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Temps de lecture estimé : 15 mn
08/09/08
Résumé:  Où la jeune Caroline découvre l'art...
Critères:  ff ffh inconnu grosseins soubrette exhib cunnilingu pénétratio fdanus historique -historiqu -hff
Auteur : Ben      

Série : A la Cour du Roi Soleil

Chapitre 11
La pose

C’est la première fois que Caroline pénètre dans l’atelier d’un peintre. La première chose qu’elle remarque, c’est la luminosité douce qui l’inonde : une grande verrière laisse entrer la lumière tout en filtrant les rayons directs du soleil.


Les murs disparaissent sous des centaines de toiles, certaines achevées, d’autres manifestement en cours de réalisation, d’autres encore totalement vierges.


Au centre de la pièce, une espèce de podium a été installée. Face au podium, un chevalet encore vide, une petite table où sont posés une canne à pommeau d’ivoire, des pinceaux, des couleurs et une palette usagée, semblent attendre l’artiste.


Caroline est un peu impressionnée par la situation. Le peintre sera-t-il assisté de quelque aide pour lui préparer ses couleurs et ses ustensiles ? La servante qui l’a fait monter jusqu’ici restera-t-elle auprès d’elle pour l’aider à prendre la pose ? Et surtout, comment est ce peintre de renom ? On le dit très beau, et plaisant dans ses propos. Se révèlera-t-il à la hauteur de sa réputation ?


La servante l’invite à s’asseoir sur le podium pour patienter, puis s’éclipse. Caroline est curieuse, et n’hésite pas à se relever pour aller examiner de plus près les toiles posées contre le mur.


Il y a beaucoup de portraits, et de scènes de genre comme elles sont à la mode à la cour. Mais Caroline ne met pas longtemps à découvrir, parmi ces toiles charmantes mais anodines, quelques autres toiles qui lui rappellent immédiatement celles qu’elle a découvertes chez Madame de Marans : des scènes de genre certes, mais d’un genre bien particulier, puisqu’elles mettent en scène sans pudeur aucune des personnages nus et sensuels.


Certains tableaux vont bien au-delà de la simple représentation de la nudité. Des hommes et des femmes y sont dépeints en train de s’adonner à des plaisirs solitaires, en train de copuler dans toutes sortes de positions et toutes sortes de situations. Caroline sent déjà son sexe se liquéfier : elle ne peut réprimer l’excitation qui la gagne chaque fois qu’elle voit des corps nus, fût-ce en peinture.


En y regardant de plus près, elle reconnaît sur certaines toiles la servante qui lui a ouvert la porte. La jeune fille est bien séduisante, débarrassée de ses attributs de soubrette : un corps menu et svelte, de longs cheveux qui, dénoués, se répandent sur ses reins, des petits seins dressés couronnés de gros tétons roses, et un petit cul rond à croquer. Le peintre l’a-t-il dépeinte d’après nature, ou selon ses fantasmes ? Le visage est très réalistement dessiné, mais le corps est-il aussi désirable en réalité qu’il l’est sur la toile ? Caroline est très excitée. Elle remet les toiles en place, et se promet de trouver la réponse à cette question.


À peine a-t-elle repris sa place sur le podium, que la porte s’ouvre. La servante apporte une carafe de vin et deux verres sur un plateau. Caroline a le temps de la dévisager pendant qu’elle verse le vin. Elle a une bouche très sensuelle : elle passe le bout de sa petite langue agile sur ses lèvres roses et pulpeuses. Concentrée sur sa tâche, elle ne remarque pas que la Caroline détaille sans vergogne ses petites oreilles, son cou fin, ses mains élégantes, ses seins durs dont on aperçoit le galbe par l’échancrure de sa tunique entrouverte. Elle tend le verre à Caroline, qui trempe ses lèvres. La servante prend aussi un verre, et en vide la moitié.



Caroline sent le vin lui monter à la tête. Elle a un instant hésité avant de demander à Marie de lui verser un second verre, mais elle est toujours excitée par la vision des toiles qu’elle a découvertes au fond de l’atelier : elle imagine la jeune femme nue prenant la pose. Qui sait, un second verre de vin ne peut que libérer des instincts.



Caroline l’attire vers elle, écarte l’échancrure de sa robe et tire sur le tissu pour dévoiler un joli petit sein ferme et arrogant. La jeune servante se laisse faire en riant. Manifestement, elle aime la provocation et le jeu. Le téton est rose et gonflé, arrogant. Caroline le touche du bout de son index. La jeune fille rit, émet un petit grognement de satisfaction.



Caroline regarde avec intérêt la jeune fille se relever, dénouer sa robe, et la laisser tomber à ses pieds. Elle comprend l’intérêt du peintre. Elle retrouve la silhouette qu’elle a vue sur les tableaux, mais alors que, souvent, les peintres embellissent la réalité, dans le cas de Marie, la réalité dépasse en beauté et en sensualité l’image qu’il en a dépeinte. Elle lui tourne le dos ; la silhouette est fine, quoique riche de courbes. Le petit cul est rond et ferme, les jambes fuselées.


Quand elle se retourne, aucune pudeur dans ses gestes. Elle semble plutôt fière de se montrer nue. Ses petits seins dressés sont ravissants. Le ventre est plat, la taille fine, et le pubis proéminent presque glabre… Elle sourit.



Mari s’approche, s’accroupit près de Caroline. Quand Marie fait mine de lui ôter ses escarpins, elle résiste un peu pour donner du piment au jeu. La jeune servante saisit sa cheville et l’immobilise.

Elle est forte. Elle ôte l’escarpin, non sans effleurer avec un peu trop d’insistance le pied et le mollet. Ses mains remontent sous les jupons, caressent les bas fins. Caroline frémit sous la caresse. La jeune servante arrive à ses cuisses, ses doigts habiles détachent les bas, les descendent.


Caroline résiste encore un peu en serrant les cuisses, tout en attendant avec impatience que les mains de la servante se glissent jusqu’à son entrejambe. Habile, Marie évite cependant d’aller trop vite. Elle brandit les bas qu’elle a réussi à lui ôter, les laisse tomber à leurs pieds, et se glisse derrière Caroline pour défaire le lacet de son corsage.


Caroline fait mine de se débattre, mais la servante a tôt fait de dénouer et de desserrer les liens. Le corset s’ouvre, libérant ses gros seins tremblants. Marie regarde, fascinée, les tétons durs et dressés qui couronnent les mamelles opulentes. Caroline est habituée à voir les gens étonnés par le volume de ses gros seins et leur fermeté.

Marie ne fait pas exception, et ne peut s’empêcher de tendre la main pour les toucher. Caroline la laisse en soupeser le poids, en éprouver la fermeté et la douceur de la peau, en titiller les bouts dressés.


Les caresses de la jeune servante l’excitent. Elle la saisit à la nuque, la force à se pencher sur elle et à l’embrasser sur la bouche. Elle a les lèvres fraîches et la langue agile. Elle s’allonge à côté de Caroline, et sans cesser de l’embrasser, continue à lui caresser les seins.

Caroline fait de même, et taquine les tétons dressés de la jeune servante. Ses petits seins durs tiennent en entier dans sa main, les bouts très gonflés trahissent son excitation. Les deux nouvelles amies poursuivent leur séance de baisers, rivalisant de sensualité et d’imagination pour s’exciter l’une l’autre.


Caroline mouille abondamment. Elle glisse sa main vers l’entrejambe de sa conquête, et constate avec bonheur que sa petite chatte gonflée dégouline déjà. Son index glisse dans la fente poisseuse, trouve tout de suite le clitoris érigé. La jeune fille gémit en écartant les cuisses. Cette petite est décidément très chaude.



Caroline la repousse, et entreprend d’ôter ses jupons. Marie en profite pour remplir les verres de vin. Quand elle revient, Caroline est nue. Elle l’attend, allongée, les cuisses écartées. Sa jolie chatte est gonflée par le désir. Les signes de son excitation perlent sa fente d’éclats luisants. Marie s’approche, s’accroupit entre ses jambes. Elle pose une main sur sa cuisse frémissante, laisse glisser ses doigts vers l’entrejambe et déclenche chez Caroline des frissons de désir.


Elle a posé un verre de vin près de la tête de Caroline. Elle prend l’autre verre, et laisse tomber quelques gouttes de liquide sur le ventre tendu de la jeune maîtresse. Le vin dégouline vers la toison. Une goutte s’immisce jusqu’à la fente. La jeune servante darde la langue, et vient cueillir la goutte avant qu’elle ne pénètre la vulve.

Elle verse un peu plus de vin. Il coule cette fois jusqu’au sexe, inonde la fente. La jeune fille darde à nouveau la langue, et lèche le liquide à même le sexe. Sa petite langue frétillante pénètre dans la fente, lèche les replis de peau.


Marie apprécie le goût mêlé du vin et de la mouille. Son habileté trahit son expertise : ce n’est pas la première femme qu’elle lèche. Caroline se laisse aller à son plaisir. L’alternance des sensations l’excite : le vin froid qui coule entre ses lèvres jusqu’à ses fesses, la langue chaude qui s’immisce partout, les doigts qui commencent à lui palper et lui écarter les lèvres. Elle ondule des hanches, et commence à se caresser les seins. Elle sourit à la jeune fille qui s’affaire entre ses cuisses, puis ferme les yeux.


Les doigts de Marie commencent à se faire plus envahissants. Ils pénètrent son sexe, taquinent son bouton, étirent ses lymphes. Marie écarte les cuisses. Soudain, une caresse sur son ventre. Surprise, elle ouvre les yeux. La jeune fille s’est emparée d’un pinceau épais, aux poils longs et doux, et le passe sur sa peau. La caresse est douce, très excitante. Quand le pinceau se dirige vers le bout de ses seins, elle croit défaillir, tant son excitation est intense. Elle sent ses tétons durcir et gonfler encore un peu plus. Quand le pinceau descend vers son bas-ventre, elle se cambre. Le pinceau parcourt sa peau, déclenche des frissons intenses, et exaspère son excitation.


Marie fait durer le plaisir, prend son temps pour parcourir l’intérieur des cuisses, l’aine, la hanche, remonte vers les seins, redescend… Quand le pinceau arrive sur son sexe, la sensation est étrange. Marie ne le fait pas pénétrer. Elle se contente de caresser les lèvres gonflées.



Sans la prévenir, Marie lui glisse alors le manche verni d’un autre pinceau dans la fente. Elle ne fait d’abord que caresser le sexe du bout arrondi. Cela exaspère Caroline qui voudrait le sentir sur son clitoris, et au plus profond de son vagin. Elle la supplie :



Marie s’en donne à cœur joie : elle suce, branle, caresse et lèche. Elle fait aller et venir le manche du pinceau dans la chatte béante en variant les rythmes et les mouvements de façon si experte que les gémissements de Caroline deviennent bientôt cris de plaisir. Quand elle prend un second pinceau, et le glisse sur l’intérieur de ses cuisses, Caroline soulève son bassin, pose ses mains sur ses fesses et les écarte pour que Marie puisse le glisser jusqu’à son anus.


L’invitation est explicite.

Marie passe le bout du pinceau sur son sexe pour l’enduire de jus. Caroline la supplie. Quand Marie présente le bout du pinceau contre sa rosette, Caroline n’y tient plus. Elle s’empare du pinceau, et se l’enfonce elle-même dans ses tréfonds. Elle rue et gémit. Les deux pinceaux lui labourent les orifices et lui procurent un intense plaisir. Elle se redresse, se met à quatre pattes, cambre les reins, le pinceau fiché dans son cul et les seins douloureux.



Caroline n’en peut plus. Elle s’enfonce le manche du pinceau dans l’anus, tandis que Marie lui pénètre la chatte. De son autre main, elle se caresse les seins, et en pince les bouts. Très rapidement, elle ne peut plus retenir l’orgasme qui la submerge. Elle crie son plaisir, puis s’écroule, tremblante et pantelante.


Peu après, Marie la caresse doucement pendant qu’elle reprend ses esprits. C’est à ce moment que le peintre fait irruption dans l’atelier. Caroline se précipite pour se voiler avec sa robe. Le peintre la rassure :



Sans perdre un instant, il prend un chevalet, y pose une grande feuille de carton, et prend ses fusains. Il croque les deux amantes à grands coups de fusain rapides, ses gestes sont précis, efficaces. Caroline est un peu intimidée au début. Comme elle est allongée là, la cuisse de Marie sur la sienne, la main de Marie sur son sein, elle révèle au peintre l’obscénité de son sexe ouvert. Cela semble ravir l’artiste, qui sourit dans sa moustache.


Il ne manque pas de s’interrompre par moment, pour mieux contempler la scène qu’il croque. Il est visiblement excité par autre chose que la passion artistique : il semble à Caroline qu’une bosse révélatrice commence à gonfler ses chausses. Caroline peine à garder la pose. La main de Marie remue insensiblement sur son téton, et elle sent que l’excitation la gagne à nouveau. La jeune fille, qui doit être familière de ce genre de situation, interpelle son maître :



Marie regarde Caroline d’un air suppliant. Elle se relève, et s’accroupit à hauteur de son visage. Caroline regarde le jeune sexe gonflé, rouge d’excitation. Elle ne peut s’empêcher de le toucher. Marie grogne de plaisir. Caroline glisse un doigt dans la fente humide.

Le peintre ne se contente pas de se servir un verre de vin. Il se dénude aussi. Occupée à titiller le bouton de sa jeune partenaire, Caroline ne le voit pas s’approcher.


Mais quand il se place derrière Marie et commence à caresser ses petits seins dardés, Caroline ne peut plus ignorer ce qui va se passer. Les doigts fins de l’artiste effleurent les tétons gonflés, les titillent et les pincent gentiment. Marie passe sa main derrière elle, et saisit le sexe du peintre déjà érigé. Caroline est surprise par la taille et la grosseur du gland, rose et luisant. La hampe est épaisse et longue, les testicules gonflés et pleins de la promesse d’une bonne giclée.


Les mouvements habiles de la petite main de Marie sur le gros sexe dressé arrachent au peintre ses premiers gémissements de plaisir. Caroline branle maintenant Marie avec ardeur, et la jeune servante ondule des hanches pour marquer son plaisir. Le peintre se déplace pour venir juste derrière elle. Il glisse son pénis entre ses cuisses, et vient en frotter le bout contre sa fente. Que peut faire Caroline, sinon le prendre en main pour le guider vers le jeune vagin ?


Caroline est émue par la taille et la grosseur du sexe. L’envie de s’en faire pénétrer est très forte, mais pour l’instant, c’est la jeune servante qui en profite en se laissant retomber sur le pieu dressé pour l’enfoncer au plus profond de son sexe. Le gros pénis dilate la petite moule poisseuse, mais pénètre sans difficulté. Marie commence à aller et venir elle-même, en implorant le peintre de continuer à lui peloter les seins, et Caroline de continuer à lui caresser le bouton.


Elle gémit très expressivement. Sans doute la séance de pose l’a-t-elle excitée davantage que Caroline l’aurait cru. Le clitoris palpite. La jeune fille commence à psalmodier son désir, et implore son maître de lui défoncer la chatte au plus profond. Mais très vite, elle n’en peut plus et laisse éclater sa jouissance. Son orgasme lui fait perdre l’équilibre, et elle s’écroule vers Caroline. Celle-ci l’embrasse à pleine bouche avec passion.


L’artiste toujours aussi excité se retrouve le sexe dressé. Caroline concentre ses regards sur le gland turgescent, sur la hampe veinée, sur les testicules gonflés. Elle porte les mains à son pubis, et écarte les lèvres de sa vulve de manière non équivoque. Pas besoin de mots.

Le peintre s’avance, et lui enfonce d’un coup son pieu dans la fente. Il est gros et dur, Caroline savoure la sensation de se sentir remplie. Il commence à aller et venir à grands coups de reins, elle l’accompagne en ondulant du bassin. Marie, qui a repris ses esprits, l’embrasse goulûment, tout en commençant à lui titiller le clitoris. Caroline savoure sa jouissance et laisse s’exprimer toute sa sensualité dans ses gémissements.


Le peintre se retire de son sexe, et la force à se retourner et à se mettre à quatre pattes. Il la prend à la taille, et l’empale sur son membre. Il recommence à aller et venir, faisant claquer son abdomen contre les fesses tremblantes de la jeune fille.


Marie vient l’embrasser sur la bouche, avant de revenir vers Caroline pour lui baiser à nouveau les lèvres. Sa petite langue ardente cherche celle de Caroline, l’agace et la fouille de manière très excitante.


Caroline exprime sa satisfaction en lui rendant des baisers fougueux. Marie se penche pour regarder les gros seins de Caroline osciller en rythme. Le spectacle de ces nichons tremblants la fascine. Elle tend la main, et saisit le bout du sein droit entre son pouce et son index. Il est dur, gonflé. Quand elle le fait rouler entre ses doigts, Caroline pousse un petit cri. Marie le pince doucement, et Caroline gémit.


Le peintre accélère ses coups de boutoir. Il saisit la chevelure de Caroline, et les tire vers lui. Il force Caroline à cambrer ses reins, et la pénètre au plus profond. Il la prend sans ménagement maintenant, presque violemment. Les cheveux tirés en arrière, le dos cambré, Caroline trouve un certain plaisir à se faire prendre à la hussarde. Marie s’en rend bien compte.


Elle se met à genoux à côté de son maître, et assène une petite claque sur la fesse droite de Caroline. Comme cela semble décupler son excitation, elle recommence, plus fort cette fois. Bientôt, elle alterne les fessées sur le joli cul de la visiteuse. Ses fesses s’échauffent et rougissent. Caroline n’y tient plus.


Elle passe sa main sous elle, et se touche le bouton pour déclencher un orgasme violent. Le peintre n’en peut plus non plus. Il sort son gros sexe. La servante le prend en main, le branle deux ou trois fois, et une longue giclée de semence se répand sur les fesses et le dos de Caroline. D’autres giclées plus faibles la suivent, que Marie a le temps de diriger vers sa bouche.


L’abondance du sperme ne lui permet pas de tout retenir dans sa bouche : du liquide s’échappe aux commissures de ses lèvres. Caroline s’est écroulée sur le côté, et regarde la jeune servante en souriant. Marie s’approche, se penche sur elle. Caroline entrouvre les lèvres, et Marie laisse couler le foutre de sa bouche pour qu’elle puisse en avoir sa part. Puis les deux femmes s’embrassent, mêlent leurs langues et se délectent du liquide âpre et chaud. Le peintre s’est déjà relevé, et s’est campé, nu, face à son chevalet, pour faire une nouvelle esquisse des deux femmes enlacées.