n° 10674 | Fiche technique | 8493 caractères | 8493 1311 Temps de lecture estimé : 5 mn |
13/08/06 |
Résumé: Gabriel est fasciné par Julie, flutiste au conservatoire. Un certain Max fait courir d'étranges bruits à son sujet. | ||||
Critères: musique h jeunes fellation | ||||
Auteur : Gabriel31 |
Épisode précédent | Série : Oral fixation Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Je connais Julie depuis peu de temps.
Je la croise souvent dans les couloirs du conservatoire. C’est une jolie brunette aux yeux bleus, ses cheveux sont courts avec un minois très fin quoique légèrement androgyne.
Son corps est gracieux avec de jolies fesses bien rebondies. J’adore sa moue boudeuse et un peu hautaine. Julie est une élève discrète mais très douée de la classe de flûte traversière.
La discrétion n’est pas la vertu première de son ex-copain Max, un trompettiste qui se targue d’avoir attrapé plus de la moitié des filles « baisables » de cet austère établissement.
Max est un sacré obsédé et souvent au café d’en face, avec un coup dans le nez il raconte à qui veut l’entendre ses exploits sexuels.
On se demande comment Julie a pu succomber à un dragueur aussi lourdingue. Un cuivre en plus…
Ce jour, après la répétition de l’orchestre symphonique, nous avons droit avec quelques camarades à tous les détails :
Il nous raconte comment Julie cédait à toutes ces requêtes dans une sorte de soumission béate. Il évoque ce jour ou il est venu chez elle accompagné de son pot Ricardo, tromboniste black, brésilien. La soirée avait été bien arrosée, Salsa etc…. Julie a dû pratiquer une fellation sur son ami (par ailleurs lourdement membré) alors que lui l’a prise par derrière.
Nous, on écoute Max, effarés par la crudité de son récit et le parfum de scandale qu’il propage.
Pauvre Julie elle va se traîner une drôle de réputation si cette histoire sort de ce café.
J’avoue que tout cela me laisse rêveur et nourris mes phantasmes. J’aimerais bien avoir autant d’aventures que Max.
Je me masturbe parfois le soir en imaginant l’adorable Julie agenouillée suçant tour à tour le sexe épais de Ricardo et de Max.
Bien que beau garçon je suis loin d’avoir l’audace extrême de Max.
C’est je jour du concours final pour la classe de SUP de flûte traversière.
Le concours est public et je viens écouter Julie qui affronte avec aisance les difficultés de son programme : d’abord une sonate de Martinu puis le difficile concerto de d’Ibert.
Son jeu est volubile à souhait, sa sonorité bien charnue c’est un succès pour Julie qui obtient sa médaille d’or à l’unanimité.
Dans la cour ça discute dur et je félicite chaleureusement Julie. Je lui évoque mon projet de créer un orchestre pour monter un programme de musique de film et elle semble enthousiaste.
Une semaine plus tard la répétition commence et lorsque je dirige un premier morceau je remarque ses regards très tendres et insistants. OUPS quelque chose est en train de se passer…
Après la répétition j’invite Julie à boire un verre et nous discutons calmement de la répétition et de nos projets musicaux. Le regard de Julie a un" je ne sais quoi" de troublant, ses propos sont attentionnés mais avec une pointe d’ironie malicieuse.
Nous sommes tout deux à pied et je la raccompagne. Arrivés en bas de chez-elle :
Là mon cœur accélère, déjà pour une fille soi-disant pas entreprenante elle assure quand même…
On monte péniblement l’escalier jusqu’au quatrième. Son petit studio sous les toits est très coquet avec ses poutres mais il y fait assez chaud.
Il y a un petit piano droit dans un coin et je regarde les partitions pausées en vrac sur le pupitre.
Je tombe sur un recueil de transcriptions d’opéras pour piano à quatre mains.
Je m’installe du côté des basses et Julie récupère un autre tabouret et sans se faire prier, s’installe à ma droite.
« Prélude de Tristan » R.WAGNER.
Très vite nos mains et nos bras se frôlent. Le piano à quatre mains a cet inconvénient qui peut devenir un avantage de se pratiquer dans une grande promiscuité…
La musique passionnée de Wagner et sa grande tension chromatique ajoute au caractère torride à la situation. Je suis en bermuda et mes jambes rencontrent également les cuisses de Julie qui porte une jolie jupe noire.
On termine quasiment essoufflés le morceau, épuisés par notre effort de lecture exacerbé par tout ses frôlements.
Nos deux jambes sont restées collées et nos doigts demeurent comme connectés.
On se jette un dernier regard fiévreux et nos deux corps transpirants s’étreignent.
Nous nous embrassons langoureusement toujours sur nos tabourets contigus, nos mains explorent l’intérieur de nos vêtements qui ne tardent pas à voler dans les recoins du studio.
A présent nous continuons quelques minutes nos caresses et contorsions. On ne peut continuer ainsi. Je dévore ses petits seins tout en caressant sa fente. . Les doigts agiles de Julie trouvent ma queue déjà fort raide.
Soudain Julie d’une voix un peu tremblante propose :
Alors que je reste comme vissé de stupeur sur mon tabouret de piano, Julie s’agenouille entre mes cuisses.
D’une main elle saisit délicatement mes bourses et de l’autre commence par me branler doucement.
Elle se penche à présent et commence à embrasser ma queue et à la lécher avec minutie.
Le spectacle extraordinaire qui s’offre à mes yeux amplifie encore la subtilité de mes sensations.
La langue de Julie tournoie à présent avec aisance autour de mon gland.
Dans ma tête je dois bien remercier le trivial Max d’avoir initié Julie à de tels raffinements.
Sa bouche épouse mon désir avec application, avale et suce mon membre sur presque toute sa longueur alors que sa main gauche continue à malaxer savamment mes couilles ou s’agite une sourde révolution.
Sortant ma queue de ses lèvres pour répondre :
J’exauce assez rapidement sa prière, elle engloutit à nouveau ma tige pour une succion finale accélérée, intense, inspirée et me fixe soudain du regard avec un regard faussement innocent. J’explose littéralement dans sa bouche en plusieurs jets épais, un dernier soubresaut éclabousse légèrement sa joue gauche.
Je reste un peu abasourdi sur mon tabouret alors que Julie déjà debout termine sa tasse de thé en quelques gorgées.
Je me dresse enfin sur mes deux jambes et attrape Julie par la taille.
Je caresse sa nuque et la couche sur son lit.
Après plusieurs va-et-vient de ma bouche sur ses fesses et son dos, j’entreprends une svelte levrette à la fois tendre et bien rythmée.
Face au fessier admirable de Julie ma queue ne tarde pas à retrouver une vigueur très convaincante si bien que nous jouissons de concert le temps d’une wagnérienne chevauchée.
Nous avons renouvelé pendant plusieurs mois nos séances de déchiffrage, leçons de flûte et autres sauteries.
Hélas la carrière musicale de Julie l’emmena à quitter la province pour le Conservatoire de Paris si bien que nous nous sommes perdus de vue.