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Temps de lecture estimé : 5 mn
29/07/06
Résumé:  Un voyage culturel. Un jeune étudiant en musique découvre dans le bus les joies du sexe oral en compagnie de sa délicieuse voisine Ines.
Critères:  fh jeunes voyage bus fellation init
Auteur : Gabriel31      

Série : Oral fixation

Chapitre 01 / 02
Le bus du bonheur ou Les prémices d'une fixation orale

Tout a commencé dans la joyeuse excitation d’un voyage universitaire.

Ce séjour au pays basque s’inscrivait dans le cadre d’un jumelage entre la chorale de la fac avec un autre établissement de San Sebastian. À la clé, toute une tournée de concerts, des visites et festivités.

J’étais alors en DEUG 2ème année, musicologie, beau garçon, grand, cheveux châtains, plutôt timide et rêveur. Je passais pour un fort en thème, un crack en musique, mais pas du genre entreprenant avec les filles.


Je connaissais alors très peu Ines qui n’était qu’en première année, suite à un redoublement, mais nous avions eu déjà l’occasion de nous croiser. Il y a de ça quelques années nos frères et sœurs aînées se fréquentaient.

Ines m’impressionnait par sa forte personnalité, son humour ponctué d’éclats de rires retentissants. Elle dégageait beaucoup de sensualité avec son immense chevelure blonde, sa bouche rose et pulpeuse. Ines m’appréciait bien avec mes réflexions parfois caustiques et mon côté un peu décalé. Son caractère très rayonnant et jovial contrastait avec la fadeur de beaucoup de ses camarades.

Nous nous redécouvrions l’un l’autre et très vite, Ines prit place à mes côtés dans le bus dans un esprit de franche camaraderie.


Passés l’atmosphère électrique et les piaillements des premières heures, une fatigue quasi-générale s’empara progressivement de l’équipée étudiante, réduisant le niveau sonore à quelques éclats de voix épars.

Il était une heure du matin et nos conversations avaient laissé place à un engourdissement diffus renforcé par le ronron du moteur de l’autobus.

Nous étions tous deux en train de contempler le paysage bucolique du pays basque.

Autour de nous, cela pionçait dur à l’image de mon voisin arrière Ludovic qui dormait la bouche ouverte.

La fatigue gagnait nos deux corps et Ines se reposait de plus en plus sur mon épaule.

Je sentais la chaleur douce de ses magnifiques cheveux.

J’entendis un petit bruit de bouche, suivi d’un soupir : Ines venait de prendre son pouce.



J’étais de plus en plus troublé et ce n’est pas de voir son pouce dans cette adorable bouche qui allait calmer le jeu.

Ines s’appuyait et glissait de plus en plus contre moi. Aussi pour l’aider à dormir, je lui proposai de s’installer sur mes jambes.

Sa tête reposait à présent innocemment contre mes cuisses. Malgré la fatigue mon excitation était grande et je sentais mon membre se comprimer sous mon pantalon.

Comment demeurer ainsi et sentir sa joue et cette bouche voluptueuse si près de mon membre ? Et toujours ce fichu petit bruit de succion… !

Feignant de protéger mon amie de la fraîcheur matinale, je couvris sa tête de mon gilet nous mettant à l’abri de regards inopportuns.


Cela faisait un quart d’heure que cela durait et pris soudain d’une audace égale à l’ampleur de mon érection, glissant lentement ma main sous le gilet, j’entrepris d’ouvrir très délicatement ma braguette.

Ines ne semblait pas encore endormie. Mon gland ne tarda à pointer son nez suivi du reste de ma queue vibrante.

J’atteignis alors la phase critique, celle de la rencontre improbable entre ce visage et mon organe implorant.

Ines eut un petit sursaut, traduit par un léger, mais brusque mouvement de tête, mais aucun rejet rédhibitoire. Le dialogue allait pouvoir s’instaurer.

J’étais au moment des faits redoutablement puceau cantonné à la sphère phantasmatique et masturbatoire et j’ignorais tout de l’expérience d’Ines en la matière.

Un miracle allait-il s’accomplir ?


Je sentis d’abord le frôlement de ses joues, puis le contact de ses lèvres contre mes veines, puis un baiser humide et prolongé vint récompenser mon gland quasi luminescent. Ines avait donc accepté d’adopter ce drôle de spécimen délaissant un peu son pouce encore humide.

Mon plaisir allait être à la hauteur de mon inexpérience.

Après plusieurs baisers qui semblaient un premier geste d’exploration et de prise de contact Ines, avec une infinie tendresse, prit mon dard en bouche.

Je tremblais de tout mon être au contact velouté de sa langue et des muqueuses de sa bouche accueillante. Jamais ses mains ne lui vinrent en aide, Ines tétait mon gland avec un naturel confondant.


J’étais privé de toute dimension visuelle mais peu m’importait tant cette caresse voluptueuse était inespérée. Je ne sais combien de temps a duré cette première succion lente et paisible, peut-être un quart d’heure. Soudain, une onde de plaisir aussi fulgurante qu’imprévisible traversa mon être. Impossible dans ces conditions d’aviser ma douce amie qui n’eut d’autre option que de recevoir ma semence dans sa bouche. Loin d’être rebutée, Ines accueillit la chose avec clémence, avalant en deux gorgées l’étrange liquide avec un « Mmm… » interrogateur. Je restais comme foudroyé alors qu’Ines prolongeait encore un peu sa caresse sur ma chair extatique.

Après ce moment d’intense plaisir, le sommeil m’envahit nimbé de songes luxurieux alors que ma queue assagie reposait encore tout près des joues roses de mon amoureuse.


Vers cinq heures trente du matin, je m’éveillai presque en sursaut. J’aperçus la côte océanique par la vitre embuée alors qu’un grand calme régnait toujours dans le bus.

Le visage endormi d’Ines reposait toujours sur mes cuisses et mon cœur se mit à palpiter à mesure que je me remémorais la scène et les sensations éprouvées quelques heures auparavant.

En quelques secondes, une érection intransigeante s’emparait de moi. Etait-il envisageable que le scénario miraculeux se répétât ?


Soucieux d’offrir cette fois quelques caresses et un réveil en douceur à ma camarade, je glissai délicatement ma main sous son tee-shirt et entrepris de dégrafer son soutien-gorge.

Après quelques douces caresses dans le dos, j’atteignis ses jolis petits seins en poires que je massai tendrement. Un léger soupir m’indiqua que je pouvais aller plus loin. Du pouce et de l’index de ma main droite, je titillai et pinçai légèrement le mamelon d’Ines alors que, de ma main droite, je prenais ma tige et la pointais avec une autorité surprenante vers sa bouche que je pénétrais maladroitement.


Ines, excitée par mes caresses dévora ma queue avec une gloutonnerie renouvelée. Moi-même plus actif, par quelques légers mouvements, j’encourageai ma gourmande à accueillir mon appendice sur presque toute sa longueur. J’allais et venais baisant sa bouche dans un élan passionné et fusionnel. Je sentais monter en moi le crescendo de la jouissance alors qu’Ines me suçait de plus en plus bruyamment et à rythme plus soutenu.



Mon aspirante avala toute mon offrande sans rechigner et m’embrassa avec fougue.


Je dois avouer que cette expérience me marqua à tout jamais et que j’ai toujours recherché depuis : des extases sensuelles comparables, dans une quête quasi-passionnelle…