n° 10570 | Fiche technique | 7672 caractères | 7672Temps de lecture estimé : 5 mn | 06/07/06 |
Résumé: Le début de mes frasques érotiques, à l'aube de mes 18 ans. | ||||
Critères: fh jeunes fépilée toilettes amour volupté voir exhib noculotte lingerie fellation uro | ||||
Auteur : Alex4 (Alex, un type comme un autre) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Laure Chapitre 01 / 03 | Épisode suivant |
Tout d’abord, permettez moi de me présenter. Je m’appelle Alex, j’ai aujourd’hui 28 ans. Les histoires que je vais vous raconter sont vraies, absolument vraies, et donc vous ne me verrez pas faire jouir dix femmes simultanément, ou accomplir tout autre exploit de ce genre. Je suis comme tout le monde, mais ma dizaine d’années d’expérience en matière de sexe me permet de vous raconter quelques histoires qui, je l’espère, vous plairont autant qu’à moi lorsque je me remémore ces moments.
Mes seuls mensonges concernent les noms bien entendu.
Mon premier amour s’appelait Laure, mais tout le monde, y compris moi, l’appelait Lolly.
Elle était belle (et elle l’est toujours). Pas belle de façon conventionnelle, mais tout le monde, hommes et parfois femmes, la regardaient non sans désir.
Brune, cheveux longs, avec beaucoup de volume ; des taches de rousseur sur une peau pourtant légèrement bronzée. Sa peau, je pourrais en parler des heures. Une peau mate, douce, légèrement rose par endroit, ces taches de rousseur… Sa peau est une caresse à elle seule.
Des yeux verts, sans aucun doute mutins. Un petit nez, juste un peu retroussé, parfait. Elle n’était ni grande ni petite, 1m68, pour 60kg. Pas ronde, loin de là, mais véritablement pulpeuse. Et surtout, un corps d’une fermeté absolue, inouïe, mais bien réelle. Un string ne permettait de déceler le moindre défaut ; ses fesses étaient rondes, fermes, douces. Ses cuisses étaient galbées, pleines, mais sans la moindre trace d’excès.
Et un dernier détail, dont je n’ai compris l’importance qu’en découvrant d’autres corps de femmes, plus tard ; une pilosité minimale, naturelle ! Pas un poil sur ses grandes lèvres, ni même autour de son antre le plus intime. Juste un petit triangle de 5 cm² tout au plus, dont elle entretenait juste la longueur.
Notre relation a commencé alors que nous venions d’avoir 18 ans. Rien de bien original jusque-là : nous étions dans la même classe de lycée, et nous avions passé les dernières vacances d’été à nous voir tous les jours ou presque, mais sans que rien ne se passe.
Les débuts furent ultra-conventionnels : premiers rapports, missionnaire, cunnilingus, fellation, levrette, découverte des bas nylon…
Débuts ultra-conventionnels, certes, mais absolument pas déplaisants, bien au contraire. Je dus même vite découvrir que j’étais fétichiste du bas nylon, avant même de savoir ce qu’était un fétichisme…
Cela est devenu bien plus spécial après cinq ou six mois, un beau soir, alors que nous nous préparions pour un bal du lycée.
Nous terminions de nous préparer. La tenue de soirée était de mise. J’étais donc en costume et Laure avait sorti sa robe de soirée noire, longue, au joli décolleté. Sexy, mais pas trop. Surtout très féminine et élégante.
Ses cheveux tombaient librement sur ses épaules, elle était légèrement maquillée. Elle était en train d’enfiler ses bas, des dim-up noir, un pied délicatement posé sur un petit tabouret. La scène était d’une élégance rare. Ma Lolly était à tomber, plus que jamais.
Elle ajustait la dentelle de ses bas sur le haut de ses cuisses tandis que j’ajustais l’épaisseur du nœud de ma cravate dans le miroir. Je ne pouvais m’empêcher de constater que ses petits ajustements étaient bien plus intéressants que les miens…
Soudain je remarquai son string toujours posé sur le meuble à côté de moi.
J’étais subjugué… Et pas moins séduit par l’idée.
Elle voulait que le sexe prenne une autre dimension entre nous, elle voulait que cela devienne un jeu. Un jeu dont le but est de rendre l’autre fou, fou de désir, fou d’amour… Et c’était sa première offensive, elle avait décidé de jouer en premier.
Et alors il se passa la dernière chose à laquelle j’avais pensé. En fait, quelque chose que je n’imaginais même pas possible. Quelques mois plus tôt, je n’avais encore jamais fait l’amour, et là, soudain, avec un naturel parfait, elle souleva sa robe, remontant le long de ses jambes, passant la lisière de ses bas, dévoilant le triangle de sa chatte si bien taillée. Elle s’assit sur les toilettes, écarta les cuisses, et se mit à uriner, le plus simplement du monde, sans le moindre trouble dans son regard.
Tout en urinant, elle souleva ses bras et se mit des épingles dans les cheveux, cela augmentant encore son image de parfaite décontraction, de naturel, d’impudeur.
Comprenez moi bien, je ne suis pas scatophile, au contraire. Ce n’est pas l’urine qui m’a soudainement excité à l’extrême. Elle se donnait à moi, elle me faisait partager un moment d’intimité unique.
Réfléchissez, de nos jours, en faisant l’amour, exposer nos sexe sous tous les angles n’a rien d’original. Mais là, il s’agissait d’autre chose. D’un nouvel angle, même pas sexuel, mais infiniment intime.
La scène restera gravée à jamais dans ma mémoire. Je revois ses jambes ouvertes au maximum, la brillance de ses bas, la finesse de ses pieds dans ses haut talons, la peau du haut de ses cuisses, ce jet sortant de son intimité, sa chatte parfaitement taillée, son regard fixe, ses mains dans ses cheveux.
Elle prit le rouleau de papier et passa deux feuilles sur son sexe, se pencha vers moi et posa sa main sur mon sexe.
Toujours dans la même position, elle détacha ma ceinture, fit tomber mon pantalon et mon boxer. Sans une seconde d’hésitation, elle saisit mon sexe et le prit en bouche. Je bandais au maximum. Elle n’eut besoin que d’une petite minute pour me faire jouir. Sans aucun recul, elle me fit jouir au fond de sa gorge et avala chaque goûte de mon sperme. J’ai cru que mes jambes allaient se dérober sous moi, ma vue s’était brouillée. Elle lâcha mon sexe, leva son doux visage vers moi et me regarda avec un sourire d’une infinie tendresse. On s’aimait, tout simplement.
Elle se leva, laissa retomber sa robe sur ses chevilles, et sortit de la salle de bain.
La soirée fut une réussite, évidemment.
Dans les mois qui suivirent, nous continuâmes à découvrir la sexualité sous toutes ses formes. Ces trois minutes dans une salle de bain ne furent qu’un délicieux prologue.
La suite, ce sera pour le prochain épisode …