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Amour à trois

Le soir venu, après le dîner, nous sommes installés au salon. Nathalie dit à Lucette :

• — Tu sais lorsque j’ai raconté à François notre aventure en voiture, il a été très déçu de ne pas y avoir assisté.

Elle prend l’initiative de passer à l’étape suivante et pose une main sur mon sexe.

• — Sans compter que son sexe est toujours partant sur commande…

Je commence à percevoir pour la première fois de la soirée une suite possible très intéressante. Nathalie masse mon sexe d’un geste lent et lance à Lucette un regard de connivence qui semble attendre une réponse.

• — Attention Nathalie, je crois que François veut que nous allions jusqu’au bout.
• — Ça te pose un problème ?
• — Disons que je ne n’ai pas l’intention de me retrouver à tenir la chandelle…

Tandis qu’elle masse mon sexe, elle lit tout d’abord dans le regard de Lucette de la curiosité, puis ses dernières hésitations s’effacent lorsqu’elle y perçoit de la décontraction et de l’amusement. Nathalie se lève alors pour venir s’installer à califourchon sur les cuisses de Lucette qui reste confortablement installée dans son fauteuil. Lucette regarde Nathalie s’approcher et voit arriver le moment qu’elle attendait, depuis qu’elle a commencé à s’entendre sur les plans culs avec nous. Pendant que Nathalie glisse ses cuisses de part et d’autre des siennes, elle attend qu’elle prenne les initiatives elle regarde remonter inéluctablement la robe courte de Nathalie, qui lui dit :

• — Qu’est-ce qui te fait croire que tu vas tenir la chandelle ? Je suis convaincue que tu seras bien trop occupée et excitée pour cela.
• — Venant de toi qui te promènes, à ce que je vois, nue sous une robe aussi mini, ça semble prometteur en effet. Serais-tu en train de me faire une proposition qui inclut François, sans restriction ?
• — Aucune restriction, que ce soit avec lui ou avec moi, mais uniquement si tu te joins à mon désir d’offrir à François une soirée de rêve.
• — Ha, c’est ça ! Tu fais en sorte que je passe une bonne soirée si j’ai la même préoccupation vis-à-vis de toi et de François. C’est ça ?
• — Oui.
• — Une pareille offre ne se refuse pas. Viens !

Lucette pose sur les lèvres de Nathalie un baiser doux et très appuyé pendant que ses mains glissent sous la robe. Rapidement, les lèvres s’ouvrent, animées par un plaisir d’une intensité troublante. Ressentir une sensation aussi forte avec Lucette est pour Nathalie un réel plaisir, surtout rien qu’en l’embrassant. Elle enfouit ses mains dans les cheveux de Lucette et l’embrasse à pleine bouche. Quelques secondes plus tard, Nathalie prend conscience que la soirée est définitivement lancée et ses premières pensées sont pour moi. Elle se redresse alors pour déboutonner lentement le chemisier de Lucette et regarder vers moi. Je ne bouge pas, je les dévore des yeux avec un demi-sourire tandis que, sous les mains de Nathalie, les pans du chemisier de Lucette glissent sur le côté et dévoilent sa poitrine mise en valeur par un soutien-gorge en dentelle légère laissant percevoir ses beaux tétins déjà érigés…

Le plaisir qui envahit progressivement Nathalie et Lucette est maintenant palpable. Les gestes très sûrs de Lucette lorsqu’elle se lance pour caresser le corps de Nathalie attestent que ce n’est pas la première fois qu’elle la caresse. Nathalie s’enflamme doucement et se laisse envahir par ce plaisir. Ses mains s’empressent de dénuder Lucette, de libérer ses épaules pour pouvoir retirer son chemisier et son soutien-gorge. Sa bouche embrasse les parties fraîchement dénudées et commence lentement à descendre.

Au fur et à mesure que ses baisers descendent, Nathalie recule et se place entre les jambes de Lucette. Elle est maintenant à genoux devant elle. Sa langue joue avec son nombril.

• — Descends plus bas, retire mon slip et donne-moi du plaisir !
• — Tu as peur que je n’y vienne pas, tu es impatiente ?
• — Je ne connais pas tes limites, je connais mes envies.
• — Dans ce cas, rassure-toi, je sais satisfaire les désirs de mes partenaires. Si ce soir vous êtes tous les deux partants, ce n’est pas moi qui jouerai les trouble-fête.
• — À la bonne heure ! Dans ce cas Nathalie, je meurs d’envie de jouir sous ta langue. J’ai envie de te voir bien installée à quatre pattes entre mes jambes, avec la robe relevée pour offrir à François ton petit cul pendant que tu t’occupes de moi.

Nathalie ne répond pas et se contente de retirer lentement le slip de Lucette. Elle libère une seule jambe avant d’écarter largement ses cuisses d’un geste plus ferme. Elle se sent délicieusement indécente lorsqu’elle s’installe à quatre pattes, cuisses ouvertes, et qu’elle relève sa robe sur son dos pour exhiber ses fesses offertes. Son imagination anticipe la suite et renforce son excitation. La tête enfouie sous la jupe de Lucette, elle se cambre pour mettre en valeur son cul offert et embrasse pour la première fois le sexe impatient de son amie. Elle imagine que je me lève pour me placer derrière elle et enlever mon pantalon. Elle me voit m’agenouiller, hésiter entre les deux choix qui s’offrent à moi. Elle imagine ma queue qui s’active en elle pendant qu’elle donne du plaisir à son amie.

Au fur et à mesure que Lucette s’ouvre pleinement sous sa langue, Nathalie espère plus qu’elle imagine. Pourtant la situation se prolonge sans que j’intervienne. Si Lucette se montre très réceptive et de plus en plus active du bassin, elle ne détecte aucun autre mouvement.

En fait, Lucette a les yeux clos et se mord les lèvres pendant que ses mains caressent ses seins. Elle ne fait rien d’autre qu’être à l’écoute de son propre plaisir. Quant à moi toujours à la même place, confortablement installé au fond du canapé, j’ai mon verre dans une main et mon sexe dans l’autre. Je ne suis ni plus actif, ni plus bavard. Je me contente de regarder en me masturbant très légèrement. La plus pressée et la plus active, c’est Nathalie. Elle retrousse la jupe de Lucette pour continuer à lui donner du plaisir. En la regardant, léchant maintenant son amie en me fixant, je reste imperturbable, mon sexe à la main. Cet immobilisme décide Nathalie à accélérer le mouvement. Elle se lève pour me rejoindre et s’installe dans une position quasi identique, mais cette fois-ci devant moi. Le visage derrière mon sexe elle commence à le lécher et fixe Lucette du regard pour l’inviter à partager mon érection.

• — Et toi François, qu’est-ce qui te ferait plaisir ? me dit Nathalie.
• — Continue déjà ce que tu viens de commencer. Vous connaissant, la rivalité va faire de vous deux suceuses exceptionnelles…
• — Ah ! Je ne suis pas déjà une bonne suceuse ?
• — Bien sûr que si ! Mais avec la concurrence de Lucette, j’espère que tu vas te surpasser et te montrer encore plus douée !
• — Méfie-toi, je pourrais aimer jouer à ce jeu-là plus que tu ne le souhaites.

Pendant la discussion, Nathalie a senti Lucette s’agenouiller à ses côtés et glisser sa tête pour me gober le sexe. Ce qu’elle remarque maintenant, c’est son mouvement rapide et profond. Lucette ne cherche pas à préserver mon endurance. Elle me suce avidement pour me faire jouir dans sa bouche. Nathalie l’attrape par les hanches pour l’arrêter et libérer mon sexe. Elle ralentit le rythme. Plus calmement, elle vient lécher mon sexe sous le visage de Lucette, puis elle appuie sur la tête de son amie pour la placer face à elle, contre ma queue. Sa langue cherche autant mon sexe que le contact des lèvres et de la langue de Lucette. Rapidement, la queue en érection ne devient qu’un prétexte à un petit jeu entre Lucette et elle. Les mains descendent et elles commencent à se doigter mutuellement pendant la fellation partagée.

Je suis aux anges. J’ai à mes pieds deux femmes qui se partagent mon sexe en se doigtant. Je reste ainsi quelques instants à profiter de ces deux bouches qui de temps en temps s’alternent pour me sucer prodigieusement.

• — OK ! Les filles, ne bougez surtout pas, vos deux petits culs côte à côte me font trop envie. Restez penchées à vous masturber et à vous rouler des pelles.
• — Commence par moi, François, au tour de Lucette je pourrais m’installer dans le canapé pour que sa langue s’occupe de moi, je n’ai toujours pas eu droit à ses caresses intimes…

Nathalie ahanait sous moi et se montrait encore plus demandeuse que Lucette… L’une léchant l’autre, nous avons inversé les positions plusieurs fois. Une nouvelle fois cela a été bon… très bon…les femmes ont eu plusieurs orgasmes.

À un moment, alors que je me prépare à investir la chatte de Lucette elle me dit :

• — Prends-moi par derrière.

Elle me présente son fessier relevé, cambré.

• — Vite, je n’en puis plus, prends-moi, vite !

Je frotte mon gland circoncis contre ses lèvres humides. Cet attouchement déclenche un râle de bonheur à Lucette. D’une poussée, je la pénètre jusqu’à la garde, en agrippant ses hanches. Lucette poussa un juron, elle était remplie entièrement. Ensuite j’introduisis un, puis deux doigts dans son œillet, heureux de constater la dilatation de la petite rondelle. À nouveau, elle gémit d’aise. Cette pénétration de mes doigts la rend folle de désir.

• — Oh ! oui, prends mon cul, oui…

En levrette, je continuai à la besogner pendant qu’elle broute la chatte de Nathalie. Chaque coup de boutoir la secoue, elle ahane de bonheur. Elle jouit enfin. Lorsqu’elle sent que je me retire, elle écarte ses fesses pour faciliter la pénétration anale qu’elle attend.

• — Ouiii, j’avais envie de me faire enculer !

Enfin j’étais en elle, je possède son joli cul, j’en avais rêvé. Lucette savourait ce moment si particulier, son fantasme se réalisait. Je jouis ainsi entre ses fesses, offrant ma première éjaculation à Lucette, presque couché sur elle. Le plaisir déferla, nous avons crié notre joie ensemble dans un merveilleux orgasme rejoint par celui de Nathalie. La succion ininterrompue de son clitoris entre les lèvres de Lucette, en même temps que sa main lui masturbe la chatte et le petit trou à deux doigts, l’ont elle aussi emmenée à la jouissance.

Enfin… comme apothéose mes deux amantes à genoux sur le tapis et moi les prenant l’une après l’autre… À plusieurs reprises, j’ai vu la bouche de Nathalie rejoindre celle de Lucette et les doigts s’égarer dans des chattes consentantes…ma dernière éjaculation fut pour Nathalie…

Cette soirée est un de mes meilleurs souvenirs de nos aventures avec Lucette… Sachez tout de même qu’elle se termina tard dans la nuit, alors que nous étions tous trois comblés et épuisés. Chacun eut l’occasion d’exprimer et de vivre ses envies.

C’est à regret que nous l’avons reconduite à l’aéroport, elle nous a promis de revenir…