n° 10613 | Fiche technique | 13068 caractères | 13068 2107 Temps de lecture estimé : 8 mn |
19/07/06 |
Résumé: Finalisation de la rencontre devant l'horodateur. | ||||
Critères: fh fplusag groscul poilu(e)s | ||||
Auteur : Bodding Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Aventure d'été Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Mon aventure d’été avec cette jolie Libanaise bcbg ayant plus que le double de mon âge rentrait dans une phase de concrétisation…
D’un signe discret, j’ai attiré l’attention du maître d’hôtel (mon chef en l’occurrence puisque c’était là que j’avais mon job d’été) et, comme je levais les yeux au ciel, il a tout de suite compris. En m’apportant l’addition pour les cafés, il y avait glissé discrètement la carte magnétique d’ouverture d’une chambre.
Je pris la main d’Amincira et lui dit « Viens ».
J’étais assez inquiet car mon manque total d’expérience de ce genre d’aventure me préoccupait. Devais-je me montrer audacieux, entreprenant ou bien laisser l’initiative à ma compagne ? J’ai décidé de voir venir…
Dans l’ascenseur, Almencira me regardait avec amusement. Elle s’attendait peut-être à ce que, vu la fougue de mon âge, je me précipite sur elle à grands renforts de langue et de pelotage, sans attendre d’être dans la chambre.
Son élégance naturelle, sa prestance, son âge m’intimidaient.
À l’étage, c’est elle qui me prit gentiment la main jusqu’à la chambre.
Une fois à l’intérieur, je me demandais que faire. Devais-je directement me déshabiller, devais-je déshabiller ma partenaire ?
Finalement, Almincira fit le tour de la chambre, enleva le couvre-lit et examina la salle de bains, le tout avec un sourire amusé. J’étais bloqué sur place comme un gros balourd !
Elle s’approcha de moi et, après un petit bisou sur les lèvres, me dit :
Plus facile à dire qu’à faire, d’autant plus que ma compagne était partie dans la salle de bains, et qu’au bruit je me suis rendu compte qu’elle faisait un gros pipi bien sonore ! Ma stupéfaction ! Cette belle femme bcbg qui urinait sans retenue à quelques pas de moi, porte ouverte…
Profitant de son absence et croyant bien faire, j’ai rapidement enlevé mes vêtements tout en conservant mon slip par un reste de pudeur…
Lorsque Amincira est revenue de la salle de bains elle était toujours aussi impeccable et le même sourire un peu narquois aux lèvres, comme pour se moquer de ma gaucherie. Me voyant en caleçon, elle s’est mise à rire franchement en disant :
Elle s’est ensuite approchée et s’est collée à moi. Ce contact et son parfum entêtant ont eu raison de ma réserve et je me suis mis à bander solidement.
Mais, subitement, je me suis demandé si j’allais être à la hauteur, car je me souvenais avoir lu quelque part que les Libanais étaient assez bien montés sur le plan sexe.
Ma quinzaine de centimètres allait-elle lui suffire ?
Ma compagne me mordillait le lobe de l’oreille tout en ondulant son pubis contre mon entrejambe. J’étais presque gêné d’être en érection !
Cela ne dura pas et, d’un geste rapide, elle abaissa mon caleçon, libérant ainsi ma verge du tissu qui la comprimait… Elle se détacha un peu de moi et dit en regardant mon sexe :
De la main elle commença à me palper doucement tout au long de la hampe, remontant vers le gland bien décapuchonné. C’était subtil comme caresse et j’ai dû me retenir pour ne pas immédiatement lui lancer toute ma semence…
Toujours amusée, elle me dit :
Gros problème pour moi… C’était la première fois qu’une femme me demandait cela. Mes copines, elles, se déculottaient elles-mêmes, tandis que l’amie de ma tante m’avait rejoint, déjà nue, sous la douche.
Allons-y !!!
J’avais quasiment oublié mes appréhensions, et je me rendais compte que je désirais cette femme et que j’avais vraiment envie de l’avoir nue sous moi.
Sa bouche m’attirait, et cette fois-ci elle n’a évidemment pas refusé mon baiser. Femme d’expérience, elle me laissait fouiller sa bouche de ma langue, se contentant de petits mouvements de la sienne pour me titiller.
On était loin des grosses baveuses de mes copines.
Elle me laissait tourner et retourner, arrêtant quelquefois le mouvement pour me sucer et aspirer avec délectation mon bout de langue.
D’une main maladroite, je m’étais mis à défaire les boutons de son chemisier ; constatant mes difficultés, Almincira me dit :
Elle a rapidement retiré son chemisier et l’a posé avec précaution sur le dossier d’un siège. Elle était maintenant en soutien-gorge noir en dentelle, avec une petite armature.
Là j’étais plus habile et, profitant d’un nouveau long baiser profond, j’ai détaché l’agrafe du soutien et libéré ses seins.
Ma compagne avait la peau douce, mate et ambrée des méditerranéennes, très agréable au toucher.
Sa poitrine libérée de son soutien descendait quelque peu sous le poids des ans, mais cela restait vraiment sensationnel pour le débutant que j’étais. Tout en restant soudé à sa bouche, je me suis mis à caresser ses seins, m’attardant aux tétons foncés, très volumineux au milieu d’une aréole largement dimensionnée.
Almencira ronronnait à mon oreille comme une chatte, apparemment satisfaite de mes caresses…
J’ai vite fait un sort à sa large ceinture et ouvert son jean’s blanc qui est tombé à ses pieds. Elle l’a enjambé et est revenue se coller à moi.
Je voulais la voir nue et l’ai écartée de moi à bout de bras… Elle n’avait plus qu’un slip noir assorti à son soutien-gorge.
Elle a fait descendre complètement mon caleçon encore bloqué à mes hanches tandis que je faisais descendre son slip….
Et là… quelle surprise ! Son bas-ventre était recouvert d’une toison noire épaisse et abondante remontant en une fine torsade presque jusqu’à son nombril. Sous mes doigts, c’était doux, soyeux et… humide.
Constatant ma surprise, ma compagne me dit :
Nous étions maintenant nus tous deux à nous examiner et à promener nos mains l’un sur l’autre en découvrant les secrets de nos corps.
Almencira se laissa tomber à genoux devant moi et entreprit de me manger le sexe avec dextérité et une extrême sensibilité. Ses mains palpaient, soupesaient, tripotaient mes testicules qui n’avaient jamais été à pareille fête, alors que sa bouche et sa langue semblaient vivre leur propre vie autour et tout le long de ma verge… À pleine bouche elle me suçait le gland, titillait le méat de la pointe de sa langue, revenait le long de la hampe… C’était une grande professionnelle, me disais-je.
Quelquefois elle me serrait le bas de la hampe comme pour m’avertir de ne pas éjaculer… Mutine, sa langue agaçait d’autres fois le prépuce.
Mon corps s’était arqué sous le plaisir et je caressais sa tête au même rythme que ses succions… Fabuleux…
Elle cessa son doux manège et, se relevant, elle se mit à quatre pattes sur le lit, me demandant de la lécher. Ainsi en levrette sur le lit, elle m’offrait toute la nudité de son sexe… Enfin a peu près, car son intense toison remontait toute sa raie fessière et se retrouvait encore quasi jusqu’au bas du dos.
J’avais peu d’expérience de ce genre de caresse, d’autant plus qu’elle avait les fesses délicieusement plantureuses, une raie fessière bien largement ouverte, et que l’on devinait l’entrée de son sexe béant dans les poils…
L’odeur épicée qui s’en dégageait m’attirait et je me suis mis à laper toute cette zone avec avidité… Ma langue passait sur tout sans s’attarder sur rien. Ma compagne avait glissé une de ses mains entre ses cuisses et s’agitait frénétiquement sur ce qui devait être son clitoris… J’aurais dû m’en occuper !
Elle ondulait du bassin…. J’avais les mains sur ses fesses et je les massais, les agitais, les faisais bouger pour ainsi agiter aussi son sexe… Ma langue avait trouvé sans difficulté son petit orifice arrière et, pour la première fois dans ma vie, j’ai vu palpiter la corolle comme un appel à caresses. Le bout de ma langue s’y est introduit après en avoir testé l’élasticité…
Dans cette position, les seins de ma partenaire pendaient sous elle et se balançaient. Je parvenais à les saisir à pleines mains et à les malaxer sans retenue.
Cela a déchaîné ma partenaire dont le popotin roulait sous ma langue….
Je n’en pouvais plus et j’avais peur d’éjaculer soudainement et de maculer ses fesses…
J’ai placé ma verge à la porte de son vagin et, encore timide (!), j’ai dit :
Que pensez-vous qu’elle m’ait répondu ?
Je n’attendais que cela, et d’un coup je me suis enfoncé au plus profond de son sexe. C’était large, chaud, humide et comme nanti de muscles en mouvement.
Me sentant en elle, Almencira semblait avoir perdu toute mesure et elle clamait et hurlait son plaisir, s’agitant de la croupe pour encore mieux me sentir…
Je la maintenais solidement aux hanches et j’essayais de labourer du mieux que je pouvais cette croupe somptueuse…..
D’un habile mouvement, tout en me maintenant en elle, ma compagne m’avait renversé sur le dos et s’était mise à me chevaucher… Grandiose… Son chignon s’était détaché, ses colliers et bracelets scintillaient, ses seins ballottaient en tous sens, son ventre un peu grassouillet se crispait et, au milieu de sa toison, mon sexe était bien figé en elle…
Habituellement, je jouis assez vite, mais ici je parvenais à me retenir, comprenant bien qu’Almencira n’était pas une novice et que, si elle avait accepté de venir dans la chambre avec moi, ce n’était pas pour terminer comme avec un éjaculateur précoce…
De sa bouche sortaient des sons sans signification… Elle feulait comme un animal et je sentais bien qu’elle jouissait plusieurs fois car à chaque fois son corps se crispait et elle libérait un immense soupir…
Moi, je n’y tenais plus… Et par prudence j’ai dit :
Tout à fait idiot mais c’est comme cela…
La chevauchée est devenue tumultueuse, pleine de halètements, de mouvements amplifiés des corps… Et j’ai alors laissé aller toute ma semence dans ce ventre offert. C’est à longs jets que je l’ai inondée… À la voir se rouler sur moi et me mordre l’épaule j’ai senti que, ensemble, nous étions arrivés au plaisir. Un triomphe pour moi… J’étais fier…
Nous reposions, repus, nos corps encore mélangés, lorsque ma partenaire sursauta en regardant sa montre et déclara :
Nue, échevelée, toison au vent, Almencira se précipita dans la salle de bains et se doucha rapidement, m’interdisant de me laver avec elle.
Toujours nue devant moi, elle s’assit sur la cuvette, ouvrit largement ses cuisses et me dit :
Grosse nouvelle surprise pour moi, mais j’avoue que ce n’était pas du tout désagréable, d’autant plus que ma partenaire jouait avec ma queue pendant ce temps-là…
Ce jet chaud et ambré coulant sur ma main pendant que je caressais son bouton d’amour… Je n’avais jamais osé le rêver.
Tout se passa ensuite très vite… Remaquillage, habillage, bisou léger d’adieu et une phrase rapide…
Et la voilà partie…
Ai-je rêvé ? Je ne le crois pas, à voir l’état des draps du lit !!!
FIN