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n° 11343Fiche technique18709 caractères18709
Temps de lecture estimé : 12 mn
27/04/07
Résumé:  J'accepte les conditions de mon amant.
Critères:  fh hotel fsoumise hdomine contrainte fmast facial fellation cunnilingu 69 pénétratio sm
Auteur : Caroline2  (Jolie blonde)

Série : Une histoire ancienne

Chapitre 02 / 04
La soumission

Le lendemain, je sortis du boulot largement en avance, vers les trois heures comme il me l’avait demandé. J’avais mon sac, cette fois ! Je le posai dans le coffre de la voiture et il m’emmena dans un magasin de lingerie, car je n’avais guère que des collants. David m’avait offert des tas de bas, porte-jarretelles… dont il était friand, mais je les avais jetés après son « plaquage ». Nous achetâmes des bas résilles avec une large jarretière en dentelle, une jolie petite culotte en dentelle assortie et une guêpière en résille qui ne maintenait rien, mais qu’importe, cela suffisait à mettre en valeur mes petits seins. Toute cette lingerie était de couleur noire.


Nous prîmes l’autoroute direction Cabourg. On s’installa dans un hôtel assez classe et il prit une douche avant que je ne prenne un bain. Je pensais qu’il allait m’y rejoindre, mais il attendait le soir pour déclencher les hostilités.


Il s’était habillé très classe (veste et cravate chic, qu’il avait amenées dans une valise où je vis aussi des cordelettes…). Je mis mes dessous et en constatai l’effet à une bosse sous son pantalon. Je mis un chemisier noir très joli avec une jupe très courte rouge flash. J’avais un blouson assorti (rouge) et bien sûr un rouge à lèvres assorti. J’étais plutôt sexy mais la longueur de la jupe était à peine suffisante pour cacher les jarretières. On était en mai, il faisait très beau et nous dînâmes de homard et de champagne !


Après : balade au bord de l’eau avec « roulage de pelles » à qui mieux mieux. Cela ressemblait plus à une sortie en amoureux qu’à une séance de soumission absolue. Retour à l’hôtel vers minuit, avec changement de régime dès la fermeture de la porte de la chambre.



Son regard était terrifiant, c’était celui d’un prédateur pour sa proie et j’en eus un frisson de peur. Jamais je n’avais croisé un tel regard et je me demandai si je n’avais pas accepté à la légère d’être la proie. En même temps, cela m’excitait et la soirée au restaurant m’avait déjà bien mis le feu au cul.


Je le déshabillai lentement. Ah ! son torse nu et son ventre tout plat ! Celles qui n’ont jamais eu d’homme sans ventre n’imaginent pas ce que c’est. Ne pas sentir un ventre gras collé à ses fesses quand on est prise par derrière, caresser des abdominaux durs… j’en rêve encore, je l’avoue. Je me suis baissée alors pour retirer son pantalon et son slip. J’étais accroupie devant son sexe en érection et je m’attendais à ce qu’il me demande quelque chose. Au lieu de cela, il me fit ranger ses vêtements et me demanda de lui faire le plus beau strip-tease que je n’avais jamais fait.


Il bandait déjà bien avant que je ne commence par enlever mon blouson, puis mon chemisier en lui tournant d’abord le dos pour le laisser descendre sur mes épaules. Je me retournai alors pour qu’il admire mon buste sous la résille de ma guêpière et défis la fermeture sur le côté de ma jupe. Je me retournai à nouveau le temps de faire descendre lentement ma jupe le long de mes cuisses en me penchant en avant pour qu’il puisse se régaler du spectacle de mon cul et de mon entrecuisse. Arrivée aux genoux, la jupe glissa à terre et je l’envoyai plus loin avec le pied. Je me retournai alors et constatai à son regard que je m’étais acquittée de ma tâche fort correctement.


Il me demanda d’en rester là – je portais encore ma guêpière, mes bas et ma culotte – et m’ordonna de m’allonger sur le lit pour me masturber. Je m’exécutai et, à sa demande, je dus lui avouer que j’avais déjà donné un tel spectacle à David : toujours cette obsession d’en vouloir plus que son rival. Il se tenait au pied du lit, le sexe dressé et les mains sur les hanches, contemplant sa « chose » à lui. Il grimpa alors sur le lit et se tint debout. Quand on voit quelqu’un comme ça, d’en bas, il paraît plus grand, plus fort. Son sexe me paraissait démesuré.



J’étais assez excitée par son comportement très dominateur, je l’avoue, et je commençai à avoir des secrétions largement suffisantes pour me faire pénétrer, et pour qu’elles humidifient ma culotte sous laquelle mes deux mains s’activaient. Je me doutai toutefois qu’on n’allait pas passer tout de suite à une banale pénétration.


Il descendit alors du lit et me demanda de me mettre debout. Il se plaça derrière moi, collant son sexe à ma culotte et m’enlaça en me recommandant de garder mes mains actives pour le moment.



Je me mis à genoux.



J’avouai m’être agenouillée à plusieurs reprises devant David pour le sucer.



Non, je l’avais fait de moi-même, mais il avait apprécié, je n’avais été « mise à genoux » par aucun homme avant lui. Cette « virginité » le ravit.



Et je précisai bien maladroitement que c’était la première fois que j’avais essayé d’avaler et que j’avais été dégoûtée à jamais.


Il vint se placer devant moi.



Je ne savais pas trop quoi répondre. La vérité est que je me sentais à la fois humiliée et excitée, d’ailleurs je continuais à me masturber et j’étais bien mouillée. Je n’osai le regarder et il releva mon menton.



Je lui dis exactement ce que je pensais et j’ajoutai que je l’aimais, pour me justifier d’accepter cette humiliation. Sa réponse fut :



Et pour bien me montrer où nous allions, il saisit ma tête pour l’amener à son sexe. Son autre main attrapa mes bras l’un après l’autre pour amener mes mains, l’une sur ses couilles l’autre sur son sexe. Cette fois, c’était son plaisir qu’il fallait assurer, et pour bien assurer sa prise et ma soumission totale, il me tint la tête avec sa main droite sur le crâne, juste en dessous de ma queue-de-cheval, et sa main gauche sous mon cou. Je n’avais plus qu’à sucer. Jamais un homme ne m’avait fait subir ça. J’étais pourtant du genre à ne pas me laisser faire par un macho mais là, je restai soumise et suçai du mieux que je pouvais. Que voulez-vous ! j’étais amoureuse, et excitée de surcroît.



Je répondis oui avec la tête.



Et il me demandait d’acquiescer à chaque question par un hochement de tête. Lui d’habitude si long à éjaculer ne mit que quelques minutes, qui me parurent pourtant une éternité, ponctuée par des propos salaces du genre de ceux que je viens d’écrire. Je fus prévenue par un :



C’est avec la troisième giclée que j’eus le plus de mal. Je n’avais pas réussi à avaler toute la seconde et là, je me sentis débordée, prête à vomir. J’ai réussi malgré tout et aussitôt après les spasmes de sa jouissance qui s’accompagnèrent d’un long cri rauque, il me dit :



Je m’exécutai sans rien dire, au bord du dégoût. Je sentais que cette scène avait accru l’humidité de ma petite culotte ; j’étais trempée de désir.



Je m’en rendais compte : l’excitation, l’humiliation et le dégoût décuplaient mon ardeur « fellatrice ». Il s’extirpa de ma bouche lorsqu’il commença à débander, ce qui prit encore quelque temps, et m’ordonna de m’allonger au bord du lit et d’écarter les cuisses.



Il me roula une pelle qui atténua un peu le goût du sperme et s’agenouilla au bord du lit. En écartant ma culotte sur l’état de laquelle il fit une remarque, il me suça le clitoris. J’ondulai sous cette caresse qu’il accompagna bientôt de deux doigts dans mon vagin. Ils trouvèrent instantanément mon point G, alors qu’auparavant, jamais je n’avais été convaincue de son existence. C’était à la limite du supportable. Il m’ordonna de tenir mes cuisses avec mes mains et de cesser de gigoter. Je devais jouir et obéir, selon ses propres termes. Cela devint terrible, j’avais des contractions comme si j’allais enfanter. J’ai eu un orgasme tellement violent que mon bas-ventre se souleva sous l’effet des contractions pendant que mes cuisses se resserraient. J’avais désobéi et je fus punie : il se plaça alors à califourchon sur moi et me força à sucer son sexe, encore mou et gluant, tout en me tenant par les poignets.



Je fis oui de la tête.



J’ai horreur de ces mots vulgaires et il le savait. Là, il faisait exprès de les utiliser en me fixant droit dans les yeux. Il se replaça à genoux et recommença le cunnilingus. J’aurais préféré être pénétrée, je n’y tenais plus. Certes, j’ai eu un nouvel orgasme avec ses doigts et sa langue mais ce n’est pas pareil. Rebelote avec son sexe dans ma bouche, pour « se payer de mon orgasme », puis il me retourna et m’ordonna d’écarter les cuisses et de me cambrer, après m’avoir extirpé ma culotte sans ménagement.



J’étais ainsi offerte à sa pénétration. Il s’allongea sur moi et je sentis d’abord son corps chaud sur le mien, puis il mit ses mains sur mon sexe. L’une écartait doucement les lèvres, tandis que les doigts de l’autre caressaient de manière experte mon clitoris. Je fondais de plaisir et j’attendais son sexe.



Ah ! ce coup violent par lequel il entra en moi, je m’en souviens encore ! Il lui suffit que quelques va-et-vient pour déclencher un orgasme d’une violence jamais connue, et qu’il fit durer pendant un temps que je ne saurais pas évaluer.



Je ne comprenais pas ce qu’il voulait et il me rappela que je devais réclamer et je me déchaînai alors avec des « Encore », des « Vas-y », des « Baise-moi », des « Saute-moi », des « Je suis ta soumise », des « C’est bon » et même des « Défonce-moi ». Jamais je n’avais employé ces mots, qui m’excitaient autant que lui. Je dus aussi lui dire que jamais David ne m’avait fait cet effet-là… J’avais de telles contractions que je cherchai à resserrer mes cuisses, mais il était plus fort que moi et les maintenait par ses genoux au creux des miens. Mon clitoris était en feu.


Il me redressa alors à quatre pattes et reprit sa « défonce », agrémentée d’une masturbation en bonne et due forme du clitoris. Il ajouta une savante caresse de la main gauche sur mon anus. Au début, j’eus un mouvement de retrait. À aucun moment je n’avais pensé à la sodomie quand il m’avait parlé de nuit de soumission. Quelle naïve ! Il sentit bien mon retrait et déclara :



Finalement, la caresse s’avéra rapidement agréable ! Je sentis une nouvelle sensation de jouissance terrible. Je poussai comme pour pisser et je crus pisser ! En réalité, j’avais fait, pour la première fois de ma vie, la « fontaine ». C’est incroyable, la giclée qui partit et atterrit sur une glace située sur un genre de placard en face du lit. Ses couilles étaient trempées comme si on y avait versé un seau d’eau, sauf que c’était glaireux. Il en prit sur ses mains qu’il porta à sa bouche. Il aimait ça, je n’en revenais pas ! Moi, toutes ces glaires, le sperme, la mouille, ça me dégoûte plutôt.


Après qu’il m’ait expliqué ce qui m’était arrivé (j’étais sûre d’avoir fait pipi), je lui dis :



Il se mit à genoux sur le côté et me plaça la tête sur sa cuisse droite. J’étais sur le côté et il me fit écarter les cuisses.



Je le suçai et le branlai en même temps de la main droite. Sa main droite maintenait ma tête, quant à sa gauche, il avait pénétré de deux doigts mon sexe et se contentait d’appuyer sur mon point G. Il ne bougeait pratiquement pas et ça me faisait un effet terrible. Il y a quelques temps, j’ai réussi à ce que mon mari y arrive (quatorze ans plus tard – je n’avais plus refait la fontaine depuis Michel), c’est divin mais à la limite de l’insupportable. Je giclai toutes les dix secondes environ le même genre de glaire, en quantité moins importante que la première fois, mais suffisante pour ça trempe sa main qui dégoulinait sur mon sexe, puis coulait sur ma cuisse gauche (l’état de mon bas et de la jarretière !) et sur mon aine. Le drap en était trempé. Cette mouille achevait de me rendre folle. Je suçai comme jamais – il m’a déclaré après « J’en ai connu des suceuses, mais aucune ne l’a jamais fait avec autant d’ardeur que toi à ce moment-là » – tout en gémissant de plaisir et en poussant des cris, étouffés naturellement par son sexe qui emplissait ma bouche. Je cherchai à me retirer pour lui dire à quel point c’était bon, mais il me tenait fermement.


J’étais convaincue qu’il allait éjaculer dans ma bouche et je crois que s’il l’avait fait, j’aurais avalé sans peine, cette fois, ça serait passé tout seul. Mais il finit par se retirer et me reprendre à quatre pattes.



J’avais déjà crié assez fort mais là, me tenant par les hanches, il me défonça sans ménagement. C’était un mélange de plaisir, car son sexe me ramonait là où il faut, et de douleur, car il allait trop creux et trop fort. Je hurlai à la fois de plaisir et de douleur et je me demande encore comment les gendarmes ou les employés de l’hôtel ne sont pas intervenus. Cela ne dura heureusement pas très longtemps, car n’ayant pas su « réclamer », je fus prise en flagrant délit de désobéissance. La sentence fut exécutée à quatre pattes, lui à genoux devant moi, il me saisit la tête (une main sur le crâne et une sous le cou) et fit lui-même les va-et-vient :



Je fis non tant bien que mal de la tête.



C’est ce que je lui avais dit pour le décourager de jouer au macho. Je n’ai jamais laissé un homme recommencer. C’est la pire des humiliations, surtout lorsqu’il se lâche à prononcer les pires « salaceries », dont je ne me rappelle plus tant il y en eut.


Cela se termina par un :



Il se plaça à califourchon sur moi et me demanda de le branler. Son sexe était au-dessus de mon visage, mes mains le branlaient en alternance, celle inoccupée caressant ses couilles. Il me dit :



J’étais affolée par l’état dans lequel il se trouvait. Lorsqu’il gicla, je m’en mis partout et j’éclatai en sanglots tant j’étais tendue. Au lieu de me consoler, il me suça et me doigta, déchaînant un nouvel orgasme qui éclata aussi fort que mes sanglots.


Après, il se fit plus câlin, me remercia (incroyable) et me dit que jamais il n’avait eu du plaisir comme avec moi. Il fut d’une grande gentillesse et je lui susurrai des « Je t’aime », mais il refusa que je m’essuie. Il m’embrassa alors que mes lèvres étaient souillées de son sperme. Cela ne semblait pas le déranger. Il y avait du sperme collé dans les mailles de la résille de la guêpière et dans mes cheveux.


Nous restâmes un long moment lovés l’un contre l’autre et je m’endormis après avoir lu une heure quarante-cinq à la pendulette, mais il rebanda et me réveilla.