n° 10956 | Fiche technique | 51030 caractères | 51030Temps de lecture estimé : 27 mn | 05/11/06 |
Résumé: Le retour de Sylvie, la belle nympho, qui retrouve son amant, Mathias, pour un week-end délirant de l'autre côté des Alpes. | ||||
Critères: fh extracon nympho collection amour facial fellation cunnilingu fsodo uro attache humour | ||||
Auteur : Jipé (homme marié 34 ans) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Les aventures de Sylvie Chapitre 02 | Fin provisoire |
La neige tombait à gros flocons sur la gare de Genève. Elle reçut une boule dans le dos et l’épaisseur de son manteau n’amortit pas totalement le choc. Elle bondit. Des mômes, des petits Parisiens qui débarquaient du train comme elle et n’avait pas attendu plus longtemps pour se batailler. Elle leur sourit, ce n’était pas bien méchant. Sylvie se dirigea vers la sortie de la gare pour trouver un taxi. Sous sa parka longue, elle portait un pull moulant, une jupe courte, des bas noirs et des bottes en cuir, à talons hauts. Elle savait que cela plairait à Mathias, même si, le froid aidant, elle se serait plutôt vue en jean et moonboots fourrées. Elle avait pris trois jours pour rejoindre son amant, planqué en Suisse depuis la fameuse affaire de la roue de secours. Il lui avait fallu provoquer une dispute d’une rare violence au sein de son couple, en partant d’un prétexte futile, pour invoquer le besoin légitime de prendre l’air. Sylvie avait écrit un mot très court, déposé sur la table du salon, à l’intention de Laurent, fait ses valises en embarquant ses tenues les plus sexy et s’était enfuie rapidement vers la Suisse. Quand elle reviendrait, il lui suffirait de tailler une bonne pipe à Laurent en guise de réconciliation, ponctuée par une bonne exhib en voiture ou sur Internet et le tour serait joué. Elle n’en voulait aucunement à son mari, le pauvre, il allait s’ennuyer pendant trois jours, mais l’appel de Mathias avait été le plus fort.
Sylvie se pencha vers le premier taxi, une merco grise conduite par un jeune helvétique grand et maigre.
Le chauffeur sortit et fit le tour pour prendre la valise à roulettes de la belle bourgeoise et l’enfourner dans le coffre. Ceci fait, ils se mirent en route. Genève était grise et blanche sous les lumières pâles des lampadaires, censés donner de la clarté à la ville à une heure où le soleil aurait dû briller de tous ses feux. Il était midi, Sylvie avait faim, mais encore plus faim de revoir Mathias.
Elle ne tarda pas à remarquer le manège du chauffeur, trop heureux de l’aubaine. Son regard se portait régulièrement dans son rétroviseur à la recherche des jambes de Sylvie. Celle-ci écarta les pans de son manteau et croisa ses superbes guiboles, remontant sa jupe en haut des cuisses. La perspective du rendez-vous presque clandestin avec son amant lui avait réchauffé les sens. Elle offrit à son conducteur une vue imprenable sur ses bas, ses genoux et ses cuisses, croisant et décroisant les jambes. Le jeune suisse ne perdait pas une miette du spectacle.
La politesse suisse, ce n’était pas une légende. Sylvie continua à exciter le membre helvétique en remontant encore sa jupe, découvrant la limite de ses Dim-up noirs. Elle les décroisa enfin, écartant les cuisses. Sa chatte était maintenant parfaitement visible pour le chauffeur. Au premier feu rouge, celui-ci n’y tint plus, il se retourna.
Vert.
Cela grimpait effectivement très dur. La route avait été, à peine, dégagée de la neige, qui de plus, n’arrêtait pas de tomber. Samuel, c’était son nom, conduisait prudemment, d’autant plus qu’il continuait à jeter des coups d’œil furtifs vers la banquette arrière. Il bandait comme un cerf.
Sylvie regarda sa montre.
Midi et demi. Elle avait rendez-vous dans une heure.
Il chercha un endroit sans trop de neige, une aire de service lui offrit une possibilité, il se rangea et coupa le moteur. Samuel sortit et se détendit, il avait vraiment mal au sexe. Cette bourgeoise française lui avait fait gonfler les testicules au-delà du raisonnable. Il la regardait à travers la vitre. Sylvie s’extirpa de la merco à son tour. Sans mot dire, elle ôta son manteau. Sa jupe était vraiment courte. Elle s’accroupit, releva sa mini-jupe sur son ventre et un jet d’urine perça la couche de neige. Elle pissait devant lui.
« Quelle incroyable cochonne » se dit Samuel.
Sylvie rit.
Elle avait terminé, mais resta en position.
Elle releva son pull moulant et découvrit ses énormes mamelles, libres de tout soutien-gorge.
Tout cela dit avec un accent traînant, Sylvie devait étouffer son envie de rire pour ne pas faire débander son nouvel ami.
Samuel s’approcha en continuant de se masturber. Il posa sa queue sur le visage de Sylvie. Elle la lécha de bas en haut, embrassa le vit raide mais court du jeune chauffeur. Elle n’eut aucun mal à le prendre entièrement en bouche.
Samuel lâcha son sperme dans la gorge de la belle femme. Sylvie se régala, elle adorait le foutre, son goût, son odeur, sa texture, pour le plus grand plaisir de son mari. Elle avala la semence sans en perdre une goutte. En regardant Samuel, droit dans les yeux, elle nettoya sa queue à coups de langue experts. Un peu de jus affleurait à la commissure de ses lèvres. Elle le prit au bout du doigt et le suça doucement.
Elle baissa son pull et sa jupe, elle recommençait à avoir vraiment froid. Sylvie endossa son manteau.
Sylvie remonta dans la merco.
Vingt minutes plus tard, il la déposait à Leysin dans la rue et au numéro où Mathias lui avait donné rencard. La rue se trouvait un peu à l’écart du centre. Sylvie se tenait devant un portail de bois qui ne laissait rien voir de ce qui se tramait derrière. Mais elle imagina un long chemin menant à un chalet luxueux. Samuel lui rendit sa valise.
Il la quitta en lui adressant un clin d’œil. Celui de l’homme heureux. Ça commençait bien. Vraiment sympas, ces Suisses…
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Quelle bande de nazes ! Mathias pouvait pester. Il venait de passer deux heures pour rien, ou presque, dans cette maison cossue des quartiers chics de Genève. Pas de liquide, enfin à peine 1000 francs suisses, trouvés dans un bureau, des bibelots en toc, quelques bijoux d’une valeur modeste et surtout, un coffre-fort qu’il s’était acharné à percer pendant une heure pour n’y découvrir que des papiers sans importance. Un vrai bide. Mathias avait trouvé un emploi de négociateur dans une agence immobilière du centre. S’il n’était pas le meilleur vendeur de la place, eu égard à la motivation qu’il affichait dans son boulot, il avait en revanche trouvé le bon filon pour repérer les baraques potentiellement « cambriolables ». C’était d’ailleurs là, le seul intérêt d’avoir repris un « vrai travail ». Mais cela ne payait pas toujours. Il sortit discrètement, prenant soin de ne laisser aucune trace puis rejoignit sa BM garée une rue plus loin, adoptant la démarche des hommes qui n’ont rien à se reprocher.
« Vivement demain ! » songea-t-il en pensant à l’arrivée de Sylvie et au plan qu’il avait concocté pour, encore une fois, se remettre à flots.
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Elle le vit. Son corps frissonna, de froid et de désir, en apercevant Mathias au volant de sa série 5. Il eut pu conduire une 2CV, que cela aurait provoqué la même sensation chez Sylvie. Mathias s’arrêta à sa hauteur et descendit. Il fit le tour de la BM et s’empara de sa promise, comme d’un fruit en plein été,dont on sait qu’il vous désaltérera. Ils s’embrassèrent longuement sous la neige, tout cela était si romantique songea Sylvie qui avait l’impression d’être un personnage de conte de fées. Un peu trop chaude, toutefois, pour être permise aux enfants. Enfin passons, elle était si heureuse.
Voilà, c’était simple, sans chichis, et cela suffisait à son bonheur.
Il prit sa valise d’une main, Sylvie de l’autre, jeta le bagage à l’arrière et ouvrit la porte, passager, pour sa belle. Et non le contraire, ce qui eut été du plus mauvais effet.
Mathias poursuivit dans le registre du mystère :
Il démarra.
Mathias n’y tint plus. Il posa sa main sur la cuisse de Sylvie, écarta les pans de son manteau et remonta sous la jupe.
Elle constata la véracité de ses propos en prenant en main, la poutre qui déformait le pantalon de Mathias. Elle le branla doucement à travers le tissu.
Sylvie ne s’étala pas, mais Mathias crut déceler un secret coquin dans le sourire qu’elle affichait. Elle ne doit pas en rater une celle-là, mais il garda cette réflexion pour lui. Et cela l’excitait. L’hôtel ressemblait à un Chalet géant, où le décor traditionnel se mariait avec le luxe des matières et des matériaux. Mathias fit tinter la sonnette. L’homme aux clés d’or releva la tête et leur offrit son plus beau sourire, celui du parfait gentleman, qui n’en pensait pas moins en voyant débarquer ce couple qui respirait l’aventure sulfureuse à plein nez.
Sylvie étouffa un rire.
Le type marqua un temps d’arrêt.
Ils ne pouvaient plus attendre. Mathias entreprit Sylvie dans l’ascenseur, vérifiant qu’elle ne portait pas de dessous. Arrivés à leur étage, il poussa la valise du pied hors de la cage et c’est, enlacés, qu’ils roulèrent sur les murs du couloir. Leurs langues s’emmêlaient, Sylvie avait sorti la queue de son amant qui durcissait le long de sa jupe. Mathias tenait à pleines mains les fesses rebondies de la bourgeoise. Elle le fixa.
Mathias la retourna près de la porte du 412. Il remonta sa jupe sur son dos, découvrant ses bas, ses fesses accueillantes, prit son sexe et le glissa dans la chatte ouverte de la belle nympho qui écarta instinctivement les jambes.
Mathias sortait de ses gonds, aucune femme ne l’avait autant mis en transe.
Ils en étaient là, de leur conversation lorsqu’une dame, d’un certain âge, outrageusement maquillée, bijoutée et enchapeautée sortit de l’ascenseur. Interloquée, elle contemplait la scène.
Rosemonde, car ses parents l’avaient prénommée ainsi, assena un coup de parapluie somme toute assez violent sur les fesses de Mathias.
Avoir fait preuve d’un tel manque de savoir-vivre, ombragea Rosemonde, surtout dans un tel moment. Elle s’adressa à Sylvie par-dessus l’épaule de Mathias.
Mathias, à peine déconcentré, continuait de pilonner sa compagne sans se préoccuper de l’intruse. Sylvie, toujours appuyée contre le mur hurla :
Elle s’effondra. Mathias se retira, et se tourna vers Rosemonde qui, finalement, n’avait rien manqué du spectacle.
Mathias remisa son sexe encore tendu dans son slip. La vieille s’en fut, digne. Elle avait déjà le dos tourné lorsqu’ils l’entendirent une dernière fois :
Sylvie fit descendre sa jupe et toisa Mathias :
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Ils firent monter un repas dans la chambre. Tout en déjeunant, Mathias exposa son plan à sa maîtresse qui se montra ravie à l’idée d’y participer. D’autant que si tout fonctionnait bien, 100.000 francs suisses pouvaient tomber dans l’escarcelle. Elle tailla ensuite une pipe mémorable à son amant, durant un temps infini. Mathias ne se lassait pas de voir les lèvres pulpeuses de Sylvie pomper son membre. Elle s’amusait à changer de rythme, à l’embrasser, le lécher, puis à le sucer à nouveau, très vite puis plus lentement pour retarder l’éjaculation tant désirée. Il lâcha enfin une énorme bordée de sperme sur le visage de la bourgeoise, qui fut couverte du menton aux premières mèches de ses cheveux. Elle se nettoya, ramassant le foutre du bout des doigts pour le déguster, les yeux brillants de plaisir.
Mathias se leva et fouilla la penderie. Le message était bien passé auprès de l’hôtel. Il sortit une robe totalement indécente. Noire, outrageusement décolletée devant et derrière, elle devait s’arrêter au-dessus du genou, pensa Sylvie.
Il rebandait déjà.
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Jakob et Yvonne, la cinquantaine bien frappée, chalet lumineux et 4X4 dans le garage, commençaient vraiment à taper sur le système de Sylvie. Au moins, elle s’amusait à attraper au passage les regards furtifs du maître de maison sur ses jambes somptueuses, mais surtout, sur sa poitrine gonflée presque totalement découverte, par ce décolleté qui lui arrivait au nombril. Elle était splendide, terriblement sexy, comme jamais, avait-elle pensé en se regardant dans la glace. En la voyant ainsi, au sortir de la salle de bains où elle s’était changée, Mathias n’avait pas retenu son envie de se branler en l’admirant. Chose que Jakob aurait certainement aimé pratiquer si sa femme ne lui jetait pas, elle, des regards assassins, à chaque fois qu’il lâchait sa pipe froide au sol - par mégarde tu penses - afin de se délecter de l’entrecuisse de la Française. Mathias avait remarqué le manège. Il y avait sans doute quelque chose à faire. En attendant, il passait une soirée médiocre en compagnie de ces gens médiocres eux aussi, et regrettait même d’avoir embarqué sa maîtresse dans une telle galère. Anecdotes inintéressantes et blagues pas drôles se succédaient, face auxquelles les deux tourtereaux affichaient un sourire de politesse. De plus, la bouffe servie par la matrone des lieux, leur restait un poil sur l’estomac.
Putain, des fachos en plus. La totale.
Il se pencha vers eux pour parler à voix basse. Les Suisses tendirent l’oreille, inquiets.
Yvonne était au bord des larmes, apeurée.
Les époux Spiesser se turent. Jakob ne sut pas dire pourquoi, mais il avait le sentiment que les Français s’étaient un peu foutus de leur gueule. Il décida de changer de sujet.
Il servit les quatre verres, non sans oublier de mater encore une fois les mamelles de Sylvie, il bandait comme un taureau depuis qu’elle avait déposé son manteau à l’entrée.
Sylvie et Mathias se regardèrent, intrigués, se demandant si, finalement, la soirée n’allait pas devenir beaucoup plus intéressante.
Jakob laissa passer ses invités, plaquant sa main sur le dos nu de Sylvie. Un frisson parcourut sa queue douloureuse.
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Il montra les étagères, remplies de livres. Mathias nota le grand écart culturel entre une édition originale d’Histoire d’O, que Jakob avait mis sous vitrine cadenassée, et une collection entière de revues pornos, comme il s’en trouve dans toute station service digne de ce nom. Des godes, des boules de Geisha, des figurines de bois mimant l’acte, par-devant, par-derrière, des fouets et autres babioles parsemaient les étagères restantes. Au centre trônait une table avec quatre menottes d’acier, enserrées dans le bois, une dans chaque coin. Au plafond pendait une autre paire de menottes, que l’on pouvait faire coulisser vers le bas ou le haut à l’aide d’une chaîne.
Jakob se tourna vers Sylvie.
Sylvie chercha le regard de Mathias, celui-ci semblait fasciné par les instruments de torture du riche suisse.
Elle réfléchit. Mais la perspective de voir son homme et cet inconnu, excités devant le tableau qu’elle allait leur offrir, fut la plus forte. Elle se positionna sous les menottes. Jakob les abaissa en faisant tourner la chaîne à l’aide d’un enrouleur moyenâgeux. Il attacha les mains de la belle, puis fit grincer la chaîne à nouveau, cette fois en sens inverse. Sylvie avait les bras tendus au-dessus de sa tête, elle se sentait totalement offerte et impudique. Pendant la montée des menottes, sa robe avait pris un mauvais pli et l’un de ses seins était sorti du tissu, l’autre ne demandant qu’à suivre le même chemin. Jakob et Mathias bandaient en silence en regardant la bourgeoise.
Mathias passa dans le dos de sa maîtresse. Décidément, cette soirée mal engagée commençait vraiment à lui plaire.
Joignant le geste à la parole, il dégrafa la robe indécente de Sylvie qui tomba à ses pieds. Jakob poussa un « oh » de stupéfaction. Le corps aux formes généreuses de la Française, ainsi offert, faillit le faire jouir. Il se retint de justesse. Sylvie lança ses cheveux en arrière et son regard se transforma instantanément. Elle se fit plus chienne, pour exciter les mâles qui l’admiraient. Sa chatte blonde, ses nichons lourds, son ventre soyeux, ses cuisses arrondies, ses jambes gainées de bas et ses bras en croix contribuaient à faire d’elle, une véritable madone de la chair. Sylvie sentit le frisson du désir la parcourir, du désir de plaire et d’être l’objet de tous les fantasmes. Jakob sortit sa queue, bientôt imité par Mathias. Les deux hommes se branlaient en caressant le corps de Sylvie, qui gémit bientôt en sentant ces mains la parcourir, la fouiller. Elle embrassa Mathias à pleine bouche, puis ce fut au tour de Jakob d’investir l’endroit. Le Suisse enfonça doucement un doigt dans l’anus de la blonde pendant que Mathias la masturbait allègrement.
Il n’en fallait pas plus à Jakob. Il rêvait de ce moment depuis l’arrivée de la belle salope dans ses murs. Il prit une cravache sur une étagère, avec l’assentiment tacite de ses invités.
Elle ne crut pas ce qu’elle venait de dire. Mais elle sentit bien le premier coup de cravache s’abattre sur ses fesses.
Elle se mordit les lèvres. Mathias se masturbait doucement, pour profiter de la scène jusqu’au bout.
Les coups s’abattirent de plus en plus fort. Sylvie se sentait humiliée, offerte, mais en voyant le sexe de son homme aller et venir dans sa main, l’excitation fut la plus forte.
Un ultime coup lui cingla le cul.
Jakob était rouge écarlate. Son sexe, tendu, baillait de son pantalon. Il révélait sa vraie nature. Il baissa les menottes, lâchant la chaîne, ce qui eut pour effet, de faire tomber Sylvie à genoux.
Jakob s’approcha de Sylvie.
Sylvie n’en attendait pas moins. Oui, elle avait envie de sexe, de vrai sexe maintenant. Celui de Jakob qui forçait sa bouche était si bon. Elle pompa avidement la verge tendue de son hôte. Il la sortait de temps en temps pour frapper ses joues à l’aide de son membre épais. Mathias ne tarda pas à le rejoindre. Ils partageaient sa bouche. Sylvie suçait, léchait, embrassait les deux bites sans pouvoir les toucher de ses mains emprisonnées. Mais que cela l’excitait. Elle sentait sa chatte se tremper encore et encore. Jakob se retira du jeu. Puis passa derrière et força Sylvie à se pencher en avant. Soumise et désireuse d’en avoir plus, elle se mit à quatre pattes. L’homme fit pénétrer son dard dans l’anus dilaté de la belle blonde.
Jakob entreprit de l’enculer sans ménagement, claquant ses fesses rebondies, si bandantes, encore endolories. Une douleur qui n’était rien en comparaison avec le plaisir que Sylvie retirait de cette sodomie sauvage. Mathias continuait d’aller et venir dans la bouche de sa maîtresse. Jakob ne put se contenir bien longtemps. La vision de ce cul, de ces mamelles lourdes qui se balançaient, les cris de plaisir étouffés de la salope qu’il baisait, c’en était trop. Il se retira et balança un jet épais de foutre sur les fesses et le dos de Sylvie. Elle sentit le jus chaud envahir son arrière, pendant qu’une autre bordée de semence vint lui fusiller le visage, des cheveux au menton. Mathias aussi avait tout lâché. Ils s’écroulèrent, heureux. Jakob vint, enfin, libérer Sylvie. Il ramassa sa robe. Elle se revêtit. Mathias ne disait mot, il était soufflé par l’attitude de sa provocante maîtresse. Au-delà de ce qu’il imaginait d’elle. Jakob aida la bourgeoise à remettre sa robe en place. À la grande surprise de Sylvie, le Suisse, très « cold fashion », s’inclina pour lui baiser la main :
Gentleman !
On était entre gens de bonne compagnie. Mathias avait disparu de la cave. Ils remontèrent au salon.
Il posa une main sur le cul de Sylvie et de l’autre, entreprit de lui peloter les seins. Flattée, elle laissa faire :
Il murmura à son oreille.
Mathias surgit de nulle part.
Jakob redonna les manteaux. Il en profita une dernière fois pour toucher le corps de Sylvie. Il ne s’en laissait pas.
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Sylvie s’assoupissait sur le siège moelleux de la série 5. Mathias l’extirpa de son demi-sommeil.
Il extirpa de sa poche un collier en or sur lequel se balançait un pendentif en diamant. Une vraie merveille.
Sylvie porta l’objet à son cou, puis percuta enfin
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Ils avaient rendez-vous à 14 heures devant le portail. La BM pointa son nez sur le trottoir d’en face un quart d’heure auparavant. Mathias ne voulait rien laisser au hasard pour ne pas rater son affaire en or. Il avait rentré le chalet cinq jours plus tôt et piqué un double des clés aux proprios durant la visite. Ces salauds possédaient des bijoux et des tableaux de valeur, mais les enfermaient dans un coffre-fort quasi inviolable au sous-sol. Qui plus est, doté d’une alarme. Mathias ne sentait pas le coup et avait changé son fusil d’épaule. Il avait donc contacté des acheteurs potentiels, un couple de quinquagénaires luxembourgeois, prêt à débourser un max pour trouver leur paradis suisse. Le plan ? Les convaincre en un temps record et empocher les 100.000 francs suisses en liquide que Mathias leur avait demandé d’apporter. Au cas où ils voudraient mettre une option sur le chalet dans l’après-midi. Un cas que Mathias allait se charger de régler avec l’aide de sa maîtresse sexy. Il avait ensuite prévu de décoller le soir même pour le Canada après avoir déposé l’argent sur son compte helvétique. Il espérait que l’attendaient de florissantes affaires et de beaux cambriolages du côté du Québec. Sylvie arborait sous son manteau un pull moulant col en V qui ne cachait rien des formes de son impeccable poitrine. Sa mini-jupe droite était tout simplement une invitation à contempler ses appétissantes cuisses gainées de bas noirs et rehaussées de bottes en cuir à talons hauts. Quelle femelle se dit encore Mathias. L’arrivée sur le trottoir d’en face, d’une rutilante Jaguar, lui fit reprendre ses esprits instantanément. En sortit, un petit homme rond portant un manteau de fourrure, la marque des parvenus, serré dans un costume de grande qualité. Malgré le froid, il semblait transpirer car il s’épongea le front à l’aide d’un mouchoir en soie, brodé à ses initiales. De l’autre côté, apparut sa femme, ni moche ni belle, fardée du front au menton pour plâtrer les premières grosses écorchures du temps, tellement bijoutée qu’elle brillait comme un sapin de Noël. Elle aussi avait revêtu une fourrure, par-dessus un tailleur des plus classiques. Sylvie et Mathias traversèrent la rue, souillée de neige grise.
Mathias tendit la main au mini bibendum, lequel afficha un large sourire. Surtout en voyant Sylvie.
Alfred se pencha pour un baisemain d’école, puis prit le temps de se relever afin d’étudier au plus près la pouliche qui se tenait devant lui. Il interpella sa chère épouse.
Une affaire à régler au plus vite, songea Mathias en serrant mollement la louche de la duègne, sa banque fermant ses portes à 17 heures. Il prit les clés, sur lesquelles était accrochée une petite télécommande, et ouvrit le portail électrique. Un chemin d’une vingtaine de mètres menait à un chalet immense, érigé dans le plus pur style de la région. En plus gros. Il invita ses « clients » à passer devant.
Ils pénétrèrent dans le chalet. Tout respirait le luxe, aussi bien la décoration que l’ampleur des pièces, ou encore les matériaux utilisés pour sa construction. Sylvie écarquillait les yeux, elle aurait bien voulu être la cliente de Mathias.
Jocelyne, elle, ne pipait mot.
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Le Luxembourgeois n’avait cessé de se montrer élogieux. Pour le chalet, mais aussi pour Sylvie, dont il avait maté les cuisses à l’envi durant toute la visite.
Jocelyne ne s’en laissait pas conter. Elle n’avait aucunement l’intention de lâcher 100.000 francs en liquide dans la nature sur un coup de tête de son mari.
Mathias se retourna vers elle.
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Alfred s’installa dans le canapé en cuir blanc aux côtés de Sylvie.
Le culbuto se serait surtout bien vu entre les cuisses satinées de la belle bourgeoise.
Alfred n’y tenait plus, il porta sa main sur la cuisse de Sylvie. Le contact de sa paume avec le bas noir le fit frémir des pieds à la tête.
Bibendum s’enhardit. Il remonta sa main pour atteindre les nichons de la belle, attaquant un pelotage en règle. Il ressemblait à un petit garçon auquel on vient d’offrir son plus beau jouet.
Alfred replongea la main entre les cuisses de Sylvie, remonta sous la mini-jupe et découvrit l’impensable pour lui, sa chatte dorée libre de tout superflu.
Les doigts d’Alfred commencèrent à se perdre dans l’antre doux et chaud, bientôt humide, de la blonde qui gémit doucement. Elle releva son pull, libérant ses seins tendus. Alfred se pencha et en suça les larges aréoles. Un vrai bébé.
Elle extirpa la bite du client et débuta une branlette en règle, histoire de faire grossir le membre déjà dur mais d’une taille vraiment limite. En tout cas, pour une adoratrice du sexe comme elle. Sylvie se libéra des mains d’Alfred, et entreprit d’œuvrer avec la bouche. Elle connut rapidement un petit succès.
Elle n’eut guère besoin d’employer plus longtemps ses talents. Dans un râle de bête en rut, Alfred lui emplit la bouche d’un sperme épais et chaud. Sylvie l’engloutit sans déplaisir.
Alfred s’agenouilla. Il écarta les genoux de Sylvie et remonta encore la mini-jupe. Glissa sa tête entre les cuisses, léchant au passage les bas noirs qui l’excitaient tant. Puis il engouffra sa langue entre les lèvres humides et de la belle chatte qui s’offrait à lui.
Sylvie sentit qu’elle avait affaire à un homme d’expérience. C’est qu’Alfred adorait le broute minou, il en avait fait sa spécialité, prenant toujours en considération les conseils des dames qu’il avait visitées, afin d’améliorer constamment ses performances linguales. Sylvie enserra son lécheur entre ses jambes bottées. Elle était déjà au bord de la jouissance.
Jocelyne, accompagnée de Mathias, était réapparue au pied de l’escalier.
Elle imprimait le rythme en tenant fermement la tête d’Alfred entre ses cuisses.
Sylvie fit replonger la tête d’Alfred dans son puits d’amour.
Mathias prit la main de Jocelyne et la porta à son sexe, enflé par la vision de sa maîtresse, cuisse ouverte sur le divan !
Mathias offrit un clin d’œil ravageur à Jocelyne qui descendit d’un étage pour constater la chose au plus près. Elle avala le membre extirpé de son slip sans hésiter sur la marche à suivre.
Sylvie émit soudain un cri venu d’ailleurs, Alfred était parvenu à ses fins. Il était temps de boucler l’affaire.
Sylvie s’empara du précieux objet, vérifia le contenu et adressa un clin d’œil à son amant.
Djosse dut se résoudre à laisser quimper sa fellation. À regrets.
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Le quatuor se reforma à l’extérieur. Soudain, une Porsche noire franchit le portail. Les proprios ! Le sang de Mathias se glaça. Interloqués, les quatre ne bougeaient plus au milieu de la cour. La Porsche s’arrêta devant l’entrée, le couple de vendeurs sortit en furie. L’homme interpella Mathias.
Sylvie sentit que le moment d’agir était venu. Elle souleva promptement son pull, découvrant ses seins nus. Le proprio écarquilla les yeux. Elle se tourna vers Mathias.
Son amant ne se le fit pas répéter. Il prit ses jambes à son cou en direction de la sortie.
Les deux couples en restaient comme deux ronds de flan. Elle aussi se mit à courir vers le portail ouvert. Elle entendit à peine le propriétaire du chalet lui intimer l’ordre de s’arrêter, elle avait rejoint la BM prête à accélérer. Les deux amants éclatèrent d’un rire franc et nerveux.
Mathias posa sa main sur la cuisse de sa maîtresse :
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Ils avaient repris leurs valises à l’hôtel, payé la note, puis Mathias était passé à la banque. Ils se firent leurs adieux à l’aéroport. Une ultime fois, il put caresser sa maîtresse dans la froideur genevoise. Des larmes coulèrent sur les joues rougies de Sylvie.
Elle le regarda encore s’éloigner sur le tapis roulant qui menait à la salle d’embarquement. Sylvie traîna un peu dans l’aéroport, perdue dans ses pensées. Elle revivait ces deux jours de folie, entre envie de rire et crier sa rage que cela soit déjà fini. Elle avait un merveilleux amant, vivait de folles expériences, mais il était déjà loin.
En sortant de l’aérogare, elle s’approcha du premier taxi. Se pencha et frappa à la fenêtre passager qui s’ouvrit.
Samuel ! Au moins, le retour à la gare serait joyeux… Une heure et une pipe crémeuse plus tard - elle avait encore économisé une course - elle regardait défiler la campagne rhodanienne.
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Laurent avait demandé cela sans la moindre ironie, trop heureux d’avoir retrouvé sa femme. Sylvie était rentrée la nuit même sans faire de bruit, se glissant dans les draps chauds et se serrant sur le corps de son mari. Elle buvait son café du matin, seule, dans la cuisine lorsque son homme était apparu.
Il se posa en face d’elle.
Ils croisèrent leurs doigts en signe de réconciliation.
Elle poussa, vers Laurent, une enveloppe gonflée que lui avait remise Mathias à l’aéroport. Sa part. Il l’ouvrit et fut stupéfait.
Non, Sylvie, là tu es vraiment gonflée ! Elle garda cette pensée pour elle.