n° 11986 | Fiche technique | 26676 caractères | 26676Temps de lecture estimé : 15 mn | 21/11/07 |
Résumé: Un petit village va voir s'affronter deux listes pour les municipales. Il faut trouver des candidates pour la parité homme/femme. La fin justifie les moyens ! Tous les coups sont permis... | ||||
Critères: fh fhh fagée extracon grosseins groscul poilu(e)s fépilée campagne collection voir exhib lingerie fellation cunnilingu anulingus préservati pénétratio fdanus fsodo portrait humour -humour -occasion -attirgros | ||||
Auteur : XXL (Campagne pour les municipales 2008) |
DEBUT de la série | Série : Campagne pour les Municipales 2008 Chapitre 01 | Épisode suivant |
Il y avait eu du grabuge au sein du conseil municipal de notre petit village, pourtant si consensuel habituellement. Les futures échéances municipales de 2008 étaient à huit mois et le premier adjoint, très ambitieux, avait fomenté un complot avec d’autres conseillers, dans le but de présenter sa propre liste. Scénario on ne peut plus classique. Le maire me semblait intègre et dévoué à ses administrés. Par contre, les dissidents étaient un ramassis de bouffons réactionnaires essentiellement mus par leurs intérêts personnels. J’avais pris mes responsabilités : je devais soutenir ce brave homme. Je lui avais même proposé mon ami Jean-Marc comme futur adjoint, compétent et super motivé ; peut être avais-je mauvaise conscience d’avoir poliment refusé de figurer sur sa liste.
C’est donc avec Jean-Marc qu’on commença une prospection très discrète, pour convaincre quelques braves gens d’adhérer à notre cause et de s’inscrire sur la liste municipale. Les hommes furent facilement trouvés mais, parité homme/femme oblige, il manquait au moins trois postulantes ! Lucette, une ancienne déléguée syndicale qui avait eu maille à partir avec un des olibrius de l’autre liste, accepta de nous recevoir, mais dans le plus grand secret. Elle voulait connaître les tenants et aboutissants de sa future fonction avant de prendre sa décision.
Elle était pimpante, Lucette, bien que sa jupe droite noire et son chemisier blanc reflètaient un conformisme surprenant, pour une quinquagénaire aussi pétulante de vie. D’emblée elle nous informa qu’elle avait choisi qu’on discute hors la présence de son mari, vu que ce dernier était incapable de tenir un secret et que tout le village serait au courant de nos tractations dans le quart d’heure qui suivrait. Lucette avait rehaussé de rouge ses joues de poupon jovial ; elle avait discrètement maquillé de bleu ses yeux en amande, en posant aussi une touche magenta sur ses lèvres charnues. Les cheveux étaient coiffés élégamment, gonflés pour leur donner de l’amplitude, mélangeant le châtain clair et les reflets blonds, savamment dosés. Les chevilles fines se prolongeaient par des jambes musclées et des cuisses imposantes, solidaires d’une croupe large qui tendait le tissu de la jupe, assez moulante. Force était de constater que ses trois maternités lui avaient façonné une poitrine épanouie, dont les seins lourds attirèrent nos regards, dans leur balancement lent et majestueux. Je jetais un coup d’œil discret sur les broderies du soutien-gorge qui s’incrustaient sous le chemisier légèrement translucide. Notre hôtesse nous proposa deux fauteuils profonds en attendant qu’elle apporte les tasses, car elle nous avait préparé du café.
Jean-Marc en profita pour attaquer un petit discours motivant sur les tâches qui seraient attribuées à sa future colistière, du moins il l’espérait grandement ! Lucette semblait intéressée et posait des questions, tout en faisant des allers-retours entre la cuisine et le salon où elle déposa le sucrier, les cuillères et des gâteaux. Je laissais le copain faire l’article tout seul, car Lucette me demanda gentiment de l’aider en allant chercher la cafetière. La cuisine était une pièce nouvelle, rapportée à la maison. Située en contrebas, il fallait descendre trois marches pour y accéder. De l’endroit où je me trouvais, un spectacle inattendu et involontaire éveilla ma lubricité. Lucette s’était accroupie pour sortir les tasses à café de cérémonie, réservées aux invités, de l’étagère du bas d’une armoire du salon. Bien sûr, elle s’était mise de profil, instinctivement, pour que sa position soit des plus décentes envers Jean-Marc. Visiblement, le baratin du copain semblait la passionner, car elle avait oublié ma présence et sortait les tasses avec précaution en les posant une à une sur un plateau. En contre-plongée, dans la cuisine, j’attendais, ravi, que la cafetière électrique vomisse bruyamment ses dernières bouffées d’eau chaude.
J’apercevai une parcelle de ses grosses cuisses qui frôlaient le sol, la lisière d’un bas ainsi qu’un fragment du fond renforcé d’une petite culotte, dans les tons jaunes. Après concertation avec ma libido individuelle et portative, très conscient que se rincer l’œil sous les jupes d’une dame n’était pas très convenable, je décidai quand même de me faire violence. Quand Lucette nous demanda si un petit alcool de mirabelle, artisanal et alsacien, ne serait pas le bienvenu, Jean-Marc accepta de suite – d’autant que son chameau d’épouse lui interdisait toute consommation d’alcool depuis sa désastreuse dernière analyse de sang…
Comme les verres à goutte étaient sur la même étagère, mais dans le fond de l’armoire, la brave dame stabilisa sa position au sol avant de s’incliner plus bas. De ce fait, ses cuisses s’ouvrirent et, pour profiter pleinement du spectacle, je m’accroupis en feignant de relacer ma chaussure. Des bas couleur chair étaient tendus par de larges jarretelles noires, comme celles que portait ma mère il y a une quinzaine d’années. Je me souviens de ses ceintures larges qui aplatissaient le ventre des dames dodues et fixaient les bas par quatre bandes élastiques… Rien à voir avec les porte-jarretelles fantaisie censés pimenter le devoir conjugal, après vingt ans de mariage, ou moins ! La petite culotte de Lucette était bien jaune, jaune canari même, et complètement opaque, mis à part une étroite bordure en dentelle encerclant les cuisses puissantes. Le tissu synthétique, tendu sur le pubis, était si fin qu’il épousait parfaitement l’entrejambe féminin. Les deux bourrelets volumineux du minou apparaissaient parfaitement sculptés dans le tissu jaune, dans un relief saisissant. La très longue fente de la chatte semblait aspirer le fin voile pour le faire disparaître dans les profondeurs d’un canyon californien.
Lucette avait l’air convaincue par l’argumentation de Jean-Marc et par mes remarques, plus prosaïques, sur l’apport financier non négligeable de l’indemnité des maires-adjoints. La mirabelle aidant, Jean-Marc suait à grosses gouttes et Lucette, qui avait des vapeurs, avait déboutonné de deux crans le chemisier qui découvrait maintenant en partie le sillon délimitant le territoire occupé par deux seins voluptueux, enrobés de corbeilles jaune canari. Il ne manquait qu’un gros nœud pour l’emballage-cadeau.
Lucette était à deux doigts de signer le protocole de sa candidature quand cette grande andouille de Jean-Marc lui demanda si son mari ne risquait pas de poser son veto ultérieurement ? La future conseillère municipale se mit alors dans une colère violente :
Silence gêné dans la salle. Sûrement à cause de son début d’ébriété, Jean-Marc rompit le silence pesant et, à ma grande stupéfaction, participa sincèrement à sa détresse ; très volubile pour une fois, il commença par s’exclamer :
Puis il partit dans une envolée lyrique ; Jean-Marc avoua qu’il trouvait notre hôtesse splendide… Sa belle croupe rebondie, sa poitrine majestueuse devraient encore en ravir plus d’un. Quel connard, non seulement il allait perdre une candidate, mais en plus il allait s’en prendre une, bien lourde et pas volée, sur le coin de l’oreille… Et bien non, pas du tout ! Lucette apprécia ses compliments, mais le qualifia quand même de flatteur, en minaudant. Plus rien ne m’étonnait, mais je fus quand même sur le cul quand le copain se leva et énonça :
Ce faisant, il s’avança sur Lucette qui, tout en souriant, baissa les yeux et émit, pour la forme, quelques protestations timides quand les boutons du chemisier furent ouverts, un à un. Remplissant abondamment les bonnets jaunes, les nichons laiteux, trop à l’étroit, débordaient du tissu agrémenté de dentelle. Lucette se débarrassa de son chemisier en gloussant tandis que Jean-Marc déverrouillait le soutif qu’il accrocha bizarrement, au lustre. Un affaissement notoire des nichons libérés ne troubla pas le moins du monde les tourtereaux. Mon ami, euphorique, empoigna de ses deux mains le sein droit de la quinquagénaire, en laissant sa langue et sa bouche se goinfrer de mamelle qu’il tripotait comme un potier. Lucette, ravie, se laissait faire en émettant des petits cris de satisfaction. J’allais intervenir pour expliquer à mon pote qu’il fallait savoir raison garder, mais je ne le fis pas. Incrédule, je regardais Lucette ravie, les yeux fermés, se laissant caresser en passant tendrement sa main dans les cheveux de son inattendu courtisan.
Le copain, déchaîné, alternait maintenant le gros bisou dans le cou, accompagné d’une énergique prise en main de la poitrine, avec les baisers langoureux et gluants sur la bouche de Madame, visiblement comblée. Je regardais bêtement le spectacle de cette frénésie aussi délirante que surréaliste. Les gros seins, auréolés d’une couronne rose sombre et parsemés de petits boutons plus foncés, dansaient la gigue des masses abandonnées à la pesanteur. Lucette arrêta momentanément les effusions lubriques de Jean-Marc, me fixa gravement, trois secondes :
Sur ce, elle se jeta fougueusement sur le copain, m’abandonnant à mes réflexions. Jean-Marc avait le pantalon sur les chevilles et guidait la main féminine dans l’ouverture de son caleçon à fleurs. Lucette, aux anges, couvrait de bisous le torse imberbe de son amant, tout en masturbant vigoureusement le membre masculin qu’elle avait sorti de son étui floral. Profitant du fait que Jean-Marc entreprenait de se dessaper complètement, je pris la suite…
Je me demande encore aujourd’hui comment j’ai pu oser, car je n’avais encore jamais trompé mon épouse – sauf dans mes rêves érotiques où je me permettais de sodomiser régulièrement la pharmacienne hautaine, la directrice de l’école maternelle, catholique intégriste et, de temps en temps… ma belle-mère, veuve et dotée d’un cul gigantesque.
Lucette jubilait, les seins dévorés et malaxés honteusement, le cou dévoré de bisous humides, le gros baiser hollywoodien de profil pour permettre à mes deux mains de trousser la jupe jusqu’au nombril, histoire de faire connaissance, à travers le fin tissu du slip, avec l’intimité de notre partenaire… par-devant et par derrière. Jean-Marc, seulement vêtu de ses chaussettes, curieusement dépareillées, aida Lucette à se débarrasser de sa jupe et entreprit de glisser la main sous la petite culotte. Un embonpoint naissant tendait trop le tissu fragile. En dandinant difficilement de la croupe, notre partenaire arriva à baisser elle-même la lingerie jaune canari, jusqu’à mi-cuisses. Je coiffai mon copain sur le poteau en m’emparant de la grosse foufoune, enrobée d’une toison brune et frisée. La longue fente, sombre et humide, s’ouvrit facilement sous la caresse délicate de deux gros doigts poilus qui s’autorisèrent à faire une petite visite plus approfondie. Lucette poussa juste un tout petit cri de surprise quand Jean- Marc, agenouillé derrière elle, lui lécha la raie et se permit la privauté de goûter son trou du cul.
Comme les vapeurs d’alcool lui donnaient le vertige, on la soutint pour qu’elle puisse se débarrasser de sa culotte, mais elle refusa d’ôter sa gaine porte-jarretelles (pour dissimuler certainement sa légère obésité). Finalement, elle s’affala dans un fauteuil. Je me déshabillais lentement en observant les deux acolytes en action : toujours en chaussettes, la tête de Jean-Marc disparaissait enfouie entre les grosses cuisses béantes de Lucette, déposées sur les accoudoirs du fauteuil. Les larges jarretelles noires qui tendaient les bas étaient à la limite de la rupture. Je ne savais pas ce qu’il faisait, mais je peux vous dire que les gloussements aigus de Lucette confirmaient sa grande satisfaction. Je la laissais poliment savourer son plaisir.
Quand Jean-Marc fit une pause pour reprendre son souffle, Lucette, un sourire coquin aux lèvres, m’appela du doigt. Positionné près de l’accoudoir, je la vis se saisir de mon pénis et le lécher langoureusement. Elle observait les signes de ma reconnaissance sur mon visage, tout en dégustant mon gland, bien libéré à présent. Sans aucune honte, elle avala mon membre en le faisant pénétrer centimètre par centimètre au fin fond de sa gorge. Elle le garda emprisonné au moins trois secondes puis recommença la dégustation… avant que cet enfoiré de Jean-Marc ne réclame ce traitement de faveur, de l’autre côté du fauteuil. Un membre dans la bouche et l’autre dans la main, en alternance, il ne fallut pas longtemps pour que nos érections lui semblent satisfaisantes. Elle nous invita à conclure dans un endroit plus confortable, nous entraînant dans sa chambre, à l’étage.
Chemin faisant, elle dénicha, cachée au fond d’un tiroir, une boîte neuve de préservatifs, qu’elle avait achetés au cas où… De voir cette croupe généreuse et nue gravir les escaliers, réveilla un vieux phantasme récurrent – papa Freud, priez pour moi ! Certes, les grosses fesses de la quinquagénaire étaient un peu flasques et dansaient mollement à chacune des marches franchies, mais sacrebleu, quel superbe gros cul ! Quand, à mi-parcours de l’escalier, j’invitais Lucette à faire une petite pause en lui saisissant les chevilles et en les écartant sur toute la largeur de la marche, elle ne s’étonna même pas.
La fabuleuse chatte de madame apparaissait entre ses cuisses ouvertes, les deux bourrelets velus semblant protéger l’accès à la fente cramoisie, déjà inondée. Dès qu’elle sentit mes doigts écarter l’entrée de sa vulve et ma langue s’immiscer dans son intimité, Lucette monta son pied droit d’une marche supplémentaire pour faciliter mon intrusion. Elle râlait discrètement de plaisir en creusant ses reins. Jean-Marc, lui, avait réussi à s’installer quelques marches au-dessus et, assis confortablement, il emprisonnait son pénis entre les seins de notre amante, en le faisant voyager d’avant en arrière. Un parfum prononcé de chèvrefeuille chatouilla mes narines quand je pris l’initiative de laper la raie de Lucette. Elle n’opposa aucune protestation à mon initiative indiscrète. Elle ondula du bassin, en émettant de longs soupirs de contentement quand elle perçut simultanément, la visite de deux doigts dans sa fente et, l’intrusion profonde d’un index velu dans son trou du cul.
Sa chambre, aux tentures roses et à la moquette fuchsia, était en désordre : le lit n’était pas fait, un plateau-déjeuner traînait sur une table. Elle s’en excusa honteusement alors que Jean-Marc essayait maladroitement d’enfiler un préservatif. J’en profitais pour inviter Lucette, un peu étonnée quand même, à se positionner dans la largeur du lit et à quatre pattes. Quand, debout en face d’elle, je saisis à pleine main ses gros nichons et que mon phallus raidi se balada en face de ses lèvres, elle comprit très vite que le devoir l’appelait. Encore une fois, cet hurluberlu de Jean-Marc interrompit trop vite la fellation lente et appliquée de Lucette, qui m’abandonna pour profiter pleinement de son plaisir. Le copain, de l’autre côté du lit, venait d’enfiler sournoisement la mamie en levrette, enchaînant les coups de boutoir avec des va-et-vient plus délicats. Il monta même sur le lit et, à la cosaque – mais avec une chaussette noire et une chaussette bleue ! –, les jambes fléchies, il se vida longuement dans la fente de Lucette qui manifesta son contentement par un cri rauque d’animal, repu et comblé. Très content de sa prestation, après un gros bisou à notre partenaire, il s’éclipsa fièrement en sifflotant :
Le fermoir métallique d’une jarretelle me meurtrissait le flanc gauche. Les bras tendus pour éviter d’écraser ma partenaire, j’avais introduit mon sexe bien au fond de sa chatte et je savourais les contractions que Lucette, allongée sous mon corps en extension, exerçait avec ses muscles vaginaux. Je ne bougeais pas, mon membre non plus ; il était emprisonné dans une étreinte ferme qui se relâchait d’un coup avant de se resserrer de nouveau. Lucette me fixa alors droit dans les yeux…
Elle rigola en voyant la tête que je faisais, mais j’eus quand même la bonne répartie :
Elle me tendit le pot de miel récupéré dans le plateau du petit déjeuner
Le buste appuyé sur la table, les reins cambrés, Lucette avait empoigné ses grosses fesses pour les écarter et me permettre un accès plus aisé à cet orifice étroit et sombre. Il me sembla minuscule par rapport à son gros cul, qui affichait une opération portes ouvertes. J’étais pas très doué et je ne réussis que difficilement la pénétration de mon gland. Ma complice comprit mon désarroi ; elle me proposa donc une technique personnelle. Elle m’allongea sur la moquette, près du lit, et m’invita à empoigner mon sexe, pour qu’il demeure raide et bien tendu vers le plafond. Avec une grande maîtrise, Lucette, en accrochant sa main droite au lit, descendit accroupie sur mon pénis. Elle me demanda de guider mon membre et se sodomisa elle-même. Elle semblait avoir une grande expérience de cette pratique ; la future candidate faisait l’ascenseur sur ma queue, qui avait investi maintenant dix bons centimètres de son trou du cul, d’une élasticité remarquable.
Elle me chevauchait fièrement, s’arrêtait deux secondes pour reprendre son souffle puis reprenait sa cavalcade. Ses mamelles, abandonnées, tournoyaient dans une sarabande aléatoire. Lors d’une pause plus prolongée, essoufflée, elle s’étonna que la majorité des femmes refusaient cette pénétration, qu’elles ne jugeaient pas sexuellement correcte. Son mari et elle l’avaient pratiquée souvent et, d’après cette experte, quand c’était fait avec tact et délicatesse, les deux partenaires y trouvaient leur plaisir. Je me fis rappeler à l’ordre par Madame, qui trouvait que mes mains étaient bien inactives alors que ses seins et son bouton d’amour se languissaient. Son clitoris incandescent lui procura des petites jouissances successives alors que, je donnais l’autorisation à des milliers de spermatozoïdes de s’esbaudir dans un réservoir en silicone rose bonbon. Pour récompenser ma bonne volonté, la mamie ôta elle-même mon préservatif et sa bouche gourmande élimina toute trace résiduelle de sperme.
On attendait, dans le salon, que Lucette quitte enfin la salle de bains et descende, pour lui proposer de prolonger éventuellement le traitement médical préventif, mais on n’en eut pas l’occasion ce jour-là. Le coup de sonnette insistant de la porte d’entrée perturba nos projets. Deux petites sœurs des pauvres s’encadraient dans le couloir. Le sourire mielleux de la plus vieille s’effaça vite quand elle détailla la tenue de Lucette qui venait de lui ouvrir : c’était pas courant de se balader en robe de chambre à quatre heures de l’après-midi, surtout avec des bas noirs et des hauts talons… L’autre bonne sœur donna un coup de coude à la vieille moustachue pour lui indiquer, du regard, les deux mâles qui attendaient bêtement sous un lustre où pendouillait un soutien-gorge imposant. L’estocade fut portée par mon copain qui crut bien faire, en faisant disparaître dans sa poche, une petite culotte jaune canari, d’un fort beau gabarit ma foi, qui traînait encore sur la table.
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Le maire élu en fonction – et qui voulait le rester– vint mi-Mai me supplier de l’aider dans un super coup médiatique, qu’il avait mis sur pied, en catastrophe. Un couple d’Anglais l’avait averti qu’ils passeraient dans notre petit village du Nord pour rendre hommage à un arrière grand-père, tombé au champ d’honneur en 1918. L’aïeul, enterré avec une centaine d’autres fusiliers de Canterburry, tous âgés de moins de 21 ans, reposait dans un des cimetières militaires du village. Les British venaient en camping-car, le Maire ne parlait pas leur langue, j’avais un grand terrain… on devine la suite. Ils restèrent trois jours : réception en mairie, discours officiels, photos dans la presse locale… Nos adversaires faisaient la gueule et parlaient de récupération scandaleuse.
Lors des trois repas que nous prîmes en commun (on n’est pas des sauvages quand même), mon épouse fut ravie de constater qu’elle arrivait encore à se débrouiller dans la langue de nos ennemis héréditaires. Le couple était sympa, des pharmaciens tous les deux. Le Monsieur, très longiligne et ancien basketteur universitaire, était plus âgé que son épouse. La dame, Betty, bien que ne dépassant pas la cinquantaine, était potelée… voire dodue pour sa petite taille. La veille de leur départ, un buffet froid, rapide et bien arrosé, fut servi en mairie, car le premier élu emmenait le pharmacien d’outre-Manche voir un match international de basket féminin à Valenciennes. Mon épouse alla dormir tôt car elle prenait avec ses copines, aux aurores, un charter vers Venise.
La tête encombrée de vapeurs alcooliques, je fumais ma gauloise filtre sur un banc de la pelouse. L’intérieur du camping-car était fortement éclairé, merci pour ma facture EDF, les Britishs ! Ils étaient branchés sur une prise du garage. Je voyais la moitié supérieure de Betty passer devant les baies vitrées, en soutien-gorge bleu marine, décoré de petites fleurs rouge vif. Il n’y a que des Anglais pour inventer de la lingerie aussi moche. Betty aperçut le bout incandescent de la gauloise, me fit un petit signe d’amitié avant d’ouvrir la porte du véhicule. Elle désirait une bouteille d’eau minérale. La culotte de grande taille était parfaitement coordonnée au soutif, bleu marine, avec deux immenses fleurs rouge vif ! D’après les souvenirs brumeux qui me restent de cette soirée, dont je ne suis pas très fier, j’ai souvenir que Betty a lourdement insisté pour que je visite sa caravane à roulettes. Elle m’a avoué qu’elle avait de très bons souvenirs de deux camps de jeunesse, passés en Lozère profonde.
Et puis, un trou noir, parsemé de flashes peu glorieux : je m’effondre sur le lit, couché sur le dos, les bras en croix, les paupières mi-closes. Betty rigole, elle ouvre ma braguette, sort ma queue et me suce frénétiquement ; je suis toujours allongé sur le dos, mais à poil, le pénis tendu vers le plafond. Betty, complètement nue, me chevauche et emprisonne ma tête entre ses cuisses molles ; elle frotte sa chatte rasée contre ma bouche, ouvre les lèvres avec ses doigts et me force à introduire ma langue dans son vagin ; elle se retourne pour que je lui lèche le cul, je refuse ; elle m’injurie en anglais, se lève, ouvre un tiroir, trempe ses doigts dans un pot ; sa main disparaît entre ses cuisses quelques secondes ; Betty revient vers le lit, elle se retourne, sa croupe s’ouvre, un bras jaillit entre ses cuisses ; mon pénis est saisi énergiquement et on le force à pénétrer un orifice bien trop petit. Betty, obstinée, insiste jusqu’à ce que ma bite lui remplisse à moitié le trou du cul, puis elle anime ses hanches pour se faire jouir.
C’est son mari qui m’a réveillé sur le gazon. J’avais été rhabillé à peu près complètement. Je me souviens très bien des paroles désabusées du pharmacien, en français :