Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 11910Fiche technique22930 caractères22930
Temps de lecture estimé : 13 mn
03/11/07
Résumé:  Ce nouveau rendez-vous avec leur initiatrice, donnera l'occasion à nos deux jeunes gens de se retrouver modèles, et après la pose...
Critères:  fh ff hh grp fbi hbi vacances intermast fellation cunnilingu 69 pénétratio init -prememois
Auteur : Jobix

Série : Baignades

Chapitre 05 / 05
L'invitée surprise

C’est avec impatience que nous attendions l’heure de notre rendez-vous. Le soleil et la chaleur étaient revenus, mais nous avions plus envie de revoir Sylvie que de nous baigner. Arrivés à l’heure dite, nous frappons à la porte entrouverte. Après un petit temps d’attente, nous fûmes surpris de voir arriver non pas Sylvie, mais une jeune fille blonde, cheveux mi-longs détachés sur les épaules encadrant la peau très pâle de son joli visage orné de beaux yeux bleus.

Elle portait une robe de lin bleu pastel, généreusement décolletée, serrée à la taille par une fine ceinture de cuir et qui s’arrêtait au genou. Son haut croisé mettait en valeur sa poitrine généreuse et ses hanches larges. Elle allait pieds nus et d’emblée, sans doute échauffés par nos dernières aventures, je trouvais qu’elle dégageait une grande sensualité.



Elle était plus grande de presque une tête par rapport à la jeune fille. Elle avait remis sa jupe ocre de l’autre jour, et un petit débardeur de coton blanc au travers duquel on voyait pointer ses seins libres. Elle s’approcha de nous, nous fit une bise sur la joue et fit les présentations.



Aurélie nous fit la bise, et Sylvie en bonne maîtresse de maison nous installa dans le séjour pour nous proposer café et gâteaux secs. Je pensais qu’Aurélie ne savait rien de nos relations avec Sylvie qui cachait toute intimité avec nous, et semblait nous considérer comme de jeunes camarades. Je réalisais au cours de la conversation qu’Alexandre n’était pas du tout indifférent au charme d’Aurélie. Pour ma part, j’étais fasciné par la douceur de Sylvie, cherchant à voir à chacun de ses mouvements, notamment quand elle se baissait pour nous servir, la naissance de ses seins qu’elle ne cachait visiblement pas. Elle s’assit sur le canapé à côté d’Aurélie face à nous qui étions dans des fauteuils. Nous apprîmes qu’Aurélie était étudiante aux beaux-arts, et qu’elle aimait particulièrement dessiner. Sylvie insista pour qu’elle nous montre les croquis qu’elle avait amenés. Aurélie, après avoir manifesté quelque réserve, affirmant que ça n’en valait pas la peine, finit par se laisser convaincre et alla les chercher. Sylvie nous fit asseoir de part et d’autre d’Aurélie, et se mit derrière le canapé, les bras posés affectueusement autour du cou de sa cousine. Je pouvais à la fois sentir le parfum de Sylvie et l’odeur fraîche de savon qui émanait du corps d’Aurélie collé au mien. Je décidais de me concentrer sur les dessins qu’elle allait nous montrer afin de ne pas avoir trop vite des pensées lubriques.

Elle posa le porte-documents sur ses cuisses, et l’ouvrit. Les premiers dessins étaient des portraits d’hommes et de femmes effectués au crayon, portraits qui trahissaient un réel talent, du peu que je pouvais en juger vu mes médiocres performances dans ce domaine. Les esquisses suivantes montraient ensuite des nus féminins, d’un grand classicisme au début, puis les corps étaient présentés dans des positions de plus en plus obscènes, ce qui ne manqua pas de titiller mon sexe.



En regardant la page où une femme était assise nue en tailleur, ne cachant rien de son intimité, une main proche de son bas ventre, j’imaginai la tension érotique qu’il pouvait y avoir au cours de ces séances de pose. Aux corps de femmes seules succédèrent des couples féminins dans des positions lascives. Le rendu était réussi, et l’imagination aidant, je commençais à bander sérieusement. J’avais la douce impression de découvrir un nouveau monde où la sexualité était présente partout, où il me semblait que chaque désir allait être assouvi dans les instants à venir. De sentir ces deux femmes proches de moi, si décontractées, si naturelles devant ces dessins me transportait d’aise et entretenait mon désir.


On passa à des portraits d’hommes nus, dans différentes positions. Nous ne commentions que très peu les dessins sinon pour montrer notre admiration et complimenter son auteur. Sur la fin, il y avait une représentation d’un homme allongé en érection. Malgré moi, cela produisit une petite chaleur dans mon ventre, et à nouveau je m’imaginais à la place du modèle, le sexe en érection devant cette fille très désirable, le crayon à la main. Deux ou trois autres portraits du même genre suivirent. L’un montrait explicitement l’homme se branler et éjaculer. Arrivés à la dernière page, Aurélie dit :



Bien évidemment nous reconnaissions Sylvie, en plan proche, debout, simplement vêtue de sa jupe, les bras relevés mettant en valeur sa jolie poitrine nue. Les mèches qui s’échappaient de sa chevelure attachée, donnaient à son visage penché, une douceur que je trouvais très romantique. Nous complimentions Aurélie pour ce dernier portrait.



Sylvie lança :



Aurélie nous regarda attentivement et dit



Nous acceptâmes peut-être plus par politesse que par enthousiasme. Je ne voulais personnellement pas être pris en flagrant délit de bandaison, étant donné mon état d’esprit de ces derniers jours. Et cet instant présent me ramenait en permanence à des pensées érotiques. Aurélie alla chercher ses crayons, nous fit installer côte à côte dans le canapé, le bras d’Alexandre par dessus mon épaule comme peuvent le faire deux bons camarades, mains posées sur les cuisses.



Bien évidemment cela ne posait aucun problème et nous le fîmes aussitôt. Mais alors que j’avais encore les bras pris dans les manches de mon tee-shirt, j’entendis Sylvie :



Aurélie :



J’étais prêt à refuser quand Alexandre me coupa l’herbe sous le pied.



J’avais l’impression à ce moment qu’il voulait profiter de cette occasion pour lui signifier son inclination pour elle, et en espérant autant de sa part.

Sans plus pouvoir revenir en arrière je m’exécutai, et nous reprîmes notre position, entièrement nus. Heureusement, j’avais à peu près débandé, et pus prendre une attitude digne. Nous nous figeâmes dans la position et aussitôt Aurélie entreprit son travail. Sylvie s’était placée derrière elle et observait l’avancement. La position était confortable, mais je réalisai que garder une pose quelle qu’elle fut était fatigant. Je cherchai des pensées ailleurs pour être sûr de ne pas montrer un quelconque trouble, ce qui à mes yeux, m’aurait paru dévalorisant par rapport à ma posture d’un jeune gars qui en a vu d’autres, et qui en vérité, ne s’est ouvert à la sexualité à deux que ces derniers jours.


Sylvie se pencha à l’oreille d’Aurélie et montrant son dessin lui fit une remarque à voix basse.

Aurélie lui répondit à voix plus haute :



Aurélie nous regarda et dit alors



Un silence pesant suivit, trois jours auparavant je n’aurais pas accepté, mais là je voyais que Sylvie, toujours manœuvrière nous avait tendu un piège, un piège grossier dans lequel j’étais prêt à tomber. Je regardai Alexandre, lui demandai « Je peux ? », il sourit, ce qui signifiait un acquiescement. Je fis donc ainsi et retrouvai dans ma paume la douce chaleur d’un autre sexe que le mien. Aurélie reprit aussitôt son travail et je commençai à bander, Alexandre aussi. Aurélie releva les yeux s’arrêta un instant, et très professionnelle, comme si elle avait oublié la situation trouble où nous étions, dit :



Nous nous exécutâmes, et Aurélie corrigea en même temps :



Elle reprit, et au bout d’un moment déclara ingénument à Sylvie :



Bien entendu Sylvie acquiesça de suite et rajouta :



Ce n’était plus un piège, mais un complot, et nous étions des victimes consentantes. De toute façon nous n’étions pas loin du compte et c’est avec des efforts surhumains que personnellement je résistai pour ne pas bander complètement.



Elle ôta aussitôt son débardeur, ce qui fit sourire Aurélie, et nous donna le feu vert pour aller plus loin.



Aurélie crayonnait toujours, et Sylvie s’approcha de nous, elle posa sa main sur mon sexe, me roula une pelle phénoménale. L’effet sur mon sexe fut immédiat. Je sentis la chair d’Alexandre durcir aussi sous la pression plus marquée de ma main, Sylvie s’approcha d’Alexandre, lui fit subir le même traitement, et sans que nous ayons quitté la pose, nos deux verges pointèrent triomphalement devant nous.

Aurélie pour nous encourager dit :



Plus facile à dire qu’à faire, aussi de temps en temps, je branlais un petit peu nos sexes quand je sentais une légère défaillance, j’essayais juste d’entretenir notre érection, mais il ne fallait surtout pas approcher de l’éjaculation ce qui était somme toute un équilibre assez difficile à trouver, mais ô combien délicieux. Sylvie avait remis ses bras autour du cou d’Aurélie et lui plaçait des bisous dans le cou de temps en temps sans que celle-ci ne semble troublée dans son travail. Heureusement, elle nous libéra rapidement comme promis



Nous nous sommes alors levés, heureux de nous dégourdir les membres et sans plus de pudeur nous nous plaçâmes debout à ses côtés, le sexe raide pour voir ce qu’elle avait exécuté. Je fus très surpris par la précision de nos traits et troublé par notre position, c’était un peu comme si nous étions pris en photo.

Alexandre le premier la remercia et la félicita. J’embrayais ensuite sur le même registre. Aurélie répondit :



J’ai cru alors qu’elle allait se saisir de l’occasion pour nous soulager, mais au contraire, Sylvie annonça :



Devant notre absence de réaction, elle insista :



Alexandre comme moi semblait très déçu par la situation. Il commença à faire la moue, puis réussit à dire :



Sylvie répondit alors du tac au tac :



L’argument était imparable, alors, comme à ce qui devenait une habitude, je pris le sexe d’Alexandre dans la main et commençai à la masturber. Il me rendit la pareille, en me caressant doucement de la base jusqu’à la pointe, et de nouveau le plaisir revint intact comme au premier jour. Sylvie s’appuyait contre le dos d’Aurélie, dont les cheveux caressaient les seins à l’air de sa cousine. Celle ci laissait dériver ses mains sur la gorge de la dessinatrice, et nous dit :



Maintenant que nous étions bien chauffés, nous n’hésitions plus et tout en frottant nos sexes l’un contre l’autre, nous nous embrassâmes à pleine bouche un long moment comme des gourmands.


Lorsque nous nous sommes séparés, nous vîmes que Sylvie s’était assise sur la cuisse d’Aurélie et que cette dernière avait mis la main sous la jupe de sa compagne. Les seins de Sylvie ballottaient sous le nez d’Aurélie qui posait de temps en temps un bisou sur les tétons bandés. Nous formions à l’instant deux couples homosexuels en pleine action, et cette vision décupla mon désir. Alors Alexandre me retourna, se colla contre mon dos, empoigna mon sexe et le secoua plus fort que jamais. Sylvie passa ouvertement sa main sous la robe d’Aurélie, et malaxa ses seins libres de tout soutien-gorge. De voir les deux filles se peloter ainsi, de deviner la chair blanche des seins d’Aurélie poussa mon plaisir au paroxysme. Alexandre, sentant mon éjaculation proche, se rapprocha de Sylvie et dirigea les flots de mon plaisir sur sa poitrine dénudée. Mon sperme abondant coula sur son sein mais aussi sur son visage, et j’ai cru que je n’aurai plus jamais un tel orgasme.

Sylvie gémissait et Alexandre me lâcha et présenta son sexe à la bouche de Sylvie. Comme pour la punir de nous avoir fait languir tous les deux, il lui prit fermement la tête pour qu’elle le suce. Complètement excitée par les caresses que lui faisait subir Aurélie, elle entreprit une fellation sauvage sur Alexandre. Elle se figea dans un long spasme, puis bonne élève finit de sucer Alexandre qui n’en demandait pas plus pour lui remplir à nouveau la bouche de sa semence. Elle avala ce qu’elle put, le reste dégoulinant sur son menton. Elle se redressa et embrassa fougueusement Alexandre, lui faisant goûter son sperme. Complètement déchaînée, elle ne semblait plus maîtriser la situation, elle empoigna le sexe mou de mon ami et commença une masturbation frénétique. Tout à coup elle prit conscience de ma présence, se jeta sur moi, m’embrassa enfonçant la langue profondément dans ma bouche, s’agenouilla, me lécha le sexe gluant se mit la main sous la jupe et rapidement poussa un cri qui signifiait un orgasme violent. Elle se recula pour s’affaisser dans le canapé, heureuse.


Au bout d’un petit moment de récupération, Aurélie dit



Sylvie se levant, répondit :



Celle ci se leva, prit le débardeur de Sylvie pour essuyer le sperme qui séchait sur son corps et son visage. Elle se mit ensuite à califourchon sur ses cuisses et elles s’embrassèrent. Sylvie fit descendre alors le haut de la robe d’Aurélie sur ses hanches et lui léchait les seins blancs dont la grosseur contrastait avec la finesse des seins légèrement hâlés de Sylvie. Elle défit sa ceinture et fit tomber la robe d’Aurélie qui se leva. Sylvie posa alors sa langue sur la fine culotte détrempée de son amie. Au bout d’un moment, elle fit tomber aussi la culotte découvrant une toison brillante et claire dans laquelle elle glissa la langue, faisant gémir Aurélie qui lui caressait les cheveux. Comme nous pouvions le deviner, les fesses d’Aurélie étaient amples, blanches et appelaient le désir.


Alexandre et moi, étions de nouveau surexcités. Il s’approcha alors d’Aurélie pour la caresser, mais Sylvie intervient en disant :



Frustré mais obéissant, il se contenta de les observer de très près, le sexe à l’air. Sylvie mettait maintenant ses doigts dans le vagin d’Aurélie tout en continuant à exciter son clitoris, celle-ci secouait alors la tête de droite à gauche, exprimant son contentement par de petits mots d’encouragement :



Rapidement elle atteignit l’orgasme, Mais Sylvie ne lâcha pas sa proie, et continua son léchage, les mains malaxant les fesses de sa cousine.


Après ce qui me sembla être un deuxième orgasme d’Aurélie, Sylvie se redressa, l’embrassa à nouveau, et se tourna vers nous et dit malicieusement :



Elle soupesa nos sexes tendus comme si elle faisait son marché, et j’étais persuadé qu’elle allait encore choisir Alexandre en premier. Mais à mon plus grand plaisir elle posa ses bras sur mes épaules, et un baiser sur mes lèvres.



Alexandre s’approcha alors d’Aurélie pour faire de même avec elle, mais à ce moment-là Sylvie intervint :



La tête qu’Alexandre tira alors faisait presque rire. Heureusement Aurélie dit :



Sur la pointe des pieds, elle posa un petit baiser sur la bouche d’Alexandre. Elle posa sa main sur son sexe et le caressa doucement. Alexandre se baissa et commença par lui suçoter les seins.

Sylvie et moi les regardions faire, et quand nous vîmes qu’il était entre de bonnes mains nous nous embrassâmes à nouveau. Je lui pris la bouche goulûment, ma langue cherchant la sienne avec frénésie. Nous étions corps à corps, et ma main souleva sa jupe et je la plaquai sur sa culotte. Je réalisai qu’elle n’en avait pas et je sentis les poils frisés, humides directement sous mes doigts. Sans hésiter je lui en glissai deux dans la fente ce qui la fit réagir par une embrassade plus fougueuse. Au bout d’un petit moment pendant lequel mes doigts trempés de sa mouille fouillèrent son intimité, je l’amenai alors sur le canapé, l’allongeai et lui enlevai sa jupe. Je la couvris de baisers sur tout le corps, la léchai, comme affamé.


Pendant ce temps, je pus voir qu’Aurélie et Alexandre s’étaient mis en position de soixante-neuf à même le tapis, Aurélie dessus, ses loches pendantes malaxées par Alexandre, nous exhibant ses fesses. Je me dis que pour une lesbienne elle se débrouillait bien. Elle était à portée de ma main et je ne pus m’empêcher de lui caresser les fesses, sans délaisser Sylvie, qui était quasiment en pâmoison. Je me mis alors sur elle, engageait mon pénis dans son sexe et collé à sa bouche j’entrepris une chevauchée lente au début puis rapidement débridée. Sylvie hurlait de plaisir, et ma semence ne tarda pas à l’inonder. Ce fut encore un orgasme simultané et fulgurant. Alexandre choisit ce moment pour prévenir Aurélie qu’il venait, elle retira sa bouche et Alexandre éjacula sur sa poitrine. Sylvie s’approcha d’elle, passa la main sur ce sperme, pour l’étendre sur le corps de sa cousine, le goûta, s’approcha de sa bouche lui disant :



Elles se dessoudèrent. Alors Aurélie embrassa Alexandre, se tourna vers moi et en fit autant. De sentir ses gros seins contre ma poitrine me fit triquer à nouveau, je ne voulais plus la lâcher, elle se retira, attrapa mon sexe, le regarda et dit en riant :



Elle posa alors un baiser chaste dessus, qui fit rire tout le monde. Elle se releva, me lâcha son plus joli sourire et lança :



Nous étions partis pour un début de vacances mémorable !


Mais ça c’est une autre histoire.