n° 11330 | Fiche technique | 10900 caractères | 10900Temps de lecture estimé : 8 mn | 26/04/07 |
Résumé: Rencontre avec un salaud irrésistible. | ||||
Critères: fh fsoumise hdomine chantage dispute | ||||
Auteur : Caroline2 (jolie blonde) |
DEBUT de la série | Série : Une histoire ancienne Chapitre 01 / 04 | Épisode suivant |
Je m’appelle Caroline (bien sûr je change tous les prénoms pour éviter qu’on ne m’identifie). Il y a longtemps que j’ai envie de confier à quelqu’un une expérience qui m’est arrivée pour en soulager ma conscience.
Je suis mariée depuis douze ans et mère de deux enfants dont un garçon de mon mari et une fille du premier « homme de ma vie » que j’ai eue à vingt ans. Je ne peux pas parler de cette histoire à mon mari, j’ai trop peur de salir l’image qu’il a de moi, alors j’ai pensé tout raconter par écrit.
J’ai quarante-deux ans et je suis une grande blonde (naturelle) aux yeux verts. Mon seul défaut est la taille de mes seins : j’ai toujours fait du « A », sauf pendant mes grossesses. Mais malgré ce côté « plate », je suis plutôt « canon », à ce que m’en ont dit la plupart des hommes.
Avant mon mariage, j’ai eu une vie sexuelle plutôt remplie. Dès l’adolescence, j’étais courtisée de toutes parts et je n’ai pas mis longtemps avant de céder (j’avais un peu plus de 16 ans lors de mon dépucelage) mais les premières expériences s’avérèrent assez fades jusqu’à ce que je rencontre David, à 19 ans. Le premier grand amour de ma vie, et je le considère toujours comme l’homme de ma vie.
J’étais tellement folle de lui que je me suis laissée mettre enceinte pour le garder. Ça n’a pas marché et il m’a plaquée pour revenir avec moi après la naissance de ma fille. Nous avons filé le parfait bonheur pendant cinq ans avant qu’il ne me plaque à nouveau. Enfin le parfait bonheur… avant mon mari, j’ai toujours eu le don pour tomber sur des salauds irrésistibles. David me faisait jouir comme les autres n’avaient pas su le faire avant, mais il était volage. Il lui est arrivé de revenir au milieu de la nuit et de me prendre avec le sexe encore humide d’une autre sans éprouver le moindre remord en voyant mes larmes. Il me faisait jouir et pendant mon orgasme, il me disait « ça vaut bien quelques larmes ».
Le pire c’est qu’il me trompait avec des femmes quelconques, sans rapport avec moi, enfin celles que j’ai vues.
Bref, à 25 ans, me voilà seule avec ma môme. Heureusement que j’avais bossé dur pour me trouver une petite place dans la fonction publique. Avec mon petit mi-temps et la pension pour ma fille, je ne m’en sortais pas trop mal, d’autant que j’habitais chez ma grand-mère, un petit pavillon de banlieue, donc pas de loyer.
J’en ai « essayé », des mecs, jusqu’à ce que je tombe sur Michel, un beau brun grand et mince rencontré par hasard dans le RER, sur lequel j’ai tout de suite flashé. Il m’a suivie, abordée, le lendemain soir nous dînions ensemble et la soirée se termina à l’arrière de sa voiture dans un parking souterrain.
Tout de suite, question sexe, il m’a fait « décoller ». Encore mieux qu’avec David. J’en étais folle. Un sourire… ça me pique encore l’entrecuisse d’y penser, il me souriait pendant l’orgasme et ça me faisait un effet… Pourtant j’ai vite compris que j’étais encore tombée sur un macho. Il venait chaque soir de la semaine coucher avec moi. Il arrivait après le dîner (il faut dire que ma grand-mère l’avait tout de suite catalogué « sale type » et lui sortait des réflexions pas vraiment agréables, donc il avait dîné une fois avec nous et n’avait jamais recommencé). Le week-end, il disparaissait, j’étais folle. Il m’assurait qu’il n’y avait pas d’autre femme, mais bon… Impossible de savoir de quoi il vivait, j’ai compris plus tard…
Au lit, c’était du sexe non-stop jusqu’à minuit-une heure tous les soirs. Il se retenait comme aucun mec n’en est capable. Après une heure d’amour ou plus, il éjaculait pour repartir de plus belle un quart d’heure plus tard. J’étais morte ! Et je devais me lever à six heures trente ! Heureusement que je ne travaillais pas le mercredi, pour récupérer, mais il en profitait pour me prendre le matin, une fois dès cinq heures trente et jusqu’à ce que ma grand-mère frappe à la porte en disant :
Et dominateur, avec des réflexions qui voulaient dire « T’as qu’un droit : te faire sauter ». Mais en dehors du lit, il était gentil. Et pas trop exigeant au lit, il suçait comme un dieu, mais ne me l’avait pas demandé. Du coup, je le lui avais fait de moi-même au bout de quinze jours. Mais, comme je m’étais arrêtée en cours de route, j’avais eu le droit à une réflexion :
J’avais répondu que j’avais horreur du sperme et il m’avait dit que donner du plaisir à son homme, c’était le rôle de la femme - sans le moindre humour ! Et pour bien me faire comprendre mes torts, il m’avait fait jouir yeux dans les yeux et avait réussi à éjaculer sans donner le moindre signe de plaisir. J’en avais pleuré. Il exigeait aussi que je lui raconte toute ma vie sexuelle passée. Un jour que je refusais de lui parler de David que j’aimais encore (et que j’aime encore un peu malgré tout), il sortit du lit et commença à se rhabiller.
Je dus lui raconter comment David aimait me faire l’amour et il m’en fit autant. En plein orgasme, ce salaud-là me fit avouer que je ne jouissais pas si fort avec David qu’avec lui. C’était vrai, mais j’avais honte de salir l’homme que j’aimais encore et pourtant, malgré moi, j’aimais sa façon de me traiter de la sorte, ce salaud. Par contre, la seule fois où j’avais voulu qu’il me raconte la sienne (de vie sexuelle), je me suis fait rembarrer.
Au bout de quatre semaines, il s’est pointé un lundi et m’a dit que son anniversaire tombait le mardi ! Je lui ai dit qu’il aurait dû me prévenir, que je prenne le temps de lui trouver un beau cadeau :
Il m’a donné une lettre d’explications et m’a planté là, en me disant qu’il me prendrait en voiture le lendemain, à la sortie du boulot.
J’essayai de le retenir, mais il me déclara :
La lettre expliquait que je devais m’offrir à lui pour une nuit de soumission sexuelle absolue : me laisser faire et obéir à ses ordres et caprices. Si j’étais d’accord, je devais aller au boulot avec un sac comportant une tenue « hyper-sexy » pour sortir et de quoi loger à l’hôtel le soir. Tout ce qu’il demandait c’est une réponse par oui (dans ce cas, je devais « aller jusqu’au bout ») ou par non. Après avoir pesé le pour et le contre, je décidai de refuser, je sentais qu’il abuserait de moi excessivement.
Le lendemain, il m’attendait à la sortie du boulot.
J’expliquai mon choix, mais il me coupa la parole :
Il faut dire que lors de mes « aveux forcés », je lui avais expliqué que David était très exigeant et que je m’étais plusieurs fois laissée faire : j’avouai avoir avalé une fois le sperme de David et avoir été profondément dégoûtée (après Michel, je n’ai jamais accepté à nouveau qu’on éjacule dans ma bouche) et j’avais aussi avoué avoir été sodomisée une fois par David et en avoir eu une douleur atroce. J’espérais ainsi le décourager. Peine perdue… (Après lui, je ne me suis laissée sodomiser qu’une fois par mon mari, pour ses quarante-cinq ans, il y a trois ans, j’ai eu mal, c’était horrible… aucun plaisir, sauf pour lui, qui m’a même remerciée d’un beau diamant).
Il m’emmena au cinéma, puis au restaurant, mais je voyais bien que le cœur n’y était pas. Il me ramena chez moi vers vingt-deux heures, sans m’avoir laissé prévenir ma grand-mère que je rentrais tard. Ma fille était couchée et on eut droit aux reproches de mémé. Il éluda et m’emmena dans la salle de bains où on se lava les dents avant de revenir dans la chambre sans se laver. Une fois au lit, lui qui d’habitude me préparait pendant longtemps, me monta dessus dans la position dite de la bête à deux dos et me pénétra ainsi. J’étais assez excitée et il me tint la tête fermement entre ses mains tout en me regardant. Je lui demandais d’arrêter de me tenir, mais il continua sans rien dire. Cela m’excitait et bien qu’il ne fit aucun effort pour me faire jouir, je jouis après l’avoir supplié de me lâcher je ne sais combien de fois. Il se retira sans même avoir éjaculé et se retourna pour dormir.
Je me lovais contre lui, en pleurant qu’il ne fallait pas qu’il le prenne comme ça. Il ne répondit rien et je plongeai sous les draps dans le but de le sucer, espérant le « défâcher ». Il me repoussa en disant :
J’étais en larmes et nous passâmes la nuit ainsi. Le lendemain soir, il revint comme si de rien n’était à son heure habituelle. Il me fit l’amour une fois et alla cette fois jusqu’à l’éjaculation, mais ne fit aucun effort pour me faire jouir. Lorsque je voulus parler avec lui, il me dit qu’il était fatigué. Le lendemain matin, il partit tôt et m’embrassa en me disant qu’il ne reviendrait pas avant lundi.
Je passai les pires jours de ma vie : jeudi, vendredi, samedi, dimanche et lundi sans aucune nouvelle, j’étais sûre qu’il ne reviendrait jamais. J’avais bien un numéro de téléphone, mais je tombai sur un de ses amis qui l’avait logé quelques jours et ne savait pas où il était.
Il arriva le lundi après le dîner. Je sortis devant le petit pavillon pour l’accueillir et lui sautai au cou :
Il me donna rendez-vous le mardi et partit comme la semaine passée. J’étais si folle de désir que je dus me masturber, ce soir-là (ce que je n’ai fait que rarement dans ma vie).