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n° 12098Fiche technique20727 caractères20727
Temps de lecture estimé : 12 mn
18/12/07
Résumé:  Une soirée entre un couple et un ami qui se connaissent depuis 15 ans.
Critères:  fhh extracon cocus copains fellation cunnilingu anulingus pénétratio
Auteur : Eric4275      

Série : De surprise en surprise

Chapitre 01 / 03
Une soirée pas comme les autres

Sylvie et moi-même sommes ensemble depuis dix-huit ans. Notre couple se porte plutôt bien. Ma femme est une grande brune pulpeuse aux formes qui font se retourner pas mal d’hommes autour de nous. Pour le dire autrement, certes son ventre s’est quelque peu arrondi, mais sa poitrine est toujours magnifique, profonde, large et un peu lourde… Ajouter à cela un minois assez joli et beaucoup de douceur. Quant à moi, je suis de taille moyenne, brun avec un physique plutôt mince, un ensemble qui ne déplaît pas. Nous avons tous les deux la petite quarantaine.


Depuis très longtemps, je suis tenté par une expérience à trois ou à quatre. Réussir à parler sereinement du sujet avec ma femme m’a pris un temps important (quelques années), sachant qu’elle m’a toujours répondu par la négative. L’idée a quand même fait son chemin ces deux dernières années, car c’est devenu de temps en temps un sujet de conversation entre nous deux. Par espièglerie, ma femme m’a toujours dit que le jour où elle devrait coucher avec un autre homme, je ne serai pas là.


Ce week-end, un de mes meilleurs amis se rend à Paris et vient dîner chez nous le samedi soir. Il se prénomme Vincent. Il est assez bel homme, le mètre quatre-vingt, 44 ans, assez sportif. Ma femme, Sylvie, le connaît depuis une quinzaine d’année et l’apprécie bien. Elle est évidemment très loin d’imaginer les propos que nous avons déjà échangés ensemble. Je me suis en effet largement ouvert à lui sur mon envie de faire un « truc » à trois. Vincent m’a fait part de son expérience unique dans le domaine qui lui a laissé un souvenir impérissable. J’ai vite compris que si quelque chose devait se passer, ce serait avec lui, car j’avais confiance et que nous n’avions aucune rivalité l’un envers l’autre, ce qui nous paraissait être un vrai prérequis. Nous nous sommes donc souvent échauffés l’esprit en imaginant cette possibilité commune. Par contre, je voyais mal comment arriver à mon but. Vincent pensait qu’il valait mieux ne rien préméditer. L’événement arriverait s’il le devait et l’ambiance jouerait pour beaucoup.


Vincent est arrivé vers 20h et nous prenons l’apéro. Nous devisons comme d’habitude sur les affaires du monde, le dernier film sympa et le boulot. Sylvie est en jupe avec un chemisier assez ajusté.


Le repas commence très bien avec une entrée sucrée salée sur laquelle je sers un bon vin blanc. Sylvie adore ça. Le repas s’étire et c’est sans doute la chaleur du salon qui nous fait vider notre première bouteille de blanc. Je demande s’il faut ouvrir une deuxième bouteille avant le fromage.



Nous en sommes au dessert, la deuxième bouteille est presque vide. Ça doit faire des années qu’on ne s’est pas lâchés comme ça.



J’ajoute.



J’accompagne ma femme à la cuisine. Elle prend les coupes dans un placard en hauteur. Je me place derrière elle et lui caresse les seins doucement. Cette zone est très sensible.



À chaque fois que ma femme prononce mon prénom, c’est qu’elle veut me mettre les points sur les I. Je réfléchis jusqu’où je peux aller. Est-ce le moment ? Aucune certitude. Mon cœur s’accélère… Je décide d’y aller à moitié soft.



La phrase est lâchée. J’en ai trop dit. Pas de bol, c’est à ce moment que Vincent rentre dans la cuisine.



Je suis assez déconfit. Vincent ne connaît pas la teneur de nos propos. Je suis très emmerdé vis-à-vis de Sylvie. J’ai été un peu lourd. Je crois qu’avec les années, j’ai trop fantasmé sur cette situation. La conversation entre Sylvie et Vincent tourne sur je ne sais quel bouquin qu’ils ont lu. Je me suis un peu retiré de la conversation. Ils ne sont pas d’accord sur le prénom de l’auteur. Sylvie tient tête, mais Vincent ne démord pas.



Vincent était hilare. Je crois qu’il a un peu trop bu lui aussi. Une minute plus tard, le verdict tombait.



C’est clair que Vincent n’est pas tout à fait comme à l’accoutumée. Je pense qu’à ce moment Vincent et moi avons pensé la même chose.



Sur le ton de la blague, Vincent ajoute.



Quelques secondes de silence, Sylvie ne dit rien et me jette un regard interrogateur. Je fanfaronne, mais je suis mal à l’aise et Vincent est cramoisi. Sylvie finit sa coupe de champagne cul sec. Je passe derrière elle. J’hésite. Finalement, ça pourrait être très simple. Je sens que nous avons dépassé les limites et que je vais avoir une sérieuse remontée de bretelle demain matin.


Peu importe, mes mains déboutonnent le premier bouton de son chemisier. Ses mains se posent sur les miennes. Je ne sais si elles me retiennent ou l’inverse. Je défais le deuxième bouton.



La conversation continue et sans que Sylvie ne réagisse, je déboutonne les 2 derniers boutons très rapidement. Sylvie reste sans réaction. J’écarte les pans de son chemisier. Je sors délicatement le chemisier de sa jupe pour que le spectacle soit complet. J’en profite pour embrasser Sylvie dans la nuque. Je lui caresse les seins. Le silence est total dans la pièce.



Je me retourne et éteins la lumière du salon. La pièce est uniquement éclairée par les lumières de l’immeuble voisin. J’embrasse maintenant Sylvie à pleine bouche. Je la fouille avec ma langue, préliminaires qui font toujours monter la tension chez ma chère et tendre. Elle s’accroche à ma bouche. Cette position lui permet de ne pas avoir à affronter le regard de Vincent. Je lui baisse une bretelle de soutien-gorge sur le bras, ce qui me permet de baisser au moins un bonnet et de laisser un sein libre. J’en profite pour rouler son téton entre mes doigts. Il durcit et le corps de Sylvie frissonne. Je dégrafe enfin complètement le soutien-gorge qui glisse lentement sur la table. Je passe ma main sous ses seins, les soupèse, caresse lentement les mamelons. Vincent, bouche bée, regarde les seins de Sylvie, blancs laiteux, lourds, profonds aux aréoles larges.


Je fais un signe de tête à Vincent qui fait le tour de la table et se rapproche. Sa bouche est maintenant à quelques centimètres des seins de Sylvie. Je fais pivoter délicatement Sylvie sur sa chaise. Elle garde les yeux fermés. La bouche de Vincent entre en contact avec les seins de ma douce. Il commence à lécher les tétons. Il les suçote. Cette zone est sans doute la plus érogène de Sylvie. Sa respiration change de rythme, quelques petits commentaires murmurés.



Sylvie tient la tête de Vincent contre elle. Elle se lève et la bouche de Vincent la suit. Je passe une main sous sa jupe. Sa culotte est très humide. Je ne lui enlève pas, mais la caresse à travers. Vincent s’y prend très bien passant d’un sein à l’autre. Sylvie monte très vite.



Sylvie a un premier orgasme profond et fulgurant. Nous sommes un peu hébétés. Vincent s’est dégagé de Sylvie.



Sylvie reprend ces esprits quelques secondes après et se lève presque machinalement. Vincent nous suit. J’accélère les choses, car je sens que Sylvie est hésitante. Nous rentrons dans la chambre. En quelques secondes, je suis nu, Vincent se fait tout petit dans un coin de la chambre. Sylvie retire sa jupe et ses bas. Sylvie est en culotte, seins nus, ce qui est très excitant. Il fait sombre dans la chambre et c’est mieux comme ça. Je monte sur le lit et l’embrasse… Je sens son envie reprendre le dessus. Je l’attire doucement vers mon sexe. Sylvie me prend en bouche. Sa technique est toujours merveilleuse. Vincent se rapproche et pose délicatement un genou sur le lit. Je ne l’ai pas vu se déshabiller. Il garde juste son caleçon. Quelle correction !! Il est maintenant à quelques centimètres de Sylvie. À priori, elle ne le remarque pas. Je prends sa main et la dirige vers le caleçon de Vincent. Elle retire sa main brusquement.



Je ne lui réponds pas et en profite pour tirer un peu sur le caleçon de Vincent. Il comprend et finit de se déshabiller. Je me dégage rapidement laissant Sylvie surprise, seins à l’air, dans le vide. Je passe derrière elle et lui caresse les seins et la fais se redresser. Je la pousse un peu vivement vers la bite de Vincent. Il comprend et vient se mettre face à la bouche de Sylvie. Contre toute attente, elle pose ses lèvres sur le gland de notre ami. Vincent s’allonge sur le dos. Sylvie commence sa longue séance. J’en profite pour lui retirer sa culotte. Elle lèche avec délicatesse le gland et les couilles de Vincent. Je suis un peu troublé de la voir sucer comme ça notre ami. Elle lèche l’intérieur de ses jambes jusqu’au genou puis remonte vers les couilles. Vincent ne se gêne pas pour lui caresser les seins, les titiller, jouer avec les mamelons. Il la complimente et je suis sûr que Sylvie adore.



Sylvie s’active sans retenue.



Je suis hypnotisé par le spectacle et, pour dire la vérité, un peu surpris par la capacité de ma femme à se livrer comme ça. Vincent n’est pas loin de craquer. Il me surprend en attrapant Sylvie par les cheveux avec suffisamment de fermeté pour qu’elle lâche son sexe. Il la ramène vers lui. Sylvie adore être embrassée profondément. Elle en profite pour lui mettre ses seins à hauteur de visage pour qu’il les lèche et les caresse encore. Sa chatte se frotte doucement à la bite de Vincent. D’un geste vif, elle guide son sexe en elle. La première pénétration lui tire un cri de plaisir. Vincent la pistonne rapidement et lui arrache un gémissement à chaque va-et-vient. Les seins de Sylvie qui ballottent au-dessus de Vincent ont l’air de le ravir. Brusquement, il se dégage et entraîne Sylvie vers lui qui se retrouve à 4 pattes. Je passe ma main sur sa chatte totalement inondée. Elle comprend mon geste et se détache un peu de Vincent pour me tendre ses fesses. Je la pénètre d’un coup. Son sexe est totalement trempé. Elle soupire au premier va-et-vient. Ce n’est pas possible d’être trempée à ce point. Je me laisse aller.



Trois à quatre minutes de ce traitement et j’éjacule. Sylvie reste les fesses en l’air, reprenant son souffle. J’adore son indécence.



D’un bond, il prend ma place et la pénètre doucement. Son sexe est plus épais que le mien. Sylvie se cambre. Vincent ne bouge pas. Je me positionne devant Sylvie et lui présente mon sexe. Elle le lèche et me redonne de la vigueur. La situation résume mes fantasmes les plus fous. Ma femme, mère de mes enfants, en train de me sucer et prise en levrette par un de nos meilleurs amis, et avec un plaisir énorme. Vincent ne bouge pas. Je m’aperçois que Sylvie imprime elle-même un mouvement vers l’arrière comme pour l’encourager. Je lui titille les mamelons en même temps, ce qui la met dans un état incroyable. Vincent l’a prise enfin par les hanches pour la pénétrer lentement mais régulièrement. Il m’avait dit être endurant mais là j’étais bluffé. Sylvie exulte, râle, n’arrête pas de répéter « c’est bon, c’est bon ».



Mais Vincent continue régulièrement ses va-et-vient. Ma femme feule. Je passe ma main sur ses cuisses totalement collantes. Exceptionnel !!!


Son visage porte le masque du plaisir. Elle souffle. Dire qu’elle n’avait jamais voulu entendre parler d’un truc à trois… Et moi qui lui disais que ce serait pour son plus grand plaisir. Je pense que Vincent tient depuis au moins 15 minutes. Cela me parait très long. Sylvie n’arrête pas de jouir, c’est sans fin. Vincent achève son périple dans un grognement de satisfaction, et doucement glisse sur le côté. Sylvie me regarde et s’affale elle-même sur le dos. Nous reprenons nos esprits et Vincent son souffle. Ma femme a l’air dans un état second. Elle se lève rapidement pour passer à la salle de bain.



Je passe rapidement sous la douche. Je suis content et en même temps un peu inquiet. Comment Sylvie allait-elle réagir maintenant ? Je ferai bien de retourner rapidement dans notre chambre. J’étais encore très excité.


Du couloir, je n’entends aucun bruit, j’espère qu’il n’y a pas de malaise… Je m’approche doucement. Par pudeur ou coquetterie, Sylvie a enfilé une nuisette sexy transparente qui la met admirablement en valeur. Elle se tient à côté de Vincent sans rien dire. Je monte sur le lit et Sylvie ne peut pas voir l’état de mon excitation. Elle se relève à moitié et commence à me lécher les couilles, à me masturber doucement. Elle me pousse pour que je m’allonge et me positionne entre mes cuisses. Je ne vois plus Vincent. Il réapparaît dans le dos de Sylvie. Je le vois se mettre à 4 pattes et lécher le cul de Sylvie. Elle doit aimer car elle relève les fesses vers la bouche de notre ami. À chaque coup de langue de Vincent, je la sens frémir. Elle a du mal à se concentrer. Placé comme je suis, je ne vois pas ce que fait Vincent. Je devine à l’oreille. Je n’avais jamais eu ce genre de geste avec Sylvie. Qu’est-ce que l’excitation ne fait pas faire ? La respiration de Sylvie s’accélère, s’y ajoute des petits murmures de plaisir. Je me rends compte que Vincent la branle. Il est maintenant passé à ses côtés et la masturbe de plus en plus violemment. Je n’ai jamais imaginé avoir ce genre de geste avec ma douce, trop de pudeur sans doute. Sylvie s’exprime de plus en plus fort.



Sur ces paroles, je lâchai tout ce que j’avais à donner et Sylvie ne s’est pas gênée pour exprimer son plaisir. En guise de récompense, Sylvie s’est retourné vers Vincent et l’a masturbé quelques minutes. Le spectacle est particulièrement excitant pour Vincent ; Sylvie la nuisette repliée sous les seins, moi dans son dos qui la caresse… Cela a suffi à Vincent qui s’est vite lâché tellement la situation était incroyable.


Ce premier épisode a été une révélation pour nous deux et également pour Vincent. Vincent est allé se coucher sur la banquette et nous sommes restés tous les deux dans notre lit sans rien nous dire.