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06/12/07
Résumé:  Où la jeune Blanche découvre les moeurs libérés de la maison.
Critères:  fffh fbi grossexe grosseins soubrette voir fmast intermast fellation pénétratio
Auteur : Ben      

Série : A la Cour du Roi Soleil

Chapitre 10
Education d'une jeune soubrette

La jeune Blanche est troublée. Quand elle a entendu du bruit dans le boudoir, elle a d’abord cru qu’un accident était arrivé, tant les cris de Madame étaient stridents. Heureusement, en s’approchant de la porte et en écoutant mieux, elle s’est vite rendu compte que ses cris aigus se répétaient, entremêlés de gémissements. Blanche entend aussi la voix d’un homme. Sa maîtresse n’est pas seule, elle plaque son oreille contre la porte. Elle entend mieux sa maîtresse gémir :



Pendant un moment, Blanche n’entend plus rien. Elle a compris déjà que sa maîtresse se fait donner du plaisir. Elle s’en trouve elle-même excitée. Son jeune sexe commence à être moite. Elle brûle d’envie de savoir qui se trouve avec sa maîtresse, et de voir quel genre de plaisir ils se donnent. Une petite fenêtre ovale surplombe la porte. Elle hésite un moment. La chaise sera-t-elle assez haute ? Elle l’approche, relève ses jupes pour grimper sur la chaise. La chaise est un peu trop basse. Mais peut-être qu’en se hissant sur la pointe des pieds… ? Elle se tient d’une main au montant de la porte, en retenant de l’autre sa jupe. Elle se hisse le plus haut qu’elle peut, et arrive à jeter un regard dans la pièce. Elle avait bien deviné : c’est Jean, le valet, qui comble les désirs de sa maîtresse. Elle ne voit que le haut de son torse, déjà dénudé, alors qu’il se redresse. La fenêtre est trop haute. Elle redescend de la chaise, et se penche sur la serrure. Elle plaque son œil au trou, et découvre une autre partie du spectacle : sa maîtresse est à quatre pattes sur son lit, dépoitraillée, les jupes relevées sur ses hanches. Blanche admire sa croupe ferme, ses hanches encore fines ; ses gros seins, qui pendent entre ses bras, ont des gros bouts gonflés. Mme de Valençon se tourne vers son valet debout derrière elle. Blanche ne voit d’abord que son sexe, dressé entre ses mains. Elle n’a pas encore une longue expérience des sexes masculins, mais elle ne peut s’empêcher d’écarquiller les yeux. Elle n’en a encore jamais vu pénis aussi imposant. Parcouru de grosses veines et couronné d’un magnifique gland rose et luisant, il semble palpiter d’une vie propre. Le valet les caresse lentement, décalotte son gland, caresse ses couilles, puis commence à frotter sa bitte sur les fesses de sa maîtresse. Partagée entre la peur d’être surprise et le désir d’observer le spectacle, Blanche sent qu’elle commence à mouiller. Toujours penchée sur le trou de la serrure, elle relève ses jupes sur sa taille, et cherche sa fente humide. Ses doigts trouvent rapidement le chemin de son bouton déjà gonflé. Elle commence à se masturber. Dans la chambre, Mme de Valençon se tortille sur son lit comme pour mieux exciter son valet : elle ondule des hanches, se caresse les fesses. Blanche devine qu’elle commence à se caresser entre les cuisses. Le valet frotte le bout de son gland entre ses fesses, Blanche le voit ensuite s’enfoncer progressivement dans le sexe de sa maîtresse. Il saisit sa partenaire par la taille pour l’attirer sur son pieu dressé, et la pénétrer jusqu’au fond. Mme de Valençon grogne de la satisfaction de se sentir pleinement comblée.



Blanche est fascinée par le spectacle du gros pénis qui entre et sort du sexe de sa maîtresse. Le valet augmente progressivement le rythme et l’ampleur de ses pénétrations. Bientôt, il cogne de son bas-ventre les fesses de sa maîtresse. Ses gros seins oscillent en rythme, ses fesses tremblent à chaque coup de queue, pendant qu’elle pousse des gémissements particulièrement explicites.


Blanche se masturbe de plus en plus fort. Elle s’accroupit, les cuisses ouvertes. De sa main gauche, elle écarte les lèvres de son sexe, et de son index droit elle alterne les attouchements de son bouton et les pénétrations de son étroit vagin. Soudain, elle sursaute. Quelqu’un a posé la main sur son épaule. Elle se retourne, effrayée, et découvre que Élodie est derrière elle ; elle rougit jusqu’à la racine des cheveux.




* * *




Cela fait un moment qu’Élodie observe la jeune Blanche penchée sur le trou de la serrure. Elle sourit en se remémorant ses débuts au service de Mme de Valençon : elle aussi a découvert les joies du sexe en écoutant aux portes et en épiant les ébats de sa maîtresse. Elle aussi s’est souvent caressée en la regardant se faire donner du plaisir. Elle se revoit à cet endroit même, découvrant sa maîtresse léchant le sexe de son amie Mme de Marans, ou encourageant le cocher à chevaucher la lingère. Maintenant, c’est à la jeune Blanche de découvrir à son tour la créativité et l’imagination de sa maîtresse. Elle observe un instant la jolie croupe blanche aux fesses dodues, les doigts fins et agiles qui s’immiscent dans la fente du sexe gonflé. Visiblement, la jeune Blanche s’excite de ce qu’elle voit, et prend son plaisir. La voir ainsi les reins cambrés et le cul en l’air, en train de se masturber déclenche immédiatement une pointe de désir. Lorsque Blanche s’accroupit, Élodie se décide à intervenir. Elle s’avance, et interpelle la jeune fille, qui se relève et se retourne sur elle. Elle est d’abord ennuyée et confuse : elle se croyait seule. Puis elle rougit d’avoir été prise dans cette position aussi incongrue. Elle balbutie des excuses, et implore Élodie de ne rien dire à Madame.


Élodie lui ordonne de s’approcher. Docile, la jeune servante s’exécute. Élodie se plaque contre elle, et sans hésiter, glisse sa main sous sa jupe, remonte entre ses jambes. Blanche a beau serrer les cuisses, Élodie est plus rapide, et a déjà plaqué sa main sur son sexe chaud et humide. Elle sent sous ses doigts la vulve presque glabre, palpitante, poisseuse de désir. Elle résiste difficilement à l’envie de la caresser, de la pénétrer, de la doigter là, au milieu du couloir, excitée par le risque de se faire surprendre. Mais elle réussit à ne pas pousser plus loin l’exploration. Lorsqu’elle retire sa main, Blanche semble presque la supplier de n’en rien faire. Mais elle retrouve un reste de pudeur quand Élodie saisit sa chemise, en écarte les pans pour lui dénuder la poitrine. Elle tente bien d’empêcher Élodie, mais celle-ci, autoritaire et décidée, n’a cure de ses protestations silencieuses et de ses tentatives vaines de résister. Élodie est ravie du spectacle. Blanche a de très gros seins, plus gros encore que les siens ! Ils ont la fermeté et l’arrogance de la jeunesse. La peau laiteuse est si délicate qu’on devine la trace bleutée des veines. Les mamelons roses et gonflés sont dressés d’excitation. Élodie ne peut s’empêcher de plaquer ses mains sur ces appâts magnifiques, et d’en soupeser le poids. À peine touche-t-elle les bouts, que la jeune Blanche se détend et se laisse aller. Serait-elle sensible des tétons ? Il suffit à Élodie de les pincer légèrement pour provoquer chez la servante un gémissement qu’elle tente d’étouffer comme elle le peut. Élodie la force alors à se tourner, lui maintient les bras dans le dos, et la pousse vers la porte de la chambre, les nichons à l’air et la face rouge de honte.




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À quatre pattes sur son lit, Madame de Valençon cambre les reins pour mieux se faire pénétrer par son ardent valet. Elle aime se faire prendre ainsi, le cul en l’air, ses gros seins balançant au rythme des coups de queue de son partenaire qui vient buter contre ses fesses. Le sentiment de se comporter comme une chienne en chaleur confère à son coït avec son serviteur une dimension additionnelle : elle se laisse pour un instant dominer, avant de reprendre son rôle de maîtresse. Tout à son plaisir, elle savoure les va-et-vient de cette queue longue et épaisse, qui pénètre son sexe poisseux jusqu’au fond. Elle va bientôt se branler le bouton, pour se faire venir : elle adore jouir avant l’homme qui la prend, pour redevenir ensuite maître de la situation et décider du moment et de la manière dont elle le mènera à répandre sa semence.


Quand la porte s’ouvre sur la jeune servante dépoitraillée, le bref sentiment de contrariété qu’elle éprouve de se voir interrompue en plein coït laisse vite la place à la curiosité. Elle se redresse puis s’assied sur le lit, laissant son valet à genoux, sa bite palpitante dressée dans le vide. Élodie pousse Blanche en avant, en lui tenant les poignets derrière le dos. Cette position confère à la poitrine de la jeune servante une arrogance encore augmentée. Décidément, elle ne s’est pas trompée sur sa sensuelle beauté lorsqu’elle l’a prise à son service. La jeune fille la regarde avec des yeux emplis de frayeur et de honte : elle appréhende la réprimande que ne va pas manquer de lui infliger sa maîtresse pour l’avoir épiée à travers la serrure.



Élodie est ravie d’obéir à sa maîtresse. Elle ôte la chemise de Blanche, non sans prendre soin de lui toucher au passage le bout des seins. Puis elle lui ôte ses jupes. La jeune servante est maintenant nue, gênée de son corps pourtant superbe. Elle se laisse attacher les poignets sans broncher. Sans la quitter des yeux, Madame de Valençon a pris la queue du valet, et la branle doucement pour lui maintenir sa vigueur. Elle remarque que Blanche ne peut détacher son regard de ce pénis arrogant. Il est si épais que sa main a peine à enserrer. À chaque mouvement de va-et-vient, elle décalotte le gland, rose et luisant de sa propre mouille. Mme de Valençon ordonne à Élodie de laisser Blanche seule à l’entrée de la pièce et de les rejoindre sur le lit. Ses bras noués derrière le dos, la jeune servante est superbe dans sa nudité sans défense. Ses seins énormes sont rendus encore plus arrogants par la cambrure de sa position. Timide, elle serre les cuisses, mais ne peut dissimuler sa jolie chatte gonflée couverte d’un fin duvet blond. Mme de Valençon écarte les cuisses et commence à se caresser le sexe. Elle prend plaisir à discerner chez la jeune fille le combat que se livrent la pudeur et l’intérêt.





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Jean ne débande pas. Sa maîtresse est experte dans l’art de maintenir une queue en érection pendant des heures, sans aller jusqu’à lui faire cracher son jus. Mais dans la situation présente, point n’est besoin qu’elle le branle pour que son pieu reste dressé : il a rarement vu situation plus excitante : une jeune soubrette, encore pucelle peut-être, surprise en flagrant délit de masturbation, obligée de regarder sans y participer comment une nymphomane va se faire prendre. Baiser sa maîtresse a toujours été une expérience exaltante. Le faire en présence de la jeune Élodie, qui ne manque pas non plus d’entrain pour le sexe, et devant la jeune Blanche dont les gros seins l’ont subjugué dès le premier jour, augmente encore son excitation. Lorsqu’il voit Élodie se laisser tomber entre les cuisses de sa maîtresse, et commencer à lui caresser la prune, il se penche pour ne rien perdre du spectacle. Élodie se tient un peu sur le côté, pour que la jeune Blanche puisse voir comment elle s’y prend. Elle masse d’abord doucement la vulve gonflée, puis elle écarte les grandes lèvres pour dégager le clitoris turgescent. Elle tient les lèvres largement écartées, et darde sa petite langue pointue dans la fente poisseuse, remonte vers le bouton dressé, replonge dans la fente, farfouille dans tous les replis de sa moule odorante. Jean meurt d’envie de replonger sa queue dans cette fente chaude et humide. Voir maintenant Élodie y plonger le nez l’excite au plus haut point. Madame le branle lentement d’une main, pendant que de l’autre elle caresse son opulente poitrine. Elle fait rouler ses tétons entre ses doigts et les étire pour les faire gonfler et durcir. Elle fait rouler les globes fermes et lourds, et arrive, en les soulevant, à en lécher les bouts. Ah, ces seins ! Jean revoit sa queue aller et venir dans le sillon, son gland émerger entre ces deux nichons chauds et tremblants, son sperme jaillir en longs jets puissants et se répandre sur la poitrine, le cou, le menton de sa maîtresse. Il bande de plus belle.




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Les bras dans le dos, Blanche est fascinée par le spectacle qui se déroule sous ses yeux. Voir une femme lécher le sexe d’une autre lui fait presque plus d’effet que de se faire sucer elle-même. Il faut dire que sa collègue semble être passée experte dans l’exercice : elle alterne mouvements rapides et pénétrations profondes, varie sans cesse ses caresses, si bien que Mme de Valençon commence à gémir en ondulant des hanches. Sa jeune amie Anne n’avait pas les mêmes talents. Blanche ne sait quelle contenance prendre. Elle est gênée de sa nudité, mais la nudité des trois autres rend la sienne presque naturelle. Elle sent l’excitation la gagner : elle commence à mouiller, et sa vulve gonflée commence à s’entrouvrir. Sous ses yeux, Madame de Valençon commence à caresser les testicules de son valet. Élodie a glissé deux doigts dans sa fente trempée, et la doigte avec ardeur. Blanche observe sa maîtresse qui gémit sous les caresses. Mme de Valençon se tourne vers elle, et son regard semble la jauger. Elle se penche vers le sexe de Jean, et commence à lécher le gros gland sans la quitter des yeux. Bientôt, elle parcourt la hampe du bout de sa langue, puis commence à sucer le sexe dressé. Il est si épais qu’elle a peine à l’enfourner. Blanche est maintenant très excitée. Ses tétons sont dressés, sa vulve dégouline. Elle voudrait se toucher, mais ses poignets attachés derrière son dos l’en empêchent. Elle presse ses cuisses l’une contre l’autre. Mme de Valençon enfonce le pénis de son valet jusqu’au fond de sa bouche, sans cesser de le branler. Elle manque s’étrangler. Élodie gémit doucement. Blanche remarque qu’elle se branle, cuisses écartées devant sa maîtresse. Blanche n’en peut plus. Son clitoris gonflé exige les caresses. D’un signe de tête, sa maîtresse lui indique le fauteuil situé à droite de la porte. L’accoudoir de bois sculpté en forme de volute fera un parfait substitut. Elle écarte les jambes, se place au-dessus de l’accoudoir, plie les genoux pour presser son sexe béant sur le bois lisse. Elle savoure le contact contre son bouton gonflé. Elle perd toute pudeur, et commence à aller et venir en répandant sa mouille sur le bois.




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Élodie jette de temps à autre un coup d’œil par-dessus son épaule pour voir comment Blanche réagit à la situation. Elle comprend vite que la jeune servante n’a rien d’une oie blanche. Non seulement elle apprécie le spectacle, mais, quand elle trouve le moyen de se masturber sur l’accoudoir, Élodie comprend que sa jeune collègue cache sous des dehors innocents un instinct de jouisseuse. Sous sa langue, la fente de sa maîtresse dégouline. Elle adore le goût salé et un peu âcre de sa mouille. Son odeur puissante lui donne une irrépressible envie de se caresser. Elle taquine le clitoris érigé, gonflé de désir, et sent sa maîtresse trembler sous elle. Elle lève les yeux, pour regarder les lèvres de Mme de Valençon enserrer le pénis épais du valet. Elle sait, pour l’avoir déjà sucé elle-même, qu’il faut un certain talent pour ne pas s’étouffer. Mais sa maîtresse a tant d’expérience que le membre semble rentrer sans peine. La voir s’activer sur ce membre dressé, caresser les testicules, sucer le gland, lécher le frein, enfoncer le pénis jusqu’au fond de sa gorge est un vrai plaisir. Elle en oublie presque de sucer sa maîtresse, mais celle-ci lui plaque le visage contre son sexe béant pour la rappeler à la tâche. Elle recommence à sucer, en se plaçant de telle manière que Blanche puisse bien voir ce qu’elle fait. Elle écarte les lèvres gonflées pour révéler le clitoris palpitant de désir. Elle lèche toute la fente en tantôt délicatement, tantôt avec fougue. Elle sent Mme de Valençon prête à jouir, et suspend ses caresses : elle sait combien elle apprécier rester pendue au bord du plaisir, laisser refluer l’orgasme pour le faire revenir. Elle profite de cet instant pour se relever, et approcher sa tête de celle de sa maîtresse. Elle a envie de sucer elle aussi ce pénis tendu, de le lécher, de se l’enfoncer dans la gorge, de le branler. Mme de Valençon lui abandonne le membre, non sans exiger d’elle au passage un baiser langoureux. Élodie veut montrer à Blanche qu’elle aussi sait sucer le sexe d’un homme, fut-il aussi imposant que celui de Jean.




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Quand Élodie prend à son tour le pénis dans sa bouche, Blanche sent son désir augmenter encore, si cela se peut. Elle aussi brûle d’envie de toucher ce sexe, de le caresser, d’en sentir les palpitations, de goûter le liquide qui perle sur le gland, de palper les testicules. Mme de Valençon se tourne vers elle :



Blanche devrait être honteuse d’avoir été surprise en train de se masturber sur l’accoudoir du fauteuil. Mais elle est maintenant tellement excitée par le trio d’amants qu’elle a oublié toute gêne et toute retenue. Ses bouts de seins sont durs et gonflés. Un intense désir la taraude. Son sexe dégouline, elle sent son clitoris érigé entre ses lèvres gonflées. Elle regarde Élodie manipuler le gros sexe du valet. Malgré sa taille imposante, elle n’a aucune peine pour se l’enfoncer au fond de la gorge. Cela démontre une certaine expérience. Mme de Valençon lui caresse le dos, puis commence à lui masser les fesses. La servante cambre les reins comme une chatte en chaleur. Blanche voit la main de sa maîtresse disparaître entre les cuisses d’Élodie qui intensifie sa fellation. Quand elle commence à onduler du cul, Blanche devine que la main experte s’est introduite dans sa fente, et lui titille le bouton.




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Mme de Valençon s’active dans l’abricot juteux de sa servante. Il est brûlant et humide. Elle touche le clitoris gonflé, et Élodie commence à onduler du cul pour mieux lui témoigner son excitation et son désir de se faire pénétrer. Deux doigts rentrent sans peine. Elle les ressort trempés, et es porte à sa bouche. Elle apprécie le goût âcre de la mouille. Tout en suçotant ses doigts, elle regarde Blanche. La jeune fille est très excitée : entre ses lèvres gonflées perlent quelques gouttes de mouille. Ses bras attachés l’empêchent de se toucher. Elle est sûre que si ce n’était pas le cas, la jeune fille se masturberait avec ardeur. Elle a vraiment des gros seins, superbes. Elle lui fait signe d’approcher. Quand Blanche arrive près d’elle, elle lui caresse le téton droit. La jeune fille manque défaillir : une secousse lui parcourt tout le corps. Le bout de ses seins est gonflé de désir. Mme de Valençon discerne dans les yeux de la jeune fille le mélange de timidité, d’étonnement et de désir qu’elle s’attend à trouver chez une jeune fille douée pour le plaisir, mais encore peu expérimentée. Les réactions de la jeune fille lui montrent qu’elle a eu raison de la prendre à son service. Elle invite Blanche à la regarder replonger ses doigts dans la fente d’Élodie. Elle épie sa réaction. La jeune fille semble fascinée par la vulve trempée, les lèvres gonflées, le clitoris turgescent. Elle regarde les doigts de sa maîtresse pénétrer sans peine et faire quelques mouvements de va-et-vient. Mme de Valençon ressort ses doigts, et les présente sous le nez de Blanche. Elle comprend vite, et entrouvre ses lèvres pulpeuses. Mme de Valençon enfonce ses doigts dans sa bouche comme elle vient de le faire dans le vagin de son autre servante. Mais Blanche ne reste pas passive, et commence à sucer les doigts comme elle sucerait une bite. La petite est chaude.




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Jean regarde tour à tour ces 3 femmes faites pour le plaisir. Il est vraiment heureux d’être entré au service de Mme de Valençon. Depuis, il ne compte plus les expériences plaisantes qu’il a pu vivre au sein de cette maison de luxure. C’est la première fois qu’il voit la jeune Blanche nue, et ce qu’il voit ne le déçoit pas, au contraire. Il a toujours aimé les poitrines voluptueuses, et les mamelles de Blanche sont dignes de celles d’une nourrice. En plus, la jeune fille, qu’il croyait vierge et pudique, semble plutôt éveillée pour son âge. Elle a vite abandonné en tout cas sa pudeur, et l’excitation se lit sur son visage comme sur son corps. Élodie le suce toujours avec autant de raffinement. Elle est douée pour cet exercice : elle arriverait, si elle ne s’interrompait à temps, à le faire jouir en trois minutes, tant ses caresses sont adroites. Quand elle lui soupèse les testicules et tire sur son frein, il sent le plaisir monter entre ses reins. Mais la garce sent le moment où il va exploser, et le calme d’une pichenette pour qu’il ne lâche pas son jus. Quant à sa maîtresse, elle passe de l’une à l’autre, branlant ici, suçant là-bas, et prenant son plaisir avec chacun. Quand elle laisse la jeune Blanche sucer ses doigts empreints de la mouille d’Élodie, il pense qu’elle va d’un instant à l’autre lui ordonner de s’accroupir et de la lécher. Au lieu de cela, il voit qu’elle passe sa main entre les cuisses de la jeune fille, qui a un mouvement spontané pour les écarter et faciliter l’accès à son sexe poisseux. Mme de Valençon passe ses doigts sur la moule presque glabre, les introduit dans la fente, les ressorts luisants de mouille. Elle oblige la jeune fille à sucer sa propre mouille. Puis elle s’accroupit entre les cuisses de la jeune fille, écarte ses lèvres, et darde sa langue habile vers le bouton gonflé. Blanche, les bras attachés derrière le dos, cambre le dos et avance son bassin pour faciliter à sa maîtresse l’accès à son sexe brûlant. Jean admire son corps souple, son abdomen musclé, et sa motte gonflée. Il en oublierait presque qu’il se fait sucer par Élodie, si celle-ci ne l’abandonnait pas à ce moment pour regarder elle aussi sa maîtresse prendre possession de la jeune Blanche.




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Blanche manque défaillir, elle ne peut empêcher tout son corps tendu de désir aller au-devant de la langue de Mme de Valençon. Elle sent cette langue passer sur ses lèvres gonflées, s’insinuer dans sa fente, chercher son bouton, le titiller sans pitié, s’enfoncer dans son sexe. Quand elle commence à sucer, elle pense qu’elle va exploser ; mais en vraie experte, sa maîtresse arrête de la sucer dès qu’elle sent qu’elle pourrait jouir. Blanche a perdu toute honte et toute gêne. Elle regarde Élodie sucer le gros membre de Jean, et cela l’excite encore davantage. Elle voudrait prendre sa place, emboucher ce pieu palpitant, l’enfoncer au fond de sa gorge, le sucer avec toute l’ardeur qu’il faut pour le faire exploser et déverser son jus. Elle pourrait montrer, si on lui en donne l’occasion, qu’elle aussi sait sucer un pénis. Quand Élodie arrête de sucer la verge, celle-ci se dresse arrogante et gonflée. Quand Jean commence à se masturber en la regardant, elle soutient son regard avec arrogance, comme pour le défier de lui enfiler cette bitte au plus profond de son con. Élodie s’est levée, et passe derrière Blanche. Elle la sent tout contre elle, se collant contre son dos. Elle sent ses gros seins se frotter contre ses bras attachés. Puis elle sent ses mains se plaquer sur ses seins, et commencer à les masser vigoureusement. Ses seins sont très sensibles, les bouts sont extrêmement gonflés par le désir. Les attouchements de sa compagne la rendent d’autant plus folle que me de Valençon continue à la titiller le clitoris. Quant à Jean, il se branle lentement en les regardant toutes les trois, puis se lève et vient se placer derrière Élodie. Blanche ne le voit plus, mais quand elle sent Élodie s’agiter dans son dos, elle devine que le valet a décidé de l’enfiler par derrière. Elle sent le souffle de la servante dans ses oreilles, cela la fait frissonner. Bientôt, Élodie gémit doucement, tout en massant de plus belle ses gros nichons. Chaque coup de queue du valet la déséquilibre, elle s’écrase contre son dos. Blanche arrive, en se tordant les poignets, à donner un peu de liberté à ses doigts. Elle arrive à finalement à toucher le pubis de sa collègue, à lui palper la moule, et même à glisser un doigt dans sa fente. Élodie exprime sa satisfaction par des gémissements renforcés.




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Mme de Valençon est heureuse de voir la tournure des événements. Cette jeune prune est vraiment juteuse à souhait. Mais elle veut maintenant qu’on s’occupe à nouveau d’elle : elle a la chatte brûlante, et ces trois domestiques sont après tout là pour la satisfaire. Elle se met à quatre pattes sur le lit, et donne ses instructions : Jean doit la prendre en levrette, pendant qu’Élodie se placera tête-bêche pour lui sucer le bouton. Quant à Blanche, elle la laisse volontairement sur le côté : elle est curieuse de voir comment elle réagira à la situation. Élodie ne se fait pas prier. Elle se glisse sous elle, lui enserre la taille, et commence immédiatement à la sucer. Jean vient se placer, et lui caresse un instant les fesses du bout de son sexe. Il le fait passer sur sa fente, la taquine un peu. Puis il obéit à sa maîtresse en lui enfonçant d’un coup son gros pénis jusqu’au fond du vagin. Il commence à la baiser lentement, avec des mouvements profonds qui lui écartèlent le sexe. La langue agile d’Élodie complète son plaisir en excitant son clitoris. Quand les mouvements de Jean commencent à s’accélérer, ses gros seins commencent à balancer en rythme. Elle adore cette sensation. Elle se penche un peu, pour que les bouts de ses seins frottent sur la peau douce de sa servante. Elle les regarde un instant s’agiter. Quand elle relève la tête, elle voit que Blanche s’est approchée du bord du lit. Le montant du lit est surmonté d’une boule de bois poli. La garce se hisse sur la pointe de ses pieds, et frotte sa fente poisseuse sur la boule déjà luisante de mouille. Cette petite est délicieuse. Elle encourage alors son valet à la prendre encore plus fort. Jean s’y prête de bon cœur. Élodie abandonne de temps en temps la fente de sa maîtresse pour lui lécher les testicules, pour lui lécher le sexe, pour les lécher tous les deux ensemble. Quand la diablesse, commence à lui caresser les fesses, Mme de Valençon lui demande de s’occuper de sa rosette. Jean ressort sa bite et la fait glisser entre ses fesses pour la lubrifier, et replonge dans sa motte pour laisser la place aux doigts agiles d’Élodie. Mme de Valençon sent ses mains écarter ses fesses, se glisser vers l’œillet sensible. Un doigt le pénètre sans peine, s’enfonce. Elle croit défaillir, tant elle jouit de cette pénétration. Excité par le spectacle, Jean accentue encore sa pénétration. Le doigt d’Élodie va-et-vient maintenant de plus en plus vite. Elle va jouir. Elle sent le plaisir monter, irrépressible. Elle ondule des hanches, gémit sans retenue, et encourage ses domestiques à la pénétrer plus fort. Quand Élodie lui enfonce un second doigt dans le cul, elle ne peut plus retenir son orgasme, et s’écroule en tremblant. Jean n’a pas encore joui. Sans qu’elle ait besoin de lui en intimer l’ordre, comme s’il avait compris le souhait de sa maîtresse, il se relève et s’approche de Blanche. La jeune servante est arrivée à s’enfoncer la boule du montant dans la fente, et se masturbe sur ce substitut phallique. Jean se met debout sur le lit, il se branle le sexe juste au-dessus de ses énormes seins tremblants. Au bout de quelques instants, un premier jet de sperme s’écrase sur sa poitrine. Les suivants, puissants et abondants, lui maculent le cou jusqu’au menton. La jeune servante ouvre la bouche. Elle jouit à son tour au moment même où Jean lui lâche une dernière rasade de semence sur la langue. Élodie se redresse. La jeune Blanche semble épuisée. Les bras toujours entravés, elle manque perdre l’équilibre. Élodie la retient, la fait redescendre de son gode improvisé, et commence à lécher le sperme qui lui macule la poitrine. Mme de Valençon, qui aime aussi le goût du sperme l’écarte pour terminer le travail, non sans titiller une dernière fois les tétons dressés de sa servante. Puis, satisfaite, elle autorise Élodie à délier Blanche. Elle s’allonge sur le lit, invite Blanche à se coucher à côté d’elle. Et, commençant à lui caresser la poitrine :