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Temps de lecture estimé : 15 mn
06/01/08
Résumé:  Par une douce nuit de printemps, je découvre cachés au fond de mon jardin deux étranges individus.
Critères:  ffh frousses inconnu fmast cunnilingu pénétratio init humour sf -humour -sf
Auteur : Gufti Shank            Envoi mini-message

Série : Les apprenties

Chapitre 01 / 11
La rencontre



La voix me fit sursauter. J’étais persuadé que j’étais seul. Il faisait nuit, j’étais dehors ; j’étais sorti pisser, tranquillement, et voilà qu’il y avait quelqu’un dans mon jardin !



Pourquoi m’appelait-il "docteur" ? Et à qui appartenait cette voix ? Son intonation même me paraissait étrangère. Tandis que j’achevais d’uriner, je tentai du coin des yeux de percer la semi-obscurité autour de moi. Mais je ne vis rien du tout. Celui qui m’appelait devait demeurer caché derrière un arbre ou un bosquet.



Il y eut un court silence, mais la voix reprit bientôt.



Non, là, il y avait manifestement une erreur… Me refroquant sommairement, je m’approchai de l’endroit d’où elle paraissait provenir, et répondis :



Deux petites choses sortirent lentement de l’ombre des buissons et s’avancèrent sous la pâle lumière qui provenait des fenêtres de la maison. J’éclatai soudain de rire : j’étais en face de deux marionnettes d’E.T., le pauvre extra-terrestre de Spielberg, qui dardaient vers moi leurs stupides gros yeux. Je soupirai ; j’avais eu peur de deux gamins déguisés…



Ils hésitèrent un court instant, me fixant toujours, puis l’un d’entre eux se mit à hurler en se tournant vers son collègue :



On aurait dit qu’il engueulait l’autre. Mais celui-ci s’en foutait au large, il continuait de m’observer avec une lueur admirative débile au fond des yeux. Je m’adressai donc prioritairement à lui :



À cet endroit, il émit un son curieux qui ressemblerait à celui que ferait un papier s’embrasant. Il marqua une pause, puis reprit :



L’autre prit soudain la parole, vilipendant une fois de plus son associé :



L’invectivé sembla réfléchir un moment, tournant ses grands yeux cons vers le ciel, puis me dit :



Une légère douleur fulgurante me traversa soudain la tête ; le temps d’un battement de cil et mes deux E.T. avaient disparu ; à leur place me faisaient face un Alien monstrueux et un Predator tout aussi laid, qui me fixaient de leurs quatre yeux aimables.



Encore une douleur fulgurante, et une demi-seconde plus tard, mes deux sympathiques amis se transformèrent à nouveau et j’eus l’insigne honneur de contempler tout à la fois Monsieur Spock et Lance Armstrong qui me fixaient à leur tour de leurs quatre yeux tout aussi aimables que ceux des bestioles précédentes.



J’attendis avec curiosité et soudain, les deux formes que j’avais devant moi parurent se désagréger en des millions ou des milliards de minuscules grains de je-ne-sais-quelle matière qui se mirent à tourner assez rapidement les uns autour des autres en rayonnant d’une vive lumière blanche, et en émettant par intermittence ce qui ressemblait à de minuscules éclairs reliant deux de ces grains. J’étais réellement abasourdi. Mais ce spectacle ne dura qu’un court instant et rapidement les "particules" se réagrégèrent, reformant pour mon plus grand plaisir Monsieur Spock et Lance Armstrong.



Ils m’observèrent un moment en silence avant de m’annoncer posément :



Je les regardai intensément en me demandant si j’étais bien éveillé. Monsieur Spock et Lance Armstrong me demandaient conjointement avec infiniment de sérieux de les conduire chez un toubib…



Ne prêtant pas attention à cette remarque que je ne comprenais pas, je me mis à penser à quelle apparence leur serait la plus adaptée à passer pour normaux. Et dès lors, je les vis se transformer à toute allure successivement en enfants, en vieilles grand-mères, en types en costards et lunettes noirs, en chiens, en nanas en monokinis rouges, pour finir en packs de bières, et tout cela au rythme de mes pensées primaires.


Quand au bout de quelques secondes je réalisai qu’il me suffisait d’imaginer quelque chose pour qu’ils en prennent l’apparence, je me mis à songer à la plus pure bombe sexuelle que je pouvais concevoir. Et je fis soudain face à deux sublimes jeunes femmes parfaitement identiques, rousses aux cheveux longs et ondulés, au teint pâle et frais, extrêmement mignonnes et provocantes, les yeux verts pétillants de malice, galbées comme des déesses dans des robes de soirée noires et moulantes qui valorisaient au mieux leurs poitrines excitantes et leurs fesses troublantes.



Ils (ou elles, tout compte fait) s’observèrent un instant, paraissant hésiter, puis firent finalement apparaître un verre vide dans leurs mains droites. Je soupirai.



Leurs verres disparurent instantanément. Je les guidai alors jusqu’à l’intérieur de ma maison et leur proposai de s’asseoir dans le canapé. J’avais besoin d’un remontant ; je me dirigeai vers ce qui me servait de bar en leur proposant :



Ne m’attendant guère à une réponse intelligente, je sortis tout de même trois verres et une bouteille de cognac, puis revins m’asseoir entre elles dans le canapé. En servant, je ricanai :



Il y eut un court silence, puis l’une d’elles répondit :



Elle s’en saisit et m’observa, ne sachant apparemment pas quoi en faire. Je tendis un second verre à l’autre jeune femme et m’emparai du dernier. Sous leurs yeux curieux, je le portai devant ma bouche, le sentis un instant en faisant tournoyer le cognac dans le verre puis en bus une gorgée. L’une d’entre elles m’imita, buvant à son tour une grande lampée qu’elle avala avec un léger rictus d’irritation. L’autre fit ensuite de même. Je me détendis complètement, m’appuyant en arrière sur la banquette du canapé, et les admirant l’une et l’autre avec envie.


Mais soudain l’une des deux se mit à hoqueter bizarrement et sa main qui tenait le verre se mit à se désagréger en minuscules grains de lumière, comme précédemment au dehors. Le verre rebondit sur le canapé où il répandit tout son contenu avant de tomber s’éclater en morceaux sur le carrelage. Sa main se reforma immédiatement, puis parut devenir floue et trembloter quelques secondes.


M’attendant à quelque chose de semblable, je regardai vers l’autre jeune femme, prêt à intervenir avant qu’elle ne me pète un autre verre. Mais celle-ci conserva intactes ses deux mains ; ce furent ses cheveux qui parurent briller et s’épancher soudain autour de sa tête. Elle ferma les yeux, visiblement dans un effort, et tout redevint normal (si l’on pouvait dire de cette situation qu’elle était normale).



J’allai chercher un peu d’essuie-tout pour nettoyer brièvement l’alcool répandu. Puis me rasseyant, je vidai dans le mien le contenu du verre intact avant de boire l’ensemble d’une traite.



Je passai lentement une main dans leurs cheveux, guettant leur réaction. Elles m’observaient, simplement. Je me tournai vers celle assise à ma gauche et l’embrassai dans le cou en caressant voluptueusement ses seins lourds à travers le tissu soyeux de son vêtement. Une minute plus tard, je prodiguais les mêmes intérêts à mon autre voisine, allant jusqu’à la dévêtir du haut de sa robe pour embrasser et lécher sa poitrine gonflée. Quand je m’arrêtai pour aller déshabiller l’autre, je l’entendis me bredouiller :



Je rigolai, puis entreprenant de retirer doucement la robe de l’autre jeune femme, lui répondis sereinement :



Excité par leurs corps parfaits et leurs visages de rêve, et encouragé par cette première réaction, je dévêtis à toute allure la ‘bombe’ qui me faisait face, lui retirant également sa culotte (qui finit par s’évanouir dans mes mains) tandis qu’elle me dévisageait avec application ; je lui écartai doucement les cuisses et y plongeai littéralement, collant presque immédiatement ma bouche sur son sexe. Je la sentis se crisper. Je léchai ensuite doucement sa vulve, m’immisçant par instants en elle du bout de la langue, puis lapant ses lèvres et caressant et excitant son clitoris durcissant. Je la sentais s’humidifier et se tortiller en gémissant de manière significative au contact insistant de ma langue sur son sexe. Je m’arrêtai soudain et me redressai pour la regarder, attendant qu’elle me livre à son tour une impression :



Je me marrai encore, mais, observant l’autre qui s’était mise à se caresser doucement la poitrine, lui répondis dignement :



Je lui saisis donc derechef le haut des fesses et me remis à la lécher longuement avec passion ; je lui dévorais littéralement la chatte. J’étais dans un état d’excitation surréaliste, mon sexe bandé à bloc dans son étroit vêtement, et attisé encore par les gémissements de ma partenaire, qui devenaient progressivement de véritables cris à mesure qu’elle se tortillait de plus en plus fort entre mes bras. Je savais qu’elle n’allait pas tarder à jouir ; j’intensifiai encore mes caresses buccales. Je sentis que son plaisir allait atteindre son paroxysme.


Elle se mit bientôt à hurler longuement en se crispant, mais il y eut soudain comme une explosion sous mon visage et elle se désagrégea littéralement en milliards de particules virevoltantes qui tournoyaient à toute allure dans un amalgame d’éclairs de toutes les couleurs. Je reculai en sursautant, croyant avoir pris un énorme coup de jus ; mais je ne ressentais aucune douleur, j’avais juste l’impression d’avoir les cheveux et tous les poils du corps parfaitement hérissés.


Tandis que je me reprenais, les particules ralentirent doucement leur vitesse d’agitation et commencèrent à s’agréger de nouveau pour reformer bientôt le corps sublime que je venais de faire ‘exploser’.



Elle me regardait sans comprendre en répétant simplement : "orgasme…"



Je m’approchai fièrement d’elle, arborant un grand sourire, et m’agenouillai entre ses cuisses qu’elle m’ouvrait grand. Puis je la gratifiai du même traitement, la propulsant doucement jusqu’à l’orgasme en lui léchant sa vulve et son clitoris, et le même phénomène se reproduisit : elle parut se décomposer sous mon visage en grains de lumière tourbillonnants et zébrés d’éclair, avant de se reformer en haletant.


Sa sœur jumelle, ou plutôt son clone, qui nous avait observés tout ce temps béatement en promenant lentement ses mains de son bas-ventre à son entrejambe, attendit cet instant pour me demander astucieusement :



Je m’approchai d’elle en débouclant ma ceinture ; je me dévêtis complètement et me tins un instant devant elles deux, entièrement nu, mon sexe droit comme un i tendu vers leurs visages. Elles observaient ma queue comme s’il s’était agi d’une peinture surréaliste. Je leur en expliquai brièvement son fonctionnement en tant qu’organe de la jouissance mâle, mais, m’estimant rapidement ridicule, optai plutôt pour une démonstration expérimentale.


Suivant mes recommandations, ma première partenaire s’agenouilla sur le canapé, tournant vers moi ses fesses magnifiques. Je m’avançai derrière elle, et ayant rapidement vérifié qu’elle y était prête (d’un doigt baladeur qui ressortit trempé), j’enfonçai presque d’un seul coup mon sexe tout au fond du sien, lui arrachant une longue plainte extatique. Sans lui laisser le temps de se reprendre, j’enserrai ses hanches et impulsai un puissant et rapide mouvement de va-et-vient répétés, qu’elle ponctuait de râles et de brefs hurlements.


Au bout d’une ou deux minutes d’un tel traitement, je la libérai et me retirai de son corps, qui s’effondra presque sur le canapé. Elle tourna sa tête vers moi, me regardant d’un air suppliant par-dessus son épaule, la bouche ouverte et les yeux humides.



Je m’approchai de ma seconde partenaire et la dirigeai pour qu’elle s’installe dans la même position que l’autre précédemment. Je fis courir un doigt entre ses jambes ; elle n’était pas aussi trempée que sa jumelle, mais bien humide quand même. Je frottai un court instant mon sexe contre le sien avant de la pénétrer à son tour presque sauvagement, lui provoquant elle aussi un long cri de délice inattendu. Et comme quelques minutes auparavant, j’assénai d’amples et vifs coups de bassin, projetant profondément ma verge rigide dans son sexe coulant, et provoquant plaintes et gémissements hachés.


L’autre jeune femme s’était retournée pour s’asseoir les cuisses écartées sur le sofa et nous regardait en se caressant entre les jambes ; il semblait qu’elle avait trouvé instinctivement les endroits intéressants à titiller… Je retournai m’occuper d’elle, abandonnant celle que j’étreignais qui s’effondra à son tour dans un dernier râle de bonheur. M’accroupissant très légèrement pour me trouver à sa hauteur, je la pénétrai vigoureusement une nouvelle fois, sans quitter ensuite des yeux ses seins volumineux qui se balançaient au rythme de ses gémissements et à celui de mes impulsions. Elle avait gardé une main posée sur son pubis et ses doigts jouaient très rapidement à faire tournoyer ou monter et descendre son clitoris tout dur.


Nous approchions tous deux de la jouissance ; je sentais son corps se contracter par saccades de plus en plus intenses. Mais je ne voulais pas jouir, je voulais garder des forces pour faire jouir l’autre après elle. Je cessai mes va-et-vient et maintins simplement planté en elle mon sexe plus raide et plus gonflé que jamais ; elle se tortilla autour avec vigueur, oscillant du bassin, sans cesser de se caresser le clitoris à une cadence qui devenait infernale. Je ne la regardai plus et me mis à penser à la faim dans le monde, aux catastrophes naturelles, aux guerres innombrables, au pape et à ma vieille voisine plusieurs fois centenaire.


Et je parvins à me contenir et ne pas jouir moi aussi lorsque je sentis, entendis et vis en rouvrant les yeux ma merveilleuse partenaire se crisper une dernière fois et pousser le début d’un immense hurlement de jouissance. Nous n’en eûmes toutefois jamais la fin, puisqu’elle éclata encore une fois littéralement en ces petits grains de lumière tourbillonnants, qui commençaient à me devenir familiers ; ils me parurent néanmoins tourner bien plus vite que toutes les autres fois précédentes et les éclairs qui les parcouraient étaient infiniment plus nombreux. Plus de temps passa également avant que les grains ne commencent à se réagréger, provoquant apparemment l’inquiétude passagère de l’autre jeune femme, qui cessa un court instant les caresses qu’elle avait à son tour décidé de s’administrer.


Mais le nuage de particules reforma enfin la bombe sexuelle que je venais de faire exploser ; ses contours mirent un instant à se stabiliser ; elle darda finalement dans les miens des yeux admiratifs et reconnaissants, mais épuisés. Je lui adressai un clin d’œil et un sourire :



Elle ne répondit rien, se contentant d’osciller vaguement la tête de haut en bas. Moi, c’était mon sexe, qui continuait d’osciller devant moi ; il pointait toujours droit tendu. Je m’assis sur le canapé, entre les deux jeunes femmes, dont l’une continuait de se caresser doucement. J’invitai cette dernière à venir s’installer à califourchon sur mes cuisses et la guidai pour qu’elle vienne s’empaler sur mon sexe qu’elle maintenait tendu sous elle. Je dévorai ses gros seins avec passion tandis qu’elle montait et descendait vivement autour de ma verge.


Là, c’était moi qui n’allais pas tarder à jouir, alors que j’aurais souhaité que nous atteignions ensemble l’orgasme… Je la soulevai donc doucement en lui tenant les fesses et les pressai ensuite contre moi, contre mon visage ; elle comprit et se positionna de manière à pouvoir venir plaquer son pubis sur ma tête, présentant son sexe trempé à mes lèvres. Je la léchai, la lapai, la dégustai de longues minutes, encouragé par ses gémissements ; ma langue virevoltait de l’arrière de son sexe à son clitoris, s’attardant sur les lèvres brûlantes, puis tournoyant autour du petit corps durci.


Et bientôt, sentant qu’elle ne tarderait pas à jouir elle non plus, je la guidai doucement redescendre s’empaler sur mon sexe prêt à exploser ; elle fit une dizaine de mouvements de bassin rapides et violents que j’accentuai comme je pus, tandis que je lui dévorai de nouveau la poitrine, la tête maintenue pressée contre ses seins par ses mains tremblantes. Nous hurlâmes soudain de concert et je me contractai dans un premier spasme libérateur ; elle me tira les cheveux et parut convulser un court instant au-dessus de moi, puis son corps explosa presque silencieusement en ce désormais fameux nuage de particules tourbillonnantes parcourues de nombreux éclairs rapides et multicolores.


Mais cette fois, en plus des éclairs, les grains de lumière furent parcourus de quelques jets de mon sperme épais qui décollait finalement dans le vide pour retomber bêtement sur moi. Au bout d’une vingtaine de secondes environ, les fragments de matière tournoyante qui avaient commencé par ralentir s’agglutinèrent de nouveau et reformèrent bientôt le corps somptueux désormais apaisé ; et j’eus de nouveau soudainement une bonne cinquantaine de kilos sur les genoux, juste le temps pour ma partenaire de se laisser choir assise sur le canapé. Elle m’observa elle aussi longuement avec un mélange de béatitude et d’enthousiasme. Puis elle désigna les gouttes de sperme sur mon bas-ventre, à côté de mon sexe qui s’amollissait, et me demanda :



Elle passa avec circonspection un doigt sur mon corps, récoltant un peu de liquide gluant blanchâtre qu’elle mena jusqu’à sa bouche ; elle aspira les quelques filets dégoulinant de son index, suçota son doigt un instant, puis le retira avant de déglutir en me regardant d’un air vaguement déconfit. J’attendais en souriant son appréciation :



Devant ses yeux interloqués, je me levai et lui demandai :



Sans attendre la moindre réponse, je ramassai mes fringues et abandonnai mes deux déesses pour aller me laver rapidement.