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Thomas

Cela faisait maintenant trois mois que Olivier, Jean-Pierre et Emma vivaient une histoire d’amour pourrait-on dire « spéciale ». Ils faisaient l’amour à trois ou à deux, variant les couples et les plaisirs au gré de leur fantaisie. Mais Emma vivait mal cette relation à trois. Ses deux partenaires, eux, étaient aux anges. Un soir que les deux hommes étaient partis dîner en ville, la jeune femme était assise sur la terrasse du dispensaire, profitant de la moiteur nocturne un peu lourde dans ce pays où le taux d’humidité dépasse les 80%. Elle regardait la forêt alentour, qui formait comme une barrière protectrice. Les cris des différents habitants de la jungle guyanaise étaient comme une musique au rythme régulier.

Emma aimait à se laisser aller à des pensées coquines, en osmose avec la nature. Elle imaginait des scénarii des plus romantiques aux plus tortueux. Elle rêvait de connaître l’amour avec un homme noir. Pourtant, malgré les beaux spécimens qui peuplaient le pays, elle n’avait jamais été vraiment attirée « sexuellement parlant » par l’un d’eux.

Elle fut tirée de ses pensées par l’arrivée d’un de ses aides. Un grand noir, aux yeux verts et à la musculature bien dessinée sous ses vêtements collants. Elle appréciait énormément sa compagnie, il était d’une gentillesse sans pareille. Pourtant, elle n’était pas attirée par lui, bien qu’il ait un charme certain.

• — Bonsoir Emma, je venais vous dire que la température du petit Henry était retombée et qu’il paraît en meilleure forme.
• — Je te remercie Thomas, fit-elle la voix fatiguée. Viens t’installer avec moi pour bavarder un peu si tu veux.
• — Avec plaisir.

Il attrapa au vol un verre et la bouteille d’eau, offrit un verre à la jeune femme et sirota tranquillement. Un silence lourd s’établit entre eux, et commença à angoisser la jeune femme. Elle ne savait pas pourquoi, mais il y avait comme une tension entre eux, alors qu’ils n’avaient aucun problème particulier. Elle sentit son regard se poser sur elle et frissonna comme s’il l’avait touchée.

Elle se tourna vers lui, offrant en retour un sourire un peu crispé. Mais lui, la regardait droit dans les yeux, comme s’il voulait lui faire passer un message. Mais la jeune femme restait muette, comme consentante d’une chose qu’elle ignorait. Il s’approcha d’elle et déposa un baiser aussi léger qu’une plume sur ses lèvres. Tant de douceur mit le feu dans le corps de la jeune femme. Se levant, elle vint s’installer sur les genoux du jeune homme, constatant ainsi le désir qu’il avait envers elle.

Un peu intimidée, elle déposa à son tour un baiser un peu plus fort sur les lèvres charnues. Ce fut alors le déclic qui enchaîna une pluie de plaisir. Il ouvrit sa bouche invitant Emma à s’y engouffrer, ce qu’elle fit aussitôt. Leurs langues se livraient à une danse où se mêlaient douceur, moiteur et goût. Emma gémissait de plaisir contenu. Son partenaire commençait un lent cheminement vers ses seins, caressant chaque parcelle de son corps au travers du tissu léger de sa robe d’été. Il souleva la jeune femme et l’amena à sa chambre, refermant à clé derrière lui afin de ne pas être dérangé. Il déshabilla la jeune femme et se dévêtit à son tour, puis la dirigea vers le lit, il la fit s’allonger. Emma avait le regard brûlant, comme si elle était atteinte d’on ne sait quelle fièvre…

Thomas après avoir admiré le corps parfait de la jeune femme, s’installa entre les cuisses offertes de sa compagne. Il découvrit, non sans un certain plaisir, le fruit mûr qui se cachait à l’intérieur de ses jambes magnifiques. Il en écarta les lèvres découvrant le bourgeon déjà tendu de son sexe. Du bout des lèvres, il déposa un doux baiser sur ce bouton d’amour, déclenchant comme une décharge électrique dans le corps d’Emma.

Croisant son regard, il plongea son visage vers le sexe offert et de sa langue experte, se délecta des mille effluves qui s’en dégageaient. Il léchait les moindres recoins, comme s’il lavait de sa langue le doux abricot de la jeune femme. Il mouilla un doigt qu’il introduisit dans le vagin, lentement, très lentement, appréciant chaque millimètre de pénétration. Il fit suivre deux doigts, puis un quatrième, écartant l’entrée de la grotte humide, se frayant un chemin jusqu’au plaisir féminin. Tout en faisant des va-et-vient avec sa main, il continuait à lécher le clitoris, déclenchant une cascade de jouissance à la jeune femme.

Bien qu’Emma ait joui d’une manière très intense, il continuait à la « travailler » au corps. Il l’obligea à écarter encore plus grand ses cuisses, l’écartelant presque, afin de parvenir à introduire sa main entière à l’intérieur du vagin. Emma était tellement excitée et mouillée, qu’il parvint à ses fins assez facilement à la grande surprise de la jeune femme. Il s’arrêta quelques secondes afin de permettre à sa partenaire de se remettre de ses émotions, mais après quelques instants, il reprit son travail. Il faisait aller et venir la main en la faisant parfois tourner à l’intérieur du vagin distendu, faisant ressentir à la jeune femme des millions de nouvelles sensations. Elle sentait venir en elle une jouissance tellement grande, qu’elle se sentait prête à exploser !

Quand la délivrance vint, ce fut comme une vague géante déferlant sur elle et l’emportant avec elle vers des lieux encore inconnus. Thomas, laissa la jeune femme profiter au maximum de ce nouveau plaisir avant de retirer sa main trempée de la moiteur de ce sexe.

Thomas s’allongea à son tour sur le lit, s’offrant ainsi en sacrifice à sa partenaire de jeu. Emma qui avait pu admirer le sexe de son amant lorsqu’il s’était dévêtu, se lécha les babines de manière coquine, comme si elle se préparait à déguster un grand plat. Les proportions étaient fort correctes, ni trop, ni peu, juste un sexe d’ébène, certes assez large, mais pas une matraque géante qu’on donne régulièrement aux hommes de couleur noire. Emma s’approcha du pieu « magique », le caressant de ses mains douces, explorant chaque millimètre de peau, du gland aux testicules. Le sexe était tendu, prêt à recevoir la caresse buccale de la jeune femme. Celle-ci approcha ses lèvres de la « bête » et l’engouffra telle une sucette géante dans sa bouche. Elle l’enfonça au maximum, amenant un gémissement du jeune homme. Puis, elle entama à un rythme lent et régulier un va-et-vient, laissant une trace luisante sur le sexe masculin.

Elle caressa les testicules entre ses doigts, les palpant avec douceur, puis glissa tranquillement vers l’anus, surprenant son partenaire. Ce dernier laissa faire la jeune femme, attendant avec curiosité la suite des événements. Elle ramena un doigt à sa bouche, le mouillant abondamment de salive et le ramena vers la rondelle, qu’elle massa doucement. Thomas se contracta un peu, n’ayant jamais « subi » une telle caresse, mais une sorte de curiosité l’incitait à se laisser faire. Emma sentant le consentement de son partenaire, commença à introduire son doigt. Le jeune homme eut un gémissement de douleur, mais laissa faire la jeune femme.

Après quelques secondes d’attente pour habituer l’anus à cette intrusion, Emma se mit à caresser la paroi annale, explorant un nouveau monde. Elle arracha un nouveau gémissement à Thomas, mais compris alors qu’il s’agissait de plaisir. Elle reprit sa fellation, tout en continuant à limer le petit trou serré. Après quelques minutes de ce traitement, Emma arrêta, ne voulant pas faire jouir son partenaire car elle voulait profiter de ce sexe tendu. Elle vint se placer à califourchon, dos à lui, lui offrant en spectacle ses fesses bien rebondies.

Elle s’empala sur le pieu avec une facilité déconcertante mais pas étonnante vu l’introduction qu’elle avait eue auparavant. Elle se mit à bouger d’avant en arrière, le sexe bien fiché au fond de son vagin, la remplissant pleinement. Soudain, Thomas la stoppa et la fit s’allonger sur lui. Il vint de sa main, caresser le clitoris, la branlant au rythme de ses coups de rein. Ils continuèrent ainsi quelques minutes avant de changer de position. La jeune femme s’allongea sur le dos, relevant ses cuisses vers elle, offrant ainsi en sacrifice sa petite chatte.

Thomas s’introduisit à nouveau dans la chaleur de ce sexe, mais il avait envie de jouir, alors, n’écoutant que son désir, il se mit à lui donner des coups dignes d’un sprinter. Il donnait une cadence déchaînée à leurs ébats. Emma gémissait de plus en plus fort, elle sentait monter en elle le plaisir. Celui-ci arriva en parfaite symbiose avec son partenaire qui délivra toute sa semence dans le vagin de la jeune femme, puis s’effondra littéralement sur elle. Après quelques baisers langoureux, ils finirent par s’endormir…