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Temps de lecture estimé : 15 mn
08/10/07
Résumé:  En saison, dans une station, mes relations avec une commerçante.
Critères:  fh collègues grosseins groscul entreseins facial cunnilingu fsodo -totalsexe portrait
Auteur : Bendé      

Série : Le saisonnier

Chapitre 01
Monique

Pour gagner ma vie, je suis serveur. Pendant très longtemps je n’ai pas eu de place fixe mais j’ai travaillé comme saisonnier et ça m’a valu quelques histoires croquignolettes que je m’en vais vous narrer.


À l’époque de celle-ci j’avais vingt-cinq ans et venais pour la première fois dans les montagnes, une station fréquentée mais pas trop mode. J’étais célibataire et n’avais pas l’intention de m’ennuyer.

Je prends place dans le studio fourni par l’hôtel-restaurant où je vais travailler pour six mois et je fais un peu le tour de la station. Je repère une charcutière toute gironde et toute émoustillée et me dis qu’il y a quelque chose à gratter par là.


Allez savoir, des fois, on a des intuitions. Je ne compte pas les fois où ça ne m’a rien apporté, mais me voilà parti pour une entreprise de séduction que j’ai l’intention de mener tambour battant ! Il me semble ne pas la laisser indifférente et me voilà, au fil des jours, de plus en plus entreprenant : bavardages, yeux doux. Son aimable charcutier de mari ne semble rien remarquer, tout à son travail qu’il est. Il faut dire qu’il ne chôme pas. Il n’y a pas beaucoup de commerces et ça défile pas mal.

Je travaille dans un restaurant un tout petit peu plus loin et viens donc pour mon travail, et pour moi. Petit à petit j’apprends des détails très intéressants, sans arriver à savoir si ma Monique préférée du moment me les dit intentionnellement ou pas, et voilà enfin la précision plutôt chuchotée qui va tout faire basculer :



Moi je ne fais pas forcément la sieste, par contre je suis en repos pour deux heures à mon travail. L’après-midi même, à quatorze heures trente pétantes, après une bonne douche, me voilà qui toque à la porte arrière de la boutique. Effectivement une Monique habillée d’un grand tablier blanc m’ouvre, l’air, me semble-t-il, faussement étonnée.


Je m’installe derrière elle, un peu sur le côté, nous discutons de je ne sais quoi, et je n’ai d’yeux que pour ses fesses et ses seins qui remuent au rythme de ses frottements des objets qu’elle attrape un par un dans une quantité impressionnante de vaisselle, plonge dans un bac bien profond et ressort pour les plonger dans un bac adjacent. Il fait une chaleur incroyable et il règne une vapeur épaisse. Sous son tablier elle a une petite robe bleu marine assez courte, qui laisse voir deux jambes fortes mais belles, très blanches, et en haut deux ou trois boutons ouverts, qui laissent supposer deux seins aphrodisiaques…


Je ne résiste pas longtemps à ce spectacle et sans crier gare je m’avance et plaque deux mains autoritaires sur ses fesses. La phrase se coupe d’un seul coup mais pas un mot de réprobation ! Je commence donc à malaxer ce fessier qui m’a presque fait loucher quelques secondes plus tôt, et qui est responsable d’une érection très agréable.

Il est vrai que ce fessier à la fois ferme et souple, opulent, accueillant, partage cette responsabilité avec deux seins que je suppute merveilleux, mais il faut bien commencer quelque part, et je m’y emploie avec vigueur ! Au bout de quelques secondes, Monique se met à râler doucement, un son guttural à la fois doux et puissant qui me met rapidement dans tous mes états. Je descends mes mains et les passe sous la jupe, continuant à malaxer ses fesses à travers une petite culotte de coton des plus prudes, que je ne tarde pas à descendre sur ses chevilles et qu’elle fait passer rapidement par terre en me disant les seuls mots qu’elle prononcera durant cette belle séance de baise, parce qu’il n’y a pas d’autres mots :



Les râles repartent aussitôt et je continue à malaxer cette chair si agréable et si vivante. Je m’agenouille, l’attrape par les hanches pour écraser mon visage sur ces fesses franches, douces, qui s’agitent pour venir à ma rencontre. Je dénoue son tablier, j’écarte ses jambes, je retourne mon visage et le plonge dans son sexe poilu et très bombé où je découvre rapidement un clitoris d’une taille impressionnante que je suce comme le bout d’un petit doigt.


Quel plaisir de sentir les chairs trembler, d’entendre les râles qui montent un peu plus dans les aigus ! Et Monique agite son cul dans tous les sens, dans une sorte de danse affolante. Elle va me rendre fou !

Sans quitter ce clitoris, je glisse les mains pour déboutonner la robe. Un beau ventre blanc apparaît. Monique est forte certes, mais pas grosse, et sans bourrelets. Encore mieux que ce dont j’avais rêvé ! Je retourne me placer derrière elle pour défaire le soutien-gorge qui me cache encore ses obus, qui ont littéralement explosé à ma vue, et là je ne résiste plus, je descends mon pantalon sur mes chevilles et prends ces deux seins merveilleux à pleines mains pendant que Monique attrape mon sexe au mieux de sa forme et le fait glisser dans son sexe trempé.

Là aussi, surprise, il me serre comme un fourreau et je commence une balade dans tous les plis, doucement puis en claquant contre ses fesses, à droite, à gauche, et les râles continuent et j’adore ça, ça me met dans tous mes états ! Vautré sur son dos, les mains continuant à frotter ses seins, là aussi, doucement puis les écrasant, pinçant les bouts.

Puis, sentant le moment fatal arriver, je me redresse et je commence à la pénétrer d’un bout à l’autre de mon sexe, ressortant au maximum puis allant claquer contre ses fesses, très lentement au début, voulant profiter au maximum de toutes ces merveilles. Je me mets moi aussi à râler. J’accélère lentement en promenant mes mains partout, retroussant la robe comme une écharpe, continuant une accélération régulière, puis je prends ses hanches et j’installe un rythme incroyable et je crache tout dans un rythme endiablé que je ne peux plus arrêter, recevant sur les cuisses la giclée du plaisir de Monique qui pour le coup ne dit plus rien, tournant toujours son merveilleux cul dans tous les sens.


Puis petit à petit tout s’arrête. Monique se redresse, réajuste ses habits et dit :



Elle se tient au bord de l’évier. On a tous les deux les jambes qui flagellent.

Le temps d’enfiler mon pantalon et je pars en douce pour une nouvelle douche et une demi-heure de récupération avant de reprendre mon service.

Je ne peux pas faire ces exploits tous les jours, c’est certain ! Le lendemain, quand je repasse au magasin, à peine si je vois une petite rougeur sur les joues d’une Monique toujours à la caisse. Je laisse passer quelques jours et profite que Georges soit parti dans les réserves pour dire :



Dommage, je me sentais à nouveau en forme.

Compte tenu du nombre toujours croissant de clients, ajouté à la présence du mari, la communication n’est pas facile et je tente quelque chose d’un peu fou : je glisse à Monique un papier où j’ai écrit :



Elle fait semblant de fouiller dans la caisse pour le lire. Elle relève la tête et dit :



Je tape donc les trois coups demandés à quatorze heures trente et, à peine la porte refermée, j’attaque sans détour le tablier que je pose à terre et les yeux dans les yeux de Monique je retrousse la petite jupe noire qu’elle porte et plonge la main dans sa fourrure. Elle a donc fait ce que je demandais. Je tente sans y arriver de l’embrasser sur la bouche. Elle me dit très pudiquement :



Je suis un peu gêné et réponds :



Ça a un peu refroidi l’atmosphère. Monique me dit :



Je relève donc aussi le T-shirt et dégrafe son soutien-gorge. Quel plaisir de voir et toucher à nouveau ces merveilles ! Très vite les râles recommencent et je malaxe, lèche, frotte, pince, écrase, fais tous les jeux possibles avec ces seins merveilleux. Ces jeux semblent procurer tant de plaisir que je pourrais rester là des heures. Elle bombe le torse, se soulève, se met en avant, se recroqueville. Tout à coup elle se recule, s’adosse à un meuble et me dit :



Pendant que je me déshabille, elle mouille avec de la salive l’espace entre ses seins avec un petit sourire coquin, très simple et mignon. Je plie un peu les jambes et cale mon sexe tout en joie entre ces deux beautés qu’elle empoigne à pleines mains pour les resserrer sur mon sexe, que je me mets tout de suite à bouger.

Et là, c’est merveilleux. Je prends un rythme régulier. Elle serre au maximum ou laisse toute la place, sent quand ça devient un peu trop sec et salive ou lèche mon sexe maladroitement mais de manière très agréable. À un moment je prends mon sexe dans la main, le soulève, et lui présente mes couilles qu’elle lèche avec conviction puis je replonge entre ses seins, accélère et lâche une quantité de sperme impressionnante, qu’elle prend un peu partout sur le visage.

Elle se met à lécher mon sexe pour le nettoyer très soigneusement, avec beaucoup de plaisir et en prenant bien soin de prolonger le mien.


Puis, en s’écartant du meuble, elle se met à genoux et me plaque à mon tour contre lui. Elle se lève, m’appuie sur les épaules et me fait asseoir. Elle passe les deux mains derrière ma tête et colle mon visage entre ses jambes. C’est le moment où commence une branlette dont je me souviendrai !

Je me cale sur son énorme clitoris, je mange ses lèvres, plonge ma langue dans son sexe. Quand elle m’en laisse le loisir, tellement elle me tient en étau entre ses jambes, je glisse et lui lèche la rondelle, ce qu’elle semble beaucoup apprécier, mais visiblement aujourd’hui elle veut un plaisir clitoridien, et elle en veut vraiment !

A un moment je ne peux plus du tout contrôler les choses. Monique me tient la tête enfoncée entre les cuisses, juste soucieuse de ne pas m’étouffer, que ma langue reste efficace, et bouge son cul pour que son clito vienne se frotter sur mes lèvres ou sur mon nez, le tout dans une danse que j’aurais voulu voir par derrière ! Les râles bien sûr sont là et montent en puissance, quand tout à coup je sens les cuisses m’écraser encore plus et je reçois dans la bouche une éjaculation incroyable et goûteuse ! Je m’empresse d’en boire le maximum.

Je lèche à pleine bouche et ça lui procure d’adorables sursauts de plaisir, quand nous entendons des bruits de chasse d’eau. Je cherche à m’échapper mais elle ne bouge pas, continuant à se frotter. Je ne suis pas très rassuré et m’habille tout de même rapidement avant de prendre congé d’une Monique visiblement très sonnée par le plaisir. Devenue toute douce elle me caresse le sexe et les fesses pendant que je m’habille, et me chuchote un "à bientôt" plein de promesses quand je passe la porte en décollant difficilement mon regard de ses seins merveilleux.


Un matin je viens dans la boutique, sans intention particulière, ou pour être plus franc, les mêmes que d’habitude. J’ai toujours les entrailles en vibrations quand je passe la porte du magasin. Quelques fois j’ai même une bandaison qui démarre quand je vois ce beau corps qui se déplace. Quand je passe à la caisse, en me rendant la monnaie elle me chuchote :



La saison tire à sa fin. Plus que dix jours avant le départ. Du coup nous avons moins de clients. Je préviens un collègue que je risque d’être absent l’après-midi.

Quand je passe devant la boutique je vois un panneau « Fermé pour l’après-midi »

Je trouve une Monique toute excitée. À peine je suis rentré, elle me dit



Coquine, nue sous un tout petit tablier, elle fait semblant de faire la vaisselle. Plus pour me montrer son beau cul qu’autre chose. Ça me plaît ! Je me poste à quelques mètres, me déshabille tranquillement en répondant grossièrement aux délicieuses grossièretés qu’elle me dit. Je prends mon temps. Je me délecte du spectacle.



Je la prends en main et joue tranquillement avec.



Je m’approche doucement en lui disant tout ça. Elle écarte un peu les jambes, je me faufile dans l’ouverture et me frotte sur le clito et la fente déjà juteuse… Je la caresse doucement sur tout le corps. Rapidement elle commence à onduler. Elle sort une main de l’eau chaude et me saisit le sexe fermement à la base.



J’aperçois sur le bord de l’évier un reste de plaquette de beurre. Je trempe trois doigts dedans, les dirige vers son honorable postérieur et commence à caresser son joli petit trou. Elle est très penchée en avant, me tient toujours le sexe, ça lui écarte bien les fesses. D’un coup, après quelques rondes du doigt sur le pourtour, je lui enfonce mon majeur tout entier. Monique ne dit plus rien. Elle me lâche le sexe et s’accroche aux bords de l’évier. Je reste immobile au chaud à l’intérieur. Puis je bouge le doigt.

Tout de suite les râles entrent en fonction. Rien ne bouge chez elle. Rien que ces râles qui semblent venir du centre de son corps et qui m’excitent toujours autant. En plus son mari n’est pas là, elle fait moins attention au volume sonore. Je bouge de plus en plus. Le corps continue à onduler. Quelques fois les râles s’arrêtent. Le cul, lui, bouge en permanence. Ma main aussi et donc mon doigt. Quelques contorsions et je reprends du beurre avec l’autre main, je me place derrière elle, j’essaie de passer deux doigts, mais elle bouge trop. Je tartine mon doigt avec l’autre main et tourne, ressort, enfourne. Je lui appuie sur les fesses pour qu’elle se mette pile à la bonne hauteur, prends mon sexe bien beurré, il est dans une forme que je n’ai pas besoin de vous décrire - c’est tellement bon de bander avec un cul qui fait des cercles sous votre nez - et, sans prévenir, j’enlève mon doigt et plante mon dard à la place.

D’un seul coup.

En entier.

Silence.

Net.

Putain c’est bon ! J’ai l’impression que ça grouille à l’intérieur. Je vois le trou du cul distendu et comme s’il avait deux couilles accrochées. Mon dard est planté à fond. J’y suis peut-être allé un peu fort. Mais c’est bon ! Pourvu que ce soit pareil pour elle. C’est tout chaud, c’est serré, je ne fais rien, j’attends. Je suis comme mâchouillé par des pulsations intérieures.



Elle parle comme si elle était essoufflée.



Ça a fini déformé par les râles qui repartaient. Il faut dire que, fort de ses propos, moi j’avais attaqué la promenade. Je ressors presque jusqu’au bout, j’enfonce jusqu’au bout. Elle reprend les ronds affolants avec son cul. Je m’enfonce, allant jusqu’à lui écarter les fesses pour être sûr d’être au bout du bout, au fond du trou. Et moi aussi je fais des ronds et c’est bon ! Je reste calé à lui écraser les fesses. Moi je suis pas sûr de tenir des heures un truc pareil ! Je me détends au maximum mais putain le plaisir monte, c’est trop super ! Je vais lui caresser les seins et elle aime bien. Elle halète avec des phrases musicales comme si elle pleurait.



O.K. c’est parti pour le baroud final. Je reprends ces déplacements si bons, les deux mains aux poignées d’amour et ce coup-là, pas dans le détail mais à fond vraiment en m’accrochant où je peux sur son corps. Le plaisir monte chez moi comme chez elle et on râle, on gueule, on salive tous les deux, et elle bouge, et je remue et enfin j’explose en lui écrasant les fesses encore plus si c’est possible, la bite au maximum dans son trou qu’elle bouge encore et encore.



Elle me prend par la main, monte l’escalier. On entre dans la salle de bain. Elle se penche sur le lavabo, boit au robinet, se frotte les mains avec du savon et attrape ma pine qui fait moins la maligne que tout à l’heure et me la frotte doucement en la regardant tendrement. Elle me sèche. Se re-savonne les mains, se frotte entre les fesses, re-rinçage. Elle me prend la main, m’amène dans la chambre nuptiale, en joli bordel, et se jette sur le lit, se recroqueville et s’endort avant que je ne me mette à côté d’elle.

Là, je sais plus trop quoi faire. Imaginez que son charcutier de mari débarque, elle endormie et moi à poil à côté ! J’essaie de pas m’endormir mais pensez… et je mets un moment à comprendre ce qui m’arrive, j’ai des visions bizarres et des sensations bizarres !

Monique est en soixante-neuf sur moi ! Les visions, c’est sa belle fente et sa belle fourrure et sa main qui frotte à fond son clito. Il a pas eu son compte lui, c’est vrai. Les sensations eh ben c’est qu’elle n’est pas inactive entre mes jambes. Je reste sans rien faire et profite de ses succions. Je sens la forme revenir et profite qu’elle enlève sa main pour lui prendre les fesses à bras le corps et sauter sur son clito. Ça lui plaît ce réveil brutal, je m’en rends bien compte ! Elle se cabre, lâche mon engin qui vient claquer contre mon ventre et elle m’écrase le visage comme l’autre fois. Elle s’appuie contre le matelas, remonte ses jambes vers l’avant, se retrouve un peu comme une grenouille et frotte toute la longueur de son sexe sur mon visage. Le tout lentement, profitant de chaque seconde et se laissant lécher à loisir toute cette merveille.

Elle se retourne, reste les jambes repliées, prend mon sexe et s’enfonce sur lui doucement avec juste un « Hummf » quand il touche le fond. Moi, je ne fais rien que jouer avec ses seins et m’en remplir les yeux. Qu’ils sont beaux dans cette position, et que son visage est beau lui aussi, les yeux fermés, un léger sourire et tout tourné vers le plaisir qui progresse en elle au rythme de ses montées et descentes !



Elle ouvre juste les yeux et son sourire grandit.



Puisque c’est un ordre, moi je reste là comme un gros bébé sur le dos, les mains à jouer et la colonne et le gland aux plaisirs multiples que son fourreau gourmand me diffuse partout dans le corps. J’ai les jambes vaguement écartées et elle passe d’appuis sur mes épaules à des appuis sur mes genoux. J’adore quand au passage elle me griffe les couilles ou empoigne mes seins ou mes poignées d’amour. Je plie les jambes une fois de temps en temps.


Elle nous a amenés comme ça jusqu’au plaisir. Je ne pensais pas qu’il me restait autant de sperme ! J’ai eu la sensation d’éjaculer de nombreuses fois et à chaque fois elle poussait des râles spécifiques d’une douceur touchante malgré leur côté guttural. Merveilleux ! Je suis resté dur longtemps et elle en a profité pour se balader dessus gentiment, nonchalamment presque, avec un plaisir que trahissait son sourire. Et puis elle s’est allongée sur moi. On s’est caressés, chatouillés. On a ri comme des étudiants. Sans rien se dire mais avec de gentils regards.


Elle s’est levée, j’ai entendu des bruits d’eau. Elle est revenue.



Ça m’a fait comme un électrochoc. J’étais à mille lieues de ça. Pas amoureux, mais tout avec elle, loin des contingences de la vie. Il était six heures et je n’avais pas envie de me retrouver face à son mari. Je lui ai souri, je me suis levé, je l’ai prise par la taille et nous ai dirigés vers les escaliers. Je me suis habillé. Elle est restée nue à me regarder faire. Je l’ai regardée, prise dans mes bras, serrée bien fort et je suis parti.


Je ne l’ai pas revue. Je n’ai pas voulu aller à la charcuterie les jours suivants. On s’était dit au revoir. Je n’avais pas envie d’un autre au revoir raté dans la boutique.