n° 11685 | Fiche technique | 16279 caractères | 16279Temps de lecture estimé : 10 mn | 04/09/07 |
Résumé: Invitation chez mon patron, dans sa maison de campagne, pour un week-end de rêve. | ||||
Critères: fh 2couples couplus collègues piscine strip -entrecoup | ||||
Auteur : Petar Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Suzanne, secrétaire de direction Chapitre 02 | Fin provisoire |
Résumé : ma soirée de fin d’année de l’entreprise se termine en faisant l’amour en public à Suzanne, la secrétaire de direction, des photos ont été prises. Depuis lors, Suzanne vit chez moi une vie sexuelle bien remplie. Le patron Jacques nous a invité à sa maison de campagne dans le Vaucluse…
Nous nous retrouvons, Suzanne et moi, en caleçon de bain, allongés sur des "transats" bleus et blancs, au bord d’une jolie piscine ovale, dans les hauteurs du Vaucluse, face à la mer au loin. Nos hôtes, Jacques, mon patron, et sa femme Pauline, sont partis faire des achats pour le week-end que nous allons passer ensemble. Je ne peux m’empêcher de parler à Suzanne du choc de la rencontre de Pauline lorsque nous sommes montés dans la Mercedes venue nous prendre à domicile. La vue de cette femme m’a coupé le souffle, le choc de "la" beauté. D’un seul regard j’ai vu ses yeux pétillants, cerises noires, ses cheveux foncés mi-longs légèrement ondulés, sa silhouette élancée, son habillement élégant, sa peau hâlée, son décolleté pigeonnant découvrant de superbes melons dorés, sa jupe courte mettant en évidence des jambes parfaites, un canon de beauté. Hébété j’en oubliais de la saluer.
Sa voix suave m’envoie un nouveau raz-de-marée émotionnel. C’est incroyable d’avoir autant de perfection devant soi, on se fait tout petit et on déguste, c’est la seule chose à faire. Suzanne me signale que Pauline lui a prodigué le même effet avec une petite pointe de jalousie en plus.
Jacques et sa femme nous rejoignent, Pauline s’inquiète de notre confort et tout en parlant déboutonne sa blouse, j’en reste estomaqué, et déglutis avec peine, n’arrivant pas à lui répondre. Le haut de son bikini apparaît. Suzanne répond calmement pendant que Pauline dégrafe sa jupe, découvrant le mini-slip bleu ciel. Elle sourit, consciente de l’effet produit.
Et elle saute à l’eau…
Le repas qui suivit fut parfait, la maîtresse de maison tournoyant autour de nous ajoutait aux plaisirs gustatifs le plaisir des yeux.
Le reste de la journée se déroula calmement d’une petite promenade dans les environs, d’une visite au village pour admirer les ruelles étroites, les maisons de pierre aux toits de lauze.
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Vers 22h, rentrant du repas pris dans un restaurant des environs et buvant un "dernier" verre assis dans les fauteuils moelleux du salon de la maison de campagne, Pauline se lève et racle sa gorge comme pour faire un discours. Nous la regardons avec surprise, l’air interrogateur.
Nous nous regardons, plus surpris de la tournure que prennent les évènements que de la nouvelle, largement connue au bataillon. Un soupçon de panique plane, brusquement inquiets de ce que nous réserve cette soirée, serait-ce un piège ?
Nous ne savons trop la contenance à adopter, se rebiffer et tout contester, s’offusquer et créer un esclandre, feindre l’indifférence ou rire de la bonne farce que nous subissons ?
Comme un rouleau compresseur, Pauline avance dans son discours, sa beauté ne se ternit pas pour autant, elle rayonne peut-être un peu moins, son sourire est même un peu crispé. Elle paraît un tantinet pathétique dans son souci de défendre (est-ce le mot ?) son mari. Elle continue :
Là, ça commence à sentir le roussi, quels reproches allons-nous essuyer, le week-end de détente se transformerait-il en fin de semaine de cauchemar ?
Imperturbable, Pauline, nous regarde tour à tour. Jacques, son mari arbore un sourire entendu. Elle insiste :
Tiens, nous allons peut-être sortir du tunnel…
Soyons clair, la situation devient nettement plus intéressante, quelques perspectives sont en train de poindre à l’horizon…
Pardon ? C’est pas possible, je dois avoir mal entendu. Refaire la scène ! Mais enfin, l’ambiance n’y est pas ! Il a fallu du temps et des allusions grivoises pour arriver à le faire, toute une préparation. Remettre cela, ici, à froid, impossible.
Nous voilà donc partis sur une scène de théâtre porno, baiser pour émoustiller nos hôtes, jouer à planter son jonc, je rêve, j’hallucine…
Je suis occupé à maugréer intérieurement lorsque Pauline invite Suzanne à danser. Très rapidement l’ambiance devient sensuelle, les deux corps ondulent avec grâce et volupté. Le spectacle ne commence pas tout à fait comme annoncé dans le programme. Assis dans nos fauteuils, Jacques et moi, sirotant un gin, sommes très intéressés par ce duo. La beauté de Pauline rayonne dans les bras de Suzanne. Les deux corps se plaquent l’un contre l’autre, seins contre seins, ventre contre ventre, Pauline déboutonne le chemisier de Suzanne, donnant une meilleure vue de sa poitrine et de son soutien-gorge. Ma compagne aimerait faire de même avec la blouse de la femme du patron, la main de Pauline s’interpose, un seul bouton est autorisé.
Les deux femmes se séparent, Pauline m’invite à danser, Jacques se lève et s’occupe de Suzanne. Nous tournoyons lentement, serrés l’un contre l’autre, une érection se profile dans mon boxer. Ma cavalière devine mon état, déboutonne calmement ma chemise, me la retire et la jette sur un fauteuil. Je suis aux anges, torse nu contre sa poitrine, les pointes de ses seins, au travers du mince tissu de protection, me transpercent de désirs. J’avance ma main pour libérer les pans de sa blouse. De ses doigts effilés, mais avec fermeté, elle s’oppose à l’inéluctable, seul un deuxième bouton défait laisse entrevoir le paradis. Jacques, de son côté n’est pas en reste, il a "viré" le chemisier. Suzanne arbore fièrement son mini soutien-gorge vert pâle, les seins à l’air pour les deux tiers, leur opulence évidente. La main de "sa" secrétaire caresse l’entrejambe de son patron, aimeraient s’insinuer, là aussi un ferme refus y est opposé.
Suzanne, sur un ordre de Jacques ou de sa propre initiative, je ne sais pas, s’éloigne au milieu de la pièce. Le trio restant s’installe dans les fauteuils, le spectacle va commencer. Lentement, au son du blues, en tournant sur elle-même, elle fait descendre une bretelle, puis la deuxième, sur ses bras. Ses deux mains se glissent dans son dos pour dégrafer le soutien-gorge, après un temps qui paraît une éternité, le tissu glisse sur la peau de ses seins. Suzanne s’avance vers nous, dépose le vêtement sur les genoux de Pauline, comme une offrande à la maîtresse des lieux. Elle sort de ses escarpins et, pieds nus, glisse sous la lampe halogène, caressant ses merveilleux obus sous l’éclairage cru, les fait ballotter en se penchant en avant, les étale, inclinée en arrière, jouant avec l’ombre et la lumière, comme le soleil dans un profond canyon.
Suzanne nous présente son arrière-train, cul de femme assurée de son succès, le serpent en tatouage nous fait un clin d’œil. Elle fait glisser le pantalon, découvre ses fesses charnues, ses cuisses solides, ses mollets sportifs, envoyant balader le vêtement. Le slip vert pâle, à la limite du string, ne cache plus grand chose, son mont de Vénus proéminent est même arrogant, les poils de son pubis guignent par le haut. Très lentement, le slip descend rejoindre ses pieds. Elle est nue, les bras au-dessus de sa tête, pivotant au son de la musique, indécente et désirable. Je bande à faire "péter" les boutons de ma braguette. Au son de la guitare hurlante et languissante, elle glisse les doigts dans sa fente, faisant croire que la plainte sort de son vagin.
Suzanne prend Jacques par la main, le fait se lever, esquisse quelques pas de danse, s’attaque fiévreusement à sa braguette, essuie un nouveau refus d’entrer en matière. Le patron, c’est lui, il doit faire respecter le contrat, il n’y a pas de dérogation possible, les employés peuvent tenter de se rebiffer, l’ordre c’est l’ordre et Jacques pousse Suzanne dans mes bras.
Résignés à l’inéluctable, nous dansons langoureusement, la peau de ma compagne m’appelle au viol, des envies impératives me traversent le corps et la queue. Des mains de rêve me frôlent, me malaxent et finissent par me mettre à nu. La verge fière, morceau de choix, nous empêche de nous serrer de trop près. La caresse des mains de Suzanne, la succion de sa bouche-vagin m’ont rapidement fait oublier notre exhibition.
Jacques et Pauline, dans les bras l’un de l’autre, bouche bée, retiennent leur souffle. Suzanne se retourne et comme à la soirée du personnel, tient ses chevilles, me présente ses fesses et ordonne :
Il n’y a plus de théâtre, la simulation est terminée, seuls ou devant un public, j’ai un besoin impératif de planter ma queue au fond du trou et je le fais. Je lime profondément et, cabotin, je ressors régulièrement mon pieu jusqu’au bord des lèvres vaginales, que le public admire mon engin. J’en rajoute, et à petits pas, verge turgescente et ballottante, je vais de l’autre côté, introduire mon vit dans les lèvres baisables. Quelques va-et-vient entre l’avant et l’arrière suffisent à nous amener à la folie, j’éjacule au fond de la grotte, en écrasant la matrice de Suzanne, sa voix n’est alors plus qu’un râle de bonheur. Dégonflé, ressorti du trou d’amour, nous continuons de danser, nus, enlacés, caressés, léchés, embrassés, le monde n’existe plus.
Pauline et Jacques s’éclipsent discrètement, dans leur chambre à coucher, porte fermée, ils font l’amour, les bruits émis nous permettent d’imaginer leur fougue.
Longuement encore, nous dansons, un sourire intérieur rayonnant dans nos gestes.
Une plongée dans la piscine nous redonne un peu de tonus. Nous parlons du comportement de nos hôtes, un peu voyeurs, mais extrêmement pudiques. Suzanne émet que Jacques a peut-être un complexe, celui de la petite verge, il n’ose pas se montrer, s’exhiber. Ceci expliquerait aussi la fascination que Pauline a pour mon engin de belle taille. Ma compagne me dit que la femme du patron bavait littéralement lorsqu’elle regardait ma queue.
Parler de sexe met en route les connexions érotiques du cerveau, tout le monde le sait. Couchés sur un "transat", à l’air libre, nous nous sommes mis à nous embrasser, nous caresser, nous pénétrer de nos doigts, et naturellement rassembler nos sexes.
Une main sur mon épaule arrête le mouvement, Pauline, nue et resplendissante, très naturellement, comme si je n’existais pas, dit à Suzanne :
Et tout aussi naturellement, ma compagne, s’extrait de notre étreinte, se lève, et va rejoindre "son" patron.
Naturellement encore, Pauline se met à genoux devant moi, avance calmement les doigts vers mon sexe, le prend à pleine main, le masturbe dans un mouvement vertical très doux, l’observe, vérifie qu’il ne mord pas, lèche le gland comme une boule de glace fraise, et se l’enfourne au fond de la gorge. Le taux d’adrénaline augmente fortement, je palpe ses seins, caresse les boutons, les fait rouler entre mes doigts. Pauline ronronne, se lève, m’embrasse à pleine bouche, et dit :
Un saut dans l’eau, les bras appuyés contre le bord, la femme de mon patron attend. Je m’approche, soulève son bassin, cale ses cuisses écartées contre les miennes et la pénètre d’un trait. Un "oh !" de surprise très vite dépassé, le mouvement ample de piston met en route la machine. Frénétiquement, comme si nous devions absolument tout terminer dans la seconde, nous baisons comme des bêtes. Tous les sous-entendus, les convoitises, les rêves, les fantasmes, les choses inavouables, les interdits se rejoignent dans une danse infernale qui nous conduit inexorablement à l’orgasme. Nous hurlons de plaisir puis rions de contentement, mieux que l’alpiniste au haut de sa montagne, nous avons dépassé le sommet. Au même instant, venant de la chambre à coucher, Suzanne crie sa victoire, Jacques termine par un fou-rire contagieux.
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Dès le petit déjeuner, nus sur la terrasse, deux nouveaux couples se sont formés. Ils copulent deux à deux à l’abri du regard des autres, par pudeur, mais aussi par horreur de la "partouze", conscients de l’importance du respect de l’autre. L’amour entre deux êtres (pas plus) qui permet de se donner à l’autre entièrement et dépasser ses propres limites.
À entendre les hurlements de nos dames respectives à chaque accouplement, on en déduit qu’elles prennent très régulièrement leur pied, l’orgasme est au rendez-vous. Suzanne pense que grâce au petit pénis de Jacques, le point G est beaucoup plus régulièrement sollicité alors que Pauline imagine que c’est grâce à ma grosse queue qu’elle est mieux remplie, toute la paroi du vagin est sollicitée.
Le mystère reste entier, mais l’amour, lui, est partagé…