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Temps de lecture estimé : 9 mn
11/09/07
Résumé:  Marie-claude se réveille au pied du lit de Joana après un week-end très chaud. Elle doit partir chez ses patrons pour reprendre son travail de jeune fille au pair
Critères:  ff hplusag bus fsoumise hdomine noculotte facial fellation cunnilingu
Auteur : Mariechriss      

Série : Marie-Claude, jeune fille au pair

Chapitre 04 / 16
Retour à la maison

Chapitre 4



7h, la sonnerie du réveil retentit violemment ce qui fait sursauter Marie-Claude. Joana l’avait placé juste à côté de sa tête. Elle a mal partout d’avoir baisé comme une folle tout le week-end, elle se sent sale et éprouve le besoin d’un bain chaud et moussant. Mais, en baissant les yeux, elle retrouve la vision de ce sexe mâle planté en elle et retrouve en un clin d’œil des sensations à caractère érotique. Elle a envie d’uriner mais avec cet engin ce n’est pas possible et, comme elle hésite à l’enlever sans l’autorisation de sa maîtresse, elle se lève pour réveiller Joana aussi amoureusement que possible.


Joana est dans un demi-sommeil. Entendant Marie-Claude se lever, elle écarte doucement ses cuisses en dévoilant sa vulve entourée de jolis poils noirs et se tourne légèrement en direction de son esclave préférée.


Marie-Claude a bien vu la manœuvre. Elle grimpe sur le lit et se glisse près de Joana. Elle commence une série de petits baisers sur les jambes qu’elle lèche tendrement tout en remontant avec sa langue, vers la toison noire. Elle l’atteint au bout de quelques minutes et donne un premier coup de langue sur la vulve de Joana qui se met à gémir aussitôt.



Dans un spasme violent, elle s’est emparée de la tête de Marie-Claude et, la tenant par les cheveux, elle l’utilise comme un sexe d’homme, le nez, la langue, les lèvres tout est bon pour satisfaire ce plaisir qui lui brûle les reins. Elle force Marie-Claude à la sucer, elle utilise son nez comme un petit sexe et d’un coup elle explose dans la bouche de Marie-Claude qui sent un liquide chaud lui couler sur les lèvres. Joana vient d’éjaculer se dit-elle ! C’est impossible et pourtant, force est de constater qu’elle ruisselle de liqueur juteuse. Marie-Claude lèche la vulve chaude et humide pour faire la toilette intime de Joana la fontaine, qui apprécie au plus haut point.



Marie-Claude s’approche et Joana lui enlève son sexe non sans la caresser au passage, mais Marie-Claude reste sur sa faim. Diabolique Joana, toujours à m’exciter pense-t-elle, mais sans jamais aller jusqu’au bout.


Marie-Claude va faire le café pendant que Joana prend une douche. Marie-Claude voudrait bien en faire autant mais elle n’a pas eu l’autorisation, alors elle continue à préparer le petit déjeuner.


Joana l’avale tout en donnant ses instructions à Marie-Claude qui l’écoute sans rien dire. Elle n’ose pas l’interrompre, elle n’ose pas lui dire qu’elle doit partir elle aussi. Les enfants Taylor l’attendent pour aller à l’école. À cette heure-ci, ils se lèvent.



Joana l’a écoutée sans rien dire mais ses yeux brillent de colère.



Elle se lève sans rien ajouter et se dirige vers le placard dans lequel sont rangés les habits de Marie-Claude. Elle en sort le chemisier et la jupe qu’elle tend à Marie-Claude sans la regarder.



Et elle se met à rire.


Marie-Claude s’habille en bégayant un merci mais réalise soudain qu’elle n’a ni papier d’identité, ni argent avec elle.



Et sur ses paroles mystérieuses, Marie-Claude se sauve. Elle sait qu’elle ressemble à une moins que rien. Elle n’est pas lavée, pas coiffée et porte le strict minimum sur elle.


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Elle court vers l’arrêt de car et, par chance, il y en a un qui arrive et va vers son quartier. Elle grimpe et paye son ticket au chauffeur qui la dévisage curieusement. Encore un qui la sauterait bien si les circonstances étaient autres. Mais là, il doit conduire et garder ses mains sur son volant.


Ce n’est pas le cas du passager à côté duquel elle s’assoit. Il y a peu de places libres, les gens partent au travail à cette heure-là. Lui aussi part au travail, mais il a deviné que Marie-Claude était différente des autres passagers. Elle sent le sexe. Sans hésiter, il a collé sa cuisse contre la sienne et la petite jupe que porte Marie-Claude remonte un peu plus haut à chaque secousse du car. Ses seins font de même. Elle sent bien que le mec bande mais il y a trop de monde, il n’osera pas. Et bien si, il a osé, mais de manière très vicieuse, ce qui a surpris Marie-Claude et lui a fait pousser un petit cri heureusement masqué par le bruit du moteur.


Profitant d’un cahot un peu plus fort que les autres, il a glissé sa main sous les fesses de Marie-Claude et en retombant Marie-Claude s’est empalée sur son index qu’il avait mis en bonne position. Il est vrai qu’elle ne porte pas de culotte. Elle sent le doigt qui s’agite en elle, mais ne peut rien faire sans attirer l’attention des autres passagers. Le doigt est coquin et maladroit ; plusieurs fois elle a approché de l’orgasme, mais à chaque fois il a raté son coup. C’est donc elle qui glisse discrètement une main entre ses cuisses et guide le doigt de son compagnon qui finit par se stabiliser au bon endroit. Il la branle doucement maintenant et Marie-Claude se laisse envahir d’une douce langueur qui la porte petit à petit vers quelque chose de grand, un plaisir qui monte du fond de son vagin et qui irradie dans tout son corps, des doigts de pied jusqu’à la racine des cheveux.

L’orgasme la surprend au moment où le chauffeur est obligé de freiner brutalement à cause d’un chien qui traversait la rue juste devant le car. Tout le monde crie un coup et, dans le brouhaha qui s’en suit, Marie-Claude peut donner libre court à son plaisir sans que cela ne se voit. Elle inonde de jus liquoreux la main de son partenaire et se soulève légèrement pour qu’il se retire ce qu’il a la galanterie de faire.



Son branleur d’un jour est resté sans rien dire. Il est suffoqué par tant de désinvolture et tant de beauté à la fois. Jamais il n’avait rencontré une femme comme celle-là et il voudrait bien finir la journée avec elle. Mais Marie-Claude est déjà loin, elle court vers sa maison, enfin celle des Taylor. Sa jupe vole sous le vent de la course et il peut apercevoir pendant quelques fractions de secondes le cul de Marie-Claude, ce que le chauffeur de car salue par un grand coup de klaxon. Marie-Claude, sans se retourner, le salue en levant le bras et tourne au coin de la rue vers son lieu de séjour.


---oooOooo---


Rapidement Marie-Claude a rejoint la maison des Taylor qui est un peu isolée dans le quartier. Elle ouvre la barrière, rentre dans le jardin et fonce dans madame Taylor qui partait en ville pour un rendez-vous chez le médecin.



Marie-Claude est rouge de confusion et baisse la tête en parlant. Elle a conscience de son aspect physique et a bien vu que son interlocutrice a compris d’où elle venait.



Marie-Claude s’empêtre de plus en plus dans ses explications ce qui a le don de faire rire madame Taylor. Elle n’est pas dupe et l’embarras de Marie-Claude la réjouit au plus haut point.



Marie-Claude reprend sa course et entre en trombe dans la maison. Elle va directement dans sa chambre mais est interceptée au passage par monsieur Taylor qui la pousse dans la cuisine et referme la porte derrière lui.



En disant cela il tient toujours Marie-Claude par le bras et la force à s’agenouiller devant lui. D’un geste rapide il a ouvert sa braguette et sort son sexe turgescent d’une taille très au-dessus de la moyenne du moins d’après l’idée que se fait Marie-Claude d’une telle moyenne. Il lui colle le gland sur les lèvres et appuie dessus. Marie-Claude va pour protester mais à peine a-t-elle ouvert la bouche pour parler que le sexe s’engouffre entre ses lèvres, bouscule ses dents et s’enfonce dans sa gorge aussi loin que possible. Elle a un hoquet et la queue recule un peu le temps qu’elle s’adapte mais elle ne peut plus s’évader. Petit à petit elle prend le rythme que son partenaire lui impose et tout devient plus facile. Elle y prend goût et affine son action buccale, sa langue se fait fourreau, elle entoure le gland rouge foncé et le titille avec art, sa main droite pétrit les couilles de monsieur Taylor et ses lèvres sucent ardemment le membre. Monsieur Taylor soupire, gémit de plaisir mais se retient aussi car les enfants pourraient entendre.



Et d’un grand coup de rein il s’est enfoncé au plus profond de la gorge de Marie-Claude qui suffoque sous l’assaut et les vagues de sperme qui jaillissent dans sa bouche. Elle avale le sperme comme elle le peut, mais une partie déborde, elle n’a pas le temps de s’en préoccuper tant la production est importante.


Les coups de reins se sont espacés et finissent par s’arrêter. Le membre, si fier quelques minutes auparavant, est maintenant tout mou et pendouille entre les cuisses de monsieur Taylor. Marie-Claude fini d’avaler les dernières gouttes de sperme qui en coulent encore et se relève avec un gentil sourire.



Marie-Claude s’exécute, bien qu’elle n’ait qu’une envie, celle de prendre une bonne douche. Mais décidément tout s’y oppose.



John et Marie embrassent Marie-Claude joyeusement en lui demandant si son week-end a été bon.



Marie-Claude, Marie et John sortent de la maison et se dirigent vers l’arrêt de car pour rejoindre leurs camarades. Marie-Claude les embrasse tous les deux tendrement en leur souhaitant une bonne journée.


Tournant les talons elle repart vers la maison où, espère-t-elle, une bonne douche l’attend. En rentrant, elle croise la voiture de monsieur Taylor qui lui fait un petit signe. Elle le gratifie d’un large sourire et pousse un soupir de soulagement en refermant le portillon du jardin. Enfin seule, elle va pouvoir s’occuper d’elle, sans personne pour lui sauter dessus. C’est pas qu’elle n’aime pas ça, mais trop c’est trop ! Et elle éclate de rire, non ce n’est pas vrai. Du sexe elle en veut, encore et encore, il n’y en a jamais de trop.


L’avenir allait lui donner raison.