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n° 11346Fiche technique14261 caractères14261
Temps de lecture estimé : 9 mn
27/04/07
Résumé:  Punie par mon amant.
Critères:  fh hotel fsoumise hdomine chantage contrainte dispute fellation cunnilingu 69 pénétratio fsodo sm attache baillon
Auteur : Caroline2  (jolie blonde)

Série : Une histoire ancienne

Chapitre 03 / 04
La punition

La pendulette marquait trois heures trente du matin, j’étais morte. Comment pouvait-il avoir encore de l’énergie ? J’étais recouverte de sperme, mes cheveux étaient collés sur la droite, j’en avais dans le cou, sur la guêpière, sur les épaules, il y en avait qui avait coulé sur le drap et je m’étais vautrée dedans en dormant. Ça sentait le sperme froid. Michel en rajouta en étalant sur mon corps ce qui traînait sur le drap. Pendant qu’il faisait cela, il avait mis ma main sur son sexe pour que je le masturbe. Il était incroyablement dur, comme son regard d’ailleurs. Je m’efforçai de sourire et il recommença à me sucer. Je me demandais comment il pouvait faire, tant c’était répugnant de glaire, mais il avait l’air d’aimer.


J’étais apeurée à l’idée qu’il me mette le sien dans la bouche, avec son goût de glaire et de sperme froids. C’est pourtant ce qu’il fit en se plaçant en 69 dès que son cunnilingus eut suffisamment réveillé mon plaisir. Je m’aperçus qu’il avait eu la délicatesse d’aller se laver et son sexe avait même un léger goût de savon qui piquait un peu. C’était quand même meilleur que le goût du sperme froid. Je vis sur le côté l’une des cordelettes aperçues dans son sac.


Après le 69, qui me fit beaucoup moins d’effet – dans cette position, je trouve que l’homme est incapable de caresser comme il faut la zone sensible, cela ne m’a jamais rien fait –, il m’attacha les mains dans le dos avec la cordelette puis me mit à genoux. Il se plaça derrière moi et me pénétra. Il me baisa ainsi tout en caressant mon clitoris. Je n’avais jamais été prise dans cette position qui était délicieuse. Évidemment, je dus avouer avoir déjà été attaché (au lit) mais pas avec David. Je dus raconter cette aventure – à 19 ans pendant ma grossesse, après le premier « plaquage » de David, avec un pompier revenu le soir après que j’ai appelé les pompiers dans l’après-midi, officiellement pour une souris dans la maison, officieusement parce que j’avais le spleen, ma grand-mère étant partie pour deux jours à l’enterrement d’une lointaine cousine en province.


Je jouis assez rapidement et il agrémenta mon orgasme d’une caresse anale avec pénétration de son index. C’était très bon mais ça dégénéra :



En pleine jouissance, j’étais sidérée. Évidemment c’était vrai. Depuis trois ans que David m’avait plaquée, il trouvait régulièrement le moyen de me prendre. La plupart du temps je le laissais faire, pensant ainsi le reconquérir. Ma grand-mère me demandait souvent pourquoi je ne me remettais pas avec lui, parce qu’elle l’appréciait. La raison était simple : il ne voulait pas. C’était des coups furtifs, dans la voiture, dans la cuisine une fois, et même chez sa nouvelle, un vendredi où j’avais amené ma fille pour le week-end, alors que Madame était à une réunion politique ! Il y a quinze jours, on s’était promenés le dimanche soir et au milieu du parc, il m’avait forcée. Je lui avais pourtant dit que j’avais quelqu’un et que je ne voulais pas. Ce salaud m’avait rétorqué :



Je n’avais pas su résister et le lundi soir, j’avais même pensé à lui en jouissant avec Michel.


Évidemment, je dus tout avouer (sauf que je pensais à David pendant l’amour avec Michel). Il me déclara que je devais choisir ma punition : si elle était à la hauteur de l’humiliation subie par le cocu – il insista pour me faire dire plusieurs fois que je l’avais fait cocu –, ça continuerait entre nous après cette nuit, sinon « Adieu salope ». Il disait cela tout en me baisant et me masturbant l’anus. C’était clair. Je compris et lui proposai de me sodomiser. Il me dit qu’il ne me l’aurait jamais imposé car il n’était pas un sadique mais que ça valait bien que j’aie mal au cul pour le payer de son « cocufiage ».


Il se mit d’abord debout et me baisa par la bouche.



Cela dura un bon moment. Je faillis vomir car avec mes mains attachées dans le dos, rien ne le retenait d’aller très creux jusqu’à ma gorge. Puis il me détacha les mains du dos, et me les rattacha au lit au moyen de deux cordelettes, chacune liée à un pied du lit. La punition pouvait commencer. Il s’y ajouta un bâillon et un bandeau sur les yeux. Il me dit :



J’acquiesçai.



J’acquiesçai à nouveau. Il me prit en fait en levrette, par la chatte, en me masturbant le clitoris. J’eus à nouveau du plaisir. Il utilisait ma mouille pour lubrifier mon cul qu’il prépara à l’élargissement avec ses doigts. Ces caresses m’excitaient et me donnaient du plaisir. J’étais au bord de l’orgasme lorsqu’il se décida à changer d’orifice. Il me pénétra avec une grande douceur, en lubrifiant autant qu’il pouvait. Je ressentis un peu de douleur mais aussi une grande satisfaction d’être ainsi emplie (plus tard, la fois où j’ai accordé cette faveur à mon mari, je lui ai raconté l’avoir été trois fois, une fois douloureuse et deux fois agréables ; je lui ai demandé d’être agréable, mais il ne sut pas y faire).


Une fois bien pénétrée et bien lubrifiée, ses doigts de la main gauche allèrent sur mon point G pendant que ceux de la main droite caressaient mon clitoris. Je mouillais comme une folle, et il prenait régulièrement ma mouille pour lubrifier encore son engin qui maintenant allait et venait dans mon cul. Pour la première fois de ma vie, je jouissais du cul, et pas que du cul, en fait. Je pense que la pénétration anale ajoute une sensation, mais que le vagin et le clitoris doivent être sollicités pour qu’il y ait jouissance. En tout cas, je pus aller jusqu’à un violent orgasme. Avant que je n’éclate, ce beau salaud m’avait dit :



Après mon orgasme, il se retira, sans avoir joui, me détacha, me retira bandeau et bâillon, me cajola, me caressa, me demanda si j’avais eu mal – je répondis que non –, si j’avais eu du plaisir – je répondis beaucoup. Il ajouta que ma dette n’était pas encore payée, ce qui me fit froid dans le dos. Il me câlina encore un bon moment et nous nous endormîmes ainsi. Il était près de quatre heures trente, je crois.


Je me réveillai la première vers dix heures trente. J’avais un peu mal à la tête mais je fis le point pendant qu’il dormait encore comme un bébé sage. Il y avait un bon côté. Je m’étais « lâchée », pour mon plus grand plaisir, dans une soumission sexuelle dont je n’imaginais pas, ayant été élevée dans une ambiance féministe, qu’elle pouvait procurer autant de plaisir. Je ressentais une certaine douleur à l’anus, qui me rappelait toutefois que j’avais pris pour la première fois mon pied par-là. Autre point, je n’étais pas tombée sur un sadique, une chance…


Il y avait aussi le mauvais côté : je l’avais vu tel qu’il était. Difficile de voir des sentiments amoureux dans son attitude, seule la recherche du plaisir sexuel le guidait. Je ne pouvais surtout pas m’empêcher de penser que j’avais dépassé le point de non-retour : j’étais devenu son jouet sexuel : il avait employé l’expression lorsqu’il m’avait « baisée par la bouche », volontairement car je l’avais utilisé la première dans les débuts de notre relation en affirmant « Je ne suis pas un jouet sexuel » – c’était plutôt raté. Il y avait eu aussi des humiliations, des larmes qu’il n’avait guère cherché à consoler.


Il se réveilla, et comme il fallait rendre la chambre, nous n’eûmes que le temps de nous laver (c’est surtout moi qui dus me battre pour décoller le sperme de mes cheveux et la résille collée de sperme de ma peau). Nous rentrâmes « à la maison » (de grand-mère) vers seize heures et il me dit simplement « À demain ». Je n’étais pas fâchée d’avoir toute la nuit pour récupérer.


À ma grande surprise, il revint le jeudi an ayant un comportement normal. Aucune allusion à une quelconque soumission sexuelle. Il me suça, me pénétra, me fit jouir tellement fort que je dus mettre mon oreiller sur ma tête pour étouffer mes cris, puis éjacula en moi. Comme il l’avait toujours exigé – en se vexant la première fois où j’étais allée aux toilettes –, je conservai son sperme toute la nuit. En fait il finissait par me couler sur les cuisses ou le drap dans la nuit. Après un petit repos, j’eus droit à une deuxième séance et nous nous endormîmes vers minuit.


Il revint comme d’habitude le lundi suivant et tous les autres jours de la semaine. Il ne me demanda aucune fellation, aucune sodomie, rien de particulier même si sa façon de faire l’amour était déjà très dominatrice, privilégiant les positions par derrière, me tenant par une main au moins, l’autre caressant les zones sensibles, « défonce » de forcené…


Ce n’est que le jeudi qu’il me demanda de réserver le week-end en huit pour lui.



J’en étais très surprise : en sept semaines, je ne l’avais jamais vu entre le vendredi matin et le lundi soir. Après m’avoir fait l’amour, il me dévoila son « plan » : une nuit avec lui et un de ses amis ! Ma réponse fusa :



Au lieu de se démonter, il répliqua :



Évidemment, j’étais mal à l’aise pour répondre et il ne m’en laissa pas le temps. Il m’expliqua que ni son copain ni lui n’étaient des sadiques (j’avais pu le constater), que c’était son fantasme et peut-être un moyen de « payer ma dette ». Il ajouta que si je préférais, on pouvait le faire avec David.



J’étais sciée. Je me rendais bien compte que « Monsieur » n’aimait pas qu’on lui refuse quelque chose, il était assez charmeur pour obtenir ce qu’il voulait. Depuis le début, je n’arrêtais pas de me dire que j’allais refuser pour finalement me laisser faire. Il s’en rendait parfaitement compte, ainsi que du fait que j’étais folle de lui.



Difficile de rester dans le rejet catégorique. J’essayai pourtant mais sa réponse fut cinglante :



J’ai essayé de négocier, lui déclarant que je n’aimais que lui et ne voulais pas d’un autre. Il me moucha en me rappelant que je l’avais pourtant fait cocu, et j’eus l’air très bête. Je lui demandai alors s’il avait déjà fait ce genre d’expérience.


Pour la première fois, il me raconta partiellement sa vie sexuelle. Il avait déjà plusieurs fois pris une femme à deux, notamment une femme de la haute, de quarante-cinq balais, avec son mec – un baron ! –, et une fois il avait participé à une partouze. Il n’aimait que les trios, pas les partouzes :



Je lui demandai d’y réfléchir tous les deux et d’attendre encore un peu. C’était trop demander !



C’était on ne peut plus clair, je devais dire oui ou me faire plaquer ! En dix jours, il s’était comporté normalement, me confortant dans mes sentiments amoureux pour lui, pour mieux me rappeler que j’avais effectivement franchi le point de non-retour. Avec lui, j’étais une femme soumise et obéissante ou je n’étais plus avec lui ! Il ne me laissa pas lui répondre et me refit l’amour. Au moment où j’allais décoller, il me dit :



Je trouvai la force de dire non et ce salaud se retira en disant :



Je fondis en larmes et le suppliai de recommencer en lui promettant de faire tout ce qu’il me dirait.



Il s’était retiré pile au moment le plus frustrant, alors je n’ai même pas cherché à réfléchir, j’ai dit oui… et il me fit jouir avec ses mains aussitôt, mais me refusa son sexe en guise de « punition ».


Bref, j’avais cédé, une fois encore. Je suis une faible.