien-gorge à balconnets qui m’offrait ses seins comme s’il s’agissait d’un présentoir. Ma cousine ôta complètement son chemisier et le lança sur le lit. Elle était superbe, le torse uniquement recouvert de son soutien-gorge blanc. Elle prit les bonnets dans ses mains et les pressa, les seins s’échappèrent presque des coupelles dont la dentelle ne parvenait plus désormais à masquer les aréoles brunes. Ses mains glissèrent ensuite sous sa poitrine, elles la soulevèrent avec le soutien-gorge, comme pour mieux me la proposer et les tétons commencèrent à s’échapper de leur carcan de nylon et de dentelle…


Je regardais ma cousine, les yeux rivés sur ses gros nichons pourtant encore prisonniers des bonnets de dentelle et j’attendais avec impatience l’instant où elle les offrirait totalement à ma vue. France-Agnès s’approcha de moi presque à me toucher, je devinais la chaleur de son corps, j’en humais son parfum capiteux…


Puis elle se pencha légèrement en avant et j’avais ainsi ses seins à cinquante centimètres du visage. Alors elle les prit dans ses mains au travers du soutien-gorge et commença par les tripoter et les presser langoureusement, bientôt un téton jaillit complètement du bonnet. Il semblait très dur, presque aussi gros que le bout d’un petit doigt et j’en voyais même la pointe légèrement rentrée dans la tétine brunâtre. Ainsi penchée, elle posa ses mains sur mes épaules et m’attirant contre son corps, elle enfouit ma tête entre ses gros nichons… Ils étaient doux, chauds et j’en sentais la ferme rondeur sur mes joues… Ma bouche effleura un téton au passage, je le pressais délicatement entre mes lèvres sans oser aller plus loin.


Tandis qu’elle se caressait les seins sur mon visage, France-Agnès fit descendre le zip de sa jupe qui glissa à ses pieds. Ma cousine ne portait plus maintenant que ses dessous tellement sexy et qui m’excitaient tant. Ma tête toujours enfouie dans sa poitrine, elle passa ses mains dans son dos et dégrafa l’attache du soutien-gorge. Alors se relevant, d’un geste lent elle fit glisser les bretelles le long de ses bras et ses seins libérés de leur prison de dentelle tressautèrent en mesure et apparurent dans toute leur splendide nudité. Ils étaient gros, en forme de poire, très légèrement écartés et se tenaient bien droits, les aréoles brunes, boursouflées, toutes pigmentées formaient comme une ogive de la taille d’une petite prune et les tétons étaient durs et gonflés, légèrement redressés vers le haut…



Elle se mit légèrement de profil en tendant le buste en avant pour mieux me les faire voir, tandis que tenant son soutien-gorge d’une main, elle le balançait légèrement, les bonnets encore tièdes venant caresser mon visage… Elle le lâcha et il vint se poser sur mes mains, avec plaisir je sentais la rondeur des bonnets doux et chauds. Elle prit alors ses aréoles entre ses doigts et les serra en les faisant tournant légèrement les mains, elles devinrent si grosses qu’elles ressemblaient à un deuxième sein bien plus petit, placé en bout de ses gros nichons.



Visiblement elle était très fière de sa superbe poitrine et elle pouvait réellement en être satisfaite, mais je remarquais surtout qu’elle insistait vraiment pour se comparer à une putain. Elle fit un pas en arrière, les seins tendus, elle les fit se balancer en mesure en cambrant son torse, elle attrapa alors l’élastique de son slip de chaque côté de la taille, je m’attendais bien sûr à ce qu’elle baisse sa culotte, mais quelle ne fut pas ma surprise de constater que, tout au contraire, elle la tirait très fort vers le haut. Le tissu en se tendant fit gonfler les lèvres de sa chatte qui s’échappèrent de chaque côté du slip avec de grosses touffes de poils. J’étais subjugué par tout ce que France-Agnès me faisait voir…



Ces paroles me remplirent de fierté mais surtout m’excitèrent énormément, je n’osais imaginer jusqu’où elle serait capable d’aller. Ce qu’elle m’avait déjà fait découvrir dépassait largement mes rêves les plus fous et elle m’en proposait davantage. Ma bite s’en fit encore plus raide dans mon slip…



Alors, face à moi, elle écarta les jambes et, tenant son slip par l’élastique, une main devant, l’autre dans le dos, elle fit glisser en arrière, entre ses cuisses, ce qui n’était devenu qu’une simple lanière de tissu. Le nylon était tendu si fort qu’il disparaissait presque entièrement entre les lèvres boursouflées et je pouvais voir complètement la chatte de ma cousine ainsi que l’épaisse touffe de poils bruns qui la garnissait. Elle poussait maintenant des gémissements de plaisir, sans aucune gêne et sans aucune retenue car nous étions seuls à la maison…



Elle tira alors de plus en plus fort sur le slip qui maintenant disparaissait totalement dans la chatte. Je voyais ses lèvres ouvertes, distendues dont l’intérieur était rouge et brillant et elle se mit à faire glisser le slip d’avant en arrière, d’abord lentement puis de plus en plus rapidement et ensuite avec frénésie. Elle pliait les genoux pour encore mieux écarter ses cuisses et ouvrir sa chatte. Ses mouvements allaient en s’amplifiant et elle tirait toujours de plus en plus fort sur le nylon qui irritait l’intérieur des lèvres.



France-Agnès fermait les yeux et râlait de plaisir jusqu’à en haleter. Puis, quand elle arriva au bord de l’orgasme, elle ralentit ses caresses, me tourna le dos en se penchant complètement en avant et les cuisses grandes ouvertes, elle me présenta son beau cul bien rond… D’une main elle écarta la fine lanière du slip, je pouvais voir alors un léger liseré de poils fins entre ses fesses ouvertes mais aussi et surtout l’ouverture de son trou du cul.



Alors de l’autre main elle commença à se toucher l’anus dont je distinguais très nettement la rondelle brunâtre, du bout du doigt elle en faisait le tour et venait appuyer doucement sur l’orifice… Elle se caressa ainsi longuement le trou du cul en contorsionnant ses fesses pour mieux me faire voir sa raie brunâtre et son anus. Ma cousine ne m’avait pas menti, elle se comportait vraiment comme la petite salope qu’elle m’avait promis d’être. Ma queue en était devenue raide comme jamais, elle se trouvait beaucoup trop à l’étroit dans mon pantalon et commençait franchement à me faire vraiment mal.



Tout en parlant, elle s’était retournée vers moi, le slip encore enfoui profondément dans sa chatte qu’il découvrait totalement. Ses seins fermes étaient dressés comme jamais je n’aurais plus imaginé les voir, leur aréole toute pigmentée, enflée comme une tétine de biberon et les tétons durs et gonflés qui pointaient vers le haut.


Ma cousine s’approcha de moi et elle m’aida à retirer ma chemise. J’avais maintenant vraiment envie de lui montrer combien je bandais très fort grâce à son strip-tease de petite dévergondée et à ses caresses de salope en chaleur. Quand je fus torse nu, elle me demanda impatiemment de me déshabiller complètement et je dégrafais mon pantalon qu’aussitôt elle fit rapidement glisser jusqu’à terre.

J’étais maintenant en slip devant elle, ma bite le tendait et en ouvrait complètement la ceinture ainsi que les côtés, laissant apparaître ma touffe de poils bruns et une partie de ma queue. France-Agnès avait les yeux rivés sur le membre qu’elle avait déjà caressé avec beaucoup d’adresse tout à l’heure sous la table et dont elle connaissait la virilité et la grosseur.



Elle recula un peu et prit l’élastique de son petit slip qu’elle commença à baisser lentement, cela m’excita encore plus et j’ouvris les cuisses pour laisser plus de place à ma verge. France-Agnès avait maintenant baissé sa culotte en dessous de la chatte mais le fond du slip restait encore prisonnier des lèvres tant elle l’avait fait pénétrer profondément en se masturbant. Elle se baissa, ses seins contre mon visage, ôta complètement son petit slip et commença par me caresser la joue avec le nylon. Elle le fit ensuite passer sur mes lèvres, me le fit délicatement glisser dans la bouche, il était chaud et tout trempé de la mouille de ma cousine. Je retrouvais le goût merveilleux de sa chatte qu’elle m’avait fait découvrir ce matin et je fermais les yeux de plaisir. Les ouvrant de nouveau, je remarquais que France-Agnès avait lâché sa petite culotte que je tenais entre mes lèvres…


Cette vision l’excita visiblement et je la regardais, presque entièrement nue, elle ne portait plus que ses bas et son porte-jarretelles. Elle ressemblait vraiment à une petite libertine dans cette tenue tellement sexy. Alors, elle s’accroupit devant moi, les fesses sur les talons, ses cuisses étaient si largement écartées que les lèvres de sa chatte en étaient entrouvertes. Cette position de petite vicieuse me procurait une surexcitation extrême.



Les mains habiles de ma cousine attrapèrent aussitôt mon slip par l’élastique et le firent glisser le long de mes cuisses. Je soulevais les fesses pour l’aider et elle le retira complètement. Aussitôt libérée, ma queue se redressa immédiatement très vigoureusement et cela me procura un immense apaisement tant elle était restée longtemps à l’étroit. J’avais une verge d’une taille que j’estimais tout à fait honorable, pas spécialement grosse, mais toutefois d’une longueur raisonnable et principalement d’une très forte raideur car elle se tenait bien droite devant moi, le gland commençait même à se décalotter.



Je ne comprenais pas exactement ce qu’elle voulait dire, j’avais surtout envie qu’elle me masturbe et France-Agnès prit aussitôt ma queue dans sa main puis elle se mit à en caresser la tige, tandis que son autre main me touchait les couilles. Elle la tint ensuite bien dans sa main et tirant délicatement mais franchement la peau en arrière elle finit de me décalotter complètement. Le gland gonflé et déjà violacé apparut totalement.

Alors elle se mit à me masturber très lentement, faisant coulisser la peau dans un doux mouvement de va-et-vient. Puis, à mon grand étonnement, ma cousine pencha la tête et tout en me souriant, elle commença par passer délicatement la pointe de sa langue humide sur le gland turgescent, j’eus même un léger mouvement de recul tellement je fus surpris par cette caresse inattendue. Jamais je n’aurais pu imaginer qu’elle ose ainsi me lécher le bout de la queue… Elle continua à me masturber consciencieusement tout en me léchant légèrement l’extrémité du gland, puis elle releva la tête pour connaître ma réaction et ses yeux clairs et pétillants plongèrent au fond des miens qui étaient ronds de stupéfaction, elle y lut mon grand étonnement.



J’avais bien sûr déjà entendu parler des fellations mais j’ignorais tout du plaisir qu’elles pouvaient provoquer et surtout je pensais que très peu de femmes osaient pratiquer ce genre de caresses buccales. Un peu intimidé tout de même, je laissais ma cousine me prodiguer les caresses promises…


France-Agnès, assise sur ses talons, entre mes cuisses, me léchait maintenant la queue avec application, sa langue entière caressait tout le gland qui en était mouillé de bave. Elle insistait plus spécialement sur le rebord du gland et aussi sur le méat. Je découvrais un plaisir inconnu et immense, la regarder ainsi faire, les cuisses écartées et la chatte ouverte m’excitait encore plus… Je ne pouvais retenir les soupirs de plaisir, ce qui excitait et encourageait encore plus ma jolie cousine…


Elle repoussa la peau complètement en arrière pour tendre ma verge au maximum et faire grossir encore plus le gland qu’elle mit alors franchement dans sa bouche. Je perdais la tête, j’ignorais jusqu’où ma salope de cousine était capable de me lécher et maintenant je gémissais franchement sans aucune retenue. Le gland dans la bouche, elle continuait à le caresser, à l’enrouler avec sa langue qui en devenait encore plus baveuse.


Tout en me pratiquant ces délicieuses caresses encore inconnues, France-Agnès relevait de temps en temps la tête pour voir si j’appréciais ses gâteries. Ses yeux rencontraient les miens et la béatitude qu’elle y voyait l’encourageait fortement à continuer et à y mettre tout son cœur. Puis ses deux mains se placèrent derrière mes fesses et d’un geste spontané et très souple, elle enfonça ma bite au plus profond de sa bouche. Le gland touchait sa gorge et elle creusait ses joues pour l’aspirer davantage, ses lèvres rouges étaient noyées dans mes poils et ses longs cheveux caressaient mon ventre.

Ma surprise et mon bonheur étaient à leur comble, je découvrais la délicieuse volupté de la fellation et le plaisir se transformait en réelle jouissance. La bouche a moitié ouverte, je bramais de plaisir. Elle s’arrêta un instant, le gland au bord des lèvres, elle me dit :



Je ne compris pas tout le sens exact de sa dernière phrase. France-Agnès entreprit alors de faire aller et venir ma bite dans sa bouche, je voyais ses lèvres pulpeuses d’un rouge vif serrer ma queue avec application et glisser sur toute la longueur luisante de sa bave. Elle me pompait, m’aspirait comme si elle voulait avaler toute ma queue, elle se l’enfonçait tout au fond de la gorge, sa bouche atteignant presque mes poils. Soudain, ses dents frottèrent légèrement contre ma verge, elles la serraient doucement me faisant gémir de plaisir.


Elle recommença plusieurs fois à faire aller et venir ainsi sa bouche en me caressant la tige avec ses dents depuis la base jusqu’au bord du gland. Elle la pressait en même temps avec ses lèvres chaudes et charnues et ses doigts me serraient fermement la tige, puis elle accéléra vigoureusement le mouvement faisant alors arriver une folle jouissance. J’étais maintenant dans un état second, complètement privé de volonté. Je sentis soudain un puissant et volumineux jet de foutre gicler, j’explosais dans la bouche de ma cousine, le sperme abondant l’envahissait jusque la gorge. Elle m’excitait depuis si longtemps que je fus vraiment incapable de me retenir ni même de la prévenir. J’en étais réellement tout honteux et je pensais que ma cousine allait désormais me détester.



Elle avait les commissures, ainsi que les lèvres toutes dégoulinantes de foutre et lorsqu’elle parlait, de longs filets de sperme les reliaient. Sa bouche d’un rouge vif toute souillée de ma semence faisait paraître ma cousine encore plus salope. Pour bien me prouver qu’elle adorait avaler le sperme, elle ouvrit largement la bouche, tira la langue qu’elle creusa en cuillère. Puis elle me branla vigoureusement en serrant ma bite comme pour me traire et elle recueillit deux autres giclées qu’elle déglutit avec un réel plaisir tout en se pourléchant les lèvres. Pour ne rien laisser perdre, elle me lécha ensuite avec application le gland tout maculé de sperme.


En se redressant, elle se mit ensuite à genoux, posa ses mains sur mes épaules et alors que je ne m’y attendais pas du tout, elle plaqua sa bouche sur la mienne. Avant que je ne puisse faire le moindre mouvement, sa langue glissa aussitôt entre mes lèvres et d’un geste puissant fouilla ma bouche. Elle me roula ainsi une pelle passionnée en mélangeant mon sperme à nos salives. La surprise du début fit rapidement place à une fougue inconnue et j’allais moi-même enfoncer ma langue au fond de la bouche de ma cousine pour boire mon propre sperme.

France-Agnès fut véritablement enchantée de ma passion pour cet échange buccal.



Elle s’allongea sur le lit, les cuisses relevées et largement ouvertes. Elle dégageait un appel sexuel irrésistible uniquement vêtue de son porte-jarretelles et de ses bas, la chatte légèrement ouverte.

Je vins me placer comme je l’avais vu faire, à genoux par terre, la tête entre ses cuisses, le visage presque contre sa touffe, je sentais le parfum enivrant qu’elle dégageait.



Délicatement je frottais sa toison avec mon nez pour mieux la respirer et aussitôt, presque timidement, à petits coups de langue, je commençais à butiner la chatte de ma cousine. Bientôt, je fouillais son épaisse toison avec ma bouche, j’avais entre les lèvres le goût parfumé de la moule de ma salope de cousine et je lui dévorais avec entrain sa touffe toute humide. Je devinais sous les poils sa chatte accueillante et rapidement ma bouche parcourait sa moule, d’abord sur les lèvres qui étaient humides puis doucement j’y introduisis le bout de la langue. Aussitôt France-Agnès se mit à gémir de plaisir, puis pour me faire comprendre que je devais aller plus loin, des deux mains elle écarta franchement ses lèvres en tirant carrément dessus. Sa chatte était maintenant grande ouverte et j’en voyais l’intérieur rouge et luisant. Gauchement ma langue commença à l’explorer puis je léchais avec plus de fermeté l’intérieur des lèvres en allant de plus en plus profondément. France-Agnès criait maintenant de plaisir sous mes coups de langue :



Ces paroles m’excitèrent et sans retenue j’enfonçais profondément ma langue entre ses lèvres. J’avais la bouche collée sur sa chatte et ma langue titillait son bouton… Je le sentais grossir et durcir et me plaquant sur sa moule, je l’aspirais entre mes lèvres. Ma cousine hurlait maintenant, elle était déchaînée, elle faisait aller son ventre, soulevait son bassin pour mieux s’offrir…



Encouragé par ce langage, j’enfonçais ma bouche dans sa moule accueillante… Ma langue la fouillait, atteignait son clitoris… Je l’aspirais, je le suçais, je lui broutais le bouton qui était devenu proéminent et dur. Soudain France-Agnès, elle aussi embrasée par plusieurs heures d’excitation, poussa un cri violent et projeta son bassin en avant, plaquant sa chatte sur ma bouche. Un flot de mouille jaillit, envahissant sa moule et ma bouche par la même occasion. Un peu surpris par un tel déferlement de jouissance, je commençais à lécher lentement le liquide tiède, puis bientôt, avec appétit, je le bus goulûment.



La mouille de France-Agnès dégoulinait sur mes lèvres et j’avais envie maintenant de lui faire partager également la saveur de ses inondations. Je vins me placer sur elle et d’un geste franc mais tendre j’enfouis ma langue loin dans sa bouche en lui insufflant un flot de sa mouille… Ma cousine apprécia cette initiative et elle me rendit avec passion mon baiser fougueux. Nos bouches étaient souillées par la mouille et le sperme mêlés. Je venais de découvrir une autre sorte de jouissance et, plus France-Agnès m’apprenait les plaisirs de l’amour, plus j’avais maintenant réellement envie de la baiser, d’enfoncer ma verge au plus profond de sa chatte. En séparant nos bouches, j’eus droit au plus beau des sourires de ma cousine, elle avait les yeux qui flottaient dans les nuages…



Ces précisions me rassurèrent complètement car j’avais vraiment envie de la posséder pleinement, sans avoir à me retenir. Je vins m’allonger sur le lit et ma jouisseuse de cousine se plaça immédiatement à genoux par dessus de mes jambes, elle était vraiment terriblement excitante juste avec ses bas et son porte-jarretelles blancs. Elle prit aussitôt ma bite dans sa main et pour la faire à nouveau bander très fort afin qu’elle devienne raide à en exploser, elle se l’enfourna au fond de la bouche. Elle se mit à me pomper avec ardeur tout en bavant de salive et, quand elle releva la tête, j’avais la queue dure, luisante et lubrifiée à souhait…


En me souriant, elle s’avança à genoux sur le lit en me chevauchant et plaça sa chatte poilue juste au-dessus de ma bite raide et tendue, ses yeux étaient presque exorbités tant elle désirait ardemment ce moment. Sa main tenait ma verge bien verticale, elle frotta une ou deux fois ses lèvres ouvertes et trempées sur mon gland violacé et luisant, alors, d’un geste résolu, elle s’empala sur ma bite en poussant un hurlement de jouissance. Son mouvement avait été si puissant que ma verge s’enfonça d’un seul coup dans son fourreau chaud et resserré et le gland vint cogner violemment au fond de son vagin. Je ne pus, moi non plus, retenir un cri de volupté.


Le mouvement avait été si soudain, si rapide et si brutal que je n’avais rien senti de la douceur de son étroit conduit bien lubrifié. France-Agnès après s’être pénétrée avec force pour atteindre un plaisir immédiat et presque bestial se soulevait maintenant avec lenteur pour bien savourer ma queue se frottant dans sa moule… Moi aussi je sentais son fourreau chaud, étriqué et doux comme du miel qui enserrait ma bite et les yeux arrondis par la jouissance je laissais ma cousine limer avec passion… À chaque fois, elle se laissait retomber avec force, mais elle remontait très lentement en rentrant le ventre ce qui resserrait encore plus sa chatte autour de ma bite et j’avais l’impression qu’elle me la suçait avec sa moule. Ses seins pleins aux tétons dressés dansaient devant mes yeux. Instinctivement, je les pris à pleines mains, j’en sentais la rondeur ferme et je les pressais avec fermeté…



France-Agnès était maintenant complètement emportée et inconsciente, elle ne désirait plus qu’une seule chose : jouir. Jouir jusqu’à l’évanouissement, sans aucune retenue… Elle se soulevait lentement tout en creusant son ventre et en ondulant pour mieux apprécier ma verge qui sortait presque de sa chatte. Puis, penchée en avant, elle se laissait brusquement retomber pour s’empaler complètement sur ma queue. Ses seins s’écrasaient dans mes mains et je les pressais violemment. Elle hurlait maintenant de jouissance et de plaisir, ses mouvements devenaient de plus en plus rapides et de plus en plus violents. Elle devenait comme hystérique, elle s’empalait avec vigueur, cherchant à se faire pénétrer le plus fort et le plus profondément possible…



Elle allait maintenant de plus en plus vite, de plus en plus fort, elle hurlait, les yeux révulsés. Soudain, dans un hurlement encore plus fort et plus long elle fondit littéralement, la mouille abondante dégoulinant le long de ma bite et de ses cuisses… France-Agnès m’avait tellement pompé en me taillant une pipe et en me branlant ensuite vigoureusement que mes bourses n’étaient pas encore remplies et je ne pus décharger en même tant qu’elle, par contre je bandais encore comme un cerf.



France-Agnès était déchaînée, elle en voulait encore et je savais maintenant que son désir ne serait totalement assouvi que lorsque je l’aurais baisée et que je me serais répandu en elle. Moi aussi, je brûlais du désir de sentir mes couilles se vider, la bite enfouie au plus profond de sa chatte brûlante. Je voulais maintenant prendre l’initiative des ébats et sauter ma salope de cousine en la chevauchant…


Elle s’allongea sur le lit, dans la même position que tout à l’heure, les cuisses ouvertes et relevées. Aussitôt je vins m’allonger sur elle en tenant ma bite dure comme un pieu, d’une main je l’approchais de sa moule aux poils trempés de mouille et aux lèvres encore entrouvertes. Dès que je sentis le bout du gland glisser sans effort à l’entrée lubrifiée de la chatte je laissais ma bite pénétrer seule et, contrairement à ma cousine, je la faisais glisser très lentement pour bien sentir l’étroit fourreau enserrer ma tige. Je prenais un plaisir immense à l’introduire ainsi avec une si grande délicatesse et langueur dans la chatte de France-Agnès.


Elle retenait son souffle et je sentais ses muscles se contracter pour mieux presser ma queue et tirer tout le plaisir de cette lente pénétration. Ma bite était maintenant presque entièrement enfoncée dans son ventre et je sentais sa touffe fraîche effleurer la mienne. Je tendais les jambes et je contractais mon ventre pour m’enfoncer encore plus loin. Je sentais mon gland toucher le fond de son vagin, je l’appuyais le plus fort possible et je sentis mon excitation augmenter brusquement. J’avais maintenant envie de la limer avec force, de lui bourrer énergiquement la chatte. Prenant ma cousine fermement par les fesses je me mis à aller et venir avec force et rapidité, mon gland sortant presque complètement de sa chatte et la pénétrant à nouveau jusqu’à aller cogner avec force au fond de sa conasse.



J’avais maintenant vraiment envie de décharger, je prenais ma partenaire sous les fesses et la soulevant légèrement pour l’enfiler encore plus loin, plus fort, je limais avec frénésie. Ma salope de cousine était aussi déchaînée que moi, elle levait les jambes à la verticale pour que je la pénètre au plus profond de son vagin. Puis elle m’enlaça la taille de ses jambes, bloqua ses cuisses contre moi tout en se soulevant, elle se frottait le clitoris contre ma queue dilatée, je sentais ses souliers à talon marquer la peau de mon dos. Son vagin enserrait si fort ma bite que des bruits de succions se firent entendre. J’avais l’impression qu’elle me taillait une pipe avec sa chatte, sa moule se comportait exactement comme sa bouche lorsque tout à l’heure elle me suçait la queue. J’allais de plus en plus vite, presque jusqu’à l’épuisement. À ce régime-là j’étais maintenant prêt à me vider les couilles, France-Agnès avait les yeux révulsés, presque évanouie elle hurlait :



Aussitôt je sentis ma salope de cousine couler comme une fontaine et, au même instant, j’explosais au plus profond de sa chatte, agrippé à ses fesses par les doigts dont les ongles s’enfonçaient dans la peau… Je ressentis un immense plaisir… Une bouffée de chaleur m’envahit et mes yeux s’embuèrent… Je venais de découvrir le véritable orgasme et mon éjaculation me procura une jouissance nettement supérieure à tout ce que j’avais connu jusqu’à présent.



Je regardais ma queue devenue toute molle qui était en effet toute gluante de foutre et de mouille et je jetais un coup d’oeil sur la chatte de ma cousine qui, elle, était toute dégoulinante de mouille et où le sperme épais bavait de ses lèvres encore entrouvertes. J’étais aussi très excité, mais je n’avais encore jamais imaginé qu’on puisse se lécher ainsi après avoir fait l’amour. France-Agnès devait quant à elle y penser depuis longtemps et cette journée passée d’une manière si érotique, si libertine, lui permettait d’oser maintenant toutes ces caresses dont elle avait vraisemblablement tant envie.

Elle vit toutefois que j’étais un peu dérouté et que je ne comprenais pas bien, ou plutôt trop bien, ce qu’elle attendait de moi.



France-Agnès s’allongea sur le côté en se mettant tête-bêche, la chatte près de mon visage mais sans chercher aucunement à me contraindre. Elle prit ma bite encore grosse mais toute ramollie dans sa main et à petits coups de langue elle commença à la lécher avec application tout en poussant de petits gloussements de délectation. Visiblement elle se régalait, elle avait dû penser à ce moment depuis très longtemps et me sucer la bite toute souillée devait continuer à la faire jouir. Après avoir soigneusement passé sa langue sur toute ma queue pour bien la nettoyer, je sentis ses lèvres me caresser les couilles, puis elle les aspira dans sa bouche grande ouverte. Elle se mit à gémir de plus belle et elle leva une jambe pour bien dégager sa chatte qui n’en parut que plus baveuse, les poils tout collés de sperme… Je sentais les effluves de nos débordements envahir mes narines tandis que mes yeux restaient rivés sur sa moule encore ouverte…


Mes couilles aspirées dans sa bouche m’excitèrent et me troublèrent l’esprit… Quelle vraie petite salope, elle savait réellement y faire… Cette chatte offerte, si proche de mes yeux, commençait à me faire vraiment envie et timidement, du bout de la langue j’entrepris de lécher les poils… Je retrouvais le goût de mon sperme échangé dans nos baisers… Lâchant un instant mes bourses, ma cousine me dit :



Aussitôt elle enfonça ma queue dans sa bouche, sa langue en léchait chaque endroit pour bien avaler le moindre reste de nos ébats précédents… Moi aussi je me mis à la lécher avec passion, d’abord sur les poils puis inconsciemment je plaquais ma bouche sur sa moule baveuse et un flot de mouille mêlée de foutre en jaillit aussitôt… Il me dégoulinait sur le visage et, avec application je commençais à l’avaler en y prenant un réel plaisir… J’étais devenu comme fou, j’aspirais, je buvais, je ne voulais rien perdre… France-Agnès en poussait des cris de jouissance tout en faisant aller et venir ma bite dans sa bouche… Elle la léchait du gland jusqu’à la racine, l’abandonnait un court instant pour mieux reprendre mes couilles dans sa bouche en faisant rouler les testicules avec sa langue…


Ma langue fouillait la chatte de ma petite salope de cousine avec encore plus de folie que tout à l’heure… Je ne voulais rien laisser perdre, je voulais explorer tous les endroits les plus secrets… France-Agnès en écartait les cuisses de plaisir et d’envie, totalement offerte, désirant jouir toujours plus… Ma langue glissait partout à la recherche de nos dégorgements de plaisir, par instants elle effleurait même la raie des fesses où elle suivait une fine coulée de nos jouissances passées et qui s’était écoulée jusqu’au bord de son anus… Lorsque j’en frôlais le pourtour elle poussa aussitôt un gémissement de surprise mais surtout de plaisir…



France-Agnès devenait vraiment de plus en plus salope mais ce n’était sûrement pas pour me déplaire car si elle ne me l’avait pas demandé, je ne sais pas si j’aurais osé lui prodiguer toutes ces chatteries. Ma langue partit immédiatement à la découverte de la rondelle de ma cousine, elle avait un goût un peu amer qui tranchait avec le goût délicieux de sa chatte. Je lui léchais avec soin le trou du cul et elle ouvrait les cuisses au maximum pour mieux me l’offrir et le rendre encore plus accessible à ma langue que je devais étirer au maximum, la bouche plaquée sur ses fesses rondes.

France-Agnès me bouffait maintenant les couilles tout en se frottant le visage avec ma bite. Elle me faisait jouir et sans aucune retenue ma langue commença à forcer la rondelle étroite et à tourner lentement dans son anus. Je sentais encore plus la saveur âcre de son trou du cul et sans lâcher mes couilles enfournées au fond de sa bouche, France-Agnès écartait ses fesses des deux mains et je plaquais ma bouche sur son anus que ma langue fouillait avec passion… Ma cousine hurlait de plaisir en gardant mes couilles dans sa bouche… Et nous nous allongeâmes tête-bêche, l’un contre l’autre, épuisés par ces merveilleux moments.



Nous nous habillâmes et nous dûmes rapidement retourner dans le salon car nos parents n’allaient pas tarder à rentrer.

Quand nous nous quittâmes, France-Agnès me serra fermement dans ses bras pour m’embrasser et une dernière fois je sentis ses seins fermes se presser contre moi…

Pendant le retour, en mettant ma main dans la poche de ma veste, je sentis un morceau de tissu très doux. Je le tirais de ma poche et je remarquais qu’il s’agissait du petit slip en nylon blanc de ma cousine… Je le remis bien vite d’où il venait en le caressant et en rêvant à cette merveilleuse journée…