n° 12266 | Fiche technique | 10099 caractères | 10099Temps de lecture estimé : 7 mn | 10/02/08 |
Résumé: Christelle a 37 ans et cherche à redonner un peu de plaisir à sa vie. | ||||
Critères: f ff collègues fsoumise fdomine intermast cunnilingu init -initff | ||||
Auteur : Lucia |
DEBUT de la série | Série : La nouvelle Christelle Chapitre 01 | Épisode suivant |
Je m’appelle Christelle et depuis quelque temps ma vie a changé. Depuis une dizaine d’années, je vis avec un homme avec qui j’ai deux enfants. Et puis, un jour au travail, j’ai rencontré Louis avec qui j’ai eu une aventure. Mais hélas, cette aventure devenant trop sérieuse, j’y ai mis fin. Néanmoins, Louis m’a fait redécouvrir les joies du plaisir. Avec lui, j’étais vraiment prise et je me sentais de nouveau femme.
Quelques semaines après notre séparation, l’envie de refaire l’amour autrement qu’avec mon homme (cinq minutes chrono) m’a repris.
Il y a, au bureau, un nouveau collègue qui me plaît bien. Bien qu’âgée de 35 ans, mon physique est encore attrayant. Doucement et sûrement, j’essaie de me rapprocher de lui. Dans son bureau, il y a aussi Mélanie, une jeune femme de 29 ans. Elle est grande, blonde, très féminine, une jolie concurrente en somme. Un peu paniquée par cette jolie adversaire, je décide de devenir amie avec Mélanie.
D’emblée, elle me dit qu’elle n’est pas intéressée par Marc, notre nouveau collègue. Elle se propose même de m’aider pour l’approcher. C’est ainsi qu’elle m’invite un après-midi à les rejoindre pour le café. Je prends mon café et m’assois près de Marc, ayant Mélanie en face.
Mélanie répond :
En entendant ces mots, je lui souris. Quel ascenseur elle m’envoyait ! Je propose alors de sortir vendredi soir. En me levant, je demande à Mélanie de passer deux minutes dans mon bureau. Je ferme la porte et lui prends la main.
Le lendemain, à midi pile elle est devant la porte de mon bureau.
Chez elle, c’est un joli appartement dans le centre, très bien décoré. Je constate qu’elle vit seule. Elle a préparé un vrai repas de fête.
Je lui dis :
Elle est aussi très bien habillée, en tailleur noir, avec un joli chemisier blanc ouvert juste ce qu’il faut pour qu’un homme puisse imaginer la suite. Moi je suis juste en jeans avec un pull difforme. J’ai un peu honte.
Alors, inconsciemment, je lui fais un sourire.
On se met à table, on mange et on boit gaiement. Elle me pose plein de questions, sur mon compagnon, sur mes enfants. Elle semble ravie que ça ne marche plus avec mon mec.
Je lui souris à nouveau. Je réalise que je passe un bon moment et que je n’ai pas envie de retourner travailler.
En prenant le café, c’est à mon tour de lui poser des questions :
Alors, tout doucement, elle approche son visage du mien et pose ses lèvres sur les miennes. Instinctivement, je poursuis ce baiser en ouvrant ma bouche à sa langue. Je me laisse faire, je crois que j’avais envie d’être embrassée à ce moment-là, même par une fille. Elle recule et me regarde :
Moi, je ne réponds pas. Je réalise que c’est une femme qui m’a embrassée. Et ce ne m’a pas déplu. J’ai toujours laissé les garçons faire alors aujourd’hui je me laisse faire aussi. Elle le voit dans mes yeux et me prend la main, nous nous levons et je la suis dans sa chambre. Sans parler, elle enlève mon jean, mon pull et tous mes sous-vêtements. Je suis nue face à elle.
Elle ne se déshabille pas. Mélanie se met à genoux et glisse sa tête entre mes jambes. Je sens sa langue s’immiscer dans mon sexe. Au premier coup de langue, je tressaille. La position debout n’étant pas très confortable. Je m’assois sur le lit. Elle poursuit. Je lui caresse doucement les cheveux. J’ai l’impression que ce moment dure depuis des heures quand soudainement elle me fait jouir. Sa langue sait où aller, je ne suis pas sa première.
Je m’allonge sur le lit, elle me rejoint toujours habillée.
Il est 14 heures, je me rhabille et nous repartons sans un mot au travail. Seuls nos sourires nous font comprendre que nous reprendrons plus tard.
L’après-midi, je le passe seule au bureau, je ne cherche pas à la voir. J’ai fermé la porte et j’essaie de comprendre. Moi, Christelle, avec une femme ? Décidément, tant de nouveauté cette année ! Ma première aventure avec Louis, en douze ans de fidélité et désormais ma première intimité avec une femme. Je ne sais pas quoi faire et c’est perdue dans mes pensées que je reçois un mail de Mélanie.
Elle me dit simplement qu’elle a aimé le déjeuner de ce midi avec moi et qu’elle a encore le goût de mon intimité sur ses lèves. Je lui manque et elle me demande si finalement vendredi soir ce n’est pas avec elle que je devrais sortir. Elle n’est pas timide celle-là. Encore plus directe qu’un mec. Et j’aime ça. Je prends mon téléphone et j’annule mon rencard avec mon collègue. Mélanie est dans son bureau, elle va comprendre le message.
En effet, un mail arrive. Elle me dit que la déception de Marc contraste avec sa joie et que j’ai fait le bon choix. En rigolant, elle me propose de se voir chez moi. Je lui réponds que justement mon homme n’est pas là et je lui donne rendez-vous à 21h après le dodo des enfants.
Elle arrive un peu plus tôt le vendredi. Elle s’est faite très belle. En tailleur pantalon, les cheveux attachés, elle se la joue un peu androgyne. Je lui propose quelque chose à boire, elle me répond qu’elle a juste envie de moi.
Je ne réponds pas, j’ai un peu peur de m’embarquer dans une histoire avec une femme de 29 ans qui, hormis son physique, me fait penser à un mec par sa manière de me parler. Quand je pense que mon mec a des façons de penser plus féminines qu’elle !
Une nouvelle fois elle me déshabille. Elle fait ça très bien, en deux mouvements tous mes habits sont par terre. Mais cette fois, elle me rejoint nue dans le lit. Elle me caresse, sa main se balade tout doucement sur toutes les parties de mon visage, puis de mon cou. Puis c’est sur mes seins qu’elle se pose. Son autre main tient la mienne. Je crois que Mélanie sent mon inexpérience et sentir sa main dans la mienne me réconforte. Elle ne parle pas.
Elle décide de venir lécher mes seins. Mes tétons sont durs, elle joue avec les dents, j’adore ça. J’ai envie qu’elle m’embrasse et, en même temps, j’ai envie qu’elle continue. Je tire un peu sur ses cheveux, elle se redresse.
Elle ne le fait pas et décide de descendre plus bas. Décidément, elle n’en fait qu’à sa tête. Mais je décide de ne pas me laisser faire. Je lui prends la main que j’embrasse. Puis j’embrasse son bras pour arriver à son visage. Je la regarde et je l’embrasse. Elle se laisse faire.
Je suis abasourdie. Comment une femme peut être si macho ? Mais mes pensées s’envolent vite tant ses caresses me font du bien. Aucune partie de mon corps n’est mise à l’écart. J’ai envie qu’elle me pénètre. Je prends sa main et je l’emmène devant mon sexe. Elle comprend et enfonce deux doigts dans mon vagin. Je suis électrisée, jamais je n’avais autant mouillé, jamais je n’avais dû attendre aussi longtemps avant d’être pénétrée.
Ses doigts ont un rythme très rapide, j’ai l’impression qu’elle veut me faire chavirer. Je jouis une première fois mais elle continue, je jouis une seconde fois, j’ai envie qu’elle s’arrête qu’elle fasse une pause mais rien n’y fait, elle me rend dingue. Ce n’est qu’après m’avoir fait jouir une quatrième fois qu’elle retire ses doigts. Elle les lèche puis vient s’allonger auprès de moi. J’ai du mal à retrouver ma respiration.
Seule dans le lit, je réalise combien cette fille est spéciale mais bon, j’y ai trouvé mon compte. Epuisée, je m’endors. Le lendemain, au réveil, elle n’est plus là.