Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 11830Fiche technique20425 caractères20425
Temps de lecture estimé : 11 mn
14/10/07
Résumé:  Un mec, deux filles, combien de possibilités?
Critères:  ffh fellation cunnilingu anulingus pénétratio
Auteur : Dr Lamb  (23 ans !)      Envoi mini-message

Série : Un été cani-cul-aire

Chapitre 02
Un été caniculaire 2



Je m’effondrai sur le lit, le cœur battant, en sueur. Nadia s’écroula sur Nivea, haletante, leurs deux corps luisants de transpiration.



Les draps du lit étaient complètement défaits, les oreillers avaient valsé hors du lit. Par la fenêtre, la nuit s’étendait, calme, profonde. Le ventilateur aérait la pièce. Nivea vint se nicher dans le creux de son épaule, tandis que sa copine se redressait, se passant les doigts sur le visage pour récolter mon sperme. Elle s’enfila les doigts dans la bouche et les suça. Je passai une main dans le dos de Nivea et l’embrassai.



Nadia se releva et alla plonger la main dans son sac, d’où elle tira une cigarette. Elle se mit à la fenêtre pour fumer.



Je regardai son corps basané, ses cheveux ondulés, sa taille de rêve, ses fesses bombées.



Je regardai Nivea.



Je l’embrassai à nouveau, tout en lui caressant un sein. Nadia se retourna vers nous, cigarette au bec.



Elle passa une main sur mon torse.



Nadia sortit donc de la chambre.



Nivea vint se mettre au-dessus de moi et enfonça sa langue dans ma bouche.



Je me levai, nu, et je sortis de la chambre. La porte de la salle de bain était entrouverte : il en sortait une légère vapeur. Je toquai à la porte.



J’entendis un gémissement et me rendis alors compte, vu le bruit, que le pommeau de la douche coulait à flots. Je passai la tête dans l’entrebâillement.



Elles étaient debout toutes les deux, dans la baignoire remplie à ras-bords. Nadia penchée en avant. Nivea tenait le pommeau de douche dans sa main et arrosait le corps trempé de Nadia, passant sa main dans son dos. Elle était en train de lui lécher l’anus vigoureusement. Nadia gémissait, les yeux clos, se mordant les lèvres.



Je rentrai dans la pièce.



Je m’approchai de la baignoire et caressai les hanches de Nadia, pleines de savon. Je posai ma bouche sur un de ses tétons et le suçotai, doucement. Nadia gémit.



Je glissai deux doigts dans son sexe dégoulinant. Nivea me jeta un coup d’œil et sourit :



Je grimpai dans la baignoire, ravi de l’eau brûlante qui réchauffait mon corps. Je posai mes mains sur le corps de Nadia, l’embrassant dans le cou, sur les seins, sur les lèvres. Nivea passa deux doigts le long de sa raie.



Nos mains s’unirent pour parcourir le corps de Nadia, son beau corps basané, plein, sublime, aux formes pleines.



Elle donna de grands coups de langue sur ses fesses rebondies, alors que mes doigts s’activaient dans sa copine.



Elle explosa alors dans un orgasme fulgurant. Elle s’effondra dans mes bras et cria dans le creux de mon épaule. Tout son corps était secoué de spasmes extatiques.



Et la soirée ne faisait que commencer…


***



Puis elle reprit ma verge entre ses lèvres, faisant coulisser la peau de mon prépuce, salivant abondamment.



Nivea fit glisser sa langue sur le long de mon sexe, et revint gober mon gland du bout des lèvres. Je planais. Nadia, à côté de nous, se caressait langoureusement l’entrejambe. Nous étions le lendemain matin : elle avait dormi avec nous (enfin, un peu car nous n’avions pas vraiment dormi !) et on ne savait pas quoi faire pour la journée qui s’annonçait. Nivea s’était réveillé un bon quart d’heure auparavant et avait entrepris cette divine pipe pour m’éveiller à mon tour.



Nivea m’embrassa successivement les deux couilles avant de s’enfoncer mon sexe tout au fond de la gorge.



Nadia se pencha et m’embrassa le bout du gland.



Elle goba mon sexe, lentement, puis de plus en plus vite, ressortant parfois ma verge de sa bouche pour la lécher.



Nivea se pencha pour se joindre à sa copine. Elle se mit à donner de petits coups de langue sur mes testicules qui étaient tous gonflés et tous durs. C’était divin.



Et effectivement, le sperme gicla dans la bouche de Nadia, m’arrachant un gémissement d’extase. Elle me garda en bouche pour récolter toute ma semence. Tandis que je m’écroulai sous la force de mon orgasme, les deux filles s’amusèrent à jouer avec mon sperme, se le prenant dans la bouche, avant de se rouler une pelle baveuse.



Nivea eut un sourire, tout en se passant la langue sur les lèvres.



Je m’étirai et me levai soudainement.



Je pris des vêtements propres dans ma commode et me dirigeai vers la salle de bains.


Une fois lavé, rasé et habillé, je rejoignis les filles qui étaient toujours au lit. Nadia tournait les boutons de ma chaîne hi-fi.



Je pris de l’argent et mon portable, et fourrai le tout dans la poche arrière de mon jean.



Je me penchai pour embrasser Nivea et, au bout d’un instant, fis de même avec Nadia.



Il y avait un monde pas possible aux caisses. Surtout au moins de dix articles. Avec un soupir, je me plaçai donc dans la file, mes bouteilles casées dans un de ces paniers bleus qu’on prenait à l’accueil. L’attente allait être pénible… et les filles qui étaient toutes seules à la maison ! Sûrement en train de faire des conneries…



Des doigts me tapotèrent l’épaule. Je me retournai. C’était Djamila, une fille que je connaissais depuis deux ans. Elle travaillait comme "roller" dans ce magasin. Elle n’était pas très grande, mais le proverbe : "tout ce qui est petit est mignon" s’appliquait sur elle… force dix ! C’était une véritable bombe : un beau visage rieur aux yeux marron, aux traits bien dessinés. Ses cheveux teints en blonds retombaient sur ses épaules, plats. Un beau corps, ravissant, et surtout un sourire à faire fondre l’Antarctique ! Elle était Algérienne, âgée de vingt ans. Tous les hommes présents ne pouvaient s’empêcher de la regarder.



Nous nous fîmes la bise.



Je la regardai, si belle, si désirable… et une idée me vint.



(Y a pas que toi ma belle, songeais-je.)



Elle me sourit, et je sentis ma température corporelle monter de vingt degrés.



En rentrant de courses, je m’attendais plus ou moins à trouver les filles en plein ébats. C’est pourquoi je fus surpris en les voyant lavées et habillées, affalées sur le lit à regarder la télé. Nivea m’aida à sortir les boissons et à les ranger dans le frigo. Il allait encore faire une chaleur écrasante. Je regardai ma petite amie. Habillée était un bien grand mot : elle ne portait qu’un mini mini short blanc et un soutien-gorge noir.



Sa peau était douce sous mes doigts. Nos lèvres se donnèrent, se gouttèrent, nos langues menant un ballet sensuel. Mes mains trouvèrent ses seins, puis descendirent le long de ses hanches et pelotèrent ses fesses.



Elle hocha la tête.



Je l’embrassai longuement.



Tout en déposant de petits baisers le long de ses bras, je glissai une main dans son short ou (oh délice !) elle ne portait rien. Elle frémit, se pressa tout entière contre moi.



Elle gémit.



Nadia soupira en zappant.



Nivea se pencha en avant, s’appuyant sur le rebord de la baignoire, me présentant ses fesses. Je pris le gant de toilette et lui passa dans la raie. Elle se mordit les lèvres et gémit. Elle était très propre, c’était plus par plaisir que je lui faisais ça. Nadia se caressait, à côté de nous.



Je rinçai le gant à l’eau chaude et renouvelai l’opération.



Nadia me tendit une serviette de bain et je l’enroulai autour de la taille de Nivea. Sa copine se pencha un peu et vint saisir entre ses lèvres la pointe d’un de ses seins.



Les muscles de ses cuisses se tendaient sous l’effet du désir. Mon sexe gonflait violemment dans mon pantalon.



Nivea gémit. Je passai ma main le long de son dos tout en l’essuyant. Nadia enleva la serviette et lui caressa les fesses.



Elle s’accroupit, nue, et vint glisser sa langue entre les deux hémisphères de ma chérie.



Je déposai de petits baisers le long de son dos, puis me mis à lui sucer les mamelons. Les yeux clos, Nivea gémit, pressa ma tête contre sa poitrine.



Je sortis mon sexe d’une main. Nadia stoppa son anulingus pour se l’enfoncer dans la bouche. Me mordant les lèvres, je l’observai avaler ma queue, la lécher, la sucer, la téter.



Elle glissa sa langue le long de mes couilles, puis me relâcha pour se remettre au travail sur le cul de Nivea qui haletait, à présent. Je suçai un de mes doigts et le glissai dans son petit trou. Elle frémit, le corps vibrant de plaisir. Je la soulevai et l’installai assise sur le lavabo, jambes écartées.



Nadia se mit à lui sucer et lui embrasser les seins. Délicatement, ma copine écarta les deux lèvres de son sexe et me jeta un regard de défi. Je m’enfonçai en elle et lui donnai de grands coups de reins, ivre de plaisir, ma queue allant et venant dans son vagin humide et trempé. Nadia passa derrière moi et me caressa les couilles.



Quelques secondes plus tard, incapable de me retenir plus longtemps, le cœur tel un marteau piqueur dans ma poitrine, je ressortis de Nivea et jouis violemment, arrosant son ventre de longues giclées de sperme qui m’arrachèrent des hurlements de jouissance.


14h56.


Nous étions allongés tous les trois sur notre lit ; les filles en culottes et soutifs, et moi en caleçon ; dans une douce torpeur sous la chaleur et le plaisir.



Le ventilateur tournait, nous rafraîchissait. Les volets mi-clos laissaient entrer le soleil à petites doses. Nivea était blottie contre moi, je la serrais tendrement dans mes bras. Nadia, à côté, lui caressait doucement le dos, repue.



Elle se pencha pour m’embrasser. Timidement, je lançai :



Nadia haussa les épaules. Nivea avait l’air de faire la gueule. Je la pris dans mes bras.



Je me rallongeai et tirai les draps du lit pour nous recouvrir. J’étais exténué.



Nivea vint se blottir contre moi, sa poitrine s’écrasant sur la mienne. Même si ce contact était particulièrement stimulant, j’étais trop épuisé pour entreprendre quoi que ce soit ; même s’il est vrai, j’avais pris l’habitude de lui lécher les seins avant de m’assoupir. C’était relaxant. Mais là… J’étouffai un bâillement et fermai les yeux.


***


Au même moment, à Carrefour :



Djamila prit une gorgée de café et reposa le gobelet sur la table.



La jeune femme croisa les jambes. C’était sa pause, et elle était seule dans les vestiaires du personnel. Un sourire se forma sur le beau visage.



Elle raccrocha.


à suivre.