n° 11817 | Fiche technique | 22488 caractères | 22488Temps de lecture estimé : 14 mn | 10/10/07 |
Résumé: Une femme étonnante dans les relations de travail. Distante mais si proche par moment. | ||||
Critères: f h fh jeunes collègues amour voir noculotte portrait | ||||
Auteur : Bendé |
Épisode précédent | Série : Le saisonnier Chapitre 02 | Épisode suivant |
J’ai déjà raconté dans l’épisode précédent une des aventures de ma « carrière de saisonnier ». Aujourd’hui je vais vous parler du premier emploi que j’ai eu après mon diplôme. Comme souvent dans ces cas là, c’était une place à la fois tentante et pas tout à fait claire.
Imaginez le sud de la France, la côte méditerranée. Un superbe grand hôtel, un peu au milieu de nulle part enfin pour le sud en tout cas. À deux kilomètres d’une route, accessible par un long chemin privé partagé avec quelques villas.
La bâtisse faisait penser à ces anciens grands hôtels que l’on voit à Nice sur la promenade des anglais, et un très grand terrain avec de beaux et grands arbres qui dataient sans doute de la construction de l’hôtel. Rajoutez à cela que ce terrain se terminait par une falaise qui dominait la mer. Vraiment un endroit fantastique que n’avaient pas dénaturé quelques constructions basses qui y avaient été ajoutées pour les cuisines modernes et le logement du personnel.
Les conditions d’emploi étaient moins claires. Toujours difficile de savoir ses horaires. Un personnel très déséquilibré, que ce soit dans les caractères ou pour les compétences. Un patron beaucoup plus occupé aux aspects commerciaux qu’exige ce genre de maisons, que de ce qui se passait dans les cuisines, le bar et le club que comptait le domaine. Je n’en dis pas plus.
Aux environs de la troisième semaine, il y eu une tempête d’une soudaineté et d’une violence que je ne pensais pas possible dans le sud. Un bout de falaise ne résista pas et tomba dans la mer. Cet incident nous obligea, deux ou trois collègues et moi à changer d’hébergement. Sans doute parce que j’étais le plus jeune, je fus obligé de partager le studio d’une autre employée, Marie.
Marie était « une fille des îles ». Ne voyez là aucun mauvais jugement de ma part, je suis obligé de dire ça parce que je n’ai jamais réussi à en savoir plus. Marie avait son caractère et ses secrets. C’était un petit bout de bonne femme que je trouvais âgé à l’époque. J’avais 20 ans, elle devait en avoir entre 35 et 40 ans. Ça non plus je n’ai jamais réussi à le savoir. Elle était noire, pas très foncée, menue mais très musculeuse, sans rondeurs mais pourtant pas maigre du tout non plus. Elle mesurait une quinzaine de centimètres de moins que moi.
La bonne aubaine pourrait on croire. Et je ne nie pas que je me le suis dit aux premiers instants parce que je n’avais pas encore réussi à lier de relations dans l’équipe de l’hôtel. Je n’y arriverais pas d’ailleurs, mais ça je ne le savais pas encore ! Mais en fait d’aubaine, ce fut un cauchemar ! Marie n’était pas du tout contente de partager son petit chez elle. Je peux le comprendre d’ailleurs parce qu’elle avait sûrement le studio le plus agréable de ceux qu’il m’a été donné de visiter en tous cas. Elle me faisait savoir son mécontentement et ne semblait pas faire cas de ma non-responsabilité dans cette situation. Je dormais dans un lit rajouté dans la pièce principale. Elle avait une chambre en étage ou plutôt une mezzanine avec cloison au bout d’un petit escalier droit, genre échelle de meunier.
Ce fut vite insupportable malgré nos horaires assez fournis. Elle était serveuse comme moi, elle au bar, moi au restaurant, mais comme il y avait le club, nous avions sensiblement les mêmes horaires. Et au bout de 10 jours je craquais et me mettais vraiment à gueuler sur son mauvais caractère, lui faisant remarquer que je n’étais pour rien dans cette situation, que moi je n’avais rien fait de désagréable et tous les arguments que j’ai pu trouver dans l’énervement. À ma grande surprise, moi qui étais parti pour une engueulade musclée, elle se mit à pleurer. Je me calmais et essayait même de la consoler mais quand je posais ma main sur son épaule elle hurla un « Pas touche » qui me fit me rasseoir sur ma chaise. Néanmoins nous avons pu discuter plus calmement assez rapidement et la situation changea complètement.
Marie devint très décontractée en me précisant :
Et c’était très agréable de la voir se balader en T-shirt à mi fesses moi dans mon lit avec une vue imprenable qui me faisait souvent bander, obligé d’attendre qu’elle se tourne pour oser sortir. Ses fesses étaient toutes rondes et musclées, très vivantes quand elle se déplaçait et j’adorais ce spectacle. Elle avait aussi un petit short très moulant qu’elle portait sans rien d’autre, ses petits seins pointus à me ravir la vue.
Un jour où je bandais comme un âne parce que Marie se baladait ce coup là complètement nue sous mon nez si je puis dire, je crus rêver en entendant :
Je ne réussis pas à en balbutier plus et contraint par les horaires, je me levais quelques minutes plus tard avec une érection toute vigoureuse puisqu’elle n’avait pas arrêté de se balader, monter descendre, me passer devant ?
Ça c’était le français de Marie.
Un matin, je me réveille avec de drôles de sensations. J’étais bien crevé, couché tard parce qu’il y avait un repas spécial pour l’accueil d’un groupe de je ne sais quelle entreprise. Je mis un moment à me mettre à l’évidence et ouvrait les yeux pour voir Marie penchée sur mon sexe en train de le caresser d’une main et les couilles de l’autre. Elle me regarda avec un grand sourire et me pris en bouche toujours ses yeux dans les miens. Elle se mit à monter et descendre sur mon sexe avec sa bouche et commença à promener ses mains partout sur mon corps qui était en plus léché par un agréable rayon de soleil. Par moment tout mon sexe disparaissait dans sa bouche et je sentais le fond de sa gorge qui se contractait et c’était très bon. Ses mains décrivaient des formes en tous sens et de plus en plus vite et m’enflammaient tout le corps. Je voulus me lever mais elle me plaqua dans un geste autoritaire dont elle avait le secret. Je me laissais donc aller au plaisir qu’elle avait décidé de me donner. Ce fut merveilleux. Je ne sais pas ce qu’elle pouvait inventer comme mouvements, sucions, ce qu’elle me faisait avec ses dents, sa langue mais le plaisir est monté très progressivement et dans tout mon corps qu’elle avait mis littéralement en feu avec ses caresses.
Quand elle me sentit au bord du plaisir elle prit mes couilles dans ses deux mains et les serra à la limite de la douleur avec une sorte de tremblement dans les mains et j’ai eu l’impression de sentir mon sperme sortir comme d’un geyser et j’ai cru que ça n’allait pas s’arrêter. Elle tenait mon attirail dans ses mains, mon sexe dans sa bouche alors que je bougeais comme un fou en respirant comme un bœuf avec des râles qui me faisaient vibrer la gorge. Je retombais épuisé alors que pas tout à fait réveillé, vidé. Elle s’approcha et m’embrassa sur le front. J’effleurais ses seins, elle me prit les poignets, me laissa toucher quelques secondes et remis les mains le long de mon corps.
Elle alla chercher une chaise, la mis à la hauteur de ma tête à côté de mon lit. Elle s’assit, et commença à se masturber en me regardant. Elle posa les pieds sur le bord du lit, ferma les yeux et continua doucement à se caresser. Elle était très belle à voir, le visage détendu, un léger sourire sur les lèvres. Après quelques soupirs une douce mélopée se mit à sortir de sa bouche aux lèvres fermées, ce qui donnait à cette scène un côté enfantin et très doux.
Dans un premier temps je ne bougeais pas, j’étais de toutes façons en train de me remettre de la puissante jouissance qu’elle venait de me procurer. Voyant son plaisir monter petit à petit, elle semblait vouloir prendre tout son temps, je voulus lui caresser les pieds. Immédiatement, en poussant sur ses jambes elle se projeta trois mètres en arrière, et comme si de rien n’était continua ses caresses. De temps en temps elle se cabrait et se mettait à bouger les fesses, un peu comme le font les danseuses brésiliennes. Parfois dans le silence. Parfois dans une sorte de rire lent et profond, très peu fort en volume, comme si elle ne le faisait que pour elle.
Puis elle se mit debout, se retourna, bougea plusieurs fois encore les fesses, les mettant à trembler de cette affolante façon qui me chauffait les yeux, et le reste. Les deux fesses étaient comme indépendantes l’une de l’autre et ça faisait combinaisons incroyables qui finirent de me remettre le sexe dans un état de dureté agréable et étonnant après ce qu’il avait vécu. Elle se plia en deux, le dos à l’horizontale et commença lentement à passer d’un pied sur l’autre en levant les genoux alternativement presque jusqu’à s’en taper le buste. Ses doigts s’agitaient dans son sexe ou ses mains partaient caresser son corps, un peu comme elle me l’avait fait juste avant. Mon envie était grande de me lever et de plonger mon visage dans son petit cul si vivant, si bandant, mais je m’en gardais bien, ne voulant pas entendre encore ce « Pas touche » qui, je le savais, serait prononcé inéluctablement !!
Son espèce de danse était maintenant soutenue par des sons continus, graves, intérieurs comme ses rires. Je me levais moi aussi comme happé par sa danse, saisi mon sexe et me mis à me masturber au rythme infernal qu’avaient pris maintenant ses doigts que je ne pouvais quitter des yeux. Je me mis aussi à danser d’un pied sur l’autre sans y réfléchir et je crachais toute ma jouissance quand elle se mit à jouir également en bougeant pour le coup le buste en tout sens, en silence avec juste quelques petits cris qui semblaient lui échapper.
Elle se calma un peu. Toujours en se caressant elle se mit à marcher lentement et monta les escaliers sans se retourner et disparut dans sa chambre sans fermer la porte. Je m’affalais sur mon lit et je m’endormis je pense dans la seconde qui suivit ! Quand je me réveillais, il n’y avait plus aucune trace au sol de ma jouissance. Marie n’était plus là, j’avais passé la tête le plus discrètement possible par la porte de sa chambre. Je restais avec une drôle d’impression : avais-je ou non rêvé ce moment incroyable ? D’autant plus incroyable que l’on n’en reparla jamais et qu’il n’y en eu aucun autre.
Si quand même un autre. Un autre. Vers mi septembre, peu avant mon départ et donc bien trois mois après ce que je viens de vous raconter, un soir ou il avait vraiment fait chaud, j’étais au lit après une bonne douche et, comme elle le faisait souvent, elle rentre de son service et ressort après que l’on ait échangé de vagues mots et avoir passé quelques minutes dans sa chambre. Ce soir-là, elle repasse la tête par la porte et me dit :
Me baigner ? Je ne voyais pas ce qu’elle voulait dire. La piscine ou notre présence n’était que vaguement tolérée, était de toute façon interdite de nuit, à part pour les clients éméchés contre lesquels la direction ne pouvait rien faire.
Je ne m’étais pas beaucoup changé les idées dans les jours précédents, je lui emboîtais le pas. Je ne risquais rien de toute façon. Elle marchait très vite et je suivais péniblement. Elle partit au travers du parc dans un coin ou je n’étais pas allé et se dirigea vers la falaise. Elle prit un passage entre de jeunes arbres et « attaqua » la falaise. C’est le mot ! Je me suis arrêté, me demandant si elle n’était pas folle, car je ne crois pas que l’on puisse appeler ça un chemin ! C’était complètement à pic et elle devait bien le connaître et l’avoir pris souvent pour y aller à une telle vitesse avec si peu de lumière. J’étais là, autant continuer. Peut être que ça allait s’arranger. Mais point d’amélioration et j’ai même, par deux fois dévalé quelques mètres sur les fesses ne pouvant m’arrêter qu’en m’accrochant dans des branchages heureusement présents tout au long. Des sortes de petits conifères tout rabougris, battus sûrement par les vents et de toute façon ne devant trouver que peu de terre dans cette colline rocheuse. En plus, on avait l’impression que l’on allait arriver droit dans la mer qui semblait assez profonde.
En fait, une fois presque en bas, ça devenait plus praticable et on s’enfonçait sous de petits arbres. Il y avait une toute petite crique que je n’ai pas réussi après à retrouver d’en haut. Elle faisait à peine trois mètres de large et était recouverte d’un beau sable blanc. Les habits de Marie me montraient le chemin de la mer, s’il en était besoin. Après quelques instants de récupération et un coup d’œil interrogatif vers le haut, me demandant comment j’allais pouvoir remonter, je jetais moi aussi mes habits en vrac tout en courant vers la mer. La vue d’une serviette de bain sur le sol me fit penser tout à coup que je n’en avais pas pris.
Me jeter dans l’eau me fit le plus grand bien malgré les picotements que me faisaient les éraflures de la descente. Je mis un moment à voir Marie qui était partie assez loin. Trop pour moi en tous les cas. Je n’avais pas assez confiance dans mes talents de nageur pour la rejoindre et je me mis à m’amuser tout seul, nu comme un ver bien sur, une petite bandaison s’installant dans mon plaisir de ces jeux avec l’eau. Elle me retrouva au bout d’un certain temps et on joua un peu à s’éclabousser, le « Pas touche » ayant fusé quand je cherchais à l’attraper. Elle était tellement proche et décontractée tant que je ne la touchais pas que j’oubliais parfois. La remise au pas n’a jamais traîné. On n’est pas très curieux à 20 ans, ou moi en tous les cas, et je n’ai jamais cherché à savoir ce qui pouvait être à l’origine de ces réactions extrêmes. Tout essoufflés nous sortîmes de l’eau.
Mais elle se dirigea vers moi et entreprit de me sécher. Elle le fit le plus sérieusement du monde, comme une mère avec son fils. Elle passa sur mon sexe comme sur le reste du corps, comme si elle n’avait pas remarqué qu’il était un peu dur, en tout cas pas à l’état de repos. Elle me poussa sur la poitrine et me dit :
Il ne me restait plus qu’à obéir ! Elle entreprit de se sécher. Ce faisant, elle plaça ses pieds de chaque côté de mon buste et remonta tranquillement autour de ma tête. Je regrettais le manque de lumière. Quand elle se jugea assez séchée elle lança la serviette et augmenta doucement l’ondulation de son corps qui avait déjà commencé. Elle descendait ses fesses à quelques millimètres de mon visage, continuais à bouger en décrivant des cercles ou mimant la pénétration par des aller retour. Et puis elle remontait. Je ne voyais pas grand chose de précis dans ses lèvres, son sexe, sinon sa peau qui brillait et les différents tons de rose brillants qui fendaient sa peau noire. Ce spectacle était de toute beauté. De son sexe, je percevais l’odeur. C’était cette odeur que je sentais souvent quand elle était proche de moi, mais en plus fort, en bien plus concentré. Et cette odeur qui se concentrait, s’évanouissait au grès de ses va-et-vient.
Elle vint se frotter contre mon nez. Doucement, sans précipitation aucune, je sortis la langue et me mis à la lécher. Elle approcha son clitoris de cette petite rappeuse et je m’enhardissais et plongeais toute ma bouche et mon nez dans sa fente, dans son odeur qui m’avait tant excité, toujours avec beaucoup de lenteur. Quelle jouvence, ce bain de lèvres, de mouille, de sucs ? Je savais qu’elle ne le supporterait pas longtemps. J’étais même surpris qu’elle le supporte, quelques secondes, minutes ? Le plaisir n’est pas l’état qui nous aide le plus à mesurer le temps. Je sentis, très lentement mais inexorablement que cette source de plaisir dont elle me laissait me délecter s’écartait. Je levais un peu la tête pour retarder la séparation.
Elle se remit debout, recula jusqu’à ma taille et se baissa lentement. Elle me regardait. Du moins, ses yeux qui brillaient dans le peu de lumière me donnaient l’impression qu’elle me regardait. Je sentis une de ses mains prendre mon sexe, le caresser doucement, le redresser et elle s’empala dessus. Lentement serait encore trop rapide. Elle devait avancer d’un millimètre à la seconde ou encore moins. Du coup j’avais l’impression, parce qu’elle fit plusieurs allers-retours à ce tempo, que mon sexe faisait un mètre de long ! Je ne le dis pas par vantardise, je ne crois pas que mon sexe soit spécial, et j’aurai l’occasion d’en voir des plus ceci ou plus cela. Je le trouve beau, mais pas par des mesures exceptionnelles.
Elle posa ses mains sur ses genoux et ne fit plus que bouger de haut en bas. Nous ne nous touchions que par la peau de nos sexes, c’est sans doute ce qu’elle aimait dans cette posture. Je voulus l’accompagner dans ses mouvements mais elle me dit :
Je m’installais confortablement dans le bruit de la mer, dans le sable fin, dans la vitesse variable des allers retours de Marie. Comme il est bon de prendre son temps. Comme il est bon de sentir que votre partenaire va prendre tout son temps et tout faire pour que vous suiviez la même montée de plaisir. Je faisais moi aussi des allers retours des sons et sensations que m’amenaient le bruit de la mer, les frissons provoqués par les coups de vents, les oscillations du fourreau qui m’entourait le sexe, les petits cris et murmures de Marie. Parfois elle s’arrêtait et, je ne sais trop comment vous le décrire mais mettait en vibration différente son vagin et c’étaient des moments ou j’osais à peine respirer mais ou mon sexe devenait comme une barre d’ébène. Elle reprenait en main mon sexe et restait à l’entrée, fouillant ses lèvres et frottant son clitoris. Une fois redescendue elle me laissait tout entier en elle, écrasant la pointe de ses fesses sur mes hanches.
Elle remit ses mains sur ses genoux et entama un mouvement de haut en bas qu’elle n’allait plus arrêter. L’accélération a été inexorable, progressive, sans faille. Les sons se sont mis à sortir de sa bouche et il me semblait en ressentir les vibrations dans son sexe. Moi aussi je me suis mis à râler ou chanter ou crier… et puis ses mains glissèrent de ses genoux et elle s’agrippa à ma poitrine, m’arrachant les quelques poils qui se trouvaient là et, dans cette surprise je crachais en elle tout mon plaisir, toute la fougue qu’elle mettait elle même. Tournant ma tête de gauche à droite dans un mouvement de folie je crois que j’ai crié longtemps. Marie n’avait pas arrêté ses élévations et m’écrasait la taille, les hanches, les couilles sans vergogne à chaque descente et sautant comme une grenouille, elle vint écraser sa fente contre mon visage. Je sortais la langue, mâchouillais avec les lèvres et me retrouvais beurré de son jus et du mien. Elle me bouchait les oreilles avec ses cuisses et du coup je me retrouvais complètement isolé, comme dans un bocal, dans ce bain de sexe, de mouille, de sperme, de cuisses, et secoué comme dans une machine par cette femelle en furie qui voulait tout simplement jouir jusqu’au bout du bout de son plaisir.
Un autre saut de grenouille m’abandonna, sonné par son plaisir et le mien. Quand je relevais la tête, je vis Marie allongée sur le ventre, les jambes et les bras formant un X. Je suis allé me laver le visage dans l’eau de mer et m’allonger au bord de l’eau frappé par les vagues. Je me suis assis le derrière dans l’eau, les bras en arrière face à la mer. J’ai fermé les yeux cherchant le calme intérieur. Marie, à quelques mètres s’est mise dans la même position. Nous sommes restés silencieux.
La simple pensée de la descente ma glaça le dos. Je pris sa main et une fois debout mes jambes molles me firent carrément peur. En fait je n’ai pas trop de souvenir de la montée sinon que je me retrouvais plusieurs fois le nez dans le cul de Marie qui n’avait qu’une petite jupe sans culotte. Ce ne fut donc pas le calvaire craint !
Je n’avais pas l’intention de vous parler autant de Marie mais plutôt d’une série d’aventures qui me sont arrivées avec un couple client de l’hôtel. En en parlant, je me suis aperçu de la qualité de cette relation avec Marie dont je ne sais rien. Je l’ai retrouvée quelques années plus tard parce que je suis revenu faire une saison dans cet hôtel et nous avons discuté plusieurs fois. Marie était toujours aussi secrète tout en étant charmante, et quand je lui parlais de la plage, elle me dit ne plus y aller, trop vieille me dit elle en partant d’un grand rire. Je ne parierais pas qu’elle n’y allait pas encore mais ne voulait pas partager cette fois. Je n’avais aucune envie de ne pas respecter Marie la secrète.