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Temps de lecture estimé : 18 mn
04/07/07
Résumé:  Christèle et Alain découvrent de nouveaux horizons.
Critères:  fh grp collègues fépilée collection voir noculotte fmast intermast facial fellation pénétratio fdanus partouze jeu init
Auteur : Sun Tsu            Envoi mini-message

Série : Passion

Chapitre 08
Le retour des deux amants

Après plus d’un an, Christèle et Alain sont de retour. Leur histoire a connu des hauts et des bas pour tout un tas de raisons. Depuis plusieurs mois, leur passion a atteint un nouveau zénith et ils ont découvert de nouveaux horizons ensemble, ce qui les pousse à chercher à approfondir leurs expériences…



Christèle entre dans le séjour avec un plateau et des verres ; il est l’heure de l’apéritif. Dehors le jour commence à décliner tout doucement, mais il fait encore bien jour. Un jour gris, pluvieux et triste comme il y en a trop eu ces dernières semaines.


Alors qu’ils avaient prévu de passer la journée en balade, ils étaient restés tous les deux enfermés dans la maison sous une pluie battante. Pluie battante qui avait servi de fond sonore quasi-constant à leurs ébats et occupations. Lorsque Christèle s’était levée et avait ouvert les rideaux, elle avait rapidement résumé les perspectives.



Bien qu’il ait encore été dans un état de demi-sommeil, Christèle avait tôt fait de réveiller ses ardeurs et, après de longues minutes de baisers, câlins et explorations diverses et variées il avait fini par jouir avec elle dans sa position favorite. Sur le dos, alors qu’elle s’empalait sur lui, il avait basculé en la voyant malaxer ses seins lourds aux pointes si sensibles. Entre cette vue et celle de sa queue disparaissant dans ce ventre tendu vers le plaisir, il n’arrivait jamais à se retenir très longtemps. Lorsque sa sève avait jailli dans le fond de son vagin, Christèle s’était affalée brutalement dans un grand râle de plaisir. Très rapidement ils s’étaient de nouveau endormis dans les bras l’un de l’autre alors que flottaient dans l’air les doux effluves de leur plaisir. La journée avait été une douce alternance de câlins, de repos et d’occupations banales. Ils étaient heureux d’être ensemble et tout allait bien.


Ce n’était qu’en fin d’après-midi que les choses avaient légèrement dérapé. Christèle venait de sortir de son bain et, alors qu’elle était devant le miroir, il avait surgi derrière elle pour l’embrasser dans le cou. Tout en palpant les seins dont la peau était encore plus douce après le bain, il avait murmuré dans son oreille :



Sans attendre sa réponse, il avait fiché sa bite dans le sexe de sa partenaire d’un seul trait.



Dès qu’il avait atteint le fond de son antre, elle s’était cambrée en se tenant au lavabo pour bien lui offrir ses fesses et le sentir l’envahir. Des deux mains, il avait écarté les globes et promené son pouce sur la rosette dévoilée. Tout en allant et venant en elle il avait poussé ce dernier pour s’enfoncer doucement.



Sentant l’excitation monter, il avait été de plus en plus violent dans ses mouvements et, alors que son sperme était sur le point de gicler… une fois de plus, elle s’était brutalement dérobée sous lui ! D’un geste sec, elle s’était déportée sur sa gauche, le laissant s’échapper des orifices convoités, manquant de le déséquilibrer. Il avait dû se rattraper au lavabo et se retrouvait ainsi, le sexe raide et luisant, haletant de surprise.



Elle aussi avait la respiration lourde et, après quelques instants, elle avait fini par lui répondre.



Il la regardait d’un air interloqué et surpris. La connaissant, il se dit qu’elle devait avoir une idée derrière la tête, mais il ne voyait pas quoi. Devant son air interrogatif, elle avait repris.



Avec un sourire espiègle, elle l’avait embrassé furtivement tout en le poussant doucement vers la porte de la salle de bain.



Assis dans le canapé, il l’observe en face de lui. Nue, elle est magnifique avec sa longue chevelure raide, ses seins galbés et lourds, son ventre plat qui débouche sur une toison soigneusement taillée et encadrée de hanches pleines et fermes. Son regard pétille et elle le remarque manifestement, car, avant de s’approcher de la table basse, elle fait un tour sur elle-même pour lui montrer ses fesses et la cambrure de ses reins.



Elle pose le plateau et sert les verres. Elle a apporté une bouteille de champagne et des biscuits apéritifs.



Tout en avalant une gorgée, il ne peut s’empêcher de savourer l’éveil de ses quatre sens. La vue du corps de sa maîtresse, le CD de Massive Attack qu’il avait mis, l’odeur de leurs corps tout frais (il a lui aussi pris une douche peu avant) et, enfin, le goût du champagne qui coule dans sa gorge. Il ne manque plus que le toucher et, alors que Christèle s’installe, jambes repliées, à ses côtés, il laisse glisser ses doigts dans le bas de son dos.



Elle le regarde dans les yeux, un léger sourire aux lèvres.



Aurélie était une des meilleures amies de Christèle, mais il n’avait croisé son mari qu’une fois ou deux.



La discussion prenait un tour intéressant…



Sur ces mots, elle reprend une gorgée. C’est vrai qu’ils avaient tous les deux poussé un peu leurs jeux ces derniers mois, alternant les rôles, car ils n’avaient pas (encore ?) de prédilection, ni l’un, ni l’autre.



Christèle rit aux éclats.



Elle reprend une nouvelle gorgée de champagne, comme pour se donner contenance, et reprend de plus belle.



Il commence à avoir une vague idée de ce que sera la proposition dont elle avait parlé…



Tout en reprenant son verre, il ne peut s’empêcher d’éclater de rire.



En disant cela, il écarte légèrement ses cuisses pour montrer à Christèle son début d’érection. Tout en empoignant sa verge, Christèle répond du tac au tac.



Il se penche vers elle pour l’embrasser, mais elle se recule.



Tout en se levant d’un bond, elle clôt la discussion.



Éberlué et conquis, il la suit dans la chambre. Rapidement Christèle sélectionne un soutien-gorge en dentelle blanc laissant libres ses tétons ainsi que les bas et le porte-jarretelles qui vont avec. Par-dessus, elle choisit une blouse en soie blanche et une jupe noire courte.



Son érection est totalement développée maintenant et l’absence de caleçon la rend d’autant plus visible… Ils repassent dans le salon et prennent ensemble un dernier verre avant de se mettre en route. Le trajet se passe rapidement et plutôt en silence. Chacun est sans doute perdu dans ses pensées et, il faut bien le dire, ses appréhensions face à l’inconnu qui les attend. Arrivé en vue du grand portail qui barre l’entrée de la propriété, il ne peut s’empêcher de demander à Christèle :



Elle se penche vers lui pour déposer un baiser sur ses lèvres et le regarde droit dans les yeux.



Sur ce, elle sort de la voiture et va sonner à l’interphone qui se trouve à côté du portail. Manifestement, celui-ci comporte une caméra car il la voit à un moment déboutonner son chemisier et en écarter les pans. Alors qu’elle se rajuste en revenant vers la voiture, le portail s’ouvre lentement devant eux. Au bout du chemin, ils arrivent devant une aire gravillonnée avec d’autres voitures déjà garées, manifestement le parking des « invités ». Il remarque que Christèle a laissé ouverts trois boutons de son chemisier, laissant entrevoir sa belle poitrine mise en avant par la dentelle. Devant la grande porte, il cherche une sonnette, mais celle-ci s’ouvre déjà devant un couple très « smart ». Ils sont au début de la cinquantaine, lui porte une chemise blanche sur un pantalon de toile noire et elle une longue robe blanche fendue jusqu’au niveau de la taille, très échancrée sur une poitrine modeste.



Sur ces paroles un peu mystérieuses, ils emboîtent le pas à leurs hôtes qui les conduisent vers ce qui semble être la salle de réception de la demeure. Celle-ci est meublée de manière raffinée, un savant mélange de classique et de moderne qui donne une impression à la fois solennelle et accueillante. Arrivés dans la salle, ils constatent qu’il y a déjà une douzaine de couples autour de ce qui semble être un buffet somptueux. Tous portent un masque, blanc pour la plupart, mais il y a aussi quelques loups.



L’assistance se met à applaudir également et quelques « bienvenue » et « bonsoir » fusent çà et là. L’hôtesse des lieux arrive déjà à leur hauteur avec deux coupes de champagne qu’elle leur tend avec un large sourire. Les conversations reprennent autour d’eux et personne ne semble plus faire attention aux nouveaux arrivants. Les maîtres des lieux viennent vers eux pour trinquer.



Avec Christèle, ils trinquent tous les quatre. Le champagne est excellent et frais, un vrai délice. Christophe reprend la parole.



Sur ces paroles, Christophe leur fait une légère révérence est se retourne pour aller rejoindre un groupe de couples un peu plus loin, laissant Christèle et Alain, ou plutôt X et Y, seuls devant une des tables de buffet.


Ils s’avancent vers la table couverte de plateaux de canapés et bouchées et se mettent à picorer çà et là.



Comme pour calmer l’angoisse qui l’étreint tout à coup, il a du mal à ne pas parler trop fort.


Alors que Christèle se retourne pour répondre, une femme qui semble dans la trentaine arrive derrière lui.



Elle porte des cuissardes, une jupe très courte et un haut en résille sans rien en dessous qui expose, tout en les cachant, des seins fermes aux larges aréoles. Ses tétons dressés pointent fièrement en avant. Sans attendre leur réaction, elle le dépasse et va se lover directement contre Christèle pour l’embrasser à pleine bouche ! Cette dernière marque un temps d’arrêt, mais, très vite, se laisse aller et répond au baiser. Très furtivement il peut même voir la main de l’inconnue glisser dans l’entrebâillement du chemisier de Christèle et flatter un sein. Brusquement, cette femme rompt l’étreinte et se retourne vers lui. Toujours sans lui laisser le moindre temps de réaction, elle attrape sa main qui ne tient pas la coupe et la plaque contre son sein droit.



Elle lui imprime un mouvement de va-et-vient autour de son téton et il sent en effet la pointe turgescente. À peine a-t-il le temps de la pincer qu’elle lui enlève déjà la main et la glisse carrément sous sa jupe ! Du bout des doigts, il peut constater qu’elle a un sexe entièrement rasé et qu’elle mouille légèrement. D’autorité, elle utilise son majeur pour se branler le bouton et le fait doucement entrer entre ses lèvres humides. Alors que Christèle les observe, médusée, elle entame des va-et-vient pour carrément se branler avec son doigt. Alors qu’il coulisse bien en elle, elle retire brusquement sa main et porte à sa bouche le doigt qui la prenait pour le sucer langoureusement. Son autre main lui palpe le sexe dressé dans son pantalon. Avec un bruit de succion obscène, elle retire le doigt de sa bouche et le regarde droit dans les yeux.



Sur ces paroles, elle jette une dernière œillade à Christèle et s’en retourne rejoindre un groupe qui a observé toute la manœuvre.



Christèle enregistre à peine ses paroles tellement elle semble troublée par ce qui vient de se passer. Après quelques instants, elle parvient à articuler.



Ils se mettent à déambuler parmi les autres. Le fait qu’ils portent tous un masque confère une ambiance un peu irréelle à la situation. Alors qu’ils se fraient un passage parmi les convives, il sent parfois une main glisser sur ses fesses, son torse ou carrément sur la bosse de son pantalon, mais c’est à chaque fois si furtif qu’il n’arrive pas à en voir l’origine. Christèle subit les mêmes assauts de son côté et, par moment, ils entendent des murmures d’approbation ou des petits rires nerveux. Finalement, ils se retrouvent sur la terrasse qui donne sur un grand parc arboré. Dans un fauteuil en osier, placé un peu à l’écart, un étrange manège attire leur regard et ils s’avancent de concert pour voir la scène. Un homme noir de peau y est installé, les mains derrière la tête ; il a le pantalon baissé et son sexe est raide et pointé vers le ciel. Deux hommes tiennent une femme par les cuisses et le dos, sa jupe relevée sur un beau porte-jarretelles noir. Doucement, ils la font descendre, le dos tourné vers l’homme assis, à la rencontre d’un sexe gonflé à bloc ! Au rictus de l’homme assis, son sexe pénètre la femme ; cette dernière pousse un léger soupir quand elle sent la verge la transpercer. Déjà ils la remontent pour la refaire descendre et ainsi de suite. Les deux amants continuent à s’approcher sans bruit, hypnotisés par la scène. Christèle lui attrape la main et la serre très fort. Arrivés à hauteur du fauteuil, face à celui-ci, ils voient distinctement la queue disparaître entre les chairs luisantes de la jeune femme. Après plusieurs pénétrations, les deux hommes lâchent tout à coup celle-ci et elle se retrouve empalée à fond sur le chibre du noir. Elle pousse un soupir de contentement et se met à onduler du bassin autour de la colonne de chair. Les deux hommes se retournent vers eux et mettent chacun un doigt à leur bouche pour leur signifier le silence. Celui qui est à droite prend la parole.



Le deuxième homme dit alors.



La femme, comme à contrecœur, se relève et laisse échapper un léger râle lorsqu’elle se libère de la queue qui la pourfendait l’instant d’avant. La voix rauque et haletante, elle parvient à articuler.



Elle se rajuste déjà et s’en va avec les deux hommes, les laissant en compagnie du noir qui bande toujours autant.



Manifestement, il ne s’adresse aucunement à Christèle… Lui reste pétrifié, la gorge sèche. Christèle lui plante un coup de coude dans le côté.



Il regarde sa maîtresse avec de grands yeux.



Ses yeux pétillants de plaisir achèvent de lever ses inhibitions et il s’avance vers le fauteuil. Il se met à genoux entre les jambes du noir et s’avance vers le sexe dressé d’où perle encore la mouille de la jeune femme. Un peu réticent tout de même, il empoigne le sexe et approche sa bouche pour en encercler le gland. Du coin de l’œil, il peut voir Christèle qui s’est placée entre eux et l’accès à la terrasse par lequel ils sont arrivés. Elle a fait disparaître une main sous sa jupe et entreprend manifestement de se branler devant la scène insolite que, ni l’un ni l’autre n’aurait pu prévoir il n’y a même pas une heure. Faisant fi de ses dernières hésitations, il embouche entièrement ce sexe imposant pour la première fellation de sa vie. Le goût est à la fois doux et amer et il fait aller la queue, tout en la serrant du mieux qu’il peut. Furtivement, il se dit que ce n’est pas si facile que ça de faire une pipe ! Pour un peu, il pourrait en rire, mais sa bouche est trop occupée… Cela étant dit, Aurélien semble avoir une telle « pression » comme il disait qu’il n’a guère le temps de songer à ces considérations. Tout à coup il sent la verge se gonfler dans sa bouche et une matière âcre se déverser en grands flots, manquant de l’étouffer. Il se retire brusquement en hoquetant.



La voix est celle de Christèle qui a maintenant deux doigts dans sa chatte et s’astique le clitoris de son pouce. Surpris par ce langage, il reste pétrifié, la bouche pleine du foutre du type qui finit de se faire juter en se branlant violemment. Une giclée de sperme lui arrive en pleine figure et il se retrouve en plus maculé de jus d’homme ! Christèle se jette à genoux et vient lui lécher le visage, comme pour ne pas perdre une goutte de foutre. Surpris par les derniers développements, il n’a pas eu le temps de recracher ni de déglutir, c’est alors qu’il a la bouche toujours remplie de foutre que Christèle finit son nettoyage avant de l’embrasser, l’obligeant à lui laisser le passage devant la langue impérieuse. Ils partagent un long baiser pendant lequel ils ne cessent de s’échanger la semence du noir qui, tout en les observant, est déjà en train de se rajuster. Sa maîtresse lui renvoie une dernière fois le paquet de sperme et interrompt leur baiser.



Lui se retrouve à déglutir et se surprend à ne pas trouver ça aussi désagréable qu’il aurait pu le penser… À son tour il se relève et, alors qu’il allait ouvrir la bouche pour dire quelque chose, un énorme bruit de gong retentit.



Alors qu’ils terminent tous les deux de se rendre présentables, ils le suivent vers l’intérieur du salon. En passant, il récupère sa coupe et prend une grande gorgée pour chasser le goût âcre qui lui est resté dans la bouche. Alors qu’ils entrent dans le salon où tout le monde s’est rassemblé du côté droit, Christophe et Agnès les attendant du côté gauche, tous se mettent à les applaudir. Aurélien, avec un grand sourire, va rejoindre le groupe des invités. Agnès prend alors la parole.



Puis, se tournant vers eux, elle poursuit.



Christèle se serre contre lui et, pour toute réponse, l’embrasse langoureusement en se serrant contre lui.



Sans lui laisser le temps de réagir, elle le prend par la main et le ramène vers le centre de la pièce en annonçant haut et fort :



Agnès prend deux dés et leur en donne chacun un.



Avec un geste théâtral, elle leur indique la table sur laquelle ils doivent lancer chacun leur dé et se recule pour leur laisser la place. Après un dernier regard, ils lancent chacun leur dé… La voix de Christophe résonne :



Un murmure s’élève de la salle et Alain et Christèle se regardent. Que signifie donc le double quatre ???