Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 12227Fiche technique8796 caractères8796
Temps de lecture estimé : 6 mn
29/01/08
Résumé:  Comment mon ex répondait toujours favorablement à mes sollicitations, même profondément endormie.
Critères:  fh couple inconnu parking voiture cérébral voir exhib noculotte pénétratio -occasion
Auteur : Honey_lover      Envoi mini-message

Série : Ellen, mon ex

Chapitre 03
Mon ex, toujours disponible pour me satisfaire

Comme vous avez pu le comprendre à la lecture de mes précédents récits, mon ex était capable de jouissances multiples. Je lui en ai compté jusqu’à quatre d’affilée rien qu’avec moi. Mais elle m’avait confié que, juste avant de me rencontrer, elle s’était laissée embarquer par trois hommes, alors qu’elle participait à un séminaire dans le cadre de sa profession, et qu’à cette occasion elle avait joui presque sans discontinuer pendant une nuit entière, subissant les assauts des trois hommes ensemble ou se relayant pour pouvoir récupérer. Elle avait eu plus d’une dizaine d’orgasmes qui l’avaient fait dormir presque douze heures durant, avec l’anus, la chatte et la bouche en feu au réveil.


Malgré ces prédispositions, elle préférait cependant la qualité à la quantité et n’avait pas besoin de jouir chaque jour que Dieu fait. Moi, par contre, je la sollicitais pratiquement tous les jours et elle savait rester disponible pour satisfaire ma libido.


Souvent, alors que je commençais des approches explicites, elle me faisait comprendre qu’il n’y avait pas de problème mais qu’elle n’avait pas envie de jouir. Elle se positionnait alors sur le ventre, accentuant la courbe de ses reins pour faire ressortir ses fesses dans l’attente de l’intromission. C’était le signal pour moi de l’investir sans coup férir jusqu’à la garde et de me branler dans sa chatte offerte jusqu’à l’explosion finale.


J’étais devenu accroc à ce petit jeu. Je provoquais ce genre de situation en la sollicitant même après que nous ayons fait l’amour et qu’elle ait joui dans la journée. Je savais quelle allait être sa réponse et que je pourrais ainsi me branler dans sa chatte. C’était bien meilleur que de me branler en solitaire. Elle-même préférait d’ailleurs que je la sollicite plutôt que de me débrouiller seul, ou pire, que de m’épancher dans une autre chatte que la sienne.


L’intérieur de sa chatte était toujours bien lubrifié et accueillant. Je n’avais pas besoin d’avoir recours à beaucoup de salive ni à d’autres produits pour la pénétrer facilement, si bien que j’en arrivais à me demander si elle n’était pas en permanence excitée, prête à me recevoir dès la moindre sollicitation.



oooOOOooo



Voici pour vous le souvenir d’une matinée de « ouf » où la chatte de mon ex reçut un hommage qui ne lui était pas destiné…


Six heures… Je me lève sans faire de bruit. Ma femme, nue, dort profondément sur le ventre comme à son habitude, les fesses offertes. Je remonte le drap et je sors de la chambre. Après une rapide douche, je décide d’aller chercher des viennoiseries pour le petit déjeuner. En sortant de la pâtisserie, mon paquet dans les mains, je remarque une jeune femme, ravissante, au volant d’un gros 4 X 4, en train de se garer sur le parking à côté de ma voiture. Elle esquisse un sourire que je lui rends aussitôt.


J’arrive au moment où elle ouvre sa portière et là, surprise, elle porte pour tout vêtement un simple paréo noué autour du cou ce qui est courant dans la région. Ce qui est moins courant, c’est qu’en voulant sortir une jambe de son véhicule pour la poser sur le marchepied, elle ouvre largement les cuisses et m’offre une vue imprenable sur son entrejambe. Je m’aperçois immédiatement qu’elle est nue. J’ai la vision d’une chatte imberbe en train de se tourner vers moi. Reluquant l’apparition sans vergogne, je réalise tout à coup qu’elle ne peut pas l’ignorer car la vision perdure.


Je lève les yeux, prêt à m’excuser, pour m’apercevoir qu’elle me sourit. Sans un mot, elle écarte un peu plus son paréo, pose ses mains sur la face interne de ses cuisses et les ouvre le plus largement possible jusqu’aux montants de la portière. Elle avance les fesses au plus près du bord du fauteuil et, posant les mains de chaque côté de son sexe, elle l’ouvre en me faisant signe de la tête d’approcher.


J’obtempère immédiatement, franchissant rapidement les quelques mètres qui nous séparent et me positionne dans l’encadrement de la porte, cachant du même coup le spectacle aux éventuels clients de la pâtisserie. Je me trouve à moins d’un mètre de son coquillage ouvert et luisant. Elle porte l’un de ses doigts à sa bouche, l’enduit de salive et le fait passer plusieurs fois de son bouton à ses petites lèvres, appuyant de temps en temps sur celui-ci.


Nous restons ainsi, elle à observer mes réactions, moi le regard planté dans cette fleur qui m’est offerte. Une éternité pour moi, quelques secondes en réalité. Puis, aussi naturellement qu’elle m’avait ouvert ses cuisses, elle les a refermées en me disant avec un sourire plein de malice :



En partant, elle a tendu sa main vers mon paquet de viennoiseries, se l’appropriant en annonçant :



Abasourdi, mais dans un état d’excitation indescriptible, je me suis engouffré dans ma voiture en oubliant ce pour quoi j’étais venu, et j’ai filé chez moi.


En entrant, aucun changement. Ma femme dormait toujours et moi, tenaillé par une envie de baiser, je décidai de tenter une approche. Je laissai tomber prestement mes vêtements, la queue dressée, prête à l’emploi, un peu de liquide séminal coulant le long de ma hampe. Je découvris le corps de ma femme en tirant sur le drap et, me rapprochant d’elle, et je lui murmurai à l’oreille mon envie de la prendre. Sans ouvrir les yeux, elle me répondit que j’étais chiant, qu’elle avait encore envie de dormir. Puis se ravisant, elle me dit :



Je ne savais que trop ce que cela voulait dire. Je lui glissai rapidement mon oreiller sous le ventre et admirai alors le petit cul ainsi offert. Je mouillai mon majeur de salive et le glissai doucement entre les lèvres de sa chatte pour finalement le loger en quelques va-et-vient au fond de l’antre du plaisir.


Ma femme, les yeux toujours fermés, se plaignit que j’allais la réveiller. Je me plaçai à genoux derrière elle et, après avoir inondé ma main de salive, je m’en enduisis le gland et le début de la hampe. Sans tarder, comme elle le voulait, je posai mon gland entre les lèvres et poussai lentement, progressant doucement jusqu’à buter au fond de son sexe. Après quelques secondes, je commençai à bouger, effectuant des grands mouvements amples pour éviter de la secouer. Le plaisir arrivant, j’accélérai le rythme mais mon épouse émit quelques bruits sourds en signe de désapprobation.


Je ralentis alors ma cadence mais accentuai la pénétration en bout de course, poussant les chairs autant que possible afin d’augmenter mes sensations. Je me concentrai sur la jeune femme du parking et sa chatte qu’elle avait ouverte et caressée pour moi. L’odeur de ce sexe était encore présente dans ma mémoire, je m’imaginais être au fond de son ventre, m’appropriant une beauté métis, heureuse de m’accueillir dans son fourreau intime. Rapidement, la jouissance arriva. Je me raidis et plantai ma queue le plus profondément possible. Par saccades et en silence, je me vidai, expulsant une bonne quantité de foutre dans le vagin accueillant.


Je restai quelques secondes dans le nid douillet puis me retirai doucement. Je récupérai un kleenex sur la table de nuit et m’essuyai la queue souillée de mon sperme et des sécrétions de mon épouse. Au moment où j’allais sortir du lit, mon épouse me dit doucement :



Je sortis un deuxième mouchoir et le calai délicatement sur le sexe de ma femme. Un peu de sperme commençait déjà à perler. Je lui glissai à l’oreille :



Elle me répondit par un petit grognement incompréhensible qui voulait sans doute dire « moi aussi », se cala en chien de fusil pendant que j’ôtais l’oreiller devenu gênant et replongea au pays des songes.


Pendant toute la séance, ma femme n’avait pas bougé d’un pouce, émettant juste quelques sons incompréhensibles en signe d’approbation ou de mécontentement. J’avais une fois de plus et avec son accord, joui intensément au fond de son ventre.


À suivre…