n° 11702 | Fiche technique | 12539 caractères | 12539 2031 Temps de lecture estimé : 8 mn |
12/09/07 |
Résumé: Marie-Claude continue son travail de jeune fille au pair chez les Taylor, mais un jour Joana frappe à la porte. | ||||
Critères: f ff fsoumise fdomine cunnilingu sm attache -dominatio | ||||
Auteur : Mariechriss |
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Jeudi. Cela fait quatre jours que son week-end très agité est terminé et Marie-Claude commence à avoir des envies qui lui chatouillent les reins. M. Taylor est serré de près par madame qui ne lui laisse pas le temps d’aller jouer ailleurs. À peine montre-t-il des signes d’excitation qu’elle l’entraîne dans la chambre ou la salle de bain pour une séance de vide-couilles. Marie-Claude surprend parfois des bruits qui ne laissent aucun doute sur la nature des activités qui se déroulent dans la pièce d’à côté. Il faut croire que madame Taylor a des doutes sur l’attitude de son mari vis-à-vis de Marie-Claude.
Marie-Claude, quant à elle, fait monter la pression en caressant le pantalon de monsieur dès qu’elle passe à côté de lui, et aussi en s’habillant au plus juste.
Par contre, ce qui la gêne davantage, c’est le silence de Joana qui a toujours ses papiers et son argent. Le week-end approche et elle aimerait bien les récupérer.
Ces pensées vagabondent dans sa tête quand la sonnette de la porte d’entrée retentit. Tiens, se dit-elle, ce doit être le facteur. D’un pas rapide elle se dirige vers la porte, qu’elle ouvre pensant trouver le préposé, mais son sourire se fige sur ses lèvres entrouvertes.
Joana souriante ne dit rien mais repousse fermement Marie-Claude à l’intérieur de la maison et referme la porte. Toujours sans rien dire, elle attrape Marie-Claude par l’épaule, la fait pivoter en la plaquant contre le mur et lui passe une paire de menottes autour des poignets.
En disant cela Joana lui a tiré les cheveux en arrière.
Sur cette phrase sans suite et avec ses mains entravées, Marie-Claude guide Joana dans la maison de ses patrons et lui fait visiter les pièces une à une. La visite se finit dans la chambre de Marie-Claude que Joana passe en revue de manière très détaillée. Elle ouvre tous les placards, tous les tiroirs, regarde les vêtements de Marie-Claude, admire les sous-vêtements, bref se montre la plus indiscrète possible pour bien montrer à Marie-Claude sa vraie place.
Au bout de dix minutes, elle revient vers Marie-Claude qui attendait dans son coin avec un peu d’inquiétude. Qu’est-ce qu’elle va inventer encore, se disait- elle ? Elle le sait très vite.
Joana revient vers elle avec un petit sourire et l’allonge par terre sur le dos. Elle enlève sa culotte rouge vif et, positionnant sa chatte déjà humide sur la bouche de Marie-Claude lui ordonne de la sucer de la manière la plus douce qui soit, pour qu’elle en profite le plus longtemps possible.
Marie-Claude commence à promener sa langue sur les petites lèvres, puis passe au clitoris, revient, repart, remonte jusqu’à l’anus de Joana qui commence à gémir.
La bouche de Marie-Claude est inondée de jus. Joana est très mouillée, et Marie-Claude se dépasse dans son art, elle veut faire plaisir à sa maîtresse et elle y arrive. Minute après minute le plaisir de Joana augmente sans jamais dépasser la limite permise.
Mais Marie-Claude sait aussi être démoniaque. Elle ralentit encore le rythme de ses coups de langue et c’est Joana qui craque la première. Elle s’écrase sur la bouche de Marie-Claude, se frotte le clitoris sur le nez, la bouche de celle-ci et force son orgasme à sortir de son corps qui était tendu comme un arc.
Dans un dernier râle, Joana roule sur le côté et glisse ses mains entre ses jambes pour se masturber et arracher encore quelques spasmes de plaisir de son vagin épuisé par les coups de langue de son esclave adorée.
Il lui faut plusieurs minutes pour retrouver ses esprits.
Elle s’approche de Marie-Claude et l’embrasse tendrement. Leurs langues se mêlent, se caressent et bientôt ce ne sont que gémissements. Marie-Claude n’en peut plus. Elle est attachée et ne peut pas se branler. Joana a bien compris mais refuse de la toucher ailleurs que sur la langue. Marie-Claude s’affole, donne des coups de reins dans le vide, cherche un sexe d’homme qui la défoncerait. Mais rien. Rien que la langue de Joana qui lui fouille la bouche, s’enroule autour de sa langue, lui caresse les lèvres sensuellement. Elle ressent des ondes de plaisir dans tout son corps mais rien pour la satisfaire vraiment.
Joana est encore plus diabolique qu’elle. Les reins de Marie-Claude sont en feu mais les coups qu’elle donne ne sont pas suffisants pour la faire jouir, la langue de Joana non plus.
Joana se relève en riant.
Et sur ces paroles mystérieuses, Joana quitte la chambre de Marie-Claude et tout en refermant la porte elle éclate de rire. Marie-Claude frémit en se demandant ce qu’elle doit comprendre. Mais son plaisir la reprend et elle cherche désespérément l’orgasme libérateur en donnant des coups de reins dans le vide, en frottant ses cuisses l’une contre l’autre mais rien ne peut apaiser ce feu qui embrase ses reins.
En relevant la tête elle aperçoit une balle de tennis posée sur sa table de travail et une idée lumineuse lui vient. Oui c’est ça…
Elle roule sur le côté et se met à genoux, puis debout. Avec ses mains entravées par les menottes, elle attrape la balle et la pose par terre sur la moquette. Elle se remet à genoux mais cette fois-ci se couche à plat ventre, le sexe collé sur la balle de tennis. Elle commence à onduler sur la balle jusqu’à trouver le point maximal du plaisir. Ça vient vite et son clitoris, activé par les poils qui entoure la balle et aussi par son côté élastique, commence à réagir.
Les coups de reins de Marie-Claude sur la balle s’accélèrent jusqu’à atteindre une cadence folle. Marie-Claude est emportée par son orgasme comme un sprinter qui court le cent mètres. Elle halète, crie, gémit et finit par hurler son plaisir dans un long cri rauque qui retentit dans toute la maison.
Joana qui l’a entendue, remonte précipitamment pensant que Marie-Claude a eu un accident. Elle rentre dans la pièce et voit Marie-Claude affalée à plat ventre qui respire très fort.
Et sur ces paroles encore mystérieuses pour Joana, elle roule sur le côté et Joana découvre la balle de tennis coincée entre ses cuisses.
Marie-Claude ne rit plus. Elle baisse la tête et murmure :
Elle attrape Marie-Claude par les épaules et la force à se mettre debout, ce qui la fait crier. Mais Joana n’en a cure. D’une bourrade elle fait avancer Marie-Claude et l’entraîne dans le garage de la maison. Là, elle trouve un rouleau de ficelle qui lui sert à attacher Marie-Claude au tuyau de chauffage après lui avoir ôté les menottes.
Joana attache les mains de Marie-Claude ensemble, comme si elle priait on ne sait quel Dieu lubrique.
Joana fait passer la ficelle au-dessus du tuyau de chauffage et tire dessus. Marie-Claude s’étire et monte sur la pointe des pieds. C’est ce que voulait Joana. Marie-Claude est en extension et ses seins sont joliment tendus avec les mamelons dressés comme des doigts montrant quelque chose au loin.
Joana ne peut pas s’empêcher de les sucer ce qui donne des frissons à Marie- Claude. Mais ce n’est pas le moment de jouer.
Joana sort du garage et revient avec deux chaises qu’elle place de chaque côté des jambes de Marie-Claude. Elle lui prend la jambe gauche, la tire sur le côté et en la pliant la pose sur la chaise. Elle fait de même avec l’autre jambe. Maintenant, Marie-Claude a un genou sur chaque chaise et ses cuisses sont légèrement écartées. Joana se place derrière elle et commence à faire glisser les deux chaises latéralement. Les cuisses de Marie-Claude s’écartent petit à petit sans qu’elle puisse en contrôler l’ouverture. Cette position est diabolique et soumet totalement Marie-Claude au plaisir de Joana. Les chaises continuent à s’écarter et le compas des jambes s’ouvre de plus en plus. Heureusement que Marie-Claude a fait un peu de danse, elle en a gardé une certaine souplesse musculaire. Mais tout a des limites et rapidement elle ne peut plus rien faire, si ce n’est gémir de douleur car ses muscles sont tendus fortement.
Joana vient d’arrêter le mouvement des chaises et, contournant Marie-Claude, se retrouve devant elle.
Et d’une main experte elle commence à caresser Marie-Claude qui n’a strictement aucun moyen de s’opposer aux doigts de Joana qui la caresse, la fouille et l’encule à loisir jusqu’à ce que Marie-Claude commence à gémir de plaisir et de douleur mélangés. Mais où est la limite dans ce cas ?
Joana, satisfaite, arrête ses caresses et clôt cette séance par un baiser dont la durée laisse Marie-Claude toute essoufflée.
Sur ces mots elle éteint la lumière, ce qui plonge le garage dans l’obscurité et, sans s’occuper davantage de Marie-Claude, remonte dans le salon où elle s’installe confortablement devant un bon verre de whisky pour réfléchir à la suite des événements.