n° 12215 | Fiche technique | 25487 caractères | 25487Temps de lecture estimé : 15 mn | 27/01/08 |
Résumé: Ellen, mon ex que je croyais exclusivement hétéro, a succombé à une femme, avant même que nous ne soyons mariés. | ||||
Critères: fh ff cocus inconnu fépilée travail voir exhib odeurs massage rasage cunnilingu anulingus fgode fist -initff -fbi | ||||
Auteur : Honey_lover Envoi mini-message |
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Dans mon premier récit, je vous avais raconté comment mon ex, Ellen, m’avait permis de la voir jouir sous les assauts d’un autre mâle, alors que nous étions séparés depuis plusieurs mois, m’offrant la réalisation d’un phantasme que je n’avais jamais osé lui avouer durant presque 15 ans de vie commune.
Je crois qu’Ellen, dès le début de notre relation, ne m’a jamais rien caché de ce qui avait été sa vie sexuelle. De ses premiers émois, ses premières masturbations, ses premiers jeux sexuels avec ses cousins et les gamins du village jusqu’aux amants sérieux et même occasionnels qui avaient su la faire craquer.
Elle me semblait furieusement hétéro jusqu’à cet épisode que je me décide à vous raconter maintenant. Au début de notre relation, Ellen comme, je crois, toutes les vraies blondes que j’ai eu la chance de connaître intimement, avait une toison clairsemée de poils blonds très fins ne cachant pas grand-chose de son anatomie. Ses lèvres exposées au regard du mâle étaient fines, aussi discrètes que sa toison.
Il fallait vraiment qu’elle soit excitée pour que ces dernières prennent du volume, s’écartent légèrement en virant au rouge sombre pour laisser s’échapper un filet de mouille qui ne mettait pas beaucoup de temps à humidifier son petit anneau brun plissé.
Elle était, et je pense qu’elle l’est toujours, très réceptive aux caresses buccales mais ses poils pubiens m’empêchaient d’apprécier pleinement la douceur de sa peau sur et autour de ses lèvres intimes. Je le lui ai donc fait comprendre au cours de nos séances de léchage torride. Elle qui adorait sentir ma langue appliquée sur toute sa largeur, sur ses lèvres, leur pourtour, son clitoris mais également sur l’intérieur si sensible de ses cuisses, ne mit pas longtemps à faire disparaître petit à petit, au fil des rendez-vous chez l’esthéticienne, ce rempart de poils pubiens, conservant malgré tout, ce qu’elle appelait « le maillot ».
En règle générale, elle n’appréciait pas beaucoup ces séances qu’elle jugeait avoir été inventées par des hommes pour le plaisir des hommes et je savais que c’était pour moi qu’elle s’y soumettait. Pourtant, cet après-midi là, elle en revint le sourire aux lèvres et d’une humeur plutôt grivoise, frôlant à chaque fois qu’elle le pouvait mes fesses ou mon entrejambe, m’amenant rapidement à un état d’excitation incompatible avec des activités autres que sexuelles.
Je suis à mon tour rentré dans son jeu, la serrant de près pour lui passer la main aux fesses, caresser sa chute de reins qu’elle avait très sensible, pour finalement la voir se défiler vers la douche, m’abandonnant avec mes idées lubriques et un short devenu trop étroit. Pire, elle me stoppa net dans mon élan lorsque je voulus la rejoindre, me signifiant qu’aujourd’hui elle menait le jeu. Ses premières instructions m’expédièrent tout droit dans notre chambre pour l’y attendre nu comme l’enfant qui vient de naître et qui plus est, avec les yeux bandés par le foulard qu’elle avait posé à mon intention sur notre lit.
J’obtempérai immédiatement, et c’est ainsi que je l’entendis pénétrer dans la chambre, m’agrippant le chibre d’une main pour me relever du lit où j’étais assis. Je sentis à son souffle qu’elle s’était agenouillée pour avoir sa bouche à hauteur de ma queue qui piaillait déjà d’impatience. Je sentais sa langue soupeser mes bourses l’une après l’autre, s’élargissant afin de couvrir le maximum de surface et augmenter mes sensations. En me léchant, elle me dit que je sentais l’homme et qu’elle allait me montrer comment elle aimait être léchée. Peu importe par quelle langue, la mienne ou celle d’un inconnu, mais si son propriétaire savait faire ça comme elle était en train de le faire, il était sûr de l’emmener à l’orgasme et d’obtenir d’elle le droit de lui fourrer sa queue au fonds du ventre.
Je la laissai parler, piqué au vif par l’allusion à une autre queue que la mienne se frayant un passage au cœur de son intimité, mais déjà prêt à tout entendre pour qu’elle continue à me faire du bien. Lorsque ma hampe dressée à son maximum, commença à laisser perler une première goutte de liquide séminal, je sentis son pouce passer sur le liquide, l’étalant doucement sur le frein afin de commencer un lent mais savant va-et-vient.
Elle me dit en s’occupant de mon bâton d’amour, qu’elle avait une histoire croustillante à me raconter, en rapport avec sa séance chez l’esthéticienne, me précisant qu’elle avait eu affaire à une nouvelle prénommée Aïcha au lieu de la jeune fille habituelle.
Je ne prêtais qu’une oreille distraite à ce qu’elle me racontait, toute mon attention étant concentrée bien au-dessous de ma ceinture. Et puis qu’avais-je bien à faire de cette Aïcha en plein milieu d’une gâterie ? Voyant que je ne réagissais pas, elle me dit qu’elle pensait que j’allais aimer mais n’en était pas vraiment sûre, attendant en quelque sorte mon aval pour continuer. Les soubresauts d’impatience de mon bâton de chair répondirent à ma place, aussi poursuivit-elle le récit que je vous livre.
***
À mon arrivée, on m’a fait entrer dans l’un des petits salons individuels. Comme d’habitude, je me suis entièrement déshabillée afin d’enfiler l’une de leurs affreuses blouses médicales à moitié transparentes. J’attendais, allongée sur la table, lorsqu’elle est entrée. J’avais les jambes écartées et la foune pratiquement à l’air car le slip qu’ils nous donnent est non seulement minuscule mais surtout sans élastique ce qui le fait bailler à l’entrejambe.
Surprise de voir entrer quelqu’un que je ne connaissais pas, je refermai prestement les jambes mais Aïcha, très professionnelle, faisant mine de ne pas s’apercevoir de ma gêne de me retrouver la chatte exposée à une inconnue, se présenta en s’excusant que l’accueil ne m’ait pas prévenue de ce petit changement. Très souriante, elle m’expliqua que sa collègue terminait un « intégral » et lui avait demandé de s’occuper de mon épilation, si j’étais d’accord, bien entendu.
Son assurance, son autorité naturelle et la douceur de sa voix, m’ont rassurée et j’ai accepté ses services. Souriante, elle s’est penchée vers mon entrejambe d’une manière très pro, me demandant si je voulais conserver le maillot tel qu’il était ou si je ne préférais pas passer à l’intégral. Je lui répondis que ce serait comme d’habitude. Elle me lança alors qu’une épilation intégrale mettrait bien en valeur le dessin de mes lèvres mais que c’était moi qui décidais.
Elle rajouta qu’elle me sentait un peu tendue ce qui allait rendre l’épilation moins supportable. Elle me proposa un massage qui, tout en nous permettant de mieux faire connaissance, allait me relaxer. Elle en profita pour me glisser un compliment sur mon corps de sportive exempt de graisse aux mauvais endroits et sur la forme de mes seins. Plutôt flattée, je décidai de profiter des bienfaits d’un massage avant la séance de torture.
Elle se plaça à mes côtés et me tourna d’autorité sur le ventre, faisant glisser le haut du peignoir en argumentant qu’il allait la gêner pour mes épaules et mon dos. Elle le roula sur mes reins et je m’empressai de poser mes seins au contact du drap.
Elle posa ses mains sur moi après les avoir enduites d’huile et là, dès le premier contact de ses mains sur ma peau, j’ai senti sa chaleur. C’est difficile à expliquer, c’était comme si ma peau, mon corps connaissaient depuis toujours ce contact. C’était rassurant et sensuel à la fois. Je me suis sentie fondre, j’ai senti mon corps se relâcher, se ramollir.
Tout au bien-être que ses mains me procuraient, je sentis son regard sur moi. J’ai essayé de la regarder pour dire quelque chose, mais elle m’a juste invitée à me taire et à me laisser aller pour profiter pleinement des bienfaits du massage. Je n’étais pas dupe et je restais persuadée qu’elle observait la courbe de mes fesses et mes cuisses. Mais après tout, elle avait dû en voir des centaines. Je la laissai faire ce qu’elle voulait et tant pis si elle me matait, tant pis si la texture de ces affreux peignoirs ne cachait rien.
Elle descendit vers mes jambes, repoussant vers mes fesses le bas du peignoir qui ne couvrait maintenant plus qu’une bande de chair sur mes deux globes. Elle s’était déplacée à hauteur de mes cuisses et devait avoir une vue plongeante sur ma chatte. Cette idée m’expédia illico une décharge électrique dans les ovaires et je sentis que j’allais couler irrémédiablement. J’étais sûre qu’elle allait s’en apercevoir d’où elle se trouvait.
Elle remonta ses mains presque imperceptiblement vers mes fesses et fit glisser au sol le bout de tissu. Tout en me complimentant sur la masse musculaire ferme de mes fessiers qu’elle palpait et pinçait alternativement dans des gestes se voulant très professionnels. Aïcha me parlait de choses anodines pour revenir me glisser de temps à autre un compliment bien placé, au bon moment, si bien que je l’écoutais me parler, déjà sous le charme de sa voix.
Pourtant mon corps réagissait et je sentais mon entrecuisse s’humidifier un peu plus à chaque passage de ses mains sur mes fesses. Je sentais qu’en les massant, elle les écartait, ce qui devait lui permettre de voir mon anneau s’ouvrant au rythme de ses pressions. Je n’osais pas tourner la tête dans sa direction et croiser son regard, gardant ma tête enfoncée dans le pli d’un de mes coudes.
Aïcha ne parlait plus beaucoup et j’étais certaine qu’elle était en train de se repaître de mes chairs, attentive aux signes involontaires que mon corps lui adressait. Je réalisai tout à coup que c’était moi qui laissais échapper des petits soupirs d’aise à chaque fois qu’elle empoignait une de mes fesses ou glissait ses doigts entre mes cuisses en frôlant les lèvres de mon sexe à chaque passage.
J’étais totalement nue devant Aïcha et elle ne pouvait pas ignorer à mes soupirs et à ma chatte inondée que ses attouchements me plaisaient au plus haut point. Sentant peut-être que j’essayais de reprendre le contrôle, elle me dit doucement qu’elle adorait que l’on apprécie ses massages et qu’en ce qui me concernait, ça avait l’air d’être le cas. J’essayais de donner le change en lui répondant qu’effectivement je me sentais de plus en plus détendue mais elle me cloua sur place, annihilant toute nouvelle tentative de dérobade, en glissant l’un de ses doigts entre mes lèvres humides pour me le montrer et me préciser que c’était de ça dont elle parlait.
Puis, sans me laisser le temps de réagir, elle posa son doigt sur ma bouche, m’empêchant de dire une ânerie qui aurait peut-être rompu l’ambiance, ajoutant qu’il ne fallait pas avoir honte des réactions de son corps. Pour sa part, loin de s’en offusquer, elle adorait qu’une belle jeune femme, comme moi, prenne du plaisir entre ses mains.
Elle me demanda de me mettre sur le dos, toujours avec un geste et un regard très professionnels. Je n’osais pas interrompre ce qui semblait faire partie intégrante de son travail et, pour être franche, je n’en avais pas envie. Elle posa ses mains à plat sur mon ventre puis descendit doucement de chaque côté de ma chatte bien exposée à sa vue. Elle en était si près qu’elle devait sentir l’odeur de mon sexe trempé. Elle m’avoua à ce moment, en se penchant un peu plus vers mon ventre qu’elle aimait l’odeur qui lui montait au nez.
Je ne savais plus où me mettre. J’eus envie de me lever mais pressentant mon geste, elle appuya ses mains doucement mais fermement sur la face interne de mes cuisses, puis m’obligeant à les relever vers moi, elle fit glisser mes talons au plus près de mes fesses. Elle prit une grande inspiration et, alors que j’essayais de résister un peu pour la forme, ses doigts se posèrent dans un geste à la fois doux mais ferme sur la face interne de mes cuisses, déclenchant des ondes de plaisir et des contractions dans ma vulve.
D’où elle se trouvait, elle devait obligatoirement voir l’entrée de ma chatte s’ouvrir au rythme des décharges qui irradiaient mon ventre. Vaincue, je me laissai retomber en arrière. Ses doigts étaient maintenant de chaque côté de ma vulve, ouvrant mon sexe en le massant très près comme s’ils voulaient y pénétrer.
Tout à coup, elle suspendit ses caresses ce qui me fit lever la tête dans sa direction, et là, plantant ses yeux noisette dans les miens, elle me demanda si j’aimais et si je voulais qu’elle continue.
En me parlant, elle approcha l’un de ses doigts de mon bouton. Je le sentais dur, je le sentais augmenter de volume à chaque spasme. C’était divin et déloyal de me le demander maintenant. Quelques minutes avant j’aurais sans doute pu demander qu’elle arrête mais là, je n’en avais plus du tout envie.
Elle voulait que je le lui dise clairement et à haute voix pour qu’elle en soit sûre. Je me suis donc entendue lui réclamer ses mains sur ma peau, l’implorer presque de continuer son massage, de me faire ce qu’elle avait envie car j’en avais envie moi aussi. Elle s’est alors penchée sur ma chatte en me félicitant d’avoir osé puis a happé mon bouton d’amour entre ses lèvres, le mouillant abondamment de sa salive. Elle s’est appliquée à le faire sortir de sa tanière. Des ondes de plaisir ont recommencé à déferler de mon clitoris à mon ventre, de mon ventre à mes reins et de mes reins à ma colonne vertébrale jusqu’à ma nuque.
Inconsciemment, j’ai poussé ma chatte en avant vers sa bouche, ouvrant encore un peu plus le compas de mes cuisses. Elle s’est relevée puis m’agrippant par les genoux, elle m’a fait glisser vers le bas de la table où elle s’était placée. Sans aucune pudeur, j’ai de nouveau tiré sur mes jambes et je me suis retrouvée ouverte, offerte à une femme que je ne connaissais pas quelques instants plus tôt.
Elle a souri, sûre d’elle. J’ai pensé à toi mais c’était déjà trop bon, mon envie de jouir était trop forte. Je me suis dit que j’allais tout te raconter, tout t’expliquer, que j’allais te promettre de ne plus recommencer pour que tu me pardonnes, trouvant mille raisons de la laisser continuer. J’ai pensé que c’était moins grave qu’avec un homme.
Elle s’est penchée, la langue en avant, m’a léché l’intérieur des cuisses, le tour de la chatte, récupérant au passage le jus qui en coulait, l’anus où elle a insisté, faisant pénétrer le bout de sa langue en écartant les chairs de ses doigts puis lentement, est revenue vers mon bouton bien décalotté, turgescent. Elle l’a fait ressortir encore plus en tirant délicatement sur son capuchon au rythme de ses propres battements, puis l’a repris entre ses lèvres.
Elle m’a sucé le bouton avec un art consommé, m’arrachant des larmes de bonheur alors que, faisant tourner sa langue sur lui, elle déclenchait des coups de reins involontaires de ma part. Je me tortillais sur la table, essayant de m’offrir encore un peu plus à sa langue quand j’ai senti qu’elle commençait à m’enfiler de ses doigts.
J’ai poussé pour ouvrir mes chairs à la progression inexorable de son premier doigt qu’elle a enfoncé jusqu’à la garde. Elle l’a fait ressortir puis est revenue à la charge y ajoutant un deuxième. Lentement, très lentement, mais sûrement elle a pris possession de mon ventre calquant ses pénétrations au rythme de sa langue. Elle m’a littéralement perforée d’un doigt, de deux, de trois pour finalement m’annoncer qu’elle avait quatre de ses doigts plantés en moi. C’était bien plus gros que ta queue. J’ai senti cette possession devenir de plus en plus imposante, je l’ai désirée, j’ai eu envie qu’elle me fourre sa main dans le vagin pour un « fist » que je n’ai jamais connu.
J’ai senti la chaleur m’envahir le ventre, le corps tout entier, ma tête, m’amenant toujours plus haut. Je crois qu’elle aurait pu faire ce qu’elle voulait de moi à cet instant précis. Elle me bourrait carrément avec quatre de ses doigts dans le vagin. Je les sentais bouger à l’intérieur de moi, écarter mes parois, les repousser. J’ai dû commencer à crier car elle m’a mis une main sur la bouche sans s’arrêter d’aller et venir en moi.
C’était magique, c’était fort, trop fort. Je suis sûre que j’ai crié. Si au lieu de sa main, c’était une queue aussi grosse que ses quatre doigts réunis qu’elle m’avait introduite dans la chatte, je l’aurais laissée me posséder, incapable de résister à la montée d’un plaisir aussi intense.
Pardon mon amour mais j’ai explosé comme ça sur ses doigts, en pensant à une grosse queue en train de me labourer puis me tapisser les parois intimes de généreuses coulées de sperme, honteuse mais heureuse de la jouissance qu’elle venait de m’offrir.
Elle a attendu que je récupère puis m’a léché la bouche de sa langue. En y repensant, c’était indécent mais elle l’a fait au moment où j’avais envie qu’elle le fasse. Elle m’a alors dit, que maintenant que nous nous connaissions mieux, elle pouvait procéder à mon épilation et c’est ce qu’elle a fait en me demandant de lui faire confiance, que c’était un cadeau pour mon mari.
Je n’ai pas pu payer car elle a refusé, se contentant de vérifier avec sa langue que le travail était parfait. C’était beaucoup moins fort que la première fois mais en vraie professionnelle, elle ne m’a lâchée qu’après m’avoir fait jouir une dernière fois, me promettant d’autres plaisirs si je désirais recourir à nouveau à ses services.
***
Moi, n’y tenant plus, maintenu au bord de la jouissance avec une maîtrise parfaite de ma compagne, je me suis mis à jouir, lui tapissant le fond de la gorge dès qu’elle s’est mise à me pomper franchement pour me vider les couilles. Elle déglutit rapidement les deux ou trois premiers jets puis attendit que ma jouissance se termine, avalant le reste de ma semence à petites gorgées.
Elle m’abandonna alors pour s’allonger sur le lit en me disant de venir prendre livraison de mon cadeau, entre ses deux gros orteils, rajoutant qu’elle espérait que j’allais apprécier car elle avait payé de sa personne pour me faire plaisir. Ben voyons !
En posant mes mains sur ses cuisses grandes ouvertes, j’ai approché mon nez de sa foune, humant l’odeur de sexe qui s’en dégageait. Je n’ai pas pu m’empêcher de penser, l’espace d’un éclair, que quelques heures auparavant, une main féminine y était presque entièrement enfouie. C’est en posant ma langue bien à plat comme j’aime le faire pour une communion totale des chairs que j’ai réalisé qu’enfin son sexe était entièrement glabre, me permettant de jouir totalement de cette douceur intime incomparable.
Elle a alors tiré sur le foulard en me disant :
J’ai passé mes mains sous ses fesses pour assurer ma prise et j’ai plongé vers son abricot tout nu, baignant dans son jus, prêt à exploser. J’en ai profité pour lui perforer l’anus de ma langue, forçant son sphincter pour l’expédier le plus profondément possible dans ses entrailles, en attendant que ma virilité puisse à nouveau remplir son office.
Ses aveux m’ont rendu infatigable, boosté par la concurrence de cette esthéticienne mangeuse et perforatrice de chatte. J’ai, je crois, pleinement satisfait ma chère Ellen, remplissant tour à tour ses trois orifices qui n’attendaient que ça.
Voilà comment mon ex m’a avoué sa première expérience homosexuelle, trouvant du même coup auprès de moi, la complicité nécessaire à la poursuite de cette relation extraconjugale. La semaine suivante, sûre d’avoir mon assentiment, Ellen, a définitivement adopté Aïcha comme spécialiste exclusive auprès de son entrejambe.
Bien plus tard, devenue mon épouse, Ellen m’a avoué prendre beaucoup de plaisir à lécher une chatte bien ouverte et baveuse à souhait, à y glisser sa langue à la manière d’une petite bite et par-dessous tout, à boire à la source d’une femme en pleine jouissance.
Elle m’a aussi avoué qu’Aïcha, s’étant rendue compte qu’elle aimait être prise par du gros calibre, adorait la pénétrer avec un énorme godemiché vibrant. À ces occasions, après l’avoir bien excitée, léchée et fait jouir une première fois, elle lui enfonçait doucement mais totalement cet énorme membre faisant deux fois la taille de ma propre queue.
Après quelques va-et-vient, elle déclenchait les vibrations, se délectant de voir sur son visage et dans ses yeux la montée du plaisir, bougeant lentement le phallus en elle afin de décupler la sensation de possession. Lorsqu’elle voyait qu’il était temps de la finir, elle lui masturbait doucement le clitoris pour l’amener à des orgasmes dévastateurs.
Lorsqu’enfin elle le retirait de son sexe, Aïcha adorait se pencher tout près pour se repaître des chairs écartelées. Sa chatte restait ouverte et béante après l’intromission d’un aussi gros engin, aussi elle essayait souvent d’y glisser sa petite main pendant qu’elle-même se triturait le clitoris jusqu’à la jouissance.
C’est en quelque sorte mes désirs de sexe imberbe qui ont fait découvrir à Ellen les plaisirs de Lesbos.
Ellen a toujours été étonnée que je n’aie jamais essayé de lui faire cesser ces escapades régulières dans les griffes d’Aïcha. Elle n’a pu cacher sa joie lorsque je lui ai proposé de faire venir Aïcha sous notre toit pour satisfaire à l’entretien de son entrejambe et surtout pour qu’elles puissent faire l’amour en toute tranquillité.
Je dois humblement reconnaître que j’y trouvais mon compte car n’étant pas dupes de mon excitation à les savoir ensemble à deux pas de moi, elles n’ont jamais fermé la porte de la pièce où elles se trouvaient. Sans que nous n’en ayons jamais parlé, il existait entre nous un accord tacite. Je n’entrais pas mais je pouvais, sans jamais manifester ma présence afin de ne pas m’immiscer dans leur intimité, les observer discrètement et surtout, les entendre crier leur jouissance ensemble ou l’une après l’autre.
Je pouvais ainsi voir de mes propres yeux les possessions ou les jeux qu’elles pratiquaient, bref, des tas de scènes qu’un homme imagine facilement entre deux femmes faisant l’amour. Lorsqu’Aïcha s’en allait avec son matériel sous le bras, elle me soufflait :
Je savais qu’Ellen n’avait pas bougé de la pièce où elle se trouvait. Elle m’attendait couchée, nue sur le ventre, les fesses bien en évidence, attendant que je vienne la pourfendre de mon vit dressé, douloureux de l’intense excitation accumulée. Souvent, elle ne se retournait même pas en m’entendant entrer, se contentant de cabrer un peu plus ses reins en offrande. N’importe quel mâle aurait pu la saillir.
Elle ne cherchait même pas jouir, déjà satisfaite plusieurs fois. Elle me permettait de me branler dans son ventre en la tenant solidement par les hanches, fière d’être encore en mesure de me satisfaire et peut-être persuadée que cet accouplement après ses propres jouissances dans les bras de son amie, soudait un peu plus notre propre couple.
Cette amitié a duré presque cinq ans, jusqu’au moment où Aïcha a dû s’en aller vers d’autres horizons, laissant mon épouse nostalgique des plaisirs lesbiens. À ma connaissance, elle n’a plus jamais succombé à ces plaisirs qui pourtant la comblaient. Peut-être était-elle en réalité amoureuse d’Aïcha.
Mon attitude est peut-être l’une des raisons qui m’ont permis, quand nous étions ensemble, de toujours obtenir de mon épouse ses faveurs même lorsqu’elle n’en avait vraiment pas envie. Par la suite, alors que nous étions en pleine séparation, elle a continué à m’accorder ses faveurs parfois même lorsque je débarquais chez elle à l’improviste.
Épisodes de notre vie que je ne manquerai pas de vous raconter…