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n° 11376Fiche technique19571 caractères19571
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Temps de lecture estimé : 15 mn
09/05/07
Résumé:  Le héros se retrouve solidement attaché et sous la surveillance d'un colosse armé. Comment va-t-il réussir à se libérer ?
Critères:  #aventure fh hh extracon grosseins taille laid(e)s hsoumis hdomine hmast entreseins facial uro sm attache gifle
Auteur : Toma

Série : De charmantes vacances aux Caraïbes

Chapitre 02
¡ Viva la libertad !

Résumé : j’ai été engagé pour la protection d’un riche industriel lors d’un important voyage d’affaire. Comme le pressentait mon client, l’avion que nous prenons est détourné ! Je me retrouve donc enfermé dans un souterrain avec le reste des passagers. Je réussis, avec quelques hommes et une femme, à sortir de notre prison, mais notre escapade ne dure pas longtemps…






Lorsque je me réveille, on dirait que je suis en lendemain de cuite : j’ai l’impression que ma tête va éclater, mes yeux me piquent, je ne vois pas grand chose. J’ai les pieds et poings solidement attachés à une chaise. Je commence à apercevoir des hommes fouiller mon sac. Ils ont trouvé ma carte de service, mon permis de port d’arme et mon flingue.



Il ordonne de reconduire mes complices et de bien les surveiller. Ceux-ci étaient dans la même position que moi. Il donne également des instructions à un autre de ces hommes - ou une armoire à glace ? Je ne sais pas, j’ai du mal à faire la différence… - celui-ci déglutit difficilement. Apparemment son gradé vient de lui promettre un avenir bien noir en cas d’échec. Celui-ci s’assoit au coin de la pièce, l’arme au poing, et ne me lâche pas des yeux.


Le chef s’adresse à nouveau à moi :



Il finit sa phrase en faisant semblant de se trancher la gorge avec son index. Il émet un petit rire sadique et reprend :



C’est tout réfléchi : je me tire de cette piaule et lui casse la gueule, à ce connard. Ah ! je suis vénère, j’ai fait une de ces bourdes ! Je n’aurais jamais dû me laisser avoir comme ça, je suis vraiment nul. Bon ce n’est pas le moment de m’apitoyer sur ma connerie. Il faut que je reprenne le dessus sur ces enfoirés. Vous allez me dire : comment est-ce que je vais faire, vu que je suis attaché à cette chaise avec un bouledogue à mes chevilles ? J’ai toujours un canif planqué quelque part sur moi. Bon, j’essaye de le trouver, en faisant d’infimes mouvements que j’espère imperceptibles. Putain, où est-ce que je l’ai foutu, ce couteau de merde (normal, il est suisse, comment veux-tu qu’il soit bien ?). Ah ! Voilà, je me souviens où je l’ai mis.


Il faut absolument que je trouve un moyen de distraire mon geôlier car, dans la situation où je me trouve, manier ce couteau est impossible sans être vu.



Houla ! Pas commode, le type ! Si je ne peux même pas parler…



Il hoche la tête. C’est pas possible ! L’aurais-je déjà convaincu ? Qu’est-ce qu’il fait, pourquoi vient-il vers moi ?

Une fraction de seconde suffit pour répondre à ma question : les deux mornifles reçues me font crier de douleur. Bravo, c’est une réussite ! En plus d’être pieds et poings liés, j’ai maintenant une arcade explosée… Il faut que je trouve autre chose ; mais pas tout de suite, je dois reprendre mes esprits. Les baffes m’ont mis dans un drôle d’état, je suis en train de délirer : j’ai l’impression que le sexe de cette brute s’est durci, comme si me voir pisser le sang l’excitait !



Mais le regard du type en dit long. Voilà un filon à creuser : c’est un sadique, peut-être que je pourrais essayer de me libérer pendant qu’il est occupé à me frapper… Non finalement ; c’est une très mauvaise idée, je n’ai aucune envie de me faire passer à tabac. En plus, avec la force de ce type, il n’est pas sûr que je serai en état de faire quoique ce soit après…


Réfléchissons, réfléchissons… J’ai maintenant retrouvé suffisamment de clarté d’esprit. Le terroriste affiche un sourire d’une atroce cruauté et également, je n’ai pas rêvé, un début d’érection. Il faut absolument que je trouve une autre solution avant demain matin. D’un autre côté, je n’aurai peut-être pas d’autres opportunités : un homme est en état de faiblesse lorsque que ses actions lui sont dictées par ses testicules, alors ça doit être pareil pour l’armoire en chêne massif que j’ai en face de moi. En plus, je pense que s’il me tue, son avenir serait vraiment incertain… Allez ! Un peu de courage…



Ça marche ! Attention à ma gueule, ça va faire mal… Il se lève avec un sourire et un regard qui me fait froid dans le dos tellement on y lit de la cruauté. Mais pourquoi est-ce que je l’ai lancé ? Il s’avance d’une allure de tortionnaire se demandant ce qu’il va faire de sa victime – le pire, c’est que c’est exactement ça… Il appuie sans ménagement le canon de sa mitraillette entre mes côtes. Il est debout devant moi, j’ai donc au premier plan la vue de la bosse de son pantalon. Sans relâcher la pression sur mes côtes, il descend rapidement vers mon entrejambe. Ce geste déchire ma chemise et me vrille le ventre, une trace rouge reste visible sur sa trajectoire. Je serre les dents pour étouffer un cri de douleur.


La mitraillette maintenant a atteint mon aine gauche, je la sens se diriger vers mes testicules. Je tente de fermer mes jambes mais les nœuds sont trop bien faits, ils ne me permettent pas de bouger mes cuisses d’un millimètre. Là, je hurle à la mort : le malfrat a réussi à coincer mes couilles entre la chaise et le canon, la douleur est insupportable. Le type se débraguette et sort un gourdin difforme qu’il commence à masturber à moins de dix centimètres de mon visage. Il ne faut pas que j’y pense, il ne faut pas que je regarde cette anormalité qui bouge devant moi. Je ferme les yeux et essaie de me concentrer sur le couteau que je suis en train de manipuler. Difficile lorsque l’on sent ses couilles meurtries de cette manière, lorsque l’on entend un monstre grogner près de soi, d’autant plus que la pression sur mes testicules devient de plus en plus forte !


Cela ne devrait pas durer longtemps car le type a atteint le point de non-retour ; heureusement d’ailleurs, car un peu plus et je m’évanouissais de douleur. C’est bon, c’est fini, j’entends ce gros porc jouir bruyamment ; je sens son sperme chaud, épais et gluant gicler sur mon visage. Cela me répugne au plus haut point mais mes couilles ne sont plus torturées, c’est déjà ça. Dans un dernier soubresaut, cette brute me bouscule sans ménagement, ce qui fait basculer ma chaise. Je suis maintenant sur le dos, les jambes pliées en l’air.


Quel con, il vient de potentiellement me libérer ! Je peux maintenant couper les liens de mes poignets en toute discrétion ! J’ai le visage plein de sperme et les couilles en feu mais je m’en fous car j’ai atteint mon objectif. Cet abruti ne pense pas à me relever, heureusement ! Je le vois faire sa toilette intime avec un mouchoir – ou tout du moins ce qui devrait être un mouchoir, mais ça ressemble plutôt à un chiffon qui viendrait de servir à graisser un moteur. Pendant ce temps je cisaille le plus rapidement possible, je ne voudrais pas que ce porc ait le temps de me refaire une faciale ou une autre gâterie de ce genre…


Voilà, mes poignets sont enfin libérés. La prochaine étape est d’attirer mon gardien et de l’assommer, pour ensuite libérer mes jambes. Voyons, voyons… Peut-être lui suggérer implicitement de me faire nettoyer sa queue avec ma bouche ? Une aigreur me vient rien que d’y penser… Tiens, que fait-il ? Il revient vers moi. Oh non, me voilà reparti pour une deuxième séance ? Apparemment oui…


Il se met à genou et commence à me pisser à la gueule et me labourant les côtes avec sa crosse. C’est la dernière erreur de sa vie : j’attrape simultanément ses couilles et la mitraillette puis tire sur les premières et avec la seconde. Il reçoit une demi-douzaine de balles dans le ventre, son sang gicle, j’en ai plein la tronche (un masque urine, sang et sperme, c’est bon pour la peau ?).


Bon, voilà, ça, c’est fait. Je dénoue mes tibias et me lève. Mon geôlier n’est pas mort, il est en train d’agoniser sur le sol. Je sais qu’il va mettre plusieurs heures avant de mourir dans d’atroces souffrances, ses viscères rongés par ses sucs gastriques, et j’en suis ravi. J’enlève le restant de chemise qui me reste et essuie mon visage. Ffffff, ça pique, la première chose que je ferai lorsque j’aurai récupéré mon sac, c’est de nettoyer mon arcade.


Voilà ce que c’est, de vouloir jouer les héros, maintenant je suis torse nu et seul. En plus je ne peux même plus récupérer mes gadgets : ils ont été piqués par ces enculés. Je n’ai qu’un flingue, je ne vais tout de même descendre tout ce ’ti monde avec, à moi tout seul, je ne suis pas un surhomme ! Quoique…


Je m’engage une nouvelle fois vers la salle à sacs. Ha, merde ! Ils ont mis un cadenas. Je sors mon couteau multifonction (je retire ce que j’ai dit, parce que c’est très pratique) et j’entreprends de scier la chaîne. Quelle patience il faut pour ouvrir cette porte, dis donc ! Ça me prend un temps ! Heureusement que presque tout le monde doit encore pioncer… Voilà, après de nombreux efforts, j’arrive à déverrouiller cette serrure. Je cherche mon second sac. Cette fois-ci, je le trouve tout de suite. Tiens ! Qu’est-ce que c’est que ça ? On dirait la trousse de premier secours de l’avion, chouette !


Maintenant, il faut que je trouve la sortie de ce labyrinthe. Un garde : à la guerre comme à la guerre, je lui tire une balle dans la jambe ; il s’écroule, je l’assomme et lui pique sa chemise. Eh ! Mais c’est ma jolie petite informaticienne qui est enfermée là ! J’entreprends de la libérer, avec les autres de notre ancien groupe de résistance.



Certains hommes veulent essayer, les autres ont leur permis de port d’arme, mais ma jolie Julie refuse, elle doit être trop sensible.



Il y a trois hommes devant la prison. Mais pas ceux que j’avais mis en place, ils ont découvert la supercherie. Là, trois, je suis obligé de les neutraliser. Je réfléchis : est-ce que cela vaut le coup d’écourter ainsi leur vie ? Réponse négative, tant pis pour mon idée. De toute façon garder une communication avec les prisonniers restants ne sert pas à grand chose, à part peut-être sur le point tactique, lorsque les secours seront là.


Nous progressons ainsi : je suis à l’avant avec un de mes « aides », deux autres sont à l’arrière. Nous avons tous les quatre une mitraillette automatique et un gilet pare-balles ; ils doivent couvrir ceux qui n’ont pas de protections ni d’armes – je n’en ai malheureusement pas assez.



C’est un groupe de cinq, ils ont un mouvement de réaction, mais nous tirons avant. C’est bon, le danger est passé.


Voilà enfin la sortie : c’est une porte blindée. Allez, j’en ai marre de jouer dans la finesse. Je sors un pain de plastique, le colle sur la serrure, y plante un détonateur. Boum ! Il n’y a plus de porte.



Ça n’a pas été long : ils nous mitraillent déjà.



Alors moi, évidemment j’en profite : je m’allonge sur la superbe informaticienne. Mon visage est au niveau de sa poitrine, ce n’est absolument pas efficace pour protéger une personne contre les balles mais rudement agréable ! Ses seins sont superbes : ce sont deux melons au maintien parfait. Je ne sens aucun soutien-gorge sous le fin chemisier, sa position fait qu’ils sont légèrement plus écartés que d’habitude : super, il n’y a pas de silicone dedans !



J’entends des balles siffler autour de moi : les terroristes tirent au hasard dans les buissons où nous nous sommes planqués. Huouarg ! Je viens de me prendre une balle dans la cuisse, putain de sa mère que ça fait mal ! Vite que ça finisse, je souffre… Ah ! Ils m’ont écouté : ils se tirent.



Il arrive.



L’informaticienne aux gros nibards aide le médecin à m’allonger sur le dos. Ils m’enlèvent mon jean.



Mais, elle est française, la petite ! Et en plus elle me donne du « tu ».


Elle sort mon organe de mon calbute et commence à le branler doucement de sa main droite. Je vois où elle veut en venir… Que ses mains sont agréables ! La pression sur mon sexe est idéale, ses mains sont fines et douces. De sa main libre, elle déboutonne son chemisier. Ouah, que sa poitrine est belle… Il ne me faut pas longtemps pour avoir une érection du diable. Le résultat paraît la satisfaire, elle le lâche, s’allonge sur le ventre sa bouche au niveau de mon sexe. Cette position n’est visiblement pas agréable, sans doute à cause des brindilles qui jonchent le sol. Elle décide donc de se mettre à quatre pattes. Tant mieux, le spectacle n’en est que plus beau, plus excitant : en un mot meilleur.


Elle met seulement mon gland dans sa bouche, c’est un délice : je sens sa langue le parcourir, des vibrations de celle-ci à son extrémité enclenchent de petits frissons en moi. Je suis tellement excité que tous mouvements de ses lèvres sur mon sexe me feraient jouir en une minute. Mais sa bouche ne bouge pas, mon gland est simplement effleuré ; cela m’excite au plus haut point mais impossible de jouir, c’est extrêmement frustrant. Reculer pour mieux sauter ; patienter pour mieux jouir.


Les réactions de mon corps doivent refléter mon état d’esprit : je vois dans les yeux magnifiques de Julie une intense satisfaction lorsqu’elle lâche mon gland. Elle ne va pas me laisser comme cela, tout de même ! Je bande comme un taureau malgré ma blessure que le médecin est en train de préparer pour l’opération. Julie vient se mettre à quatre pattes sur moi, sa poitrine au niveau de mon sexe. Je la vois, pendante pratiquement jusqu’au niveau de ses coudes. Comme si cela ne suffisait pas ! Je ne peux pas bander davantage, je sens maintenant mon sexe tressauter au même rythme que mon cœur qui bat fortement. Elle s’amuse à faire balancer ses seins de droite à gauche, je sens ses tétons frapper le bout de mon pieu dressé.


Enfin ! Je vais jouir : elle place ma bite entre ses seins puis commence à me branler lentement avec. Hooonn, c’est la reine des branlette spanish ! Elle s’y connaît ! Jamais on ne m’a fait un truc aussi délicieux. Je ne peux pas décrire, c’est vraiment irrésistible, je suis dans un état second, comme en transe. Je ne résiste pas plus longtemps, je jouis puissamment, l’orgasme se répand rapidement dans tout mon corps puis se concentre vers ma blessure comme s’il voulait ressortir de mon corps par-là… Julie en a plein le visage, mais elle continue encore, longtemps, longtemps…



Wouaou, c’est terrible comme méthode, il faut la faire breveter, je n’ai absolument rien senti. Le noir a dû me retirer la balle pendant mon orgasme, la douleur s’est ainsi transformée afin de sublimer mon plaisir. Un peu comme lorsque l’on se chope une crampe à l’instant même où l’on crache, tu vois ? Ça t’est déjà arrivé ? Moi, je tends exprès mes jambes à l’extrême, pendant l’acte, c’est peut-être du masochisme, mais ça donne des sensations uniques !



Elle m’embrasse sur la bouche, interminable comme pelle, en plus elle a des lèvres délicieuses, avec un léger goût de foutre. Elle ne s’est pas encore nettoyé le visage, j’utilise ma langue pour.



Et toi, t’as deviné ? Bien oui, on l’a fait, en pleine nature. C’était bon… je m’en souviendrai toute ma vie…


Bon, reprenons notre histoire. Les bandits sont…



Comment ça, non ? Tu ne veux pas continuer ? Dis-le-moi si je te fais chier ! Tu veux des détails, c’est ça ? Ha là là… Je te reconnais bien là… Bien soit, le lecteur est roi. Voyons, qu’est-ce que nous avons au menu… Caresses, cunnilingus, fellation, anulingus, 69, fist, rapports vaginaux, d’où des orgasmes à répétition : tu vois le topo ? Non, ça ne te suffit pas ? Allez, n’insiste pas, je n’ai pas envie de développer plus. Ne t’inquiète pas, il y aura d’autres scènes croustillantes que je me ferais un plaisir de détailler, mais là, tu admettras que c’est classique, non ? Un héros marié qui rencontre une charmante et qui profite d’une situation extraordinaire pour la tirer, c’est du réchauffé…



Les bandits sont sur le qui-vive : j’ai l’impression qu’ils sont partout à la fois dans l’île, qu’ils en fouillent tous les recoins. Parano ou réalité ? Je ne saurais dire… J’allume une balise GPS, un petit bip-bip va s’enclencher sur le récepteur posé sur mon bureau. Le voyant, ma femme va s’empresser de remuer ciel et terre pour me retrouver, comme je la connais - j’espère qu’elle ne va pas trop s’inquiéter… Au final, je m’en sors bien : je suis libre et je tiens par la taille une sublime créature… Mon pote Fred se servira ensuite de son réseau pour faire venir ici un soutien militaire le plus vite possible. En attendant, il faut trouver un coin pour se planquer, car si jamais on est retrouvés, on se fera tirer comme des lapins. J’en parle à mes coéquipiers, ils sont de mon avis.


Nous avançons lentement, sans bruit, très précautionneusement, en nous enfonçant dans la forêt. Ma jambe me fait mal, je boîte comme un petit vieux. La chère Julie ne m’a pas lâché depuis mon opération. Il n’y a pas bézef de cachettes dans cette île de merde, il n’y en a même pas du tout. Et chiotte ! Qu’est-ce qu’on va faire, alors ? Là, on peut dire que je suis dépassé par les évènements, je suis vraiment à court d’idée. Allez, bordel ! Magnez-vous, les Marines ou qui que ce soit d’autre ! Venez, j’en ai marre de cette histoire… À la fin de la journée, résultat de nos recherches : que dalle ; je prends alors une sage décision :



En tout cas, je n’ai pas fait long feu, je me suis endormi immédiatement dans les bras de ma tendre, la tête calée entre ses formes. Je suis réveillé par des coups de feu et des cris de douleur.



(À suivre)