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Temps de lecture estimé : 18 mn
13/06/07
Résumé:  Nicole et Michel poursuivent leurs découvertes et font la connaissance d'un autre couple nu.
Critères:  couple hépilé fépilée piscine bain exhib nudisme traduction
Auteur : Chatelisse      

Série : Le soleil et les voisins

Chapitre 02 / 06
Le soleil et les voisins




Le soleil et les voisins






Avant que Michel ne revienne, j’ai de nouveau vu Geneviève. Elle est venue me voir le jour suivant. Comme je l’avais deviné, elle et Charles s’étaient rendus compte combien j’avais dû me sentir embarrassée et elle voulait me faire des excuses pour ne pas m’avoir avertie que nous n’aurions pas forcément la piscine pour nous seules pendant l’après-midi entier. Pour l’occasion, et sans doute pour ne pas me mettre plus mal à l’aise, elle portait un t-shirt.



J’étais encore embarrassée, mais je lui ai répondu :



Geneviève est restée pour prendre un thé, et nous avons parlé d’autre chose. Je la sentais rassurée. D’autre part, j’ai continué à me demander comment je raconterais à Michel mon exposition complètement nue dans la piscine des voisins. Ou, plus exactement, je me suis demandé comment Michel réagirait quand je le lui dirais.


Le lendemain, à son retour, je lui ai tout raconté, et j’ai eu la réponse :



Si sa réaction n’était pas celle que j’avais prévue, ça m’a flattée que sa déception soit plus de ne pas m’avoir vue, que de ne pas avoir vu Geneviève dans la même tenue, bien qu’il ait exprimé aussi quelques regrets à ce sujet. J’étais également satisfaite que Michel n’ait pas été dérangé le moins du monde par mon aventure. Il aurait juste voulu être là pour voir mon corps, évidemment pas pour la première fois, mais pour la première fois dans cette situation, à la lumière du soleil avec d’autres personnes autour.

Il a continué à me parler de son manque de chance d’avoir raté un tel spectacle et a fini par me demander si ça pourrait se reproduire alors qu’il serait là. Je n’avais pas de réponse à cette question. Cependant, j’ai eu une idée pour que Michel puisse se faire une opinion sur les événements de cet après-midi là. Je lui ai dit :



Ignorant de ce que j’avais à l’esprit, il m’a suivie en portant l’appareil photo. Nous avons franchi la porte et sommes allés jusqu’à la piscine. Geneviève m’avait dit qu’ils seraient absents toute la journée et je savais donc que nous serions tranquilles pendant un moment. Me rapprochant de la maison, j’ai dit :



Et comme pour décrire l’ordre de mon déshabillage, j’ai illustré mon histoire en la reconstituant. Alors que Michel me regardait avec une convoitise non déguisée, je me suis déshabillée exactement comme je l’avais fait devant Geneviève.



Michel m’a regardée un moment avant de dire :



Michel a souri comme s’il se souvenait seulement qu’il avait l’appareil photo



Il a commencé à porter l’appareil photo à son œil, puis s’est arrêté :



Nous avons ri tous les deux, et il a pris la photo. Alors, pendant que je me retournais pour me poser sur mes coudes de façon à ce que mes seins soient bien exposés, j’ai ajouté :



Michel a pris une autre photographie.



Michel a pris encore une photo.



C’était une première pour nous, une première pour Michel de prendre des photos de mon corps nu, sans rien de caché. Après qu’il m’ait photographiée sous tous les angles, il est venu me prendre contre lui, ses mains parcourant mon dos et mes fesses. Le plaisir de ces caresses s’ajoutait au plaisir d’être nue à l’extérieur contre lui. Je sentais très distinctement son excitation contre mon ventre, et j’ai su qu’une nouvelle expérience pourrait arriver si je ne suggérais pas que nous retournions à la maison où notre lit offrirait plus de place et de confort que la chaise longue.

Cet après midi-là, notre façon de faire l’amour fut vraiment très spéciale. Je suis restée nue pendant que nous retournions à la maison et bientôt nous étions en haut dans notre chambre en train d’utiliser au mieux nos mains et nos bouches. Quoique le sexe de Michel n’ait eu besoin d’aucune aide pour être parfaitement en érection, je voulais toujours l’avoir dans ma bouche, où je pouvais sentir son niveau de passion. Sa langue m’a fait autant de bien que possible jusqu’à ce que je me sois levée, aie saisi son membre dressé et me sois installée dessus. Nous avons plus parlé que d’habitude pendant que je m’activais de haut en bas sur lui. Pendant qu’il jouait avec mes seins, il a tiré mon visage plus près de sa bouche et a dit :



Je haletais de plaisir.



Je chantais presque mes réponses.



J’ai augmenté mon rythme jusqu’au moment si doux de mon orgasme. Mon vagin serrait spasmodiquement la queue raide qui me pénétrait profondément, et j’ai continué mes mouvements, voulant partager ce sentiment si intense avec mon mari. Je me suis penchée vers lui et ai chuchoté :



Il n’a pas eu à répondre. La vue de son visage et la pulsation de son membre pendant qu’il s’enfonçait encore plus en moi m’ont dit tout ce que je voulais savoir, puis j’ai senti de longs jets jaillir au plus profond de mon vagin.

Naturellement, tout en faisant l’amour, nous pouvons dire certaines choses et plus tard ne plus savoir si nous voulons réellement réaliser ce que nous avons imaginé. Par la suite, quand nous avons parlé plus calmement de ce que nous avions dit, Michel m’a clairement indiqué qu’il ne voulait pas me pousser à faire quelque chose que je ne souhaitais pas faire.



J’ai répété ce que j’avais dit à Geneviève : c’était juste quelque chose que je n’avais pas prévu. Avec Geneviève, cependant, j’essayais de répondre poliment, ne voulant pas qu’elle se sente responsable de ce qui s’était produit. Maintenant, avec Michel, je me suis rendue compte que ma réponse n’était peut-être pas totalement la vérité et que, dans le fond, je ne regrettais peut-être rien.



J’en suis restée là et Michel ne m’a pas poussée plus loin dans mes retranchements. Plus tard, je me suis rendue compte que je n’avais pas demandé à Michel ce qu’il pensait vraiment de l’idée d’être nu lui-même devant d’autres. Il avait abondamment avoué être excité par l’idée de me voir m’exhiber mais n’avait rien dit quant à s’exhiber lui-même, et j’ai supposé que peut-être les hommes avaient moins de scrupules que les femmes à se découvrir pour être vus des autres. Et cela m’a intriguée de savoir comment je réagirais si Geneviève venait à découvrir la nudité de Michel. Elle, naturellement, avait déjà vu beaucoup plus d’hommes que moi, aussi je ne pouvais pas prévoir ce que serait sa réaction. Pour moi, cependant, ce serait une première, la première fois que je verrais une autre femme regarder le corps de mon homme, regarder son pénis que personne d’autre que moi n’avait vu. Geneviève n’avait certainement pas fait attention quand j’avais regardé le pénis de Charles, ce n’était pas quelque chose de nouveau pour elle. J’en ai conclu que je n’étais pas comme Geneviève. Ce qui ne voulait pas dire que j’étais hostile à l’idée de changement…

Nous n’avons pas beaucoup vu nos voisins pendant une bonne semaine. Sans aucun doute, nous avions tous des choses à faire et ça ne m’a pas semblé étonnant que nous ne nous rencontrions pas davantage. J’ai juste eu une fois l’occasion de voir Geneviève et Charles arroser leurs plantes autour du patio et de la piscine. Elle était torse nu et Charles était complètement nu. J’ai appelé Michel qui était en bas, et il a finalement pu les voir à distance.


oooOOOooo


Quelques jours plus tard, Michel m’a demandé :



Bien que prise au dépourvu par sa question inattendue, voyant qu’il était sérieux, j’ai répondu aussitôt, sans réfléchir plus longtemps :



Nous sommes donc partis tous les deux. J’ai remarqué qu’il emmenait un sac de sport, mais je ne lui ai pas demandé ce qu’il contenait. Quand, vers midi, il a fini son travail, nous sommes allé déjeuner dans un restaurant où nous avions l’habitude de nous retrouver quand nous étions encore tous deux étudiants. À cette période, quand nous avions rendez-vous le soir, nous venions fréquemment y grignoter une pizza. J’ai dit à Michel :



Je me suis immédiatement souvenue de l’endroit, bien que ni l’un ni l’autre n’y soyons jamais allés. À environ dix kilomètres au nord de la ville, une carrière à ciel ouvert abandonnée étaient devenue un lieu de rassemblement pour les étudiants qui l’avaient découverte et en en avaient fait une piscine naturelle. Au début, les autorités les avaient avertis que l’endroit était peu sûr, mais finalement elles avaient laissé faire, en considérant que c’était une possibilité de baignade gratuite pour des étudiants peu argentés. Par la suite, le journal local n’en avait plus parlé, et la carrière n’a jamais été fermée.



Il m’a alors expliqué combien la carrière avait changé au cours des années. Des gens avaient été volontaires pour nettoyer le terrain, couper l’herbe, améliorer le « front de mer », comme ils l’appelaient, et transformer l’ensemble en un lieu de baignade populaire pour toutes les catégories de baigneurs. C’est-à-dire qu’au fil des années, il avait été admis tacitement que toute la partie la plus proche du parc de stationnement était du type familial, et le reste était plutôt occupé par les nudistes.

J’ai pris un moment pour penser à tout cela avant de demander à Michel :



Dans mon esprit, je n’avais pas décidé ce que je ferais une fois arrivée là-bas. Excepté que c’était une bonne occasion pour regarder les corps des autres.

Il nous a fallu seulement un peu plus d’un quart d’heure pour arriver à la carrière. Une des améliorations que j’ai remarquée immédiatement c’est l’installation de cabines à côté du parking, j’avais ainsi un endroit pour me changer en toute intimité. D’autre part, les voitures n’étaient pas très nombreuses sur le parking. C’était la période des vacances et la population étudiante avait beaucoup diminuée.

Après nous être changés, nous sommes descendus sur le « front de mer » et j’ai pu constater qu’il y avait toute la place désirée pour ne pas être trop près des autres baigneurs.



Il avait raison, et mon cœur a commencé à battre plus rapidement car nous avons continué plus loin et avons franchi une ligne assez basse de rochers empilés. En gravissant les rochers, j’ai découvert une plage nettement plus peuplée. Où que nous posions nos serviettes nous serions beaucoup plus près de quelqu’un d’autre que si nous étions restés sur la première plage. Inquiète du regard que les gens pourraient poser sur moi et de l’allure que je pouvais avoir dans mon bikini minuscule, je n’ai presque pas fait attention aux autres baigneurs.

Toutefois, un couple qui sortait de l’eau et revenait vers ses serviettes a attiré mon attention. Ils sont passés juste devant nous, à quelques centimètres et, pour moi, ce fut un festin visuel de voir le sexe court et épais de l’homme se balancer pendant qu’il marchait et que des gouttelettes d’eau scintillaient dans ses poils pubiens foncés et très touffus. Le fait d’avoir vu ce couple m’a incitée à regarder plus soigneusement autour de moi. Après Michel et Charles, tous les hommes nus qu’il y avait là s’ajouteraient rapidement à mon album photo mental. Car il s’est avéré que la plupart des hommes et des femmes étaient complètement nus, les femmes qui ne l’étaient pas étant au moins torse nu.


Michel nous a emmenés à un endroit libre au milieu des baigneurs, mais où il n’y avait pas d’hommes seuls.



À ce moment, j’ai été frappée de constater combien la mode offre aux hommes tellement plus à regarder. Ces garçons portaient tous de grands et vastes shorts qui leur descendaient aux genoux tandis que leurs petites amies portaient des slips de bikini coupés très haut sur les hanches et très étroits dans le dos, sans compter qu’elles étaient toutes torse nu. Au moins, aucune d’elles n’avait de très gros seins, ce qui aurait pu me donner une sensation d’infériorité.

Le maillot que Michel avait apporté, j’étais contente de le constater, était plus audacieux que ceux des jeunes gens. Je l’avais acheté pour lui tout comme il avait choisi le mien avant que nous partions pour notre lune de miel. Il était extrêmement collant et ressemblait à une paire de bas avec la ceinture très basse et les jambes coupées très haut sur les cuisses. J’aimais l’allure de son corps, large aux épaules et mince à la taille, avec une ligne de poils foncés et bouclés partant de son nombril et disparaissant sous le nylon du maillot, vers l’importante proéminence qui s’y distinguait nettement. J’ai également aimé la manière qu’il a eu de rougir quand il a enlevé sa chemise et que les gens ont pu voir son maillot si sexy.


Nous avons posé nos serviettes et nous nous sommes assis sans dire un mot pendant un petit moment. Le couple voisin est resté allongé les fesses au soleil et, dans le groupe, les filles se retournaient de temps en temps pour unifier leur bronzage, cachant ou exposant alternativement leurs seins.

Mon cœur battait si fort que j’ai décidé de me tester. J’ai annoncé rapidement « Eh bien, allons-y ! » et j’ai délié le cordon de mon soutien-gorge, puis l’ai ôté complètement, l’ai posé à côté de moi et me suis alors retournée sur le ventre, le tout en quelques secondes, en espérant qu’une telle rapidité ne paraîtrait pas suspecte.

Michel a paru épaté et a arboré un grand sourire en disant :



J’ai jeté un coup d’œil en direction du couple : la femme n’avait pas bougé, mais l’homme était maintenant allongé sur le côté, nous faisant face. Il portait des lunettes de soleil et lisait un livre, et puisque je ne savais pas quand il s’était tourné et que je ne pouvais pas voir ses yeux, je ne savais pas s’il avait été témoin de mon exposition soudaine. Tandis que je le regardais, j’ai remarqué quelque chose d’inhabituel.



Après un moment, Michel m’a dit :



Encore une autre nouvelle expérience pour moi, ai-je pensé. Alors j’ai essayé de regarder vers le groupe d’étudiants, mais je ne pouvais plus voir Michel et notre sac. Mon cœur a cogné un peu plus pendant que je me soulevais sur mes coudes, sachant qu’ainsi j’offrais pleinement mes seins à la vue de notre voisin s’il regardait. Parmi le groupe de garçons, j’ai vu un regard se détourner, comme s’il n’avait pas voulu être vu en train de regarder. Je me suis retourné de nouveau vers l’autre homme et j’ai constaté qu’il me regardait, ayant baissé un peu ses lunettes de soleil sur son nez. Il a souri et a incliné la tête. J’ai réfréné l’envie de me rallonger sur la serviette et au lieu de çà, j’ai également incliné la tête. J’ai pensé qu’en si peu de temps je vivais une nouvelle expérience : un homme totalement inconnu, entièrement nu, regardait mes seins, et moi je le laissais regarder tant qu’il voulait !



Avec un tel encouragement, je suis resté appuyée sur mes coudes, mes petits seins bien en vue. Michel a sorti le lait solaire et l’appareil photo Il a d’abord pris quelques clichés, juste au cas où mon courage m’abandonnerait, et ensuite a étalé de la lotion sur mon dos. Comme j’étais toujours appuyée sur mes coudes, il a saisi l’occasion pour aller plus loin et enduire rapidement mes seins. Mes mamelons se sont dressés aussitôt. Après avoir frotté son propre torse et ses jambes, il m’a demandé :



J’ai hésité, mais il a tourné son dos vers moi, tout près, afin que je puisse me cacher derrière lui, et j’ai pu étaler la lotion. J’ai apprécié sa courtoisie, et j’ai donc été déterminée à montrer plus de hardiesse. Pas immédiatement, mais un peu plus tard.

Peu après, nos voisins se sont levés pour aller se baigner, et j’ai pu voir que la femme avait des seins lourds et le bas-ventre entièrement épilé. Michel n’a pas raté ce détail, mais m’a dit gentiment que, en ce qui le concernait j’étais toujours la plus belle sur la plage. C’est alors que j’ai bougé. Je me suis assise et je l’ai embrassé :



Il a souri largement pendant que je restais assise, les jambes allongées devant moi de sorte que mes seins étaient exposés à la vue de tout le monde. En me demandant de prendre quelques poses différentes, Michel a pris encore quelques photos et j’ai essayé de présenter fièrement mes seins, juste pour lui.

Tandis que j’étais assise, quelques personnes sont passées le long de l’eau, la plupart du temps des garçons avec des maillots longs et amples et des filles torse nu. Il y a eu aussi un couple d’hommes, eux complètement nus, qui m’offrirent une vue intéressante sur leurs sexes. Cependant, j’ai gardé une attitude calme et ai permis à chacun de voir mes seins et probablement de les comparer aux nombreux autres seins exposés ici.

Un peu plus tard, Michel m’a demandé :



Un rapide regard m’a confirmé que son sexe faisait une grosse bosse sous son maillot.



Il a semblé soulagé et m’a embrassé encore et s’est même penché un peu pour déposer un baiser sur un de mes seins. Les voisins, qui revenaient de leur bain juste à temps pour voir notre petit jeu, nous ont souri et la femme a dit :



En baissant les yeux vers le gonflement si évident qui se dessinait sous le maillot de Michel, ils ont éclaté de rire et sont allés s’allonger sur leurs serviettes, alors que Michel devenait tout rouge. Pour reprendre contenance, il m’a demandé si je voulais aller dans l’eau.



Il est allé se jeter dans l’eau en courant et pendant ce temps, je suis restée assise sur ma serviette. Quand il est revenu, j’ai pu voir que le gonflement sous son maillot avait nettement diminué. Il m’a proposé d’y aller à mon tour. J’ai pensé remettre mon soutien-gorge avant de me lever mais j’ai finalement résolu de continuer l’expérience en restant torse nu. Pendant que j’avançais dans l’eau, un homme entièrement nu en est sorti, marchant vers moi. Plus tard, j’ai découvert que Michel avait pris une photo de moi et de lui, tous les deux avec de l’eau aux genoux, l’homme avec un regard évident vers ma poitrine. Ce que l’appareil photo n’a pas pu voir, c’est que de mon côté je regardais son long sexe humide se balancer devant lui.

Quand je suis sortie de l’eau, après plusieurs minutes de bain régénérateur, j’ai vu que Michel prenait une série de photos de moi tandis que les gouttes d’eau s’écoulaient de mon corps mouillé. Les étudiants me regardaient également. Pendant que je me séchais debout à côté de Michel, je leur en ai donné un peu plus à voir.

Pendant ce temps-là nos voisins s’étaient habillés et se préparaient à partir.



Michel s’est levé aussitôt en lui tendant l’appareil photo.



J’ai passé mes mains dans mes cheveux pour essayer de les arranger un peu, et Michel a mis un bras autour de ma taille et m’a serrée contre lui. L’homme s’est légèrement reculé pour nous avoir entièrement dans le viseur, et après qu’il ait pris un cliché, Michel lui a demandé d’en prendre un autre de plus près, qui nous montrerait de la taille vers le haut. L’homme a souri largement et j’ai vu que son épouse souriait également. Cette photo là, naturellement, montrerait mes seins et mes aréoles foncées sur lesquelles restaient quelques gouttes d’eau. Et je pense que Michel a également aimé l’idée que je me présentais pratiquement nue devant un homme habillé que nous ne connaissions pas. Honnêtement, je dois avouer ne pas avoir moi-même détesté l’idée… Plus tard, en regardant les photos, j’ai été embarrassé de voir que, inconsciemment, j’avais rejeté les épaules en arrière pour offrir mes seins à l’objectif et que mes tétons semblaient tout durs. Et, puisque son maillot était tellement léger, il était évident qu’une partie de Michel était dure également…


Nous ne sommes pas restés beaucoup plus longtemps et, en partant, comme acte final de courage, j’ai enlevé mon bikini à côté de la voiture et suis restée nue pendant que je m’essuyais une fois de plus avant de me rhabiller pour le retour à la maison. Personne n’a pu me voir à ce moment là sauf Michel, et j’ai pu constater, pendant qu’il se changeait également, que mon exposition finale avait ajouté un cran à son excitation. En voyant son érection à ce moment là, j’ai pensé que notre plaisir viendrait un peu plus tard dans la soirée, à la maison.



À suivre…