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n° 11828Fiche technique22120 caractères22120
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Temps de lecture estimé : 12 mn
12/10/07
Résumé:  La patronne de Marie-Claude rentre chez elle et trouve Joana. Elles sympathisent chaudement et préparent l'anniversaire de Christian.
Critères:  fffh anniversai fsoumise intermast yeuxbandés
Auteur : Mariechriss      

Série : Marie-Claude, jeune fille au pair

Chapitre 06 / 16
Le cadeau d'anniversaire de Christian

CHAPITRE 6




Joana savoure son verre dans le calme douillet de ce salon de style anglais. Elle se sent bien. Son esclave est en train de subir sa punition et d’ici une heure elle sera à point, le whisky est bon et le canapé est confortable. Un bruit de clés dans la serrure la fait sursauter.



La porte s’ouvre et Joana voit une dame de quarante ans environ qui pénètre dans le corridor, ouvre la porte du salon et s’arrête sur le champ en dévisageant Joana.



Devant ce flot de questions, Joana s’est levée en posant son verre sur la petite table du salon.



Elle tend sa main à madame Taylor qui la lui serre doucement sans grande conviction, mais Joana sait y faire passer de la chaleur ce qui détend son interlocutrice.



Tout en parlant, Joana a vu le regard de madame Taylor tomber sur l’échancrure de son corsage et elle a vu la légère rougeur qui a empourpré ses joues.


Tiens tiens, se dit-elle, voyons voir si j’ai raison. Tout en parlant, Joana s’est rapprochée de madame Taylor et a défait un bouton de plus à son corsage. Ne portant pas de soutien-gorge, ses seins couleur caramel sont maintenant nettement visibles et Joana se trémousse discrètement pour les faire bouger sous le léger tissu du corsage. Madame Taylor est devenue silencieuse comme hypnotisée par ce spectacle.


Joana amplifie ses mouvements jusqu’à l’indécence et elle se trouve contre madame Taylor.



Madame Taylor est devenue écarlate, mais elle a baissé la tête. Joana lui a pris la main et la remonte doucement vers ses seins. Elle pose cette main tremblante sur sa poitrine ferme et tendue tout en susurrant des mots doux à celle qui pourrait devenir sa partenaire.



Elle ajoute sans savoir pourquoi :



Joana entraîne Julia sur le canapé et se serre contre elle tout en déboutonnant complètement son corsage. Ses seins sont durs et Julia a repris ses caresses sans un mot ce qui finit par exciter Joana.



Confortablement installée contre la poitrine de Joana, elle commence le récit de ses aventures collégiales.



Pendant ce récit les mains de Joana ne sont pas restées inactives et elles caressent également les seins et les cuisses de Julia dont la robe ne cache plus grand-chose.



Joana retire son doigt qui s’était subrepticement glissé sous la culotte de Julia en s’enfonçant dans son vagin dont l’humidité l’excitait au plus haut point.



Un jour, tout en tremblant de tout mon corps, je pris le gant de toilette et je commençais à la laver comme elle le faisait avec moi depuis plusieurs semaines. Partant du dos ma main munie du gant a parcouru tout son corps et elle s’est offerte sans retenue à mes caresses qu’elle guidait de manière de plus en plus précise jusqu’à les concentrer uniquement entre ses jambes où elle m’enseignait l’art de la branler lentement pour que le plaisir soit le plus long et le plus fort possible. À un moment donné, son corps s’est mis à bouger par saccades, son bas-ventre donnait de grands coups en avant, elle s’est accrochée à moi, tout en me murmurant des mots incompréhensibles. Elle jouissait de façon très violente et très prolongée. Son orgasme silencieux a duré plusieurs minutes, du moins c’est l’impression que j’aie eue, car je craignais que la surveillante ne nous surprenne. Les portes des cabines n’étaient jamais fermées et, de temps en temps, les surveillantes ouvraient une porte à l’improviste pour nous surveiller.


Ce jour-là nous avons eu de la chance, personne n’a ouvert notre porte. Maréa a fini par se calmer et elle m’a embrassée sur les deux joues avec un grand sourire.



Mais ce jour-là, je n’ai pas pu profiter de l’art de Maréa, car la surveillante a fait retentir la sonnerie de fin de douche et nous avons dû nous essuyer en vitesse pour aller nous coucher. Le lit de Maréa était loin du mien aussi, ce soir-là je me suis branlée comme une folle au grand dam de ma voisine immédiate qui m’a menacé d’appeler la surveillante si je n’arrêtais pas immédiatement mon cirque. Je suis donc restée un peu sur ma faim cette nuit-là. Par contre, je venais de découvrir des plaisirs inconnus et ça, c’était le plus important.


Les jours et les semaines qui suivirent furent un enchantement sexuel et les séances de douches des sources de plaisir infinies. Le jet d’eau, les mains, le gant, tout était sujet à caresse, à jouissance et les baisers que nous échangions sous la douche mêlaient nos langues, nos doigts qui s’enfonçaient par tous nos orifices respectifs et nos pubis qui se frottaient l’un contre l’autre à n’en plus finir. Bien sûr, après ces séances qui nous laissaient à moitié satisfaites, nous nous branlions en solitaire dans nos lits plusieurs fois par nuit.



L’horloge du salon sonna six coups ce qui fit sursauter Julia.



Julia reste bouche bée, elle ne comprend les paroles de Joana.



Elle prend Julia dans ses bras et, après l’avoir embrassée avec passion, lui raconte dans le creux de l’oreille ce qui s’est passé avec Marie-Claude et quelle est sa situation à l’heure actuelle. Elle sent que Julia, qui au début du récit semblait outrée par le sort réservé à sa jeune fille au pair s’est détendue et semble très impatiente de voir le résultat du traitement infligé à Marie-Claude. Et ce d’autant plus qu’elle sent que son mari a dû profiter des charmes de Marie-Claude à son insu. Les caresses de Joana y sont aussi pour quelque chose. Julia maintenant est complètement sous le charme de Joana. Elle revit son adolescence brûlante et elle n’attend qu’une chose, jouir des mains et de la langue de Joana.



Julia est tombée à genoux devant Joana qui a un sourire triomphant. Elle sent que la nuit va être chaude et ce n’est pas Christian qui va dire le contraire, trois femmes en chaleur pour s’occuper de lui, je doute qu’il tienne le coup. Pauvre chatounet.


D’une main ferme, elle oblige Julia à se relever.



Julia s’exécute.



Les deux femmes vont au garage dans lequel règne une pénombre propice aux attouchements. Marie-Claude est toujours à cheval sur ces deux chaises et Julia qui la découvre dans cette position pousse un cri de surprise.



Joana prend la culotte de Julia et l’enfile sur la tête de Marie-Claude qui n’a pas encore dit un mot.



Pendant leur conversation, Julia n’est pas restée sans rien faire. Ses mains ont parcouru le corps de Marie-Claude pour en apprécier la douceur et la fermeté des formes de la jeune fille, le galbe de ses seins et la douceur de son vagin qui, malgré l’inconfort de la position, se prête volontiers aux caresses de Julia.



Elle ne connaît pas suffisamment madame Taylor pour prendre le risque de lui désobéir.


De son côté, Joana a réfléchi à la première séance qu’elles vont offrir à Christian pour son anniversaire. Elle s’approche de Marie-Claude et la force à se pencher en avant, mais les cordes qui l’attachent sont trop courtes. Marie-Claude gémit, elle a un peu mal et sent monter des crampes dans ses bras et ses jambes



Une claque retentissante sur les fesses lui coupe brusquement la parole.



Marie-Claude tremble un peu, fatigue ou peur de l’inconnu, nul ne le saura, mais elle répond par l’affirmative. Oui elle a compris et accepte son sort.



Les deux femmes s’embrassent et retourne au salon préparer le buffet pour le soir.


Après la sortie des deux femmes, Marie-Claude s’est détendue. Après tout une maîtresse ou l’autre, ça ne peut pas être bien différent. Quelques fessées en plus ou des caresses en plus l’important pour elle c’est de jouir, de faire l’amour avec tendresse ou avec violence elle aime tout. Se branler dans toutes les positions, avec les mains, un objet phallique ou être branlée par un homme, une femme, tout est bon pour jouir. Elle aime le sexe, celui des hommes quand ils la pénètrent par tous ses orifices, celui artificiel de Joana qui ne s’épuise jamais, il n’y a guère que celui des animaux qu’elle n’a pas goûtés. Mais cette pensée la révulse et elle préfère l’oublier de suite.


En attendant, elle réfléchit à sa situation qui est nettement moins douloureuse que la précédente. Comme elle est souple, elle réussit en s’appuyant plus fermement sur son genou droit, à descendre sa jambe gauche jusqu’à terre et de ce fait elle peut s’asseoir sur une des deux chaises ce qui détend immédiatement ses muscles.


Ce n’est pas le tout, pense-t-elle, suis-je capable de me repositionner rapidement. Elle essaye et, après plusieurs tentatives infructueuses, elle y réussit en quelques secondes, ce qui est largement suffisant pour ne pas se faire pincer par ses deux maîtresses. Elle peut donc rester assise tout en écoutant les bruits de la maison.


C’est comme cela qu’elle entend M. Taylor qui rentre du travail et la présentation de Joana par Julia à son mari.



Elle a vu le regard admiratif de Christian quand il a vu ses seins au travers de son corsage, et elle sourit intérieurement en pensant à leur soirée à venir.


Julia a entraîné son mari vers leur chambre pour le chauffer un peu et lui expliquer le programme à demi-mot. Joana continue les préparations en ajoutant quelques épices particulières de sa spécialité dans le punch et les toasts.


Quelques minutes après, Julia et Christian reviennent ensemble et Christian a les joues rouges et la braguette mal refermée. Joana sourit à Christian qui rougit davantage.



Et elle tend à ses deux partenaires des verres remplis de punch spécial Joana. Ils trinquent tous ensemble, aux 40 ans de Christian et à l’amour qui rend la vie plus agréable. Ils boivent en silence en savourant la délicieuse boisson et la conversation s’installe petit à petit, de plus en plus animée au fur et à mesure que le punch se répand dans leurs veines. Les deux femmes rigolent et Christian prend des envies de toucher son épouse ce qu’il fait discrètement au début puis de plus en plus ouvertement pour finir par lui peloter carrément les seins.


Joana s’approche alors du couple sur le canapé et déboutonne lentement son corsage sous le nez de Christian qui ouvre de grands yeux affolés. Il regarde son épouse quémandant une autorisation et c’est elle qui, en souriant, lui prend les mains et les conduit vers les seins de Joana. Elle guide les mains de son époux en lui murmurant des mots doux à l’oreille et Joana commence à ressentir de longs frissons dans son bas-ventre. Décidément cette Julia est une experte se dit-elle. J’ai bien fait de venir. Dommage pour Marie-Claude, je perds une esclave somme toute assez douée, mais je gagne une amante encore plus douée et surtout moins rugueuse, plus affûtée par la vie. Il faudra que je la fasse essayer par mon mari, il aime les femmes un peu mûres.


Les réflexions de Joana vont bon train dans sa tête pendant que Christian lui branle les bouts de ses mamelons, maintenant durs et pointant comme un doigt accusateur vers le fauteur de cette érection mammaire.



Joana s’est écroulée dans les bras de Christian en essayant de reprendre son souffle. Elle a joui entre douleur et plaisir, sans savoir lequel des deux a été le plus fort. C’est une sensation nouvelle, étrange pour elle et elle se promet de renouveler l’expérience dès qu’elle sera seule avec Julia qu’elle soupçonne d’en connaître un sacré rayon sur le corps des femmes et ses multiples ressources.


Joana est blottie dans les bras de Christian qui embrasse Julia à bouche perdue.

Au bout de quelques minutes Julia se dégage à regret de la langue de son mari et annonce la fin de la première partie qui somme toute était plutôt improvisée.



Joana s’exécute conformément au plan qu’elles ont décidé. Sur un geste de Julia, elle lui bande aussi les yeux.



Marie-Claude a entendu les dernières paroles de Julia, elle a compris que son tour était venu et prestement elle remonte sur son perchoir et reprend sa position, cuisses largement écartées, prête au sacrifice au Dieu Éros.