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n° 12210Fiche technique25357 caractères25357
Temps de lecture estimé : 15 mn
26/01/08
Résumé:  Comment mon ex m'a offert un cadeau qui me faisait envie depuis longtemps : un trio dont elle a été l'héroïne.
Critères:  fh fhh fplusag couple extraoffre grossexe fépilée voir pénétratio double sandwich fsodo attache yeuxbandés init -totalsexe -inithf -couple+h
Auteur : Honey_lover      Envoi mini-message

Série : Ellen, mon ex

Chapitre 01
Mon ex m'a offert un trio inoubliable

Je me présente, Kevin, j’ai 53 ans. Mais à l’époque de cette histoire que j’ai décidé de vous raconter, j’en avais tout juste 43. Je venais de me séparer de mon épouse, une charmante blonde d’un an plus âgée que moi qui, sans être une beauté, savait attirer l’attention et les regards. Ses yeux bleus coquins et son sourire prometteur en étaient sans aucun doute la cause.


Nous avions décidé de continuer à nous voir, sexuellement, pour satisfaire notre libido sans se heurter à des impératifs de sortie jusqu’à « pas d’heure », cour assidue et restaurant sans résultat, déception du partenaire, etc., du moins jusqu’à ce que l’un de nous ait une liaison sérieuse. Pour continuer à assouvir pleinement notre besoin de chair, nous avions convenu que les relations sexuelles avec des tiers seraient toujours protégées. Nous savions pouvoir nous faire confiance dans ce domaine.


J’ai décidé de vous raconter aujourd’hui comment mon ex a accepté, alors que nous étions séparés depuis de nombreux mois, de satisfaire un de mes fantasmes consistant à la voir jouir sous les assauts d’un autre homme. Je ne lui avouai ce fantasme que bien après notre séparation, alors que nous étions en train de faire l’amour comme un vieux couple, à la missionnaire. J’ai senti à ses réactions qu’elle partageait aussi ce désir. Elle se mit à jouir intensément alors que je lui servais un scénario où elle se ferait prendre par deux hommes à la fois ou qu’elle aurait à sa disposition deux bites à sucer ou à branler selon son désir.


À la fin de nos ébats, elle me dit qu’elle était d’accord et qu’elle m’offrirait ce cadeau car, même si nous étions séparés, j’avais toujours été quelqu’un de spécial pour elle. Elle me donna son feu vert pour le choix des candidats, excluant d’emblée les amis communs, relations de travail ou sportives qui pourraient entraîner par la suite des situations gênantes. Elle me précisa qu’elle aimait maintenant avoir affaire à des jeunes bites, plus enclines à cracher rapidement leur semence il est vrai, mais dotées de facultés de récupération bien plus intéressantes que les plus âgées.


Je sélectionnai le fils d’une amie, âgé de vingt ans tout juste, ne possédant pas une allure sportive ni un physique de jeune premier, mais sélectionné pour sa discrétion et la masse que j’avais pu apercevoir sous son slip de bain à chaque fois qu’il venait à la maison profiter de la piscine. Une de nos conversations m’avait permis d’apprendre qu’étant très timide, il était encore puceau mais que cela ne l’empêchait pas de solliciter plusieurs fois dans la journée, sa maîtresse qu’il appelait en rigolant « doigts de fée ».


Ellen ne voulu rien savoir de mon choix, du moment qu’il était jeune et que j’étais sûr de sa discrétion à venir. Je débarquai donc un soir chez elle afin de mettre mes projets à exécution. Il était convenu que Thomas, devenu en quelque sorte mon filleul pour les affaires d’éducation sexuelle, me rejoigne plus tard.


Dès mon arrivée, je bandai les yeux d’Ellen, lui laissant ses dessous, un string et un soutien-gorge laissant apparaître le bout de ses seins. Je décidai de l’attacher aux montants de son lit, utilisant plusieurs de ses foulards. Elle était prête à être offerte à mon petit protégé.


En attendant son arrivée, je commençais à la caresser sur tout le corps, lui décrivant ce que j’attendais d’elle, du désir que j’avais de la voir se faire embrocher par une autre queue que la mienne. Je la prévins que j’allais lui ôter son bandeau au moment de sa jouissance, afin de bien voir ses yeux virer au blanc, chavirer dans le néant, car elle était toujours plus belle dans ces moments intenses de plaisir. Elle me dit qu’elle ne voulait pas voir le visage du jeune homme, aussi je la rassurai en lui disant qu’il la prendrait en levrette pour la faire jouir. Ainsi elle pourrait soutenir mon regard jusqu’à la jouissance. Elle était de plus en plus trempée. Je vérifiai en passant un de mes doigts entre ses lèvres, sous le string. Il ressortit luisant d’une mouille que je lui fis sentir.


Thomas arriva pile à l’heure. Très intimidé, il rentra dans la chambre, hésitant à se déshabiller entièrement. Il garda son slip. Il ne bandait pas encore aussi je l’invitai à se rapprocher d’Ellen, de profiter du spectacle offert et de toucher, car il et elle étaient là pour ça.


Dès que ses jeunes mains se sont posées sur la peau d’Ellen, celle-ci a tremblé, comprenant que le sort en était jeté et qu’il n’était plus temps de reculer. J’écartai moi-même le string d’Ellen afin de lui montrer sa chatte dont les lèvres entrouvertes avaient changé de couleur pour tourner à un rouge foncé. Il se pencha pour bien voir la vulve entièrement épilée, conforme à nos habitudes d’antan. Je commentais le spectacle assurant au petit Thomas que lorsque sa chatte était dans cet état, elle était prête à recevoir le mâle. S’il voulait, il pouvait tout de suite prendre un acompte et y glisser sa queue, histoire de se mettre en condition car j’adorerais voir tout de suite une bonne saillie.


Ellen commençait à respirer plus bruyamment, excitée par mes paroles. Je vis Thomas s’approcher d’elle, allonger ses mains en direction du sexe d’Ellen. Il en posa une sur son pubis, le caressant doucement et plongea maladroitement l’autre entre les lèvres turgescentes. Ellen se cabra au contact des doigts qui l’ouvraient. Il bougea ses doigts les faisant aller et venir au milieu des lèvres, montant jusqu’au clitoris et les faisant pénétrer légèrement dans l’ouverture béante.


Ellen ne bougeait plus, adorant elle aussi subir les assauts du mâle, habituée aux pratiques que je lui avais imposées pendant plusieurs années. Elle y avait pris goût et savait donner le change en ne laissant rien paraître, excepté quelques râles sourds lorsque je m’enfonçais sans ménagement tout au fond de son ventre. Sans qu’il n’y paraisse, je voyais qu’Ellen adorait les gestes maladroits de ce jeune étalon intéressé par la découverte de son sexe.


Il glissa un, puis deux doigts dans sa vulve, les ressortit pour les porter à son nez en disant que son sexe sentait bon. Que ça l’excitait de voir une foufoune de femme. Que les jeunes ne sentaient pas la même odeur. Il se tourna pour me montrer qu’il bandait ferme. Il tomba d’un trait le slip et s’approcha la queue dressée à la verticale, progressant à genoux entre les jambes écartées d’Ellen.


En voyant son membre en pleine érection, je me suis dit ne pas avoir été trompé par le paquet qu’il cachait dans son slip de bain. La grosseur de sa verge surmontée par un gland étonnamment fin et étiré, était impressionnante non pas par sa longueur mais surtout par son calibre. Je sentais son impatience de la fourrer. Je le laissais faire prévenant Ellen que son étalon était pressé de se loger dans sa petite chatte et qu’elle n’allait pas être déçue.


Elle ne répondit pas mais je voyais sa vulve s’ouvrir par à-coups, appelant la pénétration d’une jeune bite juvénile. J’eus soudainement peur qu’il n’éjacule dès que son gland commencerait son entrée au milieu des chairs intimes, me rappelant ma première expérience de jeune puceau. Il tenait maintenant sa queue d’une main et se penchait vers elle. Je lui fis signe de ne pas se presser pour bien sentir la progression de son sexe à l’intérieur du ventre d’Ellen. Il posa son gland à l’entrée, le mouillant des abondantes sécrétions, puis je le vis pousser ses reins vers l’avant. Ellen rayonnait de bonheur, sentant le membre progresser doucement dans son ventre. Je vis son visage exprimer la surprise lorsqu’elle sentit son épaisseur. Elle retint son souffle, un peu inquiète du volume qui se frayait un passage dans ses entrailles, essayant à ses sensations d’évaluer la taille de l’engin qui la perforait.


Puis, n’y tenant plus, satisfaite de se sentir écartelée de l’intérieur, elle essaya de descendre son bassin pour qu’il s’enfonce à fond. Ses couilles pendaient et butaient maintenant contre ses fesses. Il se retira prestement et saisit sa verge à la base du gland, me soufflant qu’il avait failli jouir. Il glissa alors plusieurs de ses doigts en lieu et place de sa tige, laissant le plaisir retomber, suant à grosses gouttes.


Ellen continuait ses mouvements d’avant en arrière, s’empalant sur les doigts du jeune homme un peu pris de cours. Pour faire retomber un peu la tension, je m’avançai et après les avoir lubrifiés dans les plis de sa chatte, je posai mes doigts sur son bouton d’amour. Je lui dis que j’allais prendre le relais car sa chatte était trop bonne et Thomas avait failli jouir. Ellen me souffla que ce n’était pas une petite queue que je lui avais choisie et qu’elle avait hâte de la sentir encore en elle. Elle en avait eu le souffle coupé en sentant ses chairs s’ouvrir. Je continuai à la masturber, lui assurant qu’elle allait en prendre jusqu’à plus soif, et je l’ai menée jusqu’à sa première jouissance de la soirée avec un grand :



Au même moment, profitant du fait qu’Ellen soit toujours entravée les jambes largement écartées, Thomas positionna à nouveau son gland devant l’entrée et d’une seule poussée, se logea au tréfonds de ce ventre encore secoué de spasmes. Il commença ses allers-retours comme un métronome alors qu’Ellen était encore dans les « vapes ». Elle ouvrit la bouche, me soufflant que c’était bon, que sa grosse queue était en train de lui fendre le ventre, que c’était fou mais qu’elle sentait la jouissance revenir.


Elle me demandait de lui dire de ne pas s’arrêter car ça venait, c’était là, elle jouissait encore. Thomas, à ces mots, se raidit d’un coup, serra les fesses et s’immobilisa la bite profondément enfoncée dans son ventre. Je voyais qu’il était en train de décharger sa semence dans le vagin de mon ex. Ses couilles ne pendaient plus, accrochées à la base du gland, expédiant leur contenu dans le ventre d’Ellen.


La saillie avait été rapide mais mon ex avait adoré être secouée sans ménagement, m’affirmant que cette jeune bite ne débanderait pas et serait prête immédiatement à lui rendre un nouvel hommage. Rajoutant que c’était ce qu’il y avait de bien avec ces jeunes puceaux. À peine joui, ils en redemandent.


Thomas était solidement agrippé aux hanches d’Ellen, marquant sa possession de ce corps qu’il n’aurait jamais espéré pour pouvoir s’approprier. Il dégrafa alors son soutien-gorge, libérant les seins généreux. Les tétons étaient encore fièrement dressés, électrisés par deux jouissances successives. Thomas posa ses lèvres sur les mamelons et se mit à les téter comme un bébé le ferait avec sa mère. Il passait impatient d’un sein à l’autre, arrachant des soupirs de contentement à son amante.


Il se remit à bouger, recommençant un coït quelques minutes à peine après avoir copieusement déchargé. Ellen me prit à témoin m’assurant qu’il était de nouveau dur, qu’elle sentait dans son ventre sa queue reprendre vie. Elle me remercia du choix de l’étalon, qu’elle voulait en profiter et qu’il la baise à fond jusqu’à ce qu’il n’ait plus de jus dans les couilles.


Elle me demanda de la libérer car elle voulait toucher la peau juvénile de son jeune amant. Elle avait envie de le prendre en bouche, de goûter à son jeune sperme, certaine qu’il ne lui faudra pas longtemps pour pouvoir l’embrocher à nouveau. Je la détachai et l’invitai à se positionner en levrette. Je lui ôtai le bandeau alors que Thomas, l’investissait à nouveau, lui arrachant un cri rauque de bête blessée. Plantant ses yeux dans les miens, elle me dit que ce petit con allait la faire jouir encore une fois. Elle me demanda de ne pas perdre une miette du spectacle d’Ellen en train de se faire mettre par un jeune puceau, et surtout d’Ellen en train de jouir pour la troisième fois en si peu de temps.


Thomas, accroché aux hanches d’Ellen, lui balançait des grands coups de reins, la faisant trembler à chaque pénétration. Il tirait en même temps sur ses hanches pour la perforer encore plus loin. Ellen ne me quittait pas des yeux, son regard accroché au mien. Elle m’avait promis une jouissance en direct, les yeux dans les yeux, me permettant de pénétrer au plus profond de son intimité.


Sa tête bougeait au rythme des coups de boutoir de son étalon. Je vis dans ses yeux la jouissance arriver au galop. Elle me sourit juste avant d’écarquiller des yeux hagards, de se recroqueviller sur elle-même, de se raidir de tous ses muscles et de laisser éclater sa jouissance dans une longue plainte rauque que je ne lui connaissais que trop. Comme promis, elle a gardé ses yeux dans ma direction, me laissant voir ses pupilles basculées, se retourner pour ne laisser voir que le blanc de ses yeux.


Thomas ralentit sa cadence infernale, il n’avait toujours pas joui. Je me dis avoir décidément fait un bon choix. Il laissa Ellen s’écrouler à ses genoux, le fessier en l’air, terrassée par le plaisir. Le bougre en voulait encore mais il attendit sagement qu’Ellen refasse surface. Je replaçai prestement son bandeau sur ses yeux mais elle m’en empêcha, déclarant vouloir connaître le propriétaire de cette bite infatigable.


Elle reconnut immédiatement Thomas. Elle lui sourit en lui disant qu’il était déjà un bon amant et qu’il pourrait revenir la voir s’il savait rester discret. Voyant qu’il n’avait pas encore joui, elle se retourna pour prendre en bouche le vit légèrement débandé. En quelques succions, il avait repris de sa superbe. Elle se tourna vers moi et me demanda si j’avais aimé la voir jouir sous les assauts de ce jeune étalon. Je lui déclarai que si nous n’avions pas été mariés et en pleine séparation, je l’aurais épousée sur le champ.


La voir jouir si près de moi, des œuvres d’un autre mâle, était un plaisir incomparable, un cadeau inoubliable. Elle me dit qu’elle commençait à fatiguer mais que visiblement pas son étalon. Il fallait donc qu’elle retourne à l’ouvrage. Je l’encourageai en lui demandant de lui distiller une de ses fellations dont elle a le secret. Elle goba littéralement le gland mais ne put aller très loin, gênée par le calibre de l’engin. Elle se mit à enrouler sa langue autour du gland, le flattant, descendant jusqu’au-dessous des couilles pour ensuite remonter en léchant la hampe jusqu’à son sommet, elle insistait sur le frein, déclenchant des « ouiiii, oh ouiii » de satisfaction du propriétaire.


Pendant ce temps, excité par ce spectacle, je décidai d’y prendre part. Je me délestai rapidement de mes vêtements et approchai Ellen par l’arrière. Je posai une de mes mains sur le haut de son fessier lui faisant comprendre que j’allais la prendre et passai l’autre entre ses lèvres intimes dégoulinantes de sperme et de cyprine. Je pointai mon gland dans l’entrée et Ellen se cambra au maximum afin d’offrir plus d’amplitude à ma pénétration. D’un seul coup de rein, je l’embrochai jusqu’à la garde sachant que le passage de Thomas avait déjà détendu son con. L’intromission autoritaire déclenchant quelques soupirs de satisfaction. Je fis ainsi quelques allers et retours afin d’être bien lubrifié puis, me retirant complètement, je posai mon gland devant son petit anneau plissé.


Ellen ne bougeait plus, attendant l’assaut, elle s’était arrêtée de sucer Thomas qui m’observait avec le plus grand intérêt. Je poussai une première fois, heureux de voir les plis se détendre pour permettre l’entrée de la tête, je poussai encore une fois pour passer une bonne partie de ma verge puis une dernière fois pour me loger au plus profond des entrailles d’Ellen. Elle me dit qu’elle était tellement excitée que j’aurais pu la sodomiser en une seule poussée. Je voyais effectivement son cul bouger autour de ma queue, s’animer par petites contractions. Je commençai alors à bouger, des grands mouvements, faisant ressortir presque la totalité de mon vit de l’orifice pour replonger aussitôt mais jusqu’au fonds.


Ellen me dit que je l’enculais comme un dieu. Que ma queue lui retournait le cul et que c’était un délice. Je basculai alors sur le dos, la tenant par les hanches pour l’entraîner dans ma chute, toujours embrochée jusqu’à la garde. Thomas compris immédiatement et se plaça immédiatement entre mes genoux, soulevant les cuisses d’Ellen pour accéder à sa grotte. La bite en avant, elle s’engouffra dans l’ouverture. Ellen accusa le coup et posa ses mains de chaque côté de nos corps, afin de ne pas perdre le contact avec ma queue dans son cul.


Thomas tenait Ellen en appuyant sous ses genoux repliés vers sa poitrine, il lui balançait des coups de reins amples et profonds, la faisant aller et venir sur mon ventre, faisant coulisser mon membre dans son petit cul. Ellen avait posé sa tête sur ma poitrine et murmurait des mots sans suite, me disant que j’étais fou de lui faire faire des choses pareilles. Elle me remerciait en même temps du plaisir qu’elle était en train de prendre. Elle sentait nos deux queues à l’intérieur d’elle, elle se sentait remplie comme jamais. Elle ne croyait pas pouvoir connaître un tel plaisir.


Tout à coup, elle me dit que le plaisir arrivait encore. Qu’elle allait jouir du cul et du con. Elle me redit que le petit con allait encore la faire exploser. Je ne relevai pas qu’elle m’avait zappé de l’action alors que j’étais bien figé entre ses fesses. Elle me demanda de l’enculer plus fort, au même rythme que Thomas ce que je fis immédiatement. Quelques secondes après, elle poussa un long feulement de bête, qui resta suspendu dans la pièce. Elle me planta ses doigts dans les avant-bras pour se mettre à trembler de tout son corps, secouée de spasmes impressionnants. Elle cria qu’elle jouissait, que c’était bon, que nous étions deux salauds de lui perforer l’anus et le con en même temps, que c’était trop bon.


Elle continua d’enchaîner des mots encore des mots puis se laissa retomber de tout son poids sur moi. Thomas et moi n’avions pas encore joui. Il lui maintenait les jambes en l’air, la chatte dégagée, toujours emmanché jusqu’à la garde. De mon côté, j’essayais de maintenir mon gland dans l’ouverture, attendant qu’Ellen reprenne vie.


C’est en fait nos deux queues recommençant à bouger qui l’ont fait sortir de sa torpeur. Elle me dit qu’on lui avait défoncé le cul et qu’il valait mieux que nous passions par l’autre porte maintenant car sinon tout le monde pourrait voir à sa démarche qu’elle s’était faite sodomiser grave. Elle rajouta que nous allions la tuer à la baiser comme ça mais qu’elle m’avait promis me donner entière satisfaction.


Je me dégageai, libérant son anus et l’embrassai à pleine bouche pour la remercier. Thomas entretenait sa trique en coulissant doucement dans le sexe d’Ellen, ce qui la fit rire en disant que décidément il était vraiment accroc de la baise celui-là.



J’en profitai pour m’essuyer la queue, piquant une lingette dans le chevet d’Ellen. Thomas demanda à Ellen s’il pouvait l’enculer car il n’avait jamais connu ce plaisir. Ellen me regarda et me dit :



Puis, s’adressant à Thomas :



Elle s’installa à quatre pattes et présenta ses fesses à l’intrus. Il ne se fit pas prier et, la queue fièrement dressée, il s’engouffra en douceur dans les entrailles d’Ellen qui, le souffle court, me dit :



Intérieurement, je l’adorais et je m’étonnais de ne pas lui avoir proposé, alors que nous étions ensemble, ces jeux qu’elle semblait vraiment apprécier. Je voyais le plaisir dans ses yeux mais peut-être était-ce aussi la satisfaction de permettre à un jeune puceau de connaître, dès sa grande première, la sodomie, en prime.


Thomas fermait les yeux de plaisir, il commentait ses sensations en affirmant que c’était bien meilleur que dans une chatte, qu’il sentait bien les parois du cul serrer sa bite. Il accentua la pression de ses mains sur les hanches d’Ellen, augmentant également l’amplitude et la force de ses coups. Ellen me regardait, épuisée, elle me lança un regard presque suppliant m’affirmant que ça revenait, qu’il allait encore la faire jouir. Elle glissa l’une de ses mains vers son ventre, la posant sur sa chatte et appuya sur son bouton d’amour gorgé de sang. Elle avait du mal avec un seul bras à garder son équilibre. Heureusement, Thomas la maintenait fermement par les hanches.


Je m’approchai lui demandant de jouir dans mes yeux. Thomas la besognait maintenant franchement, l’empalant sur son vit à chaque poussée vers l’avant. Ellen me cracha dans un souffle :



Elle se ramassa progressivement sur elle-même, contractant les muscles de son dos, de son ventre tandis que Thomas délirait sur le plaisir qu’il avait à lui prendre le cul. En la remerciant, il se mit à jouir, tapissant les entrailles de mon ex de son sperme juvénile. Dans le même temps, Ellen les yeux imbriqués dans les miens me lâcha :



Et elle se tut me montrant à nouveau le spectacle inoubliable de ses prunelles basculant vers l’arrière pour me présenter le blanc impressionnant de ses yeux. Elle resta arc-boutée sur elle-même, de longues secondes, laissant les ondes de plaisir parcourir tout son corps. Thomas finissait de se vider dans la grotte qu’il venait de visiter, appréciant jusqu’à l’ultime seconde la chaleur accueillante du cul d’Ellen. Il lui flattait les reins, attendant qu’elle s’anime.


Ellen ouvrit les yeux, elle me dit doucement en anglais pour éviter que Thomas ne l’entende :



Je lui souris, regardant Thomas se retirer délicatement de sa nouvelle conquête. Il se laissa tomber sur le lit, les bras en croix, indifférent aux questions de société et d’éducation que son jeune âge pouvait poser, sûr de sa force grandissante et des découvertes qui s’offraient encore à lui. Je me dis en le regardant que s’il savait s’y prendre, vu la tournure des évènements, il aurait un droit de cuissage permanent dans cette maison et qu’il y serait toujours bien accueilli.


Ellen, que je revois encore maintenant en tout bien tout honneur, m’a récemment confié que, même après avoir rencontré son nouvel homme, le petit Thomas a régulièrement visité son entrejambe et en particulier son cul qu’il appréciait par-dessus tout. Elle lui a appris à se servir aussi de sa langue pour faire jouir une femme pas seulement avec sa queue.


Comme à moi, et sans savoir pourquoi, elle était incapable de refuser qu’il se soulage en elle, certaine par ailleurs de jouir dès que son gros calibre, commencerait ses allers et retours dans son vagin ou son cul. Il était capable, paraît-il, de lui procurer cinq à six orgasmes d’affilée à une cadence infernale, maîtrisant son éjaculation au moment où elle explosait pour recommencer à la besogner dès qu’elle reprenait pied. Ces séances la laissaient toujours sans force mais fière de l’emprise qu’elle avait sur lui à plus de 44 ans.



À suivre…