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n° 12034Fiche technique16521 caractères16521
Temps de lecture estimé : 10 mn
03/12/07
corrigé 31/05/21
Résumé:  Mon initiation à la domination continue...
Critères:  fh fhh fagée inconnu collègues hsoumis fdomine humilié(e) contrainte fellation hdanus sm attache init
Auteur : Hip-Hop      

Série : Etre dominé par une femme ne s'apprend pas en un soir...

Chapitre 02
L'initiation continue

Résumé du premier épisode :

Cherchant à combler mon fantasme de dominé, je croise dans un club une secrétaire de ma société qui m’initie à cette pratique…


Le lendemain de la soirée, je croisai Ghislaine dans les couloirs de la société dans laquelle nous travaillions : un bonjour simple, toujours la même distance courtoise, le même sourire charmant. Elle était redevenue la Ghislaine que je connaissais auparavant. J’étais bouleversé par ce que j’avais subi, mais la « séance » s’éloignait peu à peu dans mon esprit. En somme, Ghislaine m’avait dominé un soir, rien de plus.


Cependant, environ une semaine plus tard, la dominatrice réapparut, fort brièvement, mais cela bouleversa définitivement mon regard sur elle : j’étais en train de faire des photocopies dans son bureau, elle en était absente. Lorsqu’elle revint, je ne l’entendis pas rentrer. Elle passa derrière moi, en passant une main sur mes fesses, et ce de manière très appliquée. Je me relevais d’un coup et, la voyant, je ne sus que faire : elle me regardait avec le regard noir de dominatrice que je lui connaissais, mi-ironique mi-méprisant, semblant me dire « même ici vous n’êtes pas à l’abri ». Je mis quelques secondes à reprendre mes esprits et à m’enfuir dans mon bureau. Une fois assis, je me rendis compte que mon sexe était dressé, ce qui ne se voyait heureusement pas grâce à mes sous-vêtements.


Ce fut la seule fois où elle se manifesta, mais après cet « incident », à chaque fois que je la voyais ou la croisais, je craignais d’elle non seulement un geste visible, mais aussi, réminiscence du coup de cravache de la séance précédente, qu’elle me fit mal physiquement. Je me rendais bien compte qu’à travers cet état de crainte mêlé de désir, Ghislaine avait pris un ascendant incroyable sur moi… et j’aimais ça.


Je mis quelques jours à analyser ce qui m’arrivait. En particulier, je repensai à la sodomie que j’avais subie, à la douleur due à l’intrusion de ce sexe tendu dans mon anus et à cette sensation de chaleur lorsque cet homme s’était vidé en moi. Je n’étais pas homosexuel, et pourtant cette sodomie, bien que subie au départ, ne m’avait pas laissé un mauvais souvenir. La raison de cette contradiction était simple : c’était parce que Ghislaine l’avait ordonnée et dirigée. J’en arrivai à la conclusion que je mourrai d’envie de retourner dans cet endroit où je m’étais fait dominer et humilier, mais où j’avais réalisé une partie –seulement – de mes fantasmes.


---oooOooo---


Je retournais donc dans ce club, après m’être renseigné sur la date de la nouvelle soirée. Je dépendais tellement d’elle que, malgré les mauvais traitements subis, je craignais qu’elle ne vînt pas.


Cette fois, le cerbère tiqua sur mon habillement classique : j’avais totalement oublié le code vestimentaire, et m’apprêtais à repartir la mort dans l’âme quand un ordre arriva dans les oreilles du portier, qui me laissa alors entrer. Je n’eus pas le temps de m’interroger sur ce curieux revirement de situation. Je venais de rentrer dans le club et y retrouvais cette atmosphère feutrée, apaisante, mais en même temps sombre et mystérieuse.


Je m’accoudai au bar comme la première fois. Je regardai les femmes présentes : entre 30 et 50 ans, l’une portait une jupe en latex, moulant bien ses fesses et des hanches un peu larges. Elle attirait l’œil inévitablement…


Un homme me saisit les poignets, sans un mot me mit des menottes et m’emmena dans une salle à l’étage. J’eus un premier réflexe de défense, mais il ne me laissa pas le choix. Il y avait dans cette salle un instrument fort ancien et que je n’avais jamais vu en vrai jusqu’alors : un pilori. C’était une solide planche, percée de trois trous : deux trous pour les poignets, et entre les deux, un trou pour la tête. Il était fixé sur une table basse de salon, elle-même fixée au sol. Il trônait au centre de la pièce, une lumière crue tombait sur lui, laissant le reste de la pièce dans la pénombre.


Comme lors de la première séance, en voyant le dispositif qui m’attendait, j’eus un moment de panique. L’homme me laissa à l’entrée et disparut dans l’obscurité. Je vis alors avancer celle que j’attendais et craignais, celle que je pouvais dès lors qualifier de maîtresse : Ghislaine. Connaissant également ses goûts vestimentaires quelques fois éloignés des miens, je craignais une faute de goût de sa part, qui m’aurait empêché de fantasmer comme la première fois sur son corps de femme mûre, mais tellement envoûtant. Elle avait un haut en satin blanc qui lui moulait la poitrine et ce petit ventre qui trahissait délicieusement son âge. J’eus le temps de deviner, par l’absence de bretelles et une poitrine légèrement tombante, qu’elle n’avait pas de soutien-gorge. Elle portait une jupe en cuir rouge, courte. Elle lui moulait les fesses et mettait en valeur sa chute de reins, qui n’avait rien à envier à celle d’une jeunette. Ses hanches un peu larges, souvenir probable de maternités, soulignaient son caractère féminin. Comme il devait être bon de s’y agripper…


Je supposai, mais sans en être tout à fait sûr, car je n’étais pas bien placé, qu’elle portait un string. Ce détail, pourtant anodin tant ce sous-vêtement est devenu courant aujourd’hui, me fit monter une première bouffée de chaleur : bêtement, je n’aurais jamais pensé qu’une femme mûre, même bien faite comme Ghislaine, puisse porter un string. Je m’imaginai alors cette belle femme vêtue simplement de ce sous-vêtement, en satin lui aussi espérais-je. Elle portait des chaussures à talons hauts, qui rehaussaient sa taille et lui donnaient une stature à laquelle je n’étais pas habitué, étant plus grand qu’elle. Elle portait comme la première fois un maquillage foncé sur ses yeux, discret mais efficace : il lui donnait cet air dominateur qui me faisait trembler. Tout était parfaitement coordonné : couleurs, étoffes, style. Dominatrice oui, pute non.


Elle ne dit pas un mot, ne me lâchant pas du regard. Je cessai de la regarder et baissai le mien. Elle me prit par les menottes et m’amena au pilori. Elle me les enleva et prit sa cravache en main. Elle tapa un petit coup sur mes fesses et je compris tout de suite. Je me déshabillai, cette fois-ci entièrement, sans pause comme la dernière fois : je voulais lui montrer ma bonne volonté pour attirer ses bonnes grâces. Une fois nu, elle me tourna autour, laissant glisser sa cravache sur mon corps. Une fois derrière moi, la cravache s’arrêta sur mes fesses, les caressa un instant.


Puis, sans mot dire, elle frappa d’un coup sec, par derrière, mes testicules qui pendaient entre les jambes. J’avais beau m’y attendre un peu, la douleur fut encore plus vive que la première fois : elle avait frappé mes deux testicules de bas en haut au parfait endroit. Je fis un effort surhumain pour ne pas me plier de douleur. Elle dit d’une voix sèche :



Elle me fit ensuite mettre à genoux devant le pilori. Elle l’ouvrit, je posai ma tête et mes deux mains sur le bois. Elle referma cet instrument sur moi et le bloqua avec un solide cadenas. Précaution supplémentaire, j’entendis et sentis deux menottes se refermer sur mes chevilles. Je compris alors en quoi cet instrument, s’il n’est bien sûr pas destiné à tuer, pouvait être extrêmement douloureux pour l’esprit : j’étais à quatre pattes, les bras, les jambes et la tête immobilisés et le sexe pendant en dessous de mon ventre. Je me rendais aussi bien compte que ma croupe était entièrement offerte à tous et toutes, et prête à subir tous les outrages…


Ghislaine recula de trois pas, sourit méchamment, et fit un signe à une personne devant moi. Je vis alors s’avancer un homme entièrement nu au corps d’athlète : des muscles apparents, pas de petit ventre (j’essayai alors de rentrer le mien pour faire bonne figure), des fesses fermes, et un sexe, au repos, qui (cela me rassura un peu) n’avait rien d’exceptionnel. Je n’en étais pas entièrement sûr, mais il ressemblait à celui qui m’avait possédé lors de ma première séance. Le temps de le regarder et il était en face de moi, devant mon visage.


Il prit alors son sexe et commença à se caresser. Je n’avais jamais vu un homme se donner du plaisir ; il le faisait avec brusquerie, faisait aller et venir sa main sur sa verge en la serrant et en ondulant du bassin au gré des allées et venues. Son membre grossissait à vue d’œil et commençait à prendre des dimensions respectables. J’étais fasciné par ce spectacle. Soudain, il me prit par les cheveux, me releva la tête et me dit :



Je mis quelques secondes à comprendre : je devais prendre ce membre en bouche ? Le lécher ? Le faire aller et venir ? Le… Énervé par cette indécision, il posa son sexe sur ma bouche. Je n’avais d’autre choix que de l’ouvrir et de le laisser s’y enfoncer. Je fermai alors la bouche sur cette tige. Pour la première fois, j’avais le sexe d’un homme en bouche, je voyais ses testicules bouger et s’entrechoquer… et mon sexe était tendu. Serais-je devenu bisexuel ? Je n’eus pas le temps de réfléchir à cette question : l’homme, tout en gardant sa main dans mes cheveux, commença un va-et-vient en s’enfonçant au plus profond de ma gorge. Totalement inexpérimenté en la matière, j’essayai d’accompagner le mouvement de la tête et d’activer ma langue autour de cette tige toute chaude. Ce n’était pas désagréable : avoir la partie la plus intime et sensible d’un homme entre ses lèvres, la sentir grandir et grossir sous sa langue, sentir ces testicules tendus frapper mon visage…


Je sentis alors une main prendre mes bourses. Une bouffée d’inquiétude monta en moi : qui était-ce ? Ghislaine ? Un homme ? Une femme ? À cause du pilori, je ne pouvais esquisser le moindre mouvement pour regarder, ni pour me dégager. Cette main prit soin de ne pas toucher à mon membre tendu : elle n’était malheureusement pas là pour me faire jouir… Elle passa sur mes fesses, en partant du bas du dos jusqu’au haut de mes jambes. Elle remonta ensuite entre mes fesses, jusqu’à toucher mon anus. Elle tourna un petit peu autour, s’enfonçant légèrement dedans. Je commençai à ressentir les mêmes sensations que lors de la sodomie : mon sexe se tendait encore un peu plus. À cause des menottes aux chevilles et à cause du pilori, tout mouvement latéral était difficile. Je devais donc subir sans pouvoir intervenir.


Malheureusement, ce plaisir ne dura pas : la main cessa brusquement ce geste qui était presque une caresse, et prit les deux testicules dans sa paume. Elle les serra et les fit rouler plusieurs fois l’une contre l’autre, les pinçant et les écrasant. La même douleur que l’instant auparavant, mais décuplée, monta instantanément en moi. J’essayai de pousser des cris, mais ce sexe qui allait et venait dans ma bouche m’en empêchait complètement. La douleur entre mes jambes m’empêchait d’être en érection ; je subissais totalement ces deux personnes, sans même pouvoir en profiter.


Les mouvements dans ma bouche se firent plus brusques et se transformèrent bientôt en coups de butoir. Je sentis l’homme au bord de la jouissance ; je tentai de me dégager, mais sa main dans mes cheveux m’en empêcha. L’homme jouit alors au fond de ma gorge. Je tentai de garder ses longues giclées de sperme en bouche pour les recracher après, mais il y en eut trop : je dus avaler ce sperme chaud au goût âcre et je le sentis descendre en moi.


L’homme retira son sexe en poussant un soupir de satisfaction. Ghislaine était toujours à mes côtés, supervisant l’opération. Elle commenta avec un regard blessant :



Elle s’adressa à une personne derrière moi (celle qui m’avait touché ?) :



Je vis une lueur de fureur dans les yeux de celui que je venais de faire jouir : comme la dernière fois, il devait espérer secrètement avoir droit à ce privilège. L’homme qui arriva devant moi était moins athlétique que le précédent ; il devait avoir le même âge que Ghislaine. Il était cependant bien monté, et était déjà en érection. Ghislaine se mit face à moi, me regardant, comme l’homme précédemment. Elle appuya ses mains sur le pilori, de part et d’autre de ma tête et se pencha : j’avais sous les yeux son haut en satin, un début de décolleté et une belle vue sur sa jupe en cuir et ses jambes. Ses fesses devaient être magnifiques, moulées dans cette jupe et offertes à cet esclave… mais je n’en voyais rien.


L’esclave arriva par derrière et souleva la jupe. Il posa ses mains sur ses hanches de femme. Il la pénétra d’un coup, allant jusqu’au plus profond de son intimité. Elle ne poussa même pas un cri, devant peut-être être habituée à cette façon de procéder. Tout juste ferma-t-elle un instant les yeux, pour les ouvrir en me regardant ironiquement :



Son corps ondulait au gré des coups de buttoir de son esclave. Je devinai ses seins libres de tout sous-vêtement aller et venir dans son haut de satin. Quel plaisir aurais-je eu à caresser cette étoffe si douce, et ce corps si bien fait. C’était terriblement frustrant, totalement envoûtant… et tellement excitant… L’esclave était visiblement plus expérimenté que son homologue de la première séance : il ne voulait pas que sa maîtresse jouisse sans lui. Quand il sentit sa maîtresse prête à jouir, il se déchargea par des coups de butoir plus lents mais au plus profond du vagin. Ghislaine explosa en même temps. Il se dégagea ensuite très rapidement de sa maîtresse, qui se releva et rajusta sa tenue. Pas même un regard pour celui qui venait de la faire jouir. Un peu essoufflée, elle me dit :



Elle me détacha ; je commençai à me rhabiller. Comme lors de la première fois, elle me confisqua mon sous-vêtement, mais cette fois-ci également mon pantalon.



Je ne comprenais pas le sens de sa remarque : c’était un beau jean en cuir, plutôt réservé au maître qu’à l’esclave. C’est en le mettant que je compris : si le pantalon était à ma taille, il était cependant extrêmement moulant au niveau du bassin. Une grosse bosse se dessinait au niveau de mon sexe tendu et le cuir s’enfonçait profondément entre mes fesses, les dessinant mieux qu’un boxer. Inutile d’essayer de mettre un sous-vêtement. La fermeture était à bouton, ce qui la rendait difficile à fermer, mais augmentait - trouvai-je - la sensualité du déshabillage, bouton par bouton. Le contact froid du cuir sur ma peau me troubla. Ghislaine me regardait :



Elle me congédia. J’avais le goût âcre du sperme en bouche et une douleur sourde dans l’entrejambe. J’allais devoir sortir dans la rue habillé avec une tenue sans équivoque, je n’avais toujours pas vu la moindre partie de l’anatomie de ma maîtresse et je n’avais encore jamais joui devant elle. J’étais complètement frustré… et je n’avais pourtant qu’une hâte : la revoir.