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30/08/07
Résumé:  L'amour en public dans une soirée d'entreprise et ses conséquences...
Critères:  fh collègues caférestau voir exhib fellation pénétratio -exhib -bureau
Auteur : Petar            Envoi mini-message

Série : Suzanne, secrétaire de direction

Chapitre 01
La soirée d'entreprise

Suzanne, secrétaire de direction


1) La soirée d’entreprise


Se retrouver, pantalon baissé, queue au garde-à-vous plantée dans la moule de la jolie secrétaire du patron. C’est une situation "classique" qui peut arriver à tout cadre d’entreprise soucieux de la bonne relation avec ses subalternes de l’autre sexe. Mais que ceci se passe dans une arrière-salle de restaurant, lors de la soirée de fin d’année de l’entreprise qui nous emploie, ça commence à être plus particulier. Où cela devient vraiment gratiné, c’est que la scène se déroule au milieu de la piste de danse, devant près de la moitié des employés encore présents à cette heure tardive. Plusieurs collègues masculins m’encouragent d’un air détaché, une bière à la main.



La majorité des femmes encore présentes est plus discrète, certaines donnant l’impression de plutôt désapprouver ce qui se passe tout en regardant d’un œil "voyeur" la tournure que prennent les évènements.


Ma secrétaire personnelle, Marie-Pierre, très jolie femme un peu précieuse, me trouble complètement, elle tourne autour de nous comme une indienne autour de son totem, nous invectivant, devenant presque vulgaire :



L’alcool aidant, elle se déchaîne, à se demander si elle n’aurait pas le désir secret d’être à la place de Suzanne. À l’évidence, notre performance la "branche".


Le va-et-vient sur la longueur de ma bite fait monter la sève, je mets le turbo et lime encore plus profondément. Je m’accroche des deux mains aux hanches de ma compagne qui halète. Dans un souffle, au bord de la rupture, elle me dit :



Son fourreau se contracte d’excitation, ma verge se tend de bonheur. Suzanne jouit en ahanant :



Je passe le cap de non-retour et éjacule longuement au fond de sa matrice en plusieurs jets saccadés. Je caresse encore longuement ce fessier, me penche pour soupeser et malaxer cette magnifique paire de seins. Quelques massages le long de la colonne vertébrale la font ronronner. Lentement, comme à regret, je me détends et sors mon engin de son étui de chair. Suzanne se relève, se retourne, m’embrasse fougueusement, me tenant par les fesses. Nous ondulons lentement au son de la musique langoureuse diffusée par les haut-parleurs pendant plusieurs minutes, pantalon et slip sur mes chevilles, ma compagne nue dans mes bras, un sourire de contentement sur les lèvres, un souffle de profonde satisfaction parcourant nos corps. Quelques autres couples se reforment et dansent en nous observant du coin de l’œil.


Marie-Pierre, ma secrétaire personnelle, toujours très excitée, s’est annexée à notre dernier jeune stagiaire (au moins quinze ans de moins qu’elle) et l’embrasse à pleine bouche, se laissant peloter de façon indécente.

Je remonte mon slip et mon pantalon alors que Suzanne tarde à se rhabiller, elle adore jouer à l’exhibitionniste, me dit-elle, être nue au milieu d’une assemblée de personnes habillées fait partie de ses fantasmes.


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La soirée de fin d’année de l’entreprise de transport qui nous emploie a, comme d’habitude, débuté vers 19 heures par un apéritif suivi d’un repas plus plantureux qu’excellent. L’alcool a généreusement coulé dans nos gosiers, les plaisanteries grivoises ont été d’abondance.

Autour de la grande table en forme de U, une alternance homme femme a été respectée au niveau des cadres. Le reste de l’entreprise, deux tiers d’hommes, s’est bruyamment attablé aux bouts. Le directeur Jacques, flanqué de sa secrétaire personnelle. Deux chefs de services de l’autre côté de la table avec chacun, une présence féminine.


En temps que directeur du personnel, je suis placé entre deux secrétaires, Marie-Pierre, ma secrétaire et Suzanne, celle du patron, joli brin de femme, de taille moyenne, frimousse rieuse, yeux verts, cheveux auburn, elle possède un corps sportif, poitrine abondante et ferme, jambes bien galbées. Ce soir, elle est habillée assez sexy, un décolleté profond, un pantalon taille basse, le ventre à l’air, le bas du dos dénudé laissant apparaître le haut d’un tatouage en forme de serpent se perdant dans son slip. Toute la soirée les plaisanteries ont fusé sur l’énigme de savoir où se termine l’œuvre gravée dans sa chair. Certains optent pour le début de la raie des fesses, d’autres voient le serpent enrouler sa queue autour de l’anus. Suzanne rit de chaque plaisanterie, et garde, malgré tout, un sourire moqueur.


Un des employés joue au disc-jockey et invite les couples à la danse. Peu de succès, seuls quelques gars, essentiellement les cadres, invitent les dames, se lancent sur la piste en changeant de partenaires. Je virevolte principalement avec Suzanne. Très sensuellement nous nous entendons à merveille, nous frôlant de nos corps, nous caressant de nos haleines mélangées.

De légers baisers érotiques lors d’un slow font monter l’adrénaline, ainsi que le mat de beaupré dans mon boxer. D’une petite caresse habile de sa main, Suzanne vérifie la solidité de mon excitation, puis elle s’éloigne en tournoyant, levant élégamment les bras.


Elle fait apparaître, tour à tour son ventre nu puis le tatouage en haut de son fessier rebondi. Ses mains descendent au bas de son top rouge et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, elle se retrouve en soutien-gorge rouge à dentelles grenat, faisant passer le tissu par-dessus sa tête et le jetant au loin. Ses mains s’attaquent déjà à son pantalon "pattes d’éléphant" blanc, la ceinture s’ouvre, le vêtement glisse le long de ses cuisses, lentement un slip rouge ajouré à dentelles apparaît. Tout le monde s’arrête et regarde, intrigué. Suzanne prend le comptable, homme timide et boutonneux, par la main et danse langoureusement, se frottant indécemment à lui.


Elle quitte son partenaire, le laisse dans un état lamentable de désirs refoulés et salaces, et se déplace à nouveau au milieu de la salle. Elle décroche son soutien-gorge sous les sifflets de quelques collègues, hésite, puis tend la pièce de vêtement à bout de bras en souriant, heureuse de l’effet produit. Ses seins magnifiques, opulents et fermes nous pointent de leurs deux yeux borgnes.

Juste le temps d’être éblouis qu’elle s’attaque des deux mains au slip qui glisse majestueusement sur ses cuisses galbées, dans un silence où chacun retient son souffle. À l’avant, son pubis soigneusement taillé en pointe, à l’arrière, le serpent qui s’arrête en point d’interrogation sur le haut de sa fesse gauche. Elle tourne sur elle-même que tous puissent se rincer l’œil.


Suzanne s’approche de moi, mon regard est flou, elle me prend par la main, m’impose quelques pas de danse, se love dans mes bras comme une chatte en chaleur, met la main sur ma braguette et façonne mon sexe avec des gestes de potière en train de lever la glaise. Je me laisse faire, souris à la cantonade, un peu inconscient des conséquences de mon apathie. La ceinture de mon pantalon s’est magiquement défaite, le vêtement a glissé sur mes chevilles. La secrétaire du patron triture mon slip, entoure ma verge de tissu, écarte l’échancrure inférieure pour faire sortir mes bourses gonflées de désir. Enfin, brusquement, elle met mon vit à l’air et le caresse dans le sens le plus érotique, celui de la longueur, mon gland saluant chacun de son air un peu congestionné. Suzanne, un sourire énigmatique sur les lèvres, s’agenouille lentement et, très professionnelle, elle me prodigue une fellation de derrière les fagots. Avant que je n’éclate dans sa bouche, elle se relève, jette un œil sur l’assemblée de voyeurs, se retourne, se baisse, ses mains tenant ses chevilles et dit d’une voix rauque :



L’ordre est impératif, je me mets à la tâche avec application…


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Quinze minutes après les évènements décrits, lorsque tout est "consommé", mon regard cherche à savoir qui a vu la scène irréelle dont nous avons été les acteurs. On me fait remarquer avec soulagement que notre patron, Jacques, était parti depuis plus d’une heure, il n’a donc rien vu. Mais beaucoup d’autres sont témoin de notre "folie", ça n’est certainement pas très reluisant pour le directeur du personnel. Enfin, nous verrons les réactions dès lundi…


Pour la fin de la soirée, je danse exclusivement avec Suzanne, elle se blottit contre moi, m’embrasse avec fougue, me dit son envie de recommencer. Nous partons chez moi, elle ne peut attendre et se déshabille dans la voiture. C’est nue à mon bras qu’elle monte les escaliers menant à mon appartement au troisième étage.


La nuit et le week-end furent torrides, la nudité notre habit, les jeux de l’amour variés, les repas entrecoupés de baisers, les baisers complétés par des caresses, elles-mêmes terminées par les explosions du sexe. Nous avons approché le nirvana, tant sur le plan performances que sur le plan sentimental, l’entente parfaite où la satisfaction de l’autre passe avant sa propre personne. Suzanne m’avait tapé dans l’œil dès sa venue dans l’entreprise, physiquement, bien sûr, mais aussi par son caractère, joyeux, mais pas trop, espiègle, modérément. Sa faculté à être "bien" dans sa peau, l’attention qu’elle met à ce que tout le monde soit à l’aise, bref, son empathie, voilà peut-être le trait de caractère le plus marquant, celui que l’on met en évidence lorsqu’on la côtoie.


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Lundi, de retour au travail, j’ai l’impression que chacun me regarde de travers, esquisse un sourire contrit, semble vouloir me dire quelque chose, mais se tait. Je redoute le pire avec ma secrétaire Marie-Pierre. Elle me reçoit froidement d’un bonjour murmuré, ne me sourit pas, laisse les yeux baissés en me parlant, visiblement mal à l’aise. La traditionnelle séance de travail du lundi avec le patron et sa secrétaire Suzanne se passe au mieux. Nous réalisons bêtement notre travail, ne nous regardant pratiquement pas, comme si rien ne s’était passé entre nous. Nos états d’âme ne comptent pas, mais la question de savoir si le patron sait quelque chose nous tarabuste. Rien ne transparait, aucune allusion ne transpire.


Franchement, je ne suis pas très fier de ce qui s’est passé, mes principes étaient pourtant simples : "Pas de liaison intimes avec des personnes de l’entreprise, garder la distance, ne pas être susceptible de critiques ni de pressions personnelles dans l’exercice de ma fonction". Sur ce plan-là, je viens de faire fort, une liaison avec une secrétaire, même "celle du patron", passe encore, mais "baiser" en public, devant mes collègues, par-dessus le marché, quelle honte…


C’est dans cet état d’esprit que j’entre vers 10 heures au secrétariat de direction, le bureau de Suzanne. De dos, Jacques, le directeur, en grande conversation avec sa secrétaire.

En contournant l’homme, le regard tombe sur un profond décolleté, la blouse à moitié ouverte, les seins aux trois quart visibles, libres de toute contrainte, livrés au regard masculin. Un peu plus bas, la jupe relevée à quelques centimètres du pubis, les cuisses croisées l’une sur l’autre, largement dénudées, Suzanne est sans complexe. Sachant en plus qu’elle est nue en-dessous, puisqu’elle n’a mis ni soutien-gorge, ni slip ce matin en partant, j’ai des bouffées de chaleur qui m’envahissent. Je bafouille :



En se penchant pour se lever, la secrétaire nous découvre son pubis en décroisant les jambes puis l’entier de ses seins par l’échancrure de son décolleté. Ouf, quelle chaleur ! Le patron, lui, reste de marbre, je suis pourtant certain qu’il en a vu autant que moi. Très professionnellement, nous réglons notre problème, la secrétaire prend des notes, puis je retourne à mon bureau.


Le soir, Suzanne, qui a élu domicile chez moi, me raconte toutes ses tentatives pour draguer le patron. Pour elle, il est naturel d’essayer de plaire, de séduire même. Son caractère enjoué, libre de toute contrainte la fait vivre les évènements "en direct". Il n’y a pas de calculs savants, pas de "combines", que le goût de l’aventure lorsqu’elle se présente. Elle a tout essayé, tenues semi-transparentes, attitudes équivoques et provocantes, attouchements intempestifs de genoux sous la table, de mains sur le bras ou sur l’épaule, même de baisers juste à côté de la bouche lors de son anniversaire.

Rien n’y fait, le patron reste de glace, n’esquissant aucun geste déplacé. Suzanne pense qu’il n’aime pas les femmes, peut-être qu’il est homosexuel. Je lui rappelle qu’il est marié, par ailleurs, je n’ai jamais vu sa femme, et qu’il a eu deux enfants, actuellement hors de la coquille.



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Voilà quinze jours que nous vivons ensemble un bonheur sexuel fait de surprises, de volupté et d’intenses ébats lorsqu’un collègue bien intentionné me montre des photos qui circulent dans l’entreprise, par mail ou par portable. Elles détaillent le strip-tease de Suzanne, ma verge turgescente sortant de mon pantalon puis me représentent enfiché dans son vagin. Je fulmine :



Suzanne relativise le problème et me calme :



Le lendemain, sur le bureau de Marie-Pierre, sous une pile de papiers, je me découvre la verge à la main sur une série de photos imprimées, mais pas une seule représentation de Suzanne. Ma secrétaire ferait-elle une fixation sur mon engin, voudrait-elle même encadrer mes attributs ? A suivre…


Trois jours plus tard, le soir, en rentrant "chez nous", Suzanne me fait part d’une invitation surprise. Le patron, qui d’habitude protège sa vie privée, sort de sa réserve et nous invite en couple à sa maison de campagne dans le Vaucluse. Nous sommes franchement étonnés de sa proposition, en quinze ans d’entreprise, je n’ai jamais vu sa femme ni ses enfants, ni aucune photographie d’eux sur le bureau directorial. Nous acceptons avec plaisir et essayons d’imaginer ce que sera cette rencontre.


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Quelque temps plus tard, en fin de journée, terminant un travail avec Marie-Pierre, ma secrétaire, je suis debout à côté d’elle en train de lui donner des explications lorsque je sens sa main remonter le canon de mon pantalon par l’arrière.


Je me crispe un peu, mais laisse faire, désireux de savoir jusqu’où elle ira.


Lentement, la main monte de dix centimètres, redescend de cinq, pour finalement arriver, après plusieurs hésitations, à l’entrejambe. Je sens une pression sur les testicules, la main insiste, malaxe puis s’y agrippe. L’autre main s’approche par l’avant et teste l’emplacement de la verge à travers le pantalon.

Commence alors un manège infernal, c’est tellement bon que le point de non-retour est très rapidement atteint, ma volonté est brisée, seul le plaisir subsiste. La fermeture éclair, en grinçant, trouble la brume de mon cerveau. La main effilée s’infiltre dans l’espace, elle tâte le tissu du boxer, attrape la hampe et la caresse, lentement. Les dix doigts s’affairent maintenant sur la boucle de ma ceinture, décrochent le fermoir et laissent choir le pantalon, il glisse jusqu’aux genoux.

Fébrilement les doigts inquisiteurs écartent l’élastique du boxer et, dans un soupir, elle dégage la verge déjà grosse. Avec élégance, une main dessous pour le maintien, une dessus pour la caresse, le vit se redresse encore. Comme dans un rêve, la bouche aux lèvres vermillon, s’approche du gland. Une langue rose, infiniment charnelle, lèche le méat et peint la peau douce en une couleur érotique. Les lèvres seules enserrent avec douceur la tige dans sa longueur en petites touches légères.

Un ajustement de position fait pointer la verge devant la bouche, la queue entre sans frapper, au ralenti, comme un train dans un tunnel. Une main s’aventure vers les testicules, les soupèse, les bouscule, puis avance le long de la raie des fesses, frôle l’anus, revient, cherche son chemin. Les autres doigts enserrent fermement la verge, la vissant et la dévissant pour mieux l’ajuster entre les joues et le palais. Le ballet infernal, répétant presque à l’infini, le va-et-vient profond, de moins en moins contrôlé, de plus en plus bestial.


Cette verge gluante, ces mains agiles, accompagnées de bruits de succion, d’onomatopées incongrues, augmentent encore l’excitation. Le feu d’artifice termine ce spectacle sons-lumières-sensations-odeurs par une éjaculation au fond de la gorge en un bouquet de sperme aux différentes saveurs, sucré, salé, poivré, pimenté. Marie-Pierre avale bravement la sauce, se lèche les babines et déclare, la bouche encore pleine :



Ma secrétaire me regarde avec gratitude, se lève de son siège, dépose un baiser étonnamment chaste sur ma joue, me laisse dans cette tenue indécente, queue flasque à l’air et s’en va, me souhaitant une bonne nuit.


À suivre