n° 12253 | Fiche technique | 36415 caractères | 36415Temps de lecture estimé : 20 mn | 06/02/08 |
Résumé: Camille et Nicole dans l'ascenseur et l'escalier, Hélène chez elle... et il me vient l'idée d'élargir le cercle... Mais Camille a eu la même idée... | ||||
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Auteur : Solario Envoi mini-message |
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Où je croise en même temps Camille dans l’ascenseur et Nicole dans l’escalier.
Quelques jours plus tard, je revenais des cours et croisai Camille dans le hall d’entrée. Il me semblait qu’elle allait sortir. Mais bizarrement elle prétendit qu’elle remontait chez elle. Nous dûmes bien entendu nous serrer dans l’ascenseur et elle colla tout de suite son petit postérieur contre mon sexe qui se raidit instantanément.
Elle ondulait contre ma queue et me regardait en tournant la tête.
L’ascenseur était presque arrivé quand son bras se détendit soudain, sa main appuyant sur le bouton d’arrêt.
Je lui pris les seins à travers son petit gilet et l’embrassai dans le cou.
Nicole, n’ayant pu appeler l’ascenseur, montait à pied et arrivait à notre niveau. Camille souleva son gilet puis ouvrit alors son chemisier et colla ses seins contre la vitre, les bras toujours levés. Mes mains sur sa taille, je continuais à frotter mon pantalon déformé par ma bite contre sa jupette. Nicole s’arrêta devant nous, laissa son sac à main et défit rapidement son imperméable, avant à son tour d’ouvrir son corsage, de défaire son soutien-gorge et d’écraser ses propres seins contre ceux de Camille, tout juste séparés de la jeune poitrine par la porte vitrée de l’ascenseur.
Je venais de baisser la jupe de Camille, la queue sortie, et je m’apprêtai à la pénétrer.
Je venais de la pénétrer.
La scène était décidément trop érotique. Camille semblait perdre le contrôle de son corps. D’un mouvement désordonné, elle heurta le bouton « arrêt » et l’ascenseur redémarra tandis que je me vidais les couilles dans sa petite chatte.
Nous laissâmes Nicole se finir contre la porte en verre et descendîmes à l’étage du dessus. Sur son palier, Camille se rhabilla.
Elle me laissa sur ces mots, les bras ballants sur le seuil de sa porte.
Où Jean-Baptiste donne sa deuxième leçon à Madame C. et lui lance un audacieux défi qu’elle se doit de relever, tandis qu’une paire d’yeux familiers les observe.
Je commençais à avoir du mal à tenir physiquement un tel rythme. Entre mes passages chez Nicole, les deux fois où Hélène m’avait rendu visite dans ma chambre et une branlette rapide offerte par Camille dans la cour de l’immeuble, je me sentais assez fatigué.
Le cours de dessin suivant, Hélène m’attendait l’air contrariée. Je m’enquis de ce qui causait cette mine maussade et elle m’avoua sèchement qu’elle avait croisé Nicole et que cette dernière lui avait avoué avoir rencontré récemment un « jeune étalon » monté parfaitement et qui lui prodiguait tous les plaisirs possibles.
Elle me faisait une crise de jalousie ! Si elle avait su ne serait-ce qu’un quart de toute l’histoire, la pauvre ! Je refusais de me laisser entraîner sur ce terrain là, d’autant que je savais que Camille nous écoutait cachée dans le cagibi, sans doute déjà la main dans la culotte. Je décidai d’y aller à l’instinct et je giflai sèchement Hélène. Aller et retour.
Je levai ma main de nouveau et sa réplique mourut sur ses lèvres.
Elle s’exécuta aussitôt et me prit dans sa bouche. Je la prenais en photo, la renvoyant par la suite se maquiller de manière outrancière, je lui fis se faire une natte et mettre les sous-vêtements trop petits de sa fille. Aucune des nouvelles limites que j’imposais ne l’effrayait. Par la porte entrouverte, j’apercevais Camille qui se masturbait comme une folle. Je pris sa mère dans toutes les positions ; quand je l’enculais, Camille dut jouir et fit un drôle de bruit.
Sa peur d’être surprise tout à l’heure me donna une idée. Alors que je venais de jouir sur le soutien-gorge rose de Camille qu’elle portait, je lui demandais :
Instantanément elle pâlit.
Je venais de lui mettre un autre doigt dans le cul et la menais jusqu’au bord d’un nouvel orgasme. Puis, brusquement j’arrêtai.
Elle me supplia, pleura même un peu mais je restais ferme et la laissai dans cet état, en me demandant si je n’étais pas allé trop loin, cette fois-ci.
Où Camille se fait attachante et introduit Jean-Baptiste à Pauline, une de ses plus chères amies.
Quand Camille vint me rejoindre ce soir-là, nous rîmes un bon moment en se demandant si sa mère irait jusqu’au bout. J’essayai de l’attirer dans mon lit mais elle se refusa à moi.
Elle grimpa sur mon lit et se pencha alors sur moi, défaisant ma ceinture. Je crus que j’allais finalement être autorisé à lui faire emprunter les mêmes chemins que sa mère et moi avions pris cet après-midi. Elle défit ma ceinture en m’effleurant la queue à travers le pantalon avant de me pousser sur le dos. Elle remonta ma chemise et caressait mon torse de ses cheveux. Quand je voulus la toucher, elle s’allongea sur moi et, en m’embrassant fougueusement, elle me plaqua les bras derrière ma tête. Je fermai les yeux un instant pour savourer le plaisir de sentir sa culotte contre mon torse quand soudain, elle m’attacha les mains à un montant de mon lit avec ma propre ceinture. Elle sortit ma queue de mon pantalon, la prit dans sa main et la lécha sur toute sa longueur, les yeux dans les miens.
Puis elle se redressa, m’attacha les jambes avec les draps et entama un long strip-tease à l’issue duquel elle me déshabilla également.
Elle enleva tout d’abord son gilet, défit ses cheveux puis dégrafa son soutien-gorge. Ensuite, toujours en dansant de façon lascive, elle s’accroupit tête-bêche au-dessus de moi et ondula du bassin à quelques centimètres de mon visage. Je ne pouvais que la lécher. De son côté, elle se contentait de frôler ma queue avec ses cheveux. Je la suppliai de me prendre dans sa main, elle se dégagea, revint à genoux devant moi et me branla dans ses cheveux, lentement. À une ou deux reprises, elle me lécha le bout du gland, juste pour maintenir l’espoir. Puis elle s’enfonça une bougie dans la chatte et, accroupie et me tournant le dos, elle se mit à onduler au-dessus de mon visage, jusqu’à ce que j’attrape la bougie entre mes dents. Elle entama alors un lent va-et-vient sur la bougie. Elle se fit jouir sur la bougie, toujours coincée dans ma bouche. J’étais aux premières loges pour voir rentrer et sortir la chandelle dans sa petite chatte et quand elle atteint l’orgasme, ma frustration était à son comble.
Après avoir joui, elle se leva et partit prendre une douche, sourde à mes suppliques. En ressortant, elle se sécha les cheveux, uniquement vêtue de sa jupe plissée et de ses petites baskets blanches, ses seins se balançant librement.
Elle regarda l’heure et me dit :
Quand elle revint, j’étais bien entendu toujours entravé sur le lit. Pauline pouffa en me voyant. Elle me salua en riant. Elle était plus petite et plus ronde que Camille. Sous son pull, on devinait deux gros seins lourds qui répondaient de façon un peu symétrique à son postérieur rebondi, recouvert par une petite jupe en laine. Ses yeux était cernés de noir et sa bouche peinte d’un rose à lèvres pailleté.
Pauline venait d’envoyer valser ses chaussures et d’enlever son pull. Son soutien-gorge et sa culotte suivirent et quand elle monta sur le lit elle ne portait plus que ses mi-bas. Elle s’assit à califourchon sur moi, m’écrasa ses gros seins sur le visage en riant et me dit :
Ma queue venait de se dresser et frôlait les poils de son pubis. Elle se retourna et s’assit tout simplement sur mon visage en se trémoussant.
Camille s’était assise sur moi et se passait ma queue dans la raie, nonchalamment. Pauline se leva de mon visage.
Et elle plongea la sienne dans ma bouche lentement, tournant autour. Je lui suçais les lèvres et mourrais d’envie de lui toucher ses gros seins laiteux. Camille de son côté les prenait dans ses mains, les pressait entre ses doigts, n’en laissant sortir que les tétons qu’elle présentait à ma bouche. Pauline me fouetta alors doucement le visage de ses seins, je trouvais ça délicieux. Soudain, elle se raidit. Je ne pouvais pas voir ce que Camille faisait mais je la sentais remuer depuis quelque temps.
J’avais vraiment l’impression d’être devenu un jouet dont les deux jeunes filles abusaient, mais étrangement, ce sentiment n’était pas si désagréable, d’autant que leurs anatomies se frottant à la mienne produisaient de sacrées étincelles.
Quand Camille prit ma queue pour la planter dans la chatte de Pauline, une décharge de plaisir me causa presque un orgasme. Sa chatte était la plus serrée dans laquelle ma bite soit jamais rentrée. Et étonnamment très chaude. Je savourais ce plaisir quand je sentis la poussée du gode que Camille s’était attaché à la taille.
Après deux minutes de ce traitement, Pauline se tendit et s’effondra sur moi, ses deux gros seins m’écrasant le torse. Elle me posait de petits baisers sur tout le visage en me remerciant. Puis elle me détacha et je pus enfin lui malaxer ses gros nichons. Je la retournai sur le dos et m’installai à califourchon sur elle.
Sur ces mots, je calai ma bite quelque peu ramollie et enduite de sa mouille et de mon foutre entre ses seins. Une minute après, ma queue reprenait de la vigueur et je coulissais aisément entre ses deux nichons. Elle les prit dans ses mains et les compressa pour augmenter mes sensations. Quand ma queue poussait assez loin, elle la prenait dans sa bouche. Au bout de cinq bonnes minutes, je me levai et lui jouis dessus, envoyant de longs jets de sperme qu’elle reçut sur les seins, le menton et les cheveux. Camille, le gode-ceinture toujours en place, vint l’embrasser et lécher le foutre qui maculait le visage de Pauline.
Camille et Pauline se lovèrent contre moi et nous nous caressèrent encore pendant deux heures.
Où face à la difficulté, Hélène C. se révèle et relève le défi au-delà des espérances du corps enseignant.
Pendant la semaine, Hélène vint deux fois me supplier à travers ma porte fermée de changer d’avis. Elle me promit tout, sauf ce que j’exigeais. Mais je restais inflexible. Je voulais voir jusqu’où elle pouvait aller.
Le lundi suivant, je descendis enfin chez les C., bandant déjà à l’idée que mon vœu allait s’exaucer. Hélène m’ouvrit, pâle comme un linge. Sans un mot, l’air terrifiée, elle me prit à part avant de me faire passer dans le salon.
Elle se dégagea, se recoiffa dans la glace avant de me faire passer au salon où une femme du même âge qu’elle nous attendait, une tasse de thé à la main. Les cheveux teints en un roux foncé, de grandes lunettes en amande, Brigitte n’était pas très jolie mais assurément pulpeuse : de gros seins et un gros cul appétissants. Ses vêtements un peu trop petits pour ses formes pleines, et quelques détails excentriques comme ses pendants d’oreille fluos et son sac à main de midinette me laissaient pour je ne sais quelle raison un léger espoir.
Je savais donc qu’Hélène et elle s’étaient connues au pensionnat et m’imaginais une mère supérieure salope nymphomane qui abusait de ses élèves pas si sages, quand soudain Brigitte me demanda.
Hélène tremblait légèrement, confuse et gênée par la situation. Peut-être plus encore par ce qui risquait d’arriver, ou de ne pas arriver.
Je me levai et passai derrière son dos en poursuivant.
Je sentais que je jouais serré, Hélène avait agi à la va-vite et invité une femme qu’elle ne connaissait pas, et Brigitte ignorait la raison secrète de sa présence ici. Je me mis à lui masser les épaules.
Ignorant de quoi je parlais, Hélène vint s’asseoir sur le petit repose-pieds et prit dans ses mains les pieds de Brigitte, qu’elle déchaussa en ayant l’air de savoir ce qu’elle faisait. Cette dernière posa sa tasse de thé et essaya de se donner une contenance.
Je sentais qu’elle mordait à l’hameçon, ça allait peut-être marcher après tout. Même Hélène avait l’air moins terrifiée.
Je décidai d’aller à la pêche, pour voir :
Elle aimait ça la cochonne, elle allait être servie.
Hélène acquiesça.
Je plaquais alors ma queue tendue sur sa nuque tout en continuant à la masser.
Je fis signe à Hélène de passer aux choses sérieuses en sortant ma langue et en indiquant Brigitte du menton. Elle fit non de la tête mais mon regard la réduisit au silence et elle se mit à masser les mollets de Brigitte, puis les genoux. De mon côté, je retournais m’occuper des deux gros obus de notre invitée, passant désormais ostensiblement sur ses pointes tendues.
Brigitte se mordait les lèvres, Hélène avait les deux mains sous sa jupe et lui écartait doucement les jambes. Elle n’avait plus du tout l’air apeurée. Je lui mis les mains sur les yeux pour qu’elle ne soit pas choquée par la vue de la situation et lui massais doucement les paupières.
Brigitte s’était raidie et refermait ses jambes. Je la tirai contre moi et lui collai la nuque sur ma bite tendue à l’extrême.
Hélène avait enfoui sa tête entre les jambes de Brigitte, qui les écartait volontairement. À genoux, elle pétrissait maintenant ses deux gros nichons dont je pinçais les bouts.
Brigitte était comme hystérique, possédée par son désir. Je la levai, finis de la déshabiller et l’assis sur le canapé. Debout devant elle, je sortis ma queue et, lui tirant les cheveux, je lui enfonçai d’autorité ma bite dans la bouche, ratant mon coup une première fois avant de prendre possession de ses lèvres pincées.
Je rentrais et sortais de sa bouche dans d’obscènes bruits de succion, à l’aide de ma queue luisante de salive je faisais baver son maquillage avant de lui baiser la bouche de nouveau. Pendant ce temps, Hélène avait repris position entre les jambes dodues de Brigitte et, à l’aide du bibelot en forme de cigogne qu’elle affectionnait maintenant tellement, entamait de lui ramoner la chatte.
Au moment de jouir, je maintins la tête de Brigitte entre mes mains et me vidai dans sa bouche tandis que l’orgasme qu’Hélène lui offrait lui faisait monter les larmes aux yeux.
Je savais qu’une fois le plaisir passé, la honte viendrait peut-être s’emparer de Brigitte, j’enchaînai donc aussitôt.
J’attrapais une bougie et reproduit ce que Camille m’avait infligé : j’enfonçai le cierge dans la bouche d’Hélène et invitai Brigitte à s’empaler dessus. Le spectacle était sublime. Les gros seins de Brigitte se balançaient en rythme au-dessus de la chatte d’Hélène qui, la bougie serrée entre ses dents, besognait son ancienne camarade de classe. Satisfait, je les laissais s’amuser encore un peu avant d’ordonner à Hélène de présenter sa chatte à Brigitte. Je demandai à cette dernière de rouler sa langue pour en faire un simulacre de petit pénis qui viendrait pénétrer Hélène à chacun de mes coups de boutoir.
Je me positionnai derrière le gros cul de Brigitte et la pénétrai sauvagement, envoyant sa langue s’enfoncer dans la chatte d’Hélène qui, le feu aux joues et les cheveux collés par la sueur, s’abandonnait au spectacle en me remerciant du regard.
Hélène était passée en dessous Brigitte maintenant, et elle me léchait les bourses chaque fois qu’elle pouvait les attraper avant qu’elles ne s’écrasent sur la chatte de Brigitte. Celle-ci vagissait des sons inarticulés, ses deux gros seins lourds battant un rythme connu d’elle seule, tandis que je me retirai avant de lui exploser une quantité impressionnante de foutre en plein visage et dans les cheveux.
Hélène vint lui nettoyer le sperme qui constellait son front et ses pommettes et partagea sa récolte en lui roulant une pelle longue et visqueuse.
Je me rhabillai rapidement et fus assez étonné que Brigitte ne prenne pas la poudre d’escampette. Nue sur le canapé, elle se touchait les seins l’air absente, un sourire béat. Je fis un clin d’œil à Hélène et partis raconter tout ça à Camille.