Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 11441Fiche technique24780 caractères24780
Temps de lecture estimé : 15 mn
05/06/07
Résumé:  L'initiation d'un couple au nudisme par leurs voisins.
Critères:  voisins piscine jardin voir nudisme traduction
Auteur : Chatelisse      

Série : Le soleil et les voisins

Chapitre 01 / 06
Le soleil et les voisins



Le soleil et les voisins






Michel et moi avions tous les deux vingt-six ans et étions mariés seulement depuis deux ans quand nous avons acheté notre maison à la campagne, loin de la ville et des banlieues. La vie à la campagne nous attirait, peut-être en raison de notre timidité naturelle. Ni l’un ni l’autre n’avons de frère ou de sœur, et quand nous nous sommes rencontrés sur le terrain de sport de l’université, nous étions tous deux là seulement parce qu’un ami nous y avait traîné. Naturellement, j’étais heureuse d’avoir intégré une équipe sportive.

Si j’avais bien eu déjà quelques petits amis, je n’avais jamais eu aucune véritable expérience sexuelle. Mon aventure avec Michel était donc ma première, et j’étais heureuse de savoir que c’était le cas également pour lui aussi. Ma curiosité sexuelle était seulement un peu plus forte que celle de Michel parce que lui, au moins, avait déjà vu des femmes nues dans des films. Pour le plaisir des hommes, il arrive que les stars féminines célèbres apparaissent dévêtues dans les films, mais nous savons tous que les acteurs masculins ne donnent presque jamais la même satisfaction aux femmes. J’ai donc connu charnellement uniquement Michel, et ensemble nous avons pu satisfaire beaucoup de curiosité. Ce qui ne veut pas dire que nous n’avions plus aucune curiosité à ce sujet…


Après avoir passé nos examens, nous avons tous les deux décroché des emplois intéressants qui, s’ils ne nous enrichissaient pas beaucoup, nous permettaient tout de même de rechercher une maison à la campagne. La propriété que nous avons trouvée s’étendait sur presque un hectare. À peu près la moitié du terrain était constituée par le jardin autour de la maison, le reste était boisé et broussailleux. Les alentours étaient très accidentés et ne se prêtait pas à l’urbanisation et il n’y avait donc à cet endroit que notre maison et une autre dont le terrain touchait le nôtre. Le relatif isolement ne nous inquiétait pas.

La maison de nos voisins, un couple dont l’agent immobilier nous avait dit qu’ils devaient avoir un peu moins de quarante ans, était à une vingtaine de mètres de la nôtre. Les deux jardins étaient séparés par une haie assez dense dans laquelle était percée une ouverture fermée par un petit portail en barreaux de bois à claire-voie. Nous avons remarqué que cette végétation empêchait de voir quoi que ce soit chez nos voisins, sauf en étant près de la porte. Cependant, du premier étage, chaque maison avait une vue dégagée sur le jardin de l’autre. Nous avons tout de suite vu que l’autre propriété possédait une piscine. En voyant nos regards envieux sur cet équipement que nous ne possédions pas, l’agent immobilier nous a dit :



J’ai tout de suite pensé qu’il allait nous dire que les voisins étaient peu amicaux et ne nous inviteraient sans doute jamais à profiter de la piscine, mais ce n’était pas du tout ça. Il a continué :



Nous ne savions pas exactement ce qu’il voulait dire et nous lui avons demandé de s’expliquer. Il semblait peu disposé à le faire, mais finalement il a ajouté :



Je ne dirais pas que Michel et moi étions particulièrement prudes concernant le comportement des autres, mais nous étions évidemment plutôt conformistes. Pendant notre voyage de noces sur les plages le long de Costa Brava en Espagne, nous avions vu beaucoup de femmes qui se baignaient ou bronzaient torse nu. Pour ma part, je pensais que j’en montrais déjà plus que je ne devrais quand je portais un bikini que Michel m’avait acheté. En blaguant un peu, il m’avait suggéré d’enlever le haut quand nous étions sur la plage. Pour lui faire plaisir, je lui avais permis de défaire les cordons du soutien-gorge alors que j’étais couchée sur le ventre et je l’avais même laissé l’enlever complètement, mais j’étais restée sur le ventre. Michel avait voulu prendre quelques photos et, plus comme une taquinerie qu’autre chose, il m’avait suggéré de me retourner.

Pourtant, comme il le savait, je ne voulais pas me retourner, non seulement par timidité, mais également parce que je considérais mon corps comme trop maigre, et que mes seins sont petits. Si je m’asseyais, mes seins ne paraîtraient pas plus grands que des petits citrons, et si j’étais couchée sur le dos j’aurais semblé être presque totalement plate. Michel dit toujours que mon corps est peut-être mince, mais mes longues jambes (je mesure un mètre soixante quinze, la même taille que Michel) sont si minces que mes fesses paraissent bien rondes. Et au sujet de mes seins minuscules, il dit qu’ils sont très jolis et, qu’en outre, mes larges aréoles rose foncé font agréablement ressortir mes mamelons légèrement retournés vers le haut, ce qui compense la taille très modeste de mes seins.

Quand il a donc commencé à parler de photos, j’ai répondu :



Nous avons éclaté de rire tous les deux. Michel n’a jamais vraiment essayé de me forcer à faire quelque chose dont je n’avais pas envie. Mais il était tellement gentil avec moi que, au moment de retourner à notre hôtel, j’ai suggéré un compromis : je m’assiérais pour remettre mon soutien-gorge mais il ne prendrait pas de photo. Avant de m’asseoir, j’ai vérifié rapidement que personne ne faisait attention à nous, et je l’ai donc fait aussi rapidement que je pouvais. Comme j’attachais le cordon derrière mon cou, j’ai été embarrassé de voir un homme assis non loin de là me sourire comme s’il était ravi de la brève exposition que j’avais pu lui donner. Michel l’avait remarqué et a souri également. Nous n’avons jamais revu cet homme pendant notre séjour, et j’ai dû admettre que, finalement, ça ne m’avait pas trop gênée de lui laisser voir mes seins. À chaque fois que Michel et moi nous avons parlé de l’incident, nous en avons ri. Deux ans plus tard, alors que nous nous déambulions dans cette maison vide, ce souvenir de plage est certainement revenu à l’esprit de Michel comme il était revenu au mien, bien que ni l’un ni l’autre n’en ayons parlé.


Finalement, ce jour-là, nous n’avons rien décidé, nous avons dit à l’agent immobilier que nous allions réfléchir. D’autres maisons étaient disponibles et nous les avons visitées. Mais elles étaient toutes situées plus près de la ville et leurs prix étaient donc plus élevés. D’autre part, elles risquaient d’être, tôt ou tard, englouties par la banlieue.

Nous avons donc reparlé de cette maison et de ses voisins. Michel m’a fait remarquer que l’agent immobilier n’avait jamais suggéré que les voisins étaient de dangereux pervertis, et en outre la maison était vraiment ce que nous recherchions. Ce que ni l’un ni l’autre n’avons avoué dans cette discussion, c’est que nous étions curieux au sujet des voisins, curieux au sujet de leur audace. Et donc, nous l’avons achetée.


Quand nous en avons pris possession, nous avons passé une partie de l’après-midi à visiter les environs immédiats pour voir à quoi ressemblait notre nouvel environnement. En retournant à la maison, nous avons été salués par nos nouveaux voisins qui se tenaient sur le pas de la porte de la haie. Ils avaient entendu parler de notre achat de la maison et avaient remarqué une nouvelle activité à côté de chez eux. Nous étions heureux de les rencontrer, et j’ai été soulagée de voir qu’ils étaient aussi habillés que nous. J’avais été un peu anxieuse en pensant à cette future rencontre en me demandant comment je réagirais. Leur arrivée soudaine m’a débarrassée de toute mon inquiétude.

J’ai donc pu regarder Geneviève et Charles d’une manière différente. D’une taille moyenne, Geneviève avait une allure agréable, de beaux cheveux, une peau lumineuse parsemée de quelques taches de rousseur, un joli visage et un sourire étincelant. Charles était grand, plutôt mince et plus bronzé que son épouse. Pendant que nous parlions, j’ai essayé de ne pas penser à eux sans leurs vêtements, mais j’admets que je me suis demandé à quoi ils auraient ressemblé s’ils avaient été nus, et Michel m’a dit la même chose un peu plus tard.


C’est plusieurs jours après que nous nous sommes finalement installés et les voisins ne se sont pas manifestés. Plus tard, nous avons appris qu’ils étaient en vacances dans les Caraïbes. De toute façon, nous avions beaucoup à faire pour tout arranger tout à notre goût. Je ne les ai pas vus non plus pendant les deux semaines suivantes.

À la fin de notre installation, Michel est parti pendant quelques jours pour ses affaires. Pour ma part, j’avais installé mon bureau dans une pièce très lumineuse, à l’étage, dont la fenêtre donnait sur le jardin. Cet après-midi là, je travaillais à la rédaction d’un article pour le journal dont j’étais la correspondante et, en regardant machinalement par la fenêtre, j’ai vu Geneviève dans son jardin. Elle avait un arrosoir à la main et circulait entre la maison et la piscine pour arroser toutes ses plantes en pots. Elle portait un chapeau, un slip de bikini, et rien d’autre. J’ai été surprise par sa décontraction apparente et par le fait qu’elle semblait très à l’aise en n’étant que si peu vêtue. Il est vrai qu’elle pouvait se monter sans complexe, ne serait-ce qu’en raison de la perfection de ses seins qui auraient pu subir sans problème le test du crayon, ce qui me procura un petit pincement de jalousie. Pendant que je la regardais, j’ai pensé que Michel serait déçu de ne pas avoir été là avec moi, et j’ai regretté aussi que Charles n’accompagne pas sa femme, dans la même tenue. Puis Geneviève est retournée à l’intérieur et n’est pas ressortie.


Pour déjeuner, je me suis installée dehors dans le patio pour apprécier l’air frais en mangeant ma salade. Après le déjeuner, je me suis allongée sur une chaise longue et ai fermé mes yeux. La voix de Geneviève m’a sortie de ma rêverie et je me suis assise. Elle était à la porte et me disait bonjour. Je me suis levée et l’ai rejointe. Elle m’a dit qu’elle espérait que nous étions maintenant bien installés dans notre nouvelle maison. Je lui ai répondu que nous aimions la maison et le jardin, mais pendant que nous continuions à parler, je me sentais troublée. Elle était toujours dans la même tenue que le matin et j’ai remarqué qu’elle avait également des taches de rousseur sur les seins, particulièrement autour de ses mamelons pâles. Évidemment, elle a pu voir mon regard, ou plutôt mon essai de ne pas la regarder à cet endroit-là.

Geneviève a ajouté qu’elle était heureuse de me voir parce qu’elle voulait me parler. Elle ne savait pas ce que l’agent immobilier nous avait raconté, et elle a ajouté :



Je lui ai alors raconté ma brève exposition sur la plage espagnole. Elle a ri et m’a dit :



J’ai juste rougi et n’ai dit rien, et elle a continué :



Il ne faisait pas encore trop chaud au soleil, et je n’avais pas envie d’y aller pour le moment.



Geneviève a immédiatement saisi l’ouverture que je lui donnais, et a dit :



J’ai accepté, mais pendant que je retournais en haut dans mon bureau, je me demandais comment je pourrais éviter d’y aller. Ou ce que je ferais si j’y allais. Je n’ai pas beaucoup travaillé cet après-midi là et, quand il a été bientôt quinze heures, j’ai décidé de faire une pause et je suis descendue prendre une bouteille d’eau fraîche dans le réfrigérateur. Puis je suis sortie dans le patio et je me suis avancée jusqu’à la porte de séparation. Quand je suis arrivée, Geneviève venait juste de sortir de sa maison. Elle portait un peignoir.



Mais en disant cela, je n’étais pas moi-même très à l’aise. Elle a alors ôté son peignoir et l’a laissé tomber sur une chaise. La peau claire de Geneviève ne devait pas supporter beaucoup le soleil et elle n’était pas très bronzée, mais elle n’avait quand même aucune marque de maillot de bain sur le corps. Et, à ma grande surprise, j’ai aussitôt remarqué qu’elle n’avait aucun poil sur le pubis. Elle devait se raser ou être entièrement épilée. Un fois de plus, j’ai pensé que Michel serait absolument dépité d’avoir manqué le spectacle.

Geneviève m’a demandé :



C’est alors que je me suis rendue compte que j’avais oublié de prendre mon maillot. Comme une idiote, j’étais venue en portant ma bouteille d’eau et rien d’autre. Maintenant, je ne savais ce que j’allais dire à Geneviève. J’ai bégayé :



Je ne voulais pas paraître comme étant particulièrement prude, et ni l’un ni l’autre de nos maris n’était présent pour me voir. C’était tout de même un sacré défi, surtout venant de quelqu’un que je connaissais depuis si peu de temps. En me tournant le dos, Geneviève est descendue dans la piscine comme si elle voulait me laisser décider seule. Et peut-être aussi pour me laisser me déshabiller si je choisissais de le faire.


Je suis allée vers le bord du patio, comme si j’allais retourner à la maison, puis je me suis arrêtée et ai regardé de nouveau vers la piscine. Geneviève ne faisait pas attention à moi. Alors, sans plus réfléchir, je me suis débarrassée des mes sandales et j’ai commencé à enlever mes vêtements. Puisque je ne portais pas de soutien-gorge, j’ai déboutonné d’abord mon short et l’ai ôté. En retirant mon chemisier, j’ai jeté un rapide regard rapide pour voir si elle m’observait, mais elle nageait tranquillement. Quand je me suis retrouvée torse nu, j’ai soudain senti la légère brise sur mes mamelons et je me suis rendue compte qu’ils étaient totalement érigés. Pendant un moment, j’ai pensé que je pourrais garder ma culotte, mais aussitôt je me suis rendue compte que ce serait complètement idiot. En fait, ce n’était pas une culotte, mais un minuscule string censé être uniquement pour les yeux de Michel, pratiquement transparent sur le devant et ne comportant qu’un cordon à l’arrière. J’ai réalisé que, s’il était mouillé, je semblerais ne rien porter du tout. J’ai posé mon chemisier et mon short sur la chaise, j’ai retenu ma respiration et, ayant accroché mes pouces de chaque côté du string, je l’ai lentement tiré vers le bas et j’ai fait un pas de côté pour m’en débarrasser complètement. C’était une sensation entièrement nouvelle, que je n’étais pas sûre d’apprécier. C’est alors que j’ai entendu Geneviève me dire :



J’ai aussitôt remarqué qu’elle m’avait tutoyée, comme si le fait d’être nues toutes les deux nous avaient rendues plus intimes et j’ai été agréablement surprise. Pourquoi donc ne pas en faire autant ?

Pendant que je m’approchais de la piscine et que j’entrais dans l’eau par l’escalier, Geneviève n’a pas cessé de me regarder. Cependant il n’y avait pas d’autre accès, mais j’ai pensé qu’une fois dans l’eau je serai moins exposée.



Nous avons nagé et avons parlé de toutes sortes de choses, mais pas du nudisme, et je me suis sentie bientôt un peu moins mal à l’aise. Un peu plus tard, Geneviève est sortie de la piscine pour répondre au téléphone, et j’ai trouvé qu’il était agréable de regarder son corps nu, alors qu’elle se tenait debout avec le téléphone à l’oreille. Comme pour lui renvoyer la balle, je suis sortie de la piscine à mon tour et me suis efforcée d’être aussi naturelle que possible pendant que je m’essuyais avec la serviette qu’elle avait mise à ma disposition. Finalement, c’était un peu comme si je partageais une chambre avec une sœur, bien que, comme n’en ayant pas, je ne savais pas vraiment si les sœurs ont souvent l’habitude d’être nues ensemble.

Quand elle a reposé son portable, elle m’a dit :



J’ai fait ce qu’elle m’avait suggéré et je me suis allongée sur le dos. Elle a fait la même chose que moi, mais elle a tiré sa chaise longue à l’ombre de la maison. Nous avons continué à parler et, au bout d’un moment, je ne suis retourné sur le ventre de sorte que je lui faisais face pendant que nous parlions. Notre conversation s’est effilochée et je me suis un peu assoupie sous la chaleur du soleil et finalement j’ai fait un petit somme.

C’est la voix de Charles qui m’a réveillée. Geneviève était retournée dans la piscine et lui demandait s’il avait passé une bonne journée au travail et il lui répondait. J’ai bougé un peu, complètement désorientée, et Charles, se tournant vers moi, a dit :



J’ai jeté un coup d’œil vers lui, me rendant soudain compte dans quelle tenue il pouvait me voir. Mes vêtements étaient hors de portée de mes mains et, même si je m’étais levée pour aller les enfiler, il aurait largement le temps de détailler mon corps nu. Et d’ailleurs, depuis combien de temps était-il là ? Je me suis recroquevillée sur la chaise longue, en espérant lui en exposer le moins possible. C’est alors que, à ma grande confusion, il a commencé à ôter ses vêtements.



J’ai essayé de ne pas le regarder, exactement comme j’avais essayé de ne pas trop lui montrer mon corps nu. Néanmoins, je n’ai pas pu résister à l’envie de l’observer pendant qu’il finissait de se déshabiller. Avec un naturel qui dénotait une longue habitude, il a glissé son slip aux rayures rouge et noir le long de ses jambes et l’a enjambé, dévoilant des fesses minces et bronzées. Avant qu’il entre dans l’eau, il a étalé du lait solaire sur ses épaules et ses bras, tout en se tenant devant moi, m’offrant une vue totale sur son pénis qui se balançait au gré de ses mouvements. À ma grande surprise, comme son épouse, il avait le bas ventre et les testicules complètement glabres, hormis une petite touffe de poils frisés au-dessus du sexe. Après celui de Michel, c’était donc seulement le deuxième pénis que je voyais, et il m’a semblé long et mince, comme le reste du corps de Charles. Je me suis souvenue de ce que Geneviève m’avait dit au sujet de l’homme sur la plage et, finalement, j’aimais regarder ce que je voyais, et peut-être que je aimais ça un peu plus du fait qu’il paraissait ainsi encore plus nu et que j’étais nue moi-même.


Charles est enfin entré dans l’eau et a commencé à nager. Je le surveillais attentivement, et au moment où, se dirigeant dans la direction opposée à moi, il a plongé sous l’eau, j’ai sauté sur mes pieds, et ai couru à la chaise où j’avais mis mes vêtements. J’ai essayé de rester le dos tourné à la piscine, bien que dans ma hâte, j’ai commencé par enfiler mon chemisier, laissant mes fesses exposées bien trop longtemps. Sans prendre la peine de remettre mon string, j’ai enfilé en vitesse mon short. Il n’y a aucun doute que j’ai dû leur paraître complètement paniquée pendant que je leur disais combien l’après-midi avait été agréable et que je me sauvais vers ma maison.

Une fois rentrée chez moi, j’ai commencé à me calmer et à reprendre mon souffle. J’avais passé un après-midi riche en expériences nouvelles et je me demandais comment je raconterais tout ça à Michel.

Je suis remontée dans mon bureau pour travailler et, environ une heure plus tard, mon mari a appelé. Il m’a demandé comment je passais mon après-midi et je lui ai répondu :



Mais c’est tout ce que je lui ai dit alors.


À suivre