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n° 12207Fiche technique21901 caractères21901
Temps de lecture estimé : 13 mn
24/01/08
Résumé:  Jean-Baptiste, faute d'approcher Camille, découvre les charmes de sa mère Hélène, sans oublier pour autant Nicole, toujours aussi accorte...
Critères:  fh fplusag extracon voisins profélève lingerie facial fellation cunnilingu pénétratio fdanus fsodo humour -totalsexe -extraconj -fplusag -bourge
Auteur : Solario  (La curiosité est un vilain défaut)            Envoi mini-message

Série : Camille, Hélène, Clémence et les autres...

Chapitre 02 / 05
Hélène

Chapitre 3



Où, au cours du dîner chez les C., la maîtresse de maison se prend d’une affection furieuse à l’endroit de Jean-Baptiste et fait de lui son professeur très particulier, avant que Nicole ne montre une fois de plus l’intérêt qu’elle accorde aux relations de voisinage.






Le lendemain soir et ceux qui suivirent, je revenais frapper à la porte de Nicole mais celle-ci ne me répondait pas. Depuis la rue, je vis qu’il n’y avait pas de lumière et en déduisis avec une grande déception qu’elle n’était pas chez elle.


Puis vint le soir du second dîner chez les C. J’étais en effervescence. Je m’étais branlé deux fois dans l’après-midi pour calmer mes ardeurs. La seule évocation du prénom de Camille me faisait douloureusement bander, je me demandais comment j’allais pouvoir tenir pendant le repas.


J’arrivai un peu en avance, et ce fut Madame C. qui m’ouvrit la porte. Elle portait une robe bleu marine sans manches, très années cinquante, qui mettait en valeur sa taille mais dissimulait ses seins, et juste un collier de perles. Sobre, mais efficace, me dis-je.



Et d’autorité, elle me fit la bise en me pressant le bras.



Après quelques autres banalités d’usage, elle me fit pénétrer dans le salon où Thibaut finissait de préparer les flûtes à champagne. Puis elle m’entraîna dans son bureau pour me montrer des gravures qu’elle avait retrouvées. De très belles pièces, qui avaient sans doute une grande valeur.



Je me demandai ce qu’elle avait à vérifier, mais me contentai d’opiner. Nous prîmes l’étroit ascenseur et notre proximité physique me causa un début d’érection. Hélène était à craquer dans ce petit ensemble. Au niveau du palier, nous aperçûmes Nicole qui rentrait chez elle. Hélène la salua et, dès qu’elle eut tourné la tête, Nicole me regarda fixement et prit ses gros seins dans ses mains en se passant la langue sur les lèvres avant de m’envoyer un clin d’œil, ce qui eut pour effet de faire grossir un peu plus la bosse qui me déformait le pantalon. Je déglutissais péniblement quand Hélène me demanda :



L’ascenseur arrivait au dernier étage et la secousse habituelle qu’il produisit surprit Hélène qui trébucha bizarrement et appuya son joli petit postérieur sur ma queue tendue. Je rougis instantanément et elle dit :



Je lui montrai mes dessins et elle eut l’air réellement aussi intéressée qu’admirative. Penchée sur mon bureau, elle faisait saillir son derrière duquel mes yeux avaient du mal à décoller. Sans se retourner, elle commenta :



Se saisissant des feuilles, elle les feuilleta en silence. Certains d’entre eux étaient un mélange de poses réelles et de fantasmes d’adolescents. Des seins énormes, des bouches pulpeuses, ces détails n’échappaient pas à Hélène qui me regardait à la dérobée.



Elle posa un de mes dessins sur la table et s’accouda dessus en déhanchant son postérieur.



Enhardi par mon expérience avec Nicole, je saisis ma chance et me mis à lui pétrir lentement les fesses. Elle ferma les yeux.



Je venais de coller ma queue sur son derrière et relevai sa robe. Mes mains lui tirèrent les épaules et je la relevai pour lui prendre les seins.



Elle se retourna alors et me dit :



Maintenant à genoux, elle sortit ma queue avec des gestes experts. Elle me branlait lentement et léchait la base de ma verge. Puis elle descendit et prit mes couilles dans sa bouche, l’une après l’autre. Je lui pris la tête et guidait ma bite dans sa bouche. Elle suçait voracement ma queue en me regardant droit dans les yeux.



Alors, elle engloutit mon sexe entièrement, le ressortit, lécha le gland rapidement de la pointe de sa langue, reprit ses va-et-vient. En moins d’une minute, j’explosai dans sa bouche, et elle n’en perdit pas une goutte.


En se léchant les doigts, elle regarda sa montre.



Décidément, la soirée commençait bien…


De retour à l’appartement des C., Hélène me présenta officiellement à Camille. J’étais un jeune artiste à l’impressionnant talent dont le père était un ami de la famille. Ces exagérations sans doute causées par l’enthousiasme de notre récente petite séance me firent sourire. Camille déclara timidement m’avoir déjà croisé dans l’escalier et me serra la main avec une timidité feinte qui la rendait encore plus désirable. Elle portait ce soir une jupe fine rouge qui s’arrêtait au niveau de ses genoux, un chemisier blanc entrouvert qui dissimulait tant bien que mal sa poitrine qu’un soutien-gorge push-up mettait sans doute en valeur. Le contraire aurait été une injure aux lois de la gravité. Elle portait des bas ou un collant, mais la jupe était trop longue pour en être sûr. Au-dessus de ses seins, sa médaille de baptême se baladait au bout d’une chaîne arachnéenne en or. Aucun maquillage visible, et les cheveux noués en une sobre queue de cheval.


Pour ce qui était de mettre en avant, Hélène me mâchait le travail tandis que son mari ponctuait la conversation d’approbations sentencieuses de père de famille. Thibaut restait relativement silencieux et paraissait s’ennuyer ferme. Quant à Camille, elle me fixait sans rien dire, un petit sourire amusé à peine visible au coin de ses lèvres entre lesquelles j’aurais bien glissé une extrémité de mon anatomie. Avant de passer à table, elle s’absenta pour aller se laver les mains. J’étais assis en face d’elle, et Hélène était à ma droite. La conversation ennuyeuse entamée dans le salon se poursuivit dans la salle à manger, et je bandais toujours, hésitant entre la mère et la fille. Soudain, je sentis une pression sur mon entrejambe : Camille me massait la queue du bout de son pied. Je jetai rapidement un coup d’œil entre mes jambes et m’aperçus qu’elle venait d’y déposer sa culotte. Je la regardai, et elle me sourit en mangeant la purée que sa mère avait cuisinée. Tandis que son père nous assommait de ses convictions sur le délabrement des bonnes mœurs dans notre société d’aujourd’hui, j’aperçus Camille qui dessinait dans sa purée du bout de sa fourchette. J’observai plus attentivement et quand je compris le motif qu’elle dessinait machinalement, je n’en crus pas mes yeux. Camille avait dessiné une paire de fesses entre lesquelles elle enfonçait l’air de rien sa fourchette. Quand elle vit que j’avais compris, elle s’absenta de nouveau, prétextant un coup de fil important à passer et à son retour, elle me fit passer son soutien-gorge de la même manière qu’elle m’avait transmise sa culotte, toujours le même sourire aux lèvres.


Arrivés au dessert, nous parlions de ma vie d’étudiant et de mon travail au fast-food. Embarrassé par ce sujet que je trouvais un peu humiliant et ayant beaucoup de mal à me concentrer avec les sous-vêtements de Camille dans chacune de mes poches, je fus sauvé par Hélène qui me demanda :



En disant ces mots je regardai fixement Camille, l’implorant du regard de déclarer que justement, elle mourrait d’envie d’avoir des cours très particuliers. Mais Hélène nous prit de cours tous les deux en déclarant :



Je ne pouvais pas refuser et feignis la joie d’accepter cette proposition. Les cours commenceraient dès le lendemain, Hélène semblait mourir d’envie de tâter de longs crayons très durs…


Je quittai leur appartement un peu déçu, en me consolant à l’idée que ça me rapprochait par ricochet de Camille. En regagnant ma chambre, je vis que la porte de Nicole était ouverte. Bien décidé à sauver ma soirée, j’entrai sans hésiter. L’appartement était plongé dans le noir. En cherchant un interrupteur à tâtons, je touchai soudain un sein que je reconnus. Une main avide se plaqua alors sur ma queue et j’entendis ma belle rouquine ronronner à mon oreille.



Une minute après, alors que Nicole était en train de me lécher le bout de la bite, j’ajoutai :



À ces mots, elle arrêta de me sucer et me prit par la queue pour m’entraîner dans sa chambre. Elle s’allongea sur le lit à plat ventre et écarta ses fesses à deux mains.



Je lui enfonçais alors ma langue dans la chatte et lui aspirais le clitoris tandis que je lui pistonnais son adorable anus de deux doigts. Elle gémissait et son bassin allait à la rencontre de ma bouche.



Je me mis alors à lui lécher toute la raie et j’enfonçai même à l’occasion ma langue dans son petit cul serré. Rapidement, elle me supplia de la sodomiser, ce que je fis.



Ses gros seins ballottaient à chaque mouvement de mes hanches, les tétons raides effleuraient parfois le couvre-lit, la faisant ronronner à chaque fois. Je lui tirai violemment les cheveux pour la redresser et lui pris les seins à deux mains, les malaxant pendant qu’elle s’empalait frénétiquement sur ma queue, m’attirant en elle en plaquant ses mains sur mes fesses.


Après une poignée de minutes d’un tel traitement, je me vidai entre ses reins en la maintenant plaquée sur le ventre d’une main. Je m’effondrai sous elle et manquai de m’endormir, la queue encore raide plantée dans son superbe cul. Elle m’attendait sans doute puisque quelques coups de bassin suffirent à l’amener à l’orgasme. Elle hurla littéralement son plaisir et je me dis que tout l’immeuble devait être au courant que ce soir, elle n’était pas seule.


Je la laissais comateuse sur son lit et regagnais mon petit appartement en titubant. J’avais oublié Camille et sa mère pour tout le reste de la nuit, repensant sans cesse au mouvement pendulaire des seins de Nicole.






Chapitre 4



Où je donne à Madame C. sa première leçon et découvre en elle une élève particulièrement dévouée à son professeur.



La première leçon que je donnais à Hélène ne laissa pas une grande place au dessin. À peine arrivée, elle se frottait contre moi, me susurrant des mots obscènes à l’oreille, enchaînant jeux de mots graveleux et demandes salaces.



Elle me suça, alternant rythme rapide, lent, me demandant ce que je préférais. Je lui pris la tête dans mes mains et lui imprimai mon rythme, baisant sa bouche lentement en prenant garde à ne pas jouir tout de suite. Quand je sentis que l’orgasme allait me cueillir sous peu, j’enlevai ma queue de sa bouche et la passai sur ses joues. Je la fis se redresser et la culbutai brusquement par terre, enfonçant ma tête entre ses jambes, lui baisant l’intérieur des cuisses, lui léchant sa culotte déjà rendue en partie transparente par sa fente humide. Je la léchais longuement, toujours sans enlever sa culotte, écartant par moment le tissu, enfonçant ma langue entre ses lèvres. Elle était comme folle, délirant des insanités incompréhensibles, me plaquant la tête des deux mains avant d’étouffer un long râle de jouissance. Je me redressai et contemplai cette bourgeoise de quarante-cinq ans, le serre-tête de travers, les jambes écartées, la jupe retroussée. Je découvris qu’elle avait ouvert son corsage pour faire sortir ses seins et les caresser pendant que je lui léchais la chatte. Je lui arrachai alors sa culotte, déchirant le dernier rempart qui me séparait encore un peu de son intimité brûlante. Je lui calais les jambes contre mon torse et m’enfonçais en elle d’un seul coup. Si elle paraissait jusque-là endormie, ma brusque pénétration la réveilla instantanément. Elle poussa un petit couinement et étouffa un petit rire nerveux, suivi d’un tremblement de contentement.



J’attrapai alors un bibelot que nous avions fait tomber d’une tablette. Il s’agissait d’un oiseau stylisé en bois poli, une sorte de cigogne, les ailes et la tête le long de son long corps.



J’étouffai sa protestation en plongeant ma langue dans sa bouche. Je la sentis se rendre à mon dernier argument et, quelques contorsions plus tard, je pus sentir mes bourses fouetter ses mains en train de positionner l’objet entre ses fesses. Je ralentis le rythme pour lui permettre de se concentrer sur ce qu’elle faisait. Quand la tête de l’oiseau fut passée, je sentis tout le corps d’Hélène se tendre autour du bibelot et de ma queue.



Elle se pistonnait maintenant toute seule, à tel point que je me sentis presque accessoire. Après une minute, je décidai que ce petit jeu avait assez duré et lui ordonnai de retirer son jouet pour me laisser la place.



Je venais de poser mon gland sur sa rondelle et entamai ma poussée. La préparation facilitait ma pénétration et il me sembla que son cul m’accueillait comme une fleur qui s’ouvre. Je lui bourrai le derrière avec application, avant de la changer légèrement de position. Je la fis se mettre perpendiculaire à moi, une jambe encore contre mon torse. Puis je me retirai, sentant l’orgasme venir. Je me relevai et finit de me branler sur son corps encore allongé par terre. Elle était inerte et j’éjaculai sur ses vêtements, ses cheveux, ses petites lunettes fines. Puis je m’agenouillai devant sa bouche et elle finit de me nettoyer la queue consciencieusement.


Puis je quittai son appartement et partis me reposer chez moi.