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Temps de lecture estimé : 8 mn
21/08/06
Résumé:  Une soirée de mondanités... A priori, tout s'annonçait mal. Mais de fil en (talons) aiguilles...
Critères:  fh jeunes couple fépilée campagne parking fête volupté voir exhib noculotte lingerie chaussures fellation pénétratio
Auteur : Alex4            Envoi mini-message

Série : Laure

Chapitre 02 / 03
Soirée noire

Un an plus tard…


Je ne la sentais pas cette soirée… La soirée d’anniversaire d’une amie de mes parents. D’ailleurs, je n’avais jamais compris comment mes parents, si coincés et tristes, avaient pu devenir amis avec ce genre de femme. Exubérante, folle comme elle le disait elle-même, fille à papa tenant un magasin de lunettes qui n’a jamais rapporté un euro de bénéfice mais où tout le monde se sentait bien. Aurélie, c’était son nom, était très sympa avec moi, et avec Laure aussi. Elle était plutôt jolie, mais, à son grand regret, c’était la fille que tout le monde choisit comme bonne copine, pas comme amante. On n’imagine pas s’impliquer dans une relation sérieuse avec une fille qui ne semble rien prendre au sérieux… Bref, j’avais envie de lui souhaiter un bon anniversaire, mais il était évident que nous ne la verrions même pas durant cette soirée, trop prise par tous ses amis aussi déjantés qu’elle. Mais bon, l’invitation ne se refusait pas.


Avant cela, nous devions passer également boire un verre lors de la journée portes-ouvertes de notre ancien lycée… une autre corvée. Laure avait une tenue de circonstance : noire des pieds à la tête. Mais quel noir ! On y reviendra. Nous avons retrouvé tous ces gens que déjà au lycée nous n’appréciions guère, et qui nous le rendaient bien. La sexualité affichée et épanouie de Laure, à l’aube de ses 18 ans, insupportait toutes ces petites filles riches et coincées, trop frileuses pour oser la moindre jupe ou le moindre décolleté. Sans parler des vestiaires, une grande spécialité de Laure ! La seule à se doucher nue après une heure d’éducation physique, alors que les autres se cachaient au fond de leurs maillots, la seule à enfiler un string en dentelle transparent face aux petites culottes en coton. Je vous raconterai prochainement les comportements de Laure dans le monde du sport. Vous serez étonnés. Et les mecs, pour la plupart des pauvres ados encore au stade de la petite branlette tous les soirs devant les films cryptés de la célèbre chaîne à péage. Bref, ils avaient tout pour nous détester. Il est tellement plus facile de haïr ceux qui ont la vie dont on rêve…


Heureusement, certains d’entre eux étaient restés des amis, et c’étaient eux que nous désirions revoir, sans trop savoir si nous allions les trouver là. Nous nous retrouvâmes assis entre Caroline, une ex pour qui j’avais toujours beaucoup de tendresse, et Philippe, petit gars gentil mais totalement frustré par son absence de vie sexuelle. Philippe passa une bonne heure à draguer Laure avec une maladresse rarement rencontrée. Cela m’amusait beaucoup, tandis que je remarquai les hanches devenues disproportionnées de Caroline. L’arrêt du basket semblait sa plus grande erreur depuis la fin du lycée. Vu la stérilité de la conversation avec Caroline, je revins vers Laure empêtrée dans les tristes manœuvres de séduction de Philippe. Il la complimentait sur ses cuisses. Un scoop ! Il faut dire que ma chérie, au moment d’enfiler sa tenue, avait certes choisi la couleur du deuil, mais la longueur d’une nuisette, surtout lorsqu’elle était assise. Philippe osa s’avancer encore un peu en la complimentant sur le choix de ses collants. Je commençais à en avoir sérieusement marre et eus envie de marquer le coup avant de partir vers l’anniversaire d’Aurélie. Laure ne le savait pas encore, mais c’était à moi de jouer.


Sans le moindre regard pour elle, je posai ma main sur sa cuisse et remontai sa robe aussi haut que sa position le permettait, dévoilant l’inévitable paire de dim-up noirs. Philippe n’avait jamais vu ce genre d’accessoire ailleurs que dans un film porno. Et là il avait ces deux magnifiques, douces, fermes et brillantes cuisses galbées de nylon à portée de main. Il est devenu aussi rouge que sa chemise, bafouillant quelque chose que je n’ai jamais compris. Faisant semblant de le comprendre, tandis que Laure faisait tout ce qu’elle pouvait pour redescendre sa robe sous les yeux exorbités de Caroline, je le provoquai encore un peu plus :



Il ne me regardait même pas. Les jambes de ma douce compagne étaient devenues la matérialisation de tous ses fantasmes. Philippe découvrait la puissance de l’érotisme face à la pornographie.

Sur ce, je décidai que le jeu avait assez duré. Je lâchai la robe de Laure qui la repoussa immédiatement au-delà de la lisière de ses bas. Il était difficile d’aller beaucoup plus bas …

Je me levai, embrassant tendrement Caroline sur la joue, et tendis la main à Laure.



Et nous partîmes, heureux de notre nouveau petit scandale au sein de ce triste lycée.

Finalement, je trouvais que la soirée se déroulait mieux que prévu…


Dans la voiture, Laure commença par m’enguirlander copieusement.



Je décidai de calmer le jeu.



Elle remonta sa jolie robe exactement comme je l’avais fait un peu plus tôt, et même un peu plus haut. Ses mains redescendirent jusqu’à cette cheville en tenant un minuscule morceau de dentelle noire. Là, elle savait ce qu’elle faisait, et elle savait à quoi cela allait la mener. Du moins, c’est ce qu’elle croyait…


L’anniversaire d’Aurélie était organisé dans l’annexe d’un joli château retiré, au milieu des champs. Le parking était immense et plein, car un mariage était justement en cours dans le château. Bien entendu, nous ne comptions pas entrer directement. Après quelques minutes, je trouvai une place retirée, tout au bout d’une allée, avec une vue dégagée sur les champs. Le ciel était étoilé et la lune pleine. Le mois d’octobre avait vu les températures chuter. Il ne devait pas faire plus de dix degrés.


Nous passâmes rapidement sur la banquette arrière, plus confortable. Elle s’agenouilla à côté de moi, ouvrit mon pantalon, et sans une hésitation, sans un regard, sans un mot, prit mon sexe entre ses douces lèvres. Dans ma position, je ne voyais que ses longs cheveux qui montaient et descendaient, lentement. Je sentais ses lèvres serrées sur mon membre, la chaleur de sa salive, la douceur de sa langue. J’entendais sa respiration, lente, mais profonde. Son parfum me montait aux narines, doux et sensuel. De la main, je remontai sa robe libérant ses deux magnifiques fesses nues. Je ne pouvais pas bien les voir, mais j’imaginais la vue que l’on devait en avoir en dehors de la voiture : rondes, fermes, lisses, entourant deux lèvres parfaitement imberbes et gonflées.

Soudain, débordé par tant d’excitation, je devins survolté, excité comme jamais je ne l’avais été, sans limite. Je lui relevai la tête brusquement, provoquant un bruit obscène lorsque mon sexe sortit de sa bouche. Elle me regarda, les yeux grands ouverts, la bouche encore ouverte et humide.



Voyant mon excitation hors du commun, elle hésita entre désir et peur. Et le désir, autant que la curiosité, l’emportèrent. Qu’allais-je donc lui faire ?

Elle tira sur la fermeture de sa robe, et se tortilla pour la faire glisser sur ses hanches. Étant déjà cul nu, il ne lui restait finalement que son soutien-gorge à retirer. Le froid qui commençait à gagner l’habitacle provoqua l’inévitable érections de ses tétons.

J’adore les préliminaires en tous genres, mais ce soir-là, je voulais autre chose. Je voulais la prendre intensément, la posséder, entendre ses petits cris à chaque coup de rein, entendre le claquement de nos chairs à chaque fois que je m’enfonçais en elle…


J’attrapai sa cuisse que je fis passer par-dessus moi, de sorte que nous nous retrouvâmes face à face. Elle saisit ma verge et la présenta à l’entrée de sa vulve totalement détrempée. Elle se laissa tomber de tout son poids sur cet objet de plaisir, et se mit à onduler du bassin. Elle était divine, sensuelle comme jamais. Mes mains attrapèrent instantanément ses fesses, s’y agrippant à chaque mouvement, les malaxant avec vigueur, les pinçant presque, les utilisant pour augmenter la violence des va-et-vient.

Mais je ne comptais pas m’arrêter là. Je trouvais l’endroit paisible et la lumière de la lune était d’une magnifique blancheur.



Une fois que nous sommes sortis, je la pousse tendrement mais fermement contre la voiture, toujours face à moi, attrape sa jambe que je ramène derrière moi, et la pénètre immédiatement de toute la longueur de mon sexe. Elle gémit de plus en plus. Le rythme s’accélère, nos souffles se mélangent. Nous nous embrassons à pleine bouche, ses cris deviennent une vibration étouffée.

Mais j’en veux encore plus. Je veux la voir, je veux profiter de cette lumière. Je me retire, elle ouvre les yeux, étonnée, frustrée, ayant peur que j’arrête là.

Aucun danger, elle le voit bien. Elle comprend… Elle se retourne et pose ses mains sur le capot. La vision est parfaite, absolument parfaite.

Elle est l’incarnation de l’érotisme. Je la regarde, la peau blanchie par la lumière blafarde de l’astre nocturne, contrastant avec le noir brillant de ses bas. J’admire son dos musclé et cambré au maximum, ses fesses offertes, ses pieds si sexy dans ses escarpins de huit centimètres.



Elle est aux abois, elle veut jouir, et moi aussi.

Je me glisse en elle, attrape ses hanches, caresse son dos, accélère le mouvement. Sa position me permet une pénétration maximale, délicieuse…

Je sens son plaisir monter en même temps que le mien. Elle ne gémit plus, elle crie. Un filet de cyprine coule sur le haut de sa cuisse. Je n’en peux plus, le temps s’arrête, je ne vois plus qu’elle, offerte, déchaînée. Elle jouit, elle hurle son plaisir. Cet abandon total provoque ma reddition finale. J’explose en elle, mon sexe enfoncé au plus profond de son intimité, je m’agrippe de toutes mes forces à sa taille jusqu’à mon dernier spasme.

Épuisé, je m’affale sur elle. Nous restons comme cela une minute, mais le froid nous rappelle vite notre indécente position. Je me retire. Un mélange de sperme et de cyprine coule de ses lèvres. Instinctivement, je saisis son string posé sur le siège et tente de régler le problème.



Nous nous rhabillons rapidement, saisis par le froid.

La soirée fut sans histoire, à part une fille avec qui nous discutions, affalés dans un petit salon à l’écart, qui remarqua visiblement l’absence de sous-vêtements de ma Lolly et en rougit instantanément. Bref, la routine…