n° 12068 | Fiche technique | 17508 caractères | 17508Temps de lecture estimé : 11 mn | 11/12/07 |
Résumé: Lectrice assidue de Rêvebébé, j'ai voulu savoir si certaines aventures pouvaient réellement être vécues, en les vivant moi-même... | ||||
Critères: fh inconnu essayage train exhib intermast -exhib -train | ||||
Auteur : Alex (Femme mariée découvrant de nouveaux plaisirs) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : J'ai testé Rêvebébé Chapitre 01 / 05 | Épisode suivant |
Lectrice assidue de Rêvebébé, je me suis toujours demandé si les histoires qui y sont racontées étaient vraies ou pas. Après de très nombreuses lectures, je suis arrivée à la conclusion que certaines pouvaient l’être, mais sans pourtant vraiment arriver à croire que les événements décrits pouvaient réellement se passer ainsi. J’en ai discuté avec mon mari qui lit également les histoires du site et qui pense que les équipées décrites dans les aventures qui paraissent les plus réalistes sont sûrement vraies. Pas convaincue, je lui ai fait part de mon envie d’essayer de reproduire les situations qui me semblaient invraisemblablement ou difficilement réalisables. Cela le surprit, car je ne suis pas une femme exhibitionniste, échangiste ou ayant la vocation d’être soumise, mais c’est sans doute pour cela que l’expérience me tentait. Après quelques jours d’insistances, je réussis à le convaincre.
Ma première expérience : le métro
Ça y est, je suis décidée, nous sommes au mois de juin, pour une fois il fait beau (l’été commence mal avec tous ces jours de pluie), la température est agréable, ce sera donc aujourd’hui.
Durant la journée, je me suis promenée dans les rues, faisant du lèche-vitrine, et surtout du lèche-regard, car mon but est d’observer l’attitude des hommes que je croise, et aussi de voir si cette aventure dans laquelle je me lance peut m’apporter une quelconque excitation. Très vite je réalise que personne ne me remarque plus que ça. Sans doute est-ce à cause de ma tenue qui n’a rien de sexy. Je décide donc de m’acheter de quoi éveiller l’intérêt de ces messieurs. Après plusieurs boutiques visitées, je trouve une robe qui me paraît très sympa. Je file l’essayer dans une cabine.
L’idée de commencer réellement mon expérience me vient alors à l’esprit : et si je commençais par une petite exhibe ? Je ne porte jamais de soutien-gorge, et laisser le rideau entrouvert me paraît si simple ! Me voilà donc en train de retirer mon chemisier dans cette cabine à moitié ouverte. Rapidement mon jean tombe à mes pieds. En me baissant pour le ramasser, je prends soin de bien pousser le rideau vers l’extérieur afin d’attirer l’attention et je me redresse en me retournant face à lui. Ma petite stratégie a fonctionné, deux hommes sont face aux cabines, sans doute attendent-ils la sortie de leurs épouses des cabines voisines. Bien sûr, je fais mine de ne pas les remarquer. Je décroche la robe de la patère murale et je l’enfile.
Naturellement je commence à la boutonner par le bas afin de laisser ma poitrine visible le plus longtemps possible. C’est la première fois que je m’exhibe ainsi et je dois reconnaître qu’avec un tout petit effort de courage cela m’apporte une étrange, mais bien agréable sensation. Bretelles étroites sur les épaules, décolleté large, resserrée à la taille, le bas au contraire s’évasant amplement jusqu’à mi-cuisses, boutonnée sur le devant de haut en bas, blanche, légère, fine mais pas transparente, cette robe me va plutôt bien. Pour moins de cinquante euros, je décide de la prendre. Je mets mes affaires sur mon bras et sors de la cabine. En passant devant mes observateurs je leur adresse un petit sourire, auquel l’un d’eux me répond par un Bonne journée ! et l’autre par un clin d’œil. Je prends cela comme une réussite, ce qui m’encourage pour la suite de mon expérience.
Il est 17 heures, bientôt la sortie des bureaux et la cohue dans le métro. Dans la rue j’accroche cette fois un peu plus de regards, le bas de ma robe danse au rythme de mes pas et je remarque que les hommes qui me croisent ont les yeux dans mon décolleté. Je n’avais jamais prêté grande attention à ce détail, mais aujourd’hui c’est différent, c’est le but et cela me réjouit de sentir tous ces regards sur moi.
17 heures 30, je descends dans le métro et m’avance au milieu du quai. Il n’y a pas encore beaucoup de monde. J’espère qu’en cette période proche des vacances les gens n’auront pas déjà déserté leur travail. Je marche un peu, un panneau publicitaire mural vide me renvoie mon image, tel un miroir sale. Je me tourne légèrement pour m’observer dans cette nouvelle robe. Ouais, bof, joli, voire affriolant, mais pas très sexy et encore moins provocant. D’une main, je fais sauter le second bouton du haut. Hou là ! sa libération fait largement bailler le pan droit du haut de la robe. De face il ne permet qu’une vue un peu plus basse sur ma poitrine, mais de côté on distingue sans difficulté l’aréole et le téton de mon sein. Immédiatement je trouve que c’est trop, mais au moment de remettre le bouton, je me dis qu’après tout je suis là pour attirer, provoquer, aguicher, alors… je laisse le bouton libéré.
Je me retourne pour reprendre la petite marche de la passagère patiente. Oups ! Je manque de rentrer dans un homme venu se placer à deux pas de moi. Je ne l’avais pas vu venir. Il me sourit.
Surprise et gênée, je reste un instant hésitante puis je me retourne promptement et m’éloigne un peu. Une rame arrive. Il n’y a pas assez de monde à l’intérieur pour mon expérience, je la laisse repartir. En tournant la tête, je m’aperçois que l’homme est toujours là. Ah, ai-je déjà ferré un poisson ?
Quelques minutes passent et suffisent à encombrer le quai. Dans la rame suivante, c’est l’affluence. Je m’approche afin d’être l’une des premières à monter dans le wagon pour me retrouver au milieu de la foule. Encore une fois ma stratégie fonctionne. Je suis plaquée à un arceau de maintien sur lequel se posent six ou sept mains, dont la mienne. Mon autre main se charge quant à elle de maintenir sur mon épaule le sac que la vendeuse m’a gentiment offert afin que j’y range mon jean et mon chemisier, et dans lequel j’ai également mis mon sac à main. Je suis entourée de deux femmes et de plusieurs hommes dont le regard est dans mon décolleté dès le départ de la rame. Ils semblent déjà s’y être perdus, car ils n’en ressortent pas.
Le mouvement de foule à la station suivante me déplace, je me trouve coincée contre le dos d’une banquette. Le métro redémarre, je m’affole, je n’ai pas eu le temps de trouver de prise. Un homme devant moi me retient de justesse en me saisissant par le poignet avant de guider ma main vers un demi-cercle métallique fixé sur le côté des appuis-tête de la banquette. Je m’y accroche fortement sans oublier de remercier mon sauveur. Il me répond d’un sourire. À son tour, il baisse les yeux pour mater ma poitrine. Et il aurait bien tort de s’en priver, mon bras tendu tire le pan de mon décolleté qui s’ouvre généreusement, mon sein droit est à moitié visible.
Voilà, j’y suis. Que va-t-il donc se passer maintenant ? Les histoires de Rêvebébé me reviennent en tête, je m’attends à sentir d’un instant à l’autre une main se poser sur ma hanche ou mes fesses, mais rien ne se passe. L’homme continue à se rincer l’œil, mais aucune main ne se pose sur moi, j’en suis presque déçue. Déçue de ce qui m’arrive, ou plutôt de ce qui ne m’arrive pas et parce que je commence à croire que toutes ces belles histoires ne sont que pures inventions. Cela ne fait rien, elles me font au moins passer de bons moments de lecture.
Je suis tellement désappointée que je m’apprête à descendre à la prochaine station. Mais personne autour de moi ne semble vouloir bouger alors que beaucoup de monde tente de monter. Je me retourne pour essayer malgré tout de sortir, mais la foule me tasse et me serre davantage contre la banquette. Le métro repart. Décidément, je n’ai pas de chance. Ayant lâché ma prise je n’ai d’autre choix que de me saisir de la barre verticale située à ma droite. La présence d’une dizaine de mains m’oblige à poser la mienne très haut sur la barre. Assurée d’une bonne stabilité, je prends le temps de faire un tour d’horizon du voisinage. Surprise : l’homme qui me fait face n’est autre que celui qui me complimentait à propos de mon décolleté tout à l’heure sur le quai. Bien évidemment son regard est fixé sur ma poitrine. Je baisse la tête et plonge à mon tour mon regard dans les pans de ma robe. Horreur, la position de mon bras tire sur le tissu et laisse voir la presque totalité de mon sein droit. Mais ce qui m’affole, c’est que la trépidation de la rame fait légèrement sursauter mes seins et je remarque que le droit cherche à s’échapper. Malheureusement nous entamons un virage, la force d’inertie m’attire en arrière, ce qui accentue encore l’ouverture de ma robe.
Cette fois c’est sûr, mon sein va se libérer, il faut que j’intervienne. Déséquilibrée en arrière je ne peux pas lâcher la barre à laquelle je me retiens, seule la main gauche va peut-être me sauver. Je lâche les cordelettes de mon sac pour tenter de déplier légèrement mon bras et venir tirer sur le pan de ma robe. Mais avant que j’y parvienne, une poigne de fer s’empare de mon coude et arrête mon action de sauvetage. Je redresse la tête en écarquillant les yeux. L’homme devant moi me fixe tout en tournant légèrement la tête de droite à gauche et de gauche à droite plusieurs fois. Non seulement il m’empêche d’intervenir, mais en plus il tire mon coude vers le bas, m’obligeant à baisser mon bras à la verticale.
Effrayée, je rebaisse aussitôt les yeux vers mon sein. Je ne peux que constater l’évolution de la situation, il s’échappe de plus en plus de ma robe, son aréole devient visible, et ce virage qui n’en finit pas ! Je tente de me redresser, mais je n’ai malheureusement pas assez de force et au lieu d’arranger ma situation je la dégrade, car la traction que j’essaie d’exercer sur mon bras contracte mon sein qui glisse plus facilement hors de ma robe. C’est une catastrophe, mon téton vient d’apparaître aux yeux de tous. J’abandonne alors toute tentative d’amélioration et laisse aller les choses, en réalisant que je suis là où je voulais être. L’action de cet homme sur mon bras laisse finalement envisager une multitude de suites plus excitantes les unes que les autres. Et justement, à cette seule pensée, mon excitation semble se réveiller. Je sens des picotements parcourir mon bas-ventre et mes seins se gonfler. Mon téton exhibitionniste se redresse à vue d’œil.
Enfin le virage se termine, je reprends une meilleure posture et comme un chienchien bien élevé, mon sein retourne dans sa niche. Durant le virage, l’homme a dû se rapprocher, car je suis maintenant plaquée contre son buste. Je sens son souffle sur mon front. Quelques secondes se passent et je sens sa main se poser sur ma cuisse. Il retrousse ma robe, il cherche à la remonter pour sans doute passer sa main en dessous, mais il n’y parvient pas. Je le regarde sans rien dire, essayant de ne rien laisser paraître sur mon visage, mais je crois qu’il voit au fond de mes yeux le désir monter en moi.
Il pose alors sa main sur mon ventre et semble triturer ma robe. Ah, je comprends, il tente d’en faire sauter les boutons. Et il y parvient, très bien même, très très bien, après un, deux, trois, je sens un quatrième bouton sauter de son maintien. Un peu d’air se glisse entre les pans de ma robe, vient caresser mes cuisses, passer entre elles et remonter jusqu’à mon entrejambe. L’homme jette un rapide coup d’œil sur ma poitrine et constate que les bouts de mes seins sont gonflés et pointent à travers le tissu de ma robe.
Cela semble l’encourager, car il me lance un sourire. À cet instant je sens sa main se poser à l’intérieur de mes cuisses. Très vite elle remonte jusqu’à trouver ma culotte. Cette dernière ne lui pose aucun problème, très agilement ses doigts trouvent le bord du tissu, le soulèvent, glissent par-dessous et viennent se poser sur ma fente. Ce contact électrise mon sexe, je ferme les yeux. Ses doigts glissent entre mes lèvres et les écartent, oh mon Dieu, je me sens couler. Mon jus inonde ses doigts, coulent le long ma fente ouverte, je sens ce liquide chaud atteindre mes cuisses sur lesquelles il descend doucement. L’homme monte et descend ses doigts entre mes lèvres puis enfonce l’un deux dans mon sexe maintenant trempé. Le second ne se fait pas attendre et pénètre à son tour dans mon ventre.
La tête me tourne, j’ai peur, non pas de ce qui est en train de se passer, mais d’être surprise. Je comprends maintenant ce sentiment étrange et indescriptible que les femmes tentent d’exprimer dans leurs récits. C’est vrai que la peur décuple le désir. Soudain les doigts abandonnent mon sexe et s’échappent de ma culotte. Que se passe-t-il ? Doit-il descendre à la prochaine station ? Cet arrêt soudain me surprend et j’ouvre les yeux. Il me sourit toujours et ne semble pas se préparer à sortir, alors quoi ?
Sa main s’empare de la mienne, la gauche, celle qu’il a descendue tout à l’heure. Il l’attire vers lui jusqu’à la poser sur son ventre. Sans perdre de temps, il la fait glisser vers le bas, je sens son ventre se contracter, ma main glisse entre son tee-shirt et le haut de son pantalon dont l’élastique se détend sous le passage de nos deux mains. L’homme ne libère la mienne que lorsqu’elle est là où il voulait la poser : sur son sexe. Je le sens gonflé, chaud. L’homme semble porter un caleçon, sans doute d’un tissu fin, car je sens sa verge comme si rien ne la séparait de ma main et surtout parce qu’il est tout poisseux de désir. La main de l’homme est ressortie du pantalon, mais elle appuie sur la mienne et semble vouloir le faire bouger de haut en bas. Je m’exécute. Rassuré de voir que je ne m’oppose pas à faire ce qu’il souhaitait, l’homme glisse à nouveau sa main sous ma culotte. Au même instant, son pied passe entre les miens pour les écarter.
Ses doigts étant revenus sur mon sexe, je ne lui offre aucune résistance et déplace légèrement mes pieds afin que mes cuisses s’écartent et que ma grotte s’ouvre. Immédiatement deux doigts s’enfoncent dans mon intimité et rapidement un petit va-et-vient débute. Cette fois le plaisir envahit mon corps, je ferme à nouveau les yeux. Un troisième doigt rejoint les deux premiers, ensemble ils s’enfoncent cette fois entièrement en moi, je suis obligée de serrer fortement les dents pour ne pas gémir, car le plaisir que je ressens alors est immense. Du coup, excitée comme chatte, je glisse ma main sous son caleçon afin de sentir sans barrière sa chair dans ma main. Elle est dure, bouillante, et je perçois quelques petites contractions. Je remonte mes doigts sur le haut du gland afin de les lubrifier de son jus, puis je l’étale le long de son membre. Une fois sa verge bien huilée, je me décide à le masturber. Très vite nous accordons nos va-et-vient, à chaque fois que ses doigts s’enfoncent entre mes lèvres ma main descend le long de son sexe.
Nous arrivons à une station. Les portes s’ouvrent, laissant monter et descendre les voyageurs. Nous arrêtons nos mouvements afin de ne pas éveiller les soupçons. Ses doigts sont restés enfoncés tout au fond de ma grotte et contrairement à moi qui ne bouge plus, ils remuent, bien à l’abri, comme s’ils jouaient du piano. La sensation est divine, je me mords les lèvres pour ne pas crier. Le métro redémarre et nos va-et-vient avec. Cette fois l’homme s’active avec énergie et rapidité et je sens qu’à ce rythme je ne vais pas tarder à jouir. De mon côté, je fais de même et branle son membre de plus en plus vite. Soudain de fortes contractions gonflent sa verge, mes doigts deviennent poisseux et collants, ils sont bientôt recouverts de sperme. Je n’arrête cependant pas mes mouvements, car lui poursuit ses va-et-vient dans mon sexe brûlant. Son plaisir déclenche le mien et je jouis enfin. Je ne sais pas comment je fais pour ne pas crier, car la sensation est immense et étourdissante.
Doucement l’homme retire ses doigts, libérant le fruit de mon plaisir sur mes cuisses. À mon tour je retire ma main, elle est pleine de foutre et je me demande comment je vais pouvoir la nettoyer. Nous nous regardons, il me sourit comme pour me remercier, je fais de même. La rame s’immobilise dans une nouvelle station. Sans perdre de temps, il quitte le wagon. Il y a moins de monde et je suis enfin libre de mouvements plus amples. J’en profite pour plonger ma main dans mon sac et l’essuyer sur mon chemisier, tant pis je le passerai en machine dès mon retour à la maison.
Je quitte le métro deux stations plus loin. Sur le quai, je reboutonne le bas de ma robe qui était ouverte jusqu’à mon nombril et dévoilait ma culotte à chacun de mes pas. Je referme également le haut, car je dois revenir à mon point de départ et cette fois je ne veux plus prendre de risques.