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n° 11691Fiche technique19587 caractères19587
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Temps de lecture estimé : 12 mn
08/09/07
Résumé:  Notre amie Lucette nous rend visite, je la baise. Ensuite, ma compagne et elle font l'amour ensemble.
Critères:  fh ff voiture intermast fellation cunnilingu pénétratio hdanus -couplea3
Auteur : Barbagil

Série : Visite inattendue

Chapitre 01 / 02
Visite inattendue

Cela nous est arrivé, il y a quelques mois…

Nous n’avons plus vingt ans, mais aimons toujours le sexe.

Notre amie Lucette nous a annoncé sa venue dans notre retraite du sud de la France. C’est une amie de longue date que nous n’avons pas revue depuis notre départ de Belgique. Elle nous a annoncé sa séparation avec son mari.

Nous fréquentions le couple en Belgique, nous avions même essayé de leur faire comprendre à l’époque que nous étions échangistes Nathalie et moi (François). Ils n’avaient pas mordu à l’hameçon, ce que nous avions regretté et avions donc continué à les fréquenter en amis.


Le jour de son arrivée, nous allons bien sûr l’accueillir à l’aéroport pour la ramener chez nous. C’est avec un réel bonheur que nous la serrons dans nos bras à son arrivée, en fin d’après-midi.

Nous l’installons dans la chambre d’amis et pendant qu’elle se change et se rafraîchit, nous préparons le dîner.

À table, nous racontons notre vie dans notre village, elle raconte sa séparation, sa vie actuelle. Après le repas, nous passons au salon où la conversation continue. Le dîner bien arrosé fait dévier, un peu volontairement de ma part, la conversation vers le sexe !



Après avoir déposé nos verres, je la prends dans mes bras et l’embrasse dans le cou.



De son cou, mes lèvres se déplacent vers les siennes et se joignent aux siennes, qui s’entrouvrent pour laisser nos langues se mélanger, passer d’une bouche à l’autre. Ma main palpe un sein, celle qui est dans son cou se dégage pour ouvrir la tirette de sa robe et dégrafer son soutien. Je la libère un instant de mon étreinte pour qu’elle puisse sortir ses bras des manches de sa robe et libérer sa poitrine.

Malgré ses grossesses et la cinquantaine qui n’est pas loin, elle n’a pas beaucoup de poitrine, plutôt style ado, mais des tétons proéminents, que je m’empresse de pincer entre mes doigts pour les faire se dresser. Ensuite, je les prends entre mes lèvres pour les suçoter, les mordiller. Lucette commence à avoir le souffle plus court et moi, mon érection coincée dans mon pantalon. Elle a l’heureuse idée d’ouvrir ma ceinture et ma tirette pour libérer mon sexe trop à l’étroit.

Je l’oblige à soulever les fesses pour ôter sa robe et, dans le même mouvement, son slip. Je découvre son corps, son ventre avec un peu d’embonpoint, son pubis garni de poils sombres où se mêlent quelques poils gris.

Reprenant ma succion sur ses tétons, une main descend rejoindre son ventre et se glisse entre ses cuisses pour entamer une masturbation. Mon érection entre ses doigts subit le même assaut. Elle caresse ma hampe, taquine mon gland. Je la branle avec deux doigts, mon pouce titillant son clitoris. Un feulement brusque, mais long, me fait savoir qu’elle a un premier orgasme.


Abandonnant mes caresses, je l’entraîne vers la chambre d’amis, à côté du salon. Là, je l’allonge sur le dos et je me débarrasse de mes vêtements. Je lui caresse les mollets, puis remonte lentement sur ses jambes. Ma bouche découvre la douceur de sa peau et je couvre ses jambes de baisers. Une main remonte vers son ventre, tandis que l’autre poursuit la caresse de ses jambes. Peu à peu, celles-ci se desserrent et je peux admirer sa toison sombre. Comme attirées par un aimant, mes lèvres s’y posent doucement, m’imprégnant de son odeur, évitant pour l’instant les zones trop sensibles. C’est ainsi que je lui embrasse le haut des cuisses, là où la peau est si sensible aux baisers. Ses jambes sont maintenant écartées au maximum et ses lèvres s’offrent à mon regard. Elles sont alors l’objet de mes attentions, recevant des bisous du bout des lèvres ou des coups de langue plus accentués.


Une nouvelle fois, elle se soulève un peu offrant à ma vue son adorable chaton. Je reste quelques instants à l’admirer, puis, je me penche et reprends mes baisers, cette fois plus appuyés.



Elle n’a nul besoin de le dire, sa mouille abondante trahit son excitation. Ma langue, à l’entrée de son puits d’amour, recueille ses sécrétions que je déguste avec plaisir. Puis, je remonte et titille le bouton pointant fièrement hors de son capuchon. Mes mains caressent la poitrine et le ventre de Lucette dont les contractions sont de plus en plus fortes au fur et à mesure que son plaisir grandit. Soudain, ses mains plaquent mon visage contre sa chatte, son corps se tend et, dans un râle, elle jouit à nouveau, m’arrosant copieusement.



Puis, à son tour, sa bouche couvre mon torse et mon ventre de baisers, ses doigts se posent sur mon sexe et caressent ma verge, titillent le gland, frôlent les couilles. Lentement, son visage descend sur mon ventre jusqu’à atteindre les poils pubiens. Alors, tenant mon sexe droit, elle passe la langue dessus, léchant la hampe sur toute sa longueur avant de remonter sur le gland et s’y attarder, l’agaçant agréablement. Enfin, ses lèvres s’ouvrent un peu plus et, lentement, elle me gobe. Je regarde mon membre coulisser et pénétrer sa bouche et cette vision me fait bander encore un peu plus.

Lucette m’offre une fellation comme je croyais que seule Nathalie pouvait me la faire ! Elle me prend entièrement en elle, fait tourner sa langue sur ma hampe, me ressort, ne gardant que mon gland entre ses lèvres qu’elle lèche avec appétit.

Ses mains ne restent pas inactives, mes bourses sont l’objet de toutes leurs attentions et elles se risquent même à des caresses vers mon petit trou, massant mon œillet où la pointe d’un doigt s’introduit pour mon plus grand plaisir. Je fais de gros efforts pour retarder au maximum mon éjaculation mais, après quelques minutes, Lucette parvient à ses fins et je sens le plaisir monter.



Loin de cesser ses baisers, elle m’aspire un peu plus fort encore, les lèvres serrées autour de mon sexe. Aux mouvements de ma queue contre son palais, elle devine que l’orgasme est proche, elle serre ses lèvres et, s’aidant de quelques mouvements du poignet, me fait jouir. Mes jets fusent, atterrissant au fond de sa gorge. Elle n’arrête pas ses va-et-vient, désireuse d’extraire ma sève jusqu’à la dernière goutte. Quand enfin la source est tarie, elle lèche ma hampe, qui a un peu perdu de sa superbe, la débarrassant de toute trace de mon éjaculation. Puis, me regarde d’une moue coquine.



Elle lève son visage et m’offre sa bouche. Ses bras se referment sur moi. Cette nouvelle étreinte a pour effet de ranimer mon ardeur et mon sexe se tend.



Elle s’assied sur moi, tenant mon sexe, le guide à l’entrée de sa grotte et s’empale. Lentement, ses yeux rivés aux miens, elle monte et descend. Je peux lire sur son visage le plaisir qu’elle prend de cette pénétration. Quand je suis entièrement en elle, elle reste immobile et savoure autant que moi le bonheur de cette union, le plaisir de nos deux corps qui, à ce moment, ne semblent plus en faire qu’un.

Ses bras autour de mon cou, mes mains sur ses hanches, nous faisons longuement l’amour, en prenant tout notre temps, restant parfois immobiles, mon sexe fiché au fond du sien.

Lorsque, après de longues minutes, Lucette jouit, elle crie son plaisir, ses seins écrasés sur mon torse. À ce moment, comme si cet orgasme servait de déclencheur, notre étreinte se fait plus fougueuse, uniquement tournée vers le plaisir physique. Elle se libère et se met à quatre pattes, tendant ses fesses, m’implore de revenir en elle.



M’agrippant à ses hanches, je reprends possession de son sexe d’un puissant coup de rein, qu’elle accueille d’un cri de bonheur.

Mes coups de reins, vigoureux, font claquer ses fesses contre mon ventre. Lucette se déchaîne, m’encourageant à aller toujours plus loin, toujours plus fort.

Après la tendresse vient la passion, presque animale. Au point que j’ai presque du mal à reconnaître la femme si maîtresse d’elle qu’elle était lorsque nous étions amis. D’une main, elle se caresse la fente, parfois mes couilles. Se cambrant au maximum, elle vient au-devant de mon phallus qui la laboure.



C’est presque en hurlant qu’elle succombe à un nouvel orgasme. Ses muscles intimes massent ma verge, me procurant des sensations extraordinaires.

Mes coups de boutoir ne cessent pas, au contraire, et j’ai l’impression qu’elle jouit en continu, criant son plaisir, m’encourageant à la prendre encore et encore.

Quand je suis sur le point de céder à mon tour, elle me dit de venir sur son visage. Je quitte son doux écrin, m’agenouille face à elle et, s’emparant de mon sexe, elle le dirige sur elle et mes jets se répandent sur ses tétons



Elle me prend ensuite en bouche et, comme tout à l’heure, me nettoie, ne se résignant à me lâcher que lorsque je suis redevenu mou. Ensuite, elle se masse la poitrine avec ma jouissance.



Lorsque je sens qu’elle s’assoupit, je la quitte en silence pour rejoindre ma chambre.


Là, Nathalie, qui ne dort pas encore, me dit :



oooOOOooo



Le lendemain matin, c’est avec un chaleureux baiser qu’elle nous souhaite le bonjour à Nathalie et à moi.


Après le déjeuner, Nathalie part faire des courses, Lucette propose de l’accompagner.


À leur retour Nathalie me raconte :


Nous étions à peine en route que Lucette commence par me dire :



Ses paroles m’ont, moi aussi, un peu émoustillée. Tout en disant cela, sa main s’est posée sur ma cuisse, et lorsqu’elle est remontée pour se glisser sous l’élastique de mon pantacourt, puis sous mon slip, je n’ai pas résisté.

Sa main s’est rapprochée de plus en plus de mon mont de vénus. Lorsqu’elle l’a atteint, elle l’a frôlé plus qu’elle ne l’a touché. Je me suis cambrée comme si j’avais reçu une décharge électrique et j’ai écarté inconsciemment un peu plus mes jambes pour faciliter la caresse de Lucette. J’ai trouvé un emplacement sur le bas-côté pour m’arrêter, c’était plus prudent.

Son autre main est remontée vers un sein, elle m’a déposé de tous petits baisers sensuels dans le cou. Elle a passé sa langue sur mes lèvres et, tout en me triturant le clito, m’a demandé :



Je l’ai l’embrassée fougueusement sur la bouche. J’ai posé une main sur son genou et lentement l’ai glissée sur l’intérieur de sa cuisse. J’ai écarté mes jambes le plus que j’ai pu pour faciliter les caresses. N’y tenant plus d’impatience, j’ai saisi sa main et l’ai posée sur mon sexe. Ses doigts m’ont caressé le clitoris.

Lucette s’est accroupie entre les sièges et a abaissé mon pantacourt et mon slip. Elle s’est placée entre mes jambes, a déposé quelques baisers sur mon ventre et a approché son visage de mon sexe offert et dégoulinant de mouille.

J’ai appuyé légèrement sur sa tête pour indiquer l’emplacement exact où je voulais me faire lécher. J’ai vu le petit bout pointu de sa langue se poser, hésitant, sur mon clito qui en frémissait d’impatience. Lucette s’est lâchée complètement et sa langue parfois pointue et parfois large est passée et repassée sur toute la longueur de ma vulve qui s’ouvrait à chaque passage un peu plus. La tête rejetée en arrière, j’ai laissé le plaisir m’envahir.



Après m’avoir si bien fait jouir, elle s’est réinstallée à côté de moi. J’ai eu l’envie de découvrir à mon tour le corps de Lucette.

Tout en la laissant pétrir ma poitrine, j’approche mes mains de sa chemise. Interrompant ses caresses sur ma poitrine, elle me fixe d’un regard embrasé. Elle laisse glisser sa main sur mes cuisses, qu’elle se mit à caresser lentement. Elle se cambre pour mieux me présenter sa poitrine. Elle ferme les yeux lorsque je pose mes mains sur ses seins. Le chemisier déboutonné me révèle ses rondeurs, petites mais fermes et parfaites, se soulevant en cadence au rythme de son excitation, au bord de l’extase. Le vêtement se dégrafe par l’avant, je n’ai donc aucune peine à rendre à ses seins une liberté à laquelle ils semblent aspirer avidement. Un effluve de son parfum capiteux éveille mes sens. La poitrine qui se révèle alors à mes yeux confine à la perfection, les tétons, durs, bien dressés par l’excitation, se dressent fièrement au milieu de larges aréoles. Je me mets à caresser lentement les seins épanouis, d’une consistance parfaitement naturelle, les effleurant tout d’abord, puis, précisant mon mouvement, je me mis à les pétrir, arrachant à Lucette de petits couinements aigus. La peau est douce et souple et les aréoles d’une rare finesse. Elle a un frisson lorsque je pose un doigt sur le téton dressé.

Je décide de mieux en éprouver la texture au moyen de ma langue. La surface nacrée est délicieusement douce et lisse. Je m’y attarde, distribuant une série de petits coups de langue vifs et aigus qui produisent sur elle un effet immédiat, elle frissonne et semble parcourue de décharges électriques. S’abandonnant, elle se laisse aller en arrière sur le dossier du siège.


La jupe étroite était toute dérangée. Je n’eu aucune peine à la déboutonner. D’un geste preste, je fis glisser sa culotte le long de ses cuisses souples et soyeuses. Je descends vers son ventre sur lequel je m’attarde quelques instants, puis, changeant de position, j’entreprends d’explorer l’entrejambe de ma partenaire. Saisissant ses genoux, j’écarte résolument ses cuisses. Elle pointa aussitôt son pubis vers l’avant en une quête de plaisir.

Sa vulve s’étale sous mon regard. Le triangle velu est d’une belle taille et bien fourni, comme tu le sais aussi maintenant. Ses lèvres charnues, qui se révèlent à ma vue, me décident à entamer l’exploration de la tendre caverne. Une bave gluante et délicieusement odorante garnissait la toison en bordure de l’orifice béant. J’ai eu un léger sursaut en découvrant son clitoris, un véritable petit phallus ! Lucette pousse un petit cri lorsque, de la pointe de ma langue, j’effleure le bouton épanoui. Je me mis à masser cette petite hampe qui frétille entre mes doigts. J’ai le sentiment que, sous mes caresses, elle enfle encore. N’y tenant plus, je le suce, elle se met alors à gémir de façon ininterrompue, soulevant son bassin pour mieux s’offrir. J’ai passé mes mains sous ses fesses que je pétris vigoureusement, afin d’assurer une bonne prise, ce qui me permet de continuer à sucer son clito tout en accompagnant ses mouvements. Je m’interromps de temps en temps pour lécher goulûment ses lèvres charnues. Lucette halète à présent, je mordille ses grandes lèvres puis les étire, elles sont élastiques et souples. J’y introduis un moment la langue, puis, les délaissant soudain, je retourne au clitoris que je mordille à nouveau. Lucette se cabre soudain, puis pousse une sorte de hurlement sauvage.

Surprise, je m’interromps un bref instant. À présent, elle jouit comme une démente. Soudain, elle referme ses cuisses puissantes autour de ma tête, l’emprisonnant. La chaleur de ses cuisses toutes humectées de sa mouille abondante, la forte odeur poivrée qu’elle dégage, les râles qui me parviennent, étouffés, les soubresauts qui secouent son corps, tout cela me procure une forte sensation, et je sens une sorte de chaleur m’envahir tout entière, de l’entrejambe aux seins. Je jouis à nouveau, moi aussi, toute seule.


Après avoir remis de l’ordre dans nos vêtements, j’ai fait redémarrer la voiture en espérant que personne ne nous ait vues.


À suivre