n° 12135 | Fiche technique | 15595 caractères | 15595 2671 Temps de lecture estimé : 10 mn |
31/12/07 |
Résumé: Marie-Claude commence à séduire Bébert pour en faire sa chose. | ||||
Critères: f h hplusag fdomine voir exhib fmast hmast nopéné fouetfesse | ||||
Auteur : Mariechriss |
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En entendant Marie-Claude descendre l’escalier, Bébert se retourne, un sourire de bienvenue aux lèvres, mais il s’arrête aussitôt et ouvre la bouche sans rien dire. Il est stupéfait par l’aspect de Marie-Claude.
En disant cela, il s’est approché de Marie-Claude pour la sentir, la toucher un peu. Mais la voix de Marie-Claude le fige sur place.
Bébert a baissé la tête.
Là, Marie-Claude sent qu’elle va trop loin, mais Bébert se retourne et part sans un mot. Marie-Claude entend la voiture démarrer et se jette sur le canapé en riant à gorge déployée. Ce Bébert est impayable, s’il avait rouspété voire plus, elle serait devenue chatte en chaleur mais là, c’est trop, elle ne peut qu’en profiter et elle va en profiter le plus possible.
Un quart d’heure après, Bébert revient un pack de coca à la main avec un sourire triomphant.
Et en disant cela, elle s’assoit sur le canapé, les cuisses légèrement écartées, son jean serré faisant ressortir son mont de Vénus, ce que ne manque pas de remarquer Bébert. Et son pantalon s’en ressent aussitôt. Marie-Claude s’amuse follement.
Marie-Claude se lève lentement en faisant bouger ses seins dont les bouts pointent, trahissant son excitation, ce qui ne passe pas inaperçu aux yeux de Bébert mais il sait que « pas touche ». Alors, il se masse doucement le sexe à travers le tissu du pantalon, ce qui n’est pas fait pour diminuer la bosse. Il suit Marie-Claude à la cuisine avec une forte envie de lui toucher les fesses, mais il ne fait rien. Il devient soumis à cette fille bien plus jeune que lui. Pas possible, il devient amoureux, cela ne peut pas s’expliquer autrement, sinon il lui aurait déjà sauté dessus ou foutue à la porte. Mais non, il obéit et ça lui plaît.
Le repas se passe sans problème même si les seins de Marie-Claude occupent la plupart de ses regards et lui font perdre le fil de la conversation plusieurs fois de suite. Mais il raconte à Marie-Claude sa vie de chauffeur de car avec les aventures qu’il lui arrive de vivre dans son car avec des clientes un peu chaudes ou en manque. Et puis il y a l’équipe de rugby dont il s’occupe, vingt gars jeunes et costauds pleins d’enthousiasme mais qui n’arrivent pas à faire gagner la coupe. Il leur manque une motivation, une récompense suprême mais il n’a pas d’argent à leur offrir et les sponsors sont durs à trouver.
Marie-Claude s’approche en chaloupant et prenant la tête de Bébert entre ses mains, elle lui colle un gros bisou sur le front mais Bébert apprécie surtout les deux seins qui viennent caresser doucement son nez et son visage. Sa main monte doucement vers les seins de Marie-Claude et au moment où il allait en emprisonner un, Marie-Claude fait un bond en arrière et se sauve en rigolant.
Marie-Claude remonte l’escalier et rentre dans la salle de bain pour se laver les dents et se mettre en pyjama pour la nuit. Elle sort et se dirige vers sa chambre où elle s’enferme à double tour, des fois que des idées viennent à Bébert. Cette idée la fait rire, des idées il en a c’est sûr, mais il attendra.
Marie-Claude se couche et, dans le silence de la maison, elle entend Bébert qui range, fait la vaisselle et s’installe devant la télé pour voir les infos avant de se coucher. Un quart d’heure après, elle l’entend se coucher et après un moment de silence, le lit se met à grincer. Bébert se branle. Marie-Claude triomphe, et elle aussi se met à se caresser mais lentement, elle espère que Bébert recommencera plusieurs fois. Quant à elle, elle a le temps. Et lentement, le plaisir monte en elle, ses cuisses s’écartent et se serrent, sa chatte se mouille et ses doigts glissent lentement sur son vagin humide.
Bébert de son côté se branle consciencieusement, son deuxième orgasme le prend de vitesse et le cri qu’il pousse ne passe pas inaperçu aux oreilles de Marie-Claude. Elle accélère ses mouvements et bientôt le plaisir la submerge, elle tremble de tout son corps et les spasmes durent longtemps, longtemps si longtemps qu’elle est secouée par un deuxième orgasme qui la laisse pantelante au milieu de son lit, les cuisses largement écartées et la chatte inondée.
Un sourire béat éclaire son visage et elle s’endort d’un seul coup. Bébert aussi. Leur relation commence sous des auspices branlants, mais cela va durcir !
Plusieurs jours ont passé et la tension entre les deux non-amants est forte. Ils se branlent toutes les nuits chacun de leur côté, mais sans jamais être repus. Ils leur manquent le contact physique, le souffle de l’autre, les râles de plaisir et la sensation de prendre l’autre et de le posséder. La masturbation a du bon mais pas longtemps, pas toujours et Bébert commence à se demander ce que veut réellement cette gamine. Il l’entend jouir la nuit et il ne se prive pas de lui faire comprendre par des bruits identiques que lui aussi jouit tout seul dans son lit.
Marie-Claude néanmoins se sent mieux. Elle a complètement récupéré de sa fatigue après ses aventures avec les Taylor et Joana et les suites de sa rencontre avec le car ont quasiment disparu. Elle peut donc envisager la deuxième partie de son plan.
Ce soir-là, elle décide donc de séduire Bébert pour le transformer en un serviteur de premier choix. Dans la journée, elle est sortie faire quelques achats avec l’argent des Taylor et, depuis une heure, elle est dans la salle de bain pour se préparer. Épilation complète des jambes, des aisselles et du pubis. Ce qu’il lui reste de poils autour de sa chatte est coupé très court, si court qu’on dirait un sexe d’adolescente. Ses ongles sont taillés et vernis et ses cheveux lavés et coiffés impeccables. Un léger maquillage recouvre son visage, soulignant sa bouche et ses yeux.
Elle enfile le soutien-gorge qui soutient ses seins par en dessous sans en cacher les tétons qui pointent de manière arrogante. Par-dessus, elle enfile un chemisier noir assez transparent qui laisse voir beaucoup de choses. Elle est très excitée et une envie furieuse de se branler la prend. Mais elle résiste, ce soir c’est Bébert qui la fera jouir, mais lui devra se contenter d’une branlette. La jupe noire qu’elle enfile est légère et, par transparence, on devine le fuseau de ses jambes minces. La jupe est fendue jusqu’à mi-cuisse et avec quelques mouvements savants qu’elle teste devant la glace de sa chambre, on aperçoit son intimité. Quand elle s’assoit c’est pire, enfin si l’on peut dire.
Une dose de parfum complète le tableau. Elle est enfin prête à recevoir celui qui va devenir son Bébert, son jouet. Elle se pose sur le canapé en étudiant soigneusement la position de sa robe de façon à ce que ses jambes soient peu visibles. Elle prend un magazine et elle se met à lire en attendant son homme. Bébert arrive peu de temps après en bleu de travail et tombe en arrêt devant le spectacle de Marie-Claude assise sur le canapé.
Et d’un coup, il se jette à ses pieds qu’il embrasse à pleine bouche. Il s’excite, ses mains remontent le long des cuisses de Marie-Claude qui commence à haleter. Elle a envie d’un sexe d’homme dans sa bouche, son vagin, même son cul en a envie. Christian lui en donné le goût et elle ressent des envies dans tout son corps. Bébert aussi bande comme un fou, il la veut, il veut la pénétrer, lui défoncer la chatte à grands coups de queue. Il connaît la puissance de son sexe et plus d’une femme en a profité et en a redemandé. Mais la gifle qu’il reçoit le fait redescendre de son nuage et il tombe sur le cul.
Bébert a fait demi-tour et se rue dans la cuisine d’où il revient très vite avec un plateau chargé selon le souhait de Marie-Claude.
Bébert balbutie un « Oui Marie-Claude » et fonce vers la salle de bain où on entend l’eau de la douche couler, puis des ciseaux couper des poils et enfin un peigne coiffer des cheveux un peu rebelles. Puis, Bébert sort de la salle de bain pour aller dans sa chambre et s’habiller. Mais au fait, c’est quoi bien habillé ? Finalement, il opte pour une chemise blanche, un slip noir et un pantalon bleu, c’est sobre mais il pense que c’est bien. Puis, d’un pas rapide, il retourne au salon vers Marie-Claude qui l’attend debout, les bras croisés.
Bébert, surpris, s’exécute sans un mot.
Ce qu’il fait en hésitant un peu.
Marie-Claude s’empare d’une cravache qui traînait dans le salon, souvenir du temps où Bébert faisait du cheval. Elle commence à frapper les fesses de Bébert avec des petits coups car elle est débutante elle aussi dans ce nouveau jeu. Puis, elle augmente la force des coups pour finir avec un très fort. Ce dernier coup fait sursauter Bébert qui pousse un cri et il se retourne pour gifler Marie-Claude mais un nouveau coup de cravache sur sa cuisse gauche le stoppe immédiatement.
Bébert est parti à la cuisine et il ne sait pas s’il doit se réjouir de sa nouvelle situation ou s’il doit avoir peur. Il sait qu’il va pouvoir la toucher la sentir, sans doute la faire jouir mais pourra-t-il la défoncer, la baiser comme il en a envie. Il bande et son slip fait une bosse impressionnante. Il va lui montrer son sexe à cette petite. Chaque fois qu’il a défoncé une chatte avec cette queue, il a obtenu ce qu’il voulait. Alors avec une gamine… Mais curieusement, il continue à préparer le repas, comme un petit garçon bien obéissant. Il doit le reconnaître, il est parti pour lui obéir, au moins pendant quelque temps. Quand il la fera jouir avec sa langue ou avec ses doigts, elle réclamera bien un sexe d’homme et alors là, il fera joujou avec elle et il aura sa revanche.
Oui c’est un bon plan, se dit-il et c’est en sifflotant qu’il termine la préparation du repas.
Pendant que Bébert prépare le repas, Marie-Claude savoure son coca, allongée langoureusement sur le canapé. Son doigt a glissé sur sa chatte et elle a sursauté de plaisir. C’est un volcan et la lave coule. Plusieurs allers-retours sur son sexe gonflé lui confirment, si besoin était d’ailleurs, qu’elle est prête à exploser, ce qui l’inquiète. Si Bébert me touche subtilement, et ça il sait le faire, je vais me faire avoir et je perdrais tous les avantages de ma nouvelle situation. Je ne veux pas redevenir le jouet d’un homme, ni d’une femme ! Cette pensée la ramène chez les Taylor, ce qui n’est pas fait pour la calmer. La pensée du sexe de Christian dans son corps et le souvenir des langues conjointes de Joana et de Julia font remonter en elle des émotions fortes et mouillantes.
Bon, il faut que je me calme sinon c’est perdu. D’un trait, elle finit son verre de coca et se lève pour aller faire un tour dans le jardin.
Mais un sourire éclaire aussitôt son visage. Placé comme cela, il pourra voir entre les cuisses de Marie-Claude et peut-être aura-t-il le droit de la sucer ?