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n° 11970Fiche technique10932 caractères10932
Temps de lecture estimé : 7 mn
17/11/07
Résumé:  Pas d'amour sur le lieu de travail, certes, mais quand on croise une secrétaire dans un lieu inattendu...
Critères:  fhh fplusag collègues hsoumis fdomine humilié(e) contrainte hsodo sm attache init -sm -hsoumisaf
Auteur : Hip-Hop      

Série : Etre dominé par une femme ne s'apprend pas en un soir...

Chapitre 01
Une double initiation

Je l’avais tout de suite remarquée en arrivant dans mon nouveau travail : Ghislaine, la secrétaire, ne me laissait pas indifférent. La quarantaine, elle avait un joli visage, une poitrine menue mais ferme, des fesses plates et de très belles jambes. C’était une femme d’un certain âge, mais qui avait ce que beaucoup de jeunettes maquillées « pâte à beurre » n’ont pas : du charme. Elle n’était cependant pas toujours habillée à mon goût, ce qui m’empêchait de fantasmer véritablement sur elle : je suis très sensible au code vestimentaire, et j’ai horreur en particulier des fautes de goût. Cependant, quand elle portait un tailleur « au-dessus du genou », je devais faire attention à ce que mes regards déviants ne soient pas remarqués ! Elle avait un air assez sévère, un peu coincé aussi. Pas le chignon tailleur cependant. Nous entretenions des rapports très courtois, un vouvoiement un peu distant.


Marié depuis huit ans, cela faisait quelque temps que ma femme ne s’intéressait plus au sexe. J’en étais réduit à me masturber de temps en temps, jusqu’au jour où j’ai décidé de m’affranchir de l’obligation de fidélité. Je me suis alors tout de suite tourné vers mon principal fantasme : la soumission. Après quelques pérégrinations sur internet, j’ai trouvé ce que je cherchais : une boîte qui organisait des rencontres sur ce thème. L’endroit avait l’air sérieux, de bonne tenue. Des échos positifs sur divers forums m’ont convaincu de sauter le pas et de me faire connaître des organisateurs.


Ayant prétexté un voyage d’affaires, chose plausible dans mon cas, je me rendis dans ce club. Le cerbère me fit entrer et je découvris un lieu assez feutré, lumières tamisées, à cent lieues du cliché SM-Donjon. Cependant, l’habillement de certaines personnes ne laissait pas planer le doute. En tant que novice, les organisateurs avaient toléré que je ne porte que des vêtements de ville, pourvu qu’ils ne soient pas vulgaires. J’étais donc en jean et pull ; classique quoi ! Je m’adossai au bar et regardai plus attentivement les femmes : plutôt jeunes, trente à quarante ans, certaines mignonnes, d’autres assez laides…


Tout à coup, mon regard croisa celui d’une personne que je mis une ou deux secondes à reconnaître : c’était Ghislaine. J’étais totalement surpris et gêné. Elle aussi m’avait vu ; elle eut un moment de stupeur, très court, et tout de suite elle comprit le piquant de la situation et le parti qu’elle pouvait en tirer. Elle se leva et vint vers moi.



L’emploi de « Monsieur » avait tout de suite mis les barrières : ici, nos rôles étaient tout différents de nos rôles habituels. Elle semblait parfaitement à l’aise dans cet endroit. Je mis un petit instant avant de répondre difficilement :



Une lueur assez perverse traversa son regard et acheva de me déstabiliser. Un petit silence s’ensuivit ; elle devait réfléchir à la suite des événements. Je mis à profit ce laps de temps pour la regarder. Dans mon trouble je n’avais même pas remarqué que son code vestimentaire répondait à un de mes fantasmes : elle portait un bustier rose en cuir, avec des lacets dans le dos comme je le vis plus tard. Il mettait parfaitement en valeur sa jolie poitrine et sa taille fine. Elle portait également une jupe portefeuille mi-cuisses en cuir noir, avec de belles bottes à talons. Cela m’électrisa complètement et je sentis une bouffée de chaleur monter en moi.


On devinait un petit ventre de femme et le regard était tout de suite attiré vers ses jambes fines. Pas une faute de goût, donc… Son maquillage était différent de celui qu’elle portait habituellement : il rendait son regard plus noir encore, plus perçant et scrutateur. Son visage, bien que portant légèrement la marque du temps, était fin et toujours aussi charmant.


Ce laps de temps ne dura pas. Elle me dit :



Je la suivis à l’étage dans une salle peu éclairée où nous étions apparemment seuls. Elle prit une petite cravache sur une commode et me dit d’un ton qui n’admettait pas la réplique :



Elle avait un air un peu moqueur, un peu content d’elle-même, comme si elle attendait de me donner cet ordre depuis fort longtemps. Je commençai à me déshabiller ; la chemise, les chaussures, chaussettes, le pantalon… Jusque là, ça allait plutôt bien, me déshabiller devant elle me posait moins de problème que je ne le pensais. Au moment d’enlever mon boxer, j’eus un moment d’hésitation : ma pudeur et ma timidité naturelle refaisaient surface…


Elle ne laissa pas passer ce refus d’obéissance : elle fit légèrement claquer sa cravache sur mon ventre ; cela me bloqua complètement. Elle la fit descendre lentement en me disant :



Ce faisant, elle avait baissé sa cravache sur mon sexe. Soudain, elle donna un petit coup sec sur mes testicules, par en dessous. Pour faire mal à un homme sur cette partie sensible de son corps, il ne faut pas nécessairement taper fort, il faut taper juste, et manifestement Ghislaine était experte en la matière. La douleur m’envahit le bas-ventre et me fit plier en deux. C’était la première fois que je me faisais ainsi traiter, et en ajoutant le fait que ce traitement venait de cette femme, cela m’excitait passablement.


Ghislaine reprit tout de suite les opérations en me faisant redresser ; elle n’eut rien à dire, je savais ce que je devais faire. Je fis tomber mon boxer à mes pieds, dévoilant mon sexe, plutôt petit. Ghislaine l’examina d’un œil distrait et avec une petite moue, me montrant par là qu’elle était déçue de ce qu’elle voyait. Je me sentais humilié dans ma virilité même. Elle inspecta mes fesses fermes et rebondies. Je sentis la cravache passer dessus.



Je ne compris pas le sens de ces paroles, d’autant qu’elles ne semblaient pas s’adresser à moi, mais à une autre personne derrière moi.



Elle me guida dans une autre pièce : il y avait au centre un meuble qui ressemblait un peu à un cheval d’arçon, à ceci près qu’il était plus bas sur pattes et qu’il y avait des menottes à chaque pied. Elle me fit coucher sur le ventre sur le cheval et me menotta pieds et mains. Elle était derrière moi et je n’osais pas me retourner. J’entendis le bruit d’un gel qui sort d’un tube, puis je senti la cravache s’immiscer entre mes fesses qu’une main écartait. Je sentis la cravache progresser dans mon intimité jusque là inviolée. J’eus un peu peur mais je n’avais pas le choix ; ceci dit, cette intrusion ne me laissait pas indifférent…


Elle fit aller et venir la cravache de plus en plus profond en moi, faisant grandir la douleur et décupler le plaisir. Je commençais à m’habituer à ce geste et mon sexe se raidissait à vu d’œil. Soudainement, Ghislaine arrêta son geste et dit :



Elle s’adressait en fait à une personne derrière elle. Étant attaché, je ne pouvais voir entièrement ce qui se passait. Lorsque je vis l’esclave près de moi, je vis qu’il était en érection et je compris alors ce qui allait se passer. Je fermai les yeux. Deux mains m’empoignèrent les hanches et je sentis le sexe de cet homme me pénétrer, aller au plus profond de moi. C’était la première fois que cela m’arrivait, et si le sexe ne me semblait pas très gros, il était en revanche très long et m’écartelait littéralement. Il fit plusieurs va-et-vient, me labourant mon intimité. Ghislaine s’était reculée de quelques pas et regardait la scène d’un œil froid. Elle semblait prendre plaisir à me voir ainsi humilié.


Sous le coup de la surprise et de la douleur, mon sexe était de nouveau mou mais l’accoutumance aidant, je le sentis se redresser, à ma grande surprise, n’étant pas attiré par les hommes. Le rythme des coups de butoir s’accéléra et l’esclave finit par jouir en moi, libérant son liquide chaud au plus profond de mes entrailles. Ghislaine lui dit de se dégager et le remercia pour « ce bon travail ». Comme j’aurais aimé moi aussi être remercié de la sorte par cette maîtresse…



Elle ordonna à son esclave de se caresser ; il redevint donc bientôt tendu. Elle s’appuya à un meuble sur ma droite, à ma hauteur, bien dans mon champ de vision. Je pouvais ainsi la voir de plain-pied, les fesses contre le meuble, ce qui faisait plisser sa jolie jupe.



Son esclave ne s’attendait visiblement pas à ce cadeau mais ne se fit pas prier. Il vint vers elle, écarta légèrement les pans de sa jupe et la pénétra. Pendant qu’il l’entreprenait, Ghislaine me regardait avec un petit sourire, car elle devinait bien à présent que je n’avais qu’une seule idée en tête : la pénétrer à mon tour. Le fait d’être attaché sans aucun moyen de bouger, ni même de me caresser devant ce beau spectacle me frustrait totalement.


Elle jouit assez rapidement, ce qui indiquait qu’elle avait apprécié le spectacle qu’elle avait organisé, ce qui était pour moi une - maigre - consolation. Son esclave, qui venait de se vider en moi, n’avait pas encore joui, mais, ayant eu son plaisir personnel, elle l’arrêta et le laissa dans un état de frustration totale. Chacun son tour, pensai-je.



Je remis tant bien que mal mon pantalon et ma chemise (elle m’avait confisqué mon boxer). Mon sexe tendu était clairement visible, mon anus me faisait mal et mon pantalon était maculé de sperme. Pour une première expérience, bien qu’endolori, j’étais totalement comblé.


Le pire, dans ma frustration, était que je n’avais touché - ni même vu - pendant cette séance aucune partie de son joli corps…


Il me fallait donc revenir, ce qui ne manquerait certainement pas d’arriver…