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Temps de lecture estimé : 26 mn
10/02/08
Résumé:  Après une première soirée orientée sur le jeu, nous préparons une nouvelle soirée, et décidons de tester nos femmes pour connaître leur état d'esprit.
Critères:  2couples couple voisins copains fépilée voir exhib noculotte photofilm intermast cunnilingu jouet jeu aliments attache yeuxbandés fouetfesse -entrecoup -jeux
Auteur : Pierre et Carole            Envoi mini-message

Série : Marc et Sophie, une amitié bien particulière

Chapitre 03 / 04
Une soirée test pour les femmes

Lors de la précédente soirée, le jeu a fait une entrée réussie dans notre cercle. Nous décidons donc de conserver l’idée, mais en sollicitant les femmes pour la préparation de la prochaine rencontre.




Une soirée-test



Un mois est passé depuis notre dernière rencontre et le moment de notre soirée mensuelle est enfin arrivé. Nous allons rejouer au même jeu que précédemment. Cependant, lors de la précédente soirée, j’ai vite réalisé qu’une même instruction pouvait avoir un traitement bien différent en fonction du moment de la soirée où elle apparaît. Ainsi, pour améliorer le principe du jeu, il est maintenant prévu trois niveaux, « début de soirée », « milieu de soirée » et « fin de soirée » afin d’avoir une certaine graduation dans les épreuves.


De plus, cette nouvelle soirée aura valeur de test. Nous avons en effet demandé aux femmes de participer à sa préparation, notamment par la rédaction des petits papiers qui nous seront destinés. Nous allons ainsi avoir l’occasion de savoir ce qu’elles ont en tête au sujet de notre complicité maintenant bien établie. Par ailleurs, cette fois-ci, nous ne jugeons pas utile d’introduire la possibilité de prendre un joker. Nous verrons bien ce qui se passe dans le cas d’un éventuel blocage.


Le soir venu, nous nous retrouvons chez nos amis. Pour le début de soirée, Carole a revêtu sa robe noire avec un large dos nu, la même que la fois précédente, tandis que Sophie porte une tenue inédite : un chemisier laissant apparaître un soutien-gorge Chantal Thomas très sexy porté sur une courte jupe noire.


Nous nous installons au salon pour l’apéritif, et je sors la boite à six compartiments que j’ai préparée pour l’occasion : trois compartiments pour les hommes et trois pour les femmes, en fonction du niveau du jeu. Sur le dessus de la boîte, j’ai illustré les couvercles des compartiments de trois illustrations coquines pour représenter l’évolution des trois niveaux. Il y a déjà nos papiers dans la boîte, une dizaine pour chaque niveau à l’attention des femmes, et je leur demande d’y mettre les leurs. Elles ont été un peu moins productives que nous, et n’ont en tout qu’environ une dizaine de papiers à répartir entre les trois niveaux. C’est déjà bien, et avec Marc, avant même de savoir ce qu’elles nous ont concocté, nous sommes très heureux de constater qu’elles ont joué le jeu.


Nous entamons rapidement le premier tour, dans le niveau « début de soirée », avec comme la fois précédente un tirage au sort à chaque tour pour déterminer l’ordre de passage. Nous sommes assis en carré autour de la table du salon, chacun sur un fauteuil ou un canapé. Sophie me fait face, et Carole fait face à Marc. Cela commence tout à fait gentiment comme un début de soirée classique.


Qu’emporterais-tu sur une île déserte : cite un objet, un livre, un film.


N’ayant jamais réfléchi à la question, et me sentant peu inspiré, j’ai un peu de mal à répondre. Pour commencer, comme objet je choisis une femme. Mon humour n’est pas très apprécié des femmes, et je me fais rembarrer. Je rectifie donc avec un couteau. Comme livre, je choisis un classique de la littérature érotique, « Emmanuelle ». Je sais, ce n’est pas très intellectuel… mais rappelez-vous le thème de la soirée. Enfin comme film, je choisis « Pulp fiction » ; ne me demandez pas le pourquoi de ce dernier choix. Je ne le sais pas moi-même ; c’est certainement un de mes films préférés, mais de là à le visionner en boucle… Nous échangeons ensuite nos points de vue, chacun disant ce qu’il aurait amené.


Enlève tes chaussures et tes chaussettes, petite séance de massage par ta partenaire


Marc s’exécute et enlève ses chaussures, comme à son habitude il ne porte pas de chaussettes, tandis que Sophie se rend à ses pieds pour le masser. Sophie semble faire cela très bien et Marc apprécie la séance.


Pour l’instant, les deux papiers tirés ont été préparés par les femmes. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elles n’ont pas fait preuve d’une folle audace. Enfin, ce n’est que le début, et peut-être que la suite nous réserve des surprises.


Réponds à une question de ton voisin d’en face


C’est moi qui suis en face de Sophie et, comme lors de notre dernière soirée, c’est à moi que revient la tâche de lui poser une question. Il me faut réfléchir un peu de temps pour trouver l’inspiration, puis je lui pose la question suivante :



Cette question présente pour moi un double intérêt. De nos conversations passées, je connais les goûts en la matière de Marc et Sophie, et sais que Sophie apprécie particulièrement ce que Marc appelle communément « les sports mécaniques ». Par ailleurs, Carole est, de son côté, peu adepte de ce genre de pratique, et je me dis que ce qu’elle va entendre va peut-être l’intéresser, et développer sa curiosité à ce sujet.


Je ne me suis pas trompé, et tous semblent apprécier ma question. La réponse de Sophie tient en deux parties, les deux parties ayant un point commun tenant à son côté plutôt clitoridien.



Carole semble plutôt curieuse de tout cela et nous discutons un certain temps sur tous ces détails techniques. Nul doute que d’ici peu, nous ferons une nouvelle tentative pour utiliser au mieux le vibromasseur que j’ai récemment offert à Carole à l’occasion des fêtes de Noël.


Choisis un partenaire et mime avec lui dix positions sexuelles en moins de deux minutes. En cas d’échec, tu reçois une fessée de cinq claques sur les fesses nues.


Sans grande surprise, Carole me choisit pour l’accompagner dans ce défi, alors que Marc attrape une montre pour surveiller le temps. Elle s’élance et, me donnant à chaque fois les instructions pour la posture à prendre, elle enchaîne les positions. Je reconnais bien là l’esprit joueur de Carole. Soucieuse de réussir son défi, elle se concentre sur sa réalisation ; levant haut la jambe pour m’enjamber, se baissant en avant, me chevauchant face à moi ou en me tournant le dos, tout cela sans se soucier de sa courte tenue. Marc et Sophie observent donc la scène avec amusement, voire un certain intérêt, tant Carole est peu occupée à dissimuler ses charmes ; c’est certainement la première fois qu’ils ont droit à une vision aussi directe sur son sexe. Carole a un peu de mal à trouver les deux dernières positions, mais finalement elle réussit en un temps très correct, à peine plus d’une minute. Elle est cependant allée un peu trop vite à mon goût et n’a pas vraiment mimé l’acte ; elle s’est contentée de prendre chaque position sans marquer le va-et-vient indispensable à chaque position. Marc et Sophie ne font néanmoins pas de commentaires, si ce n’est pour confirmer que l’épreuve peut être considérée comme réussie. Carole échappe donc à la fessée, du moins pour cette fois.


Cela marque la fin du premier tour. Chacun étant assez impatient de la suite, le second tour ne se fait pas attendre très longtemps, tandis que nous dégustons avec gourmandise les toasts au foie gras qui nous tiennent lieu d’entrée pour le repas. Et Marc débute ce deuxième round.


On t’offre une escort-girl. Que fais-tu ?


Cette question n’est pas anodine. À plusieurs reprises, nous avons en effet discuté avec Marc et Sophie au sujet d’un ami à nous, s’ennuyant dans sa vie de couple et qui, à l’occasion d’un séjour à Paris, s’est offert les services d’accompagnatrices de charme ; il en a largement les moyens, et il s’est donc choisi des prestations haut de gamme. Le moteur de sa décision était la réalisation d’un phantasme que lui refuse sa femme : l’annulingus. Par cette question, les femmes ont donc voulu savoir quel est l’état d’esprit de leur homme sur ce sujet.


Avant de répondre, Marc demande les conditions de ce cadeau. Et finalement, il nous fait une réponse à laquelle nous pouvions nous attendre du fait des discussions que nous avons déjà eues :



Fais un vrai baiser d’amoureux à ton partenaire. C’est lui qui décide quand c’est terminé.


Carole se rapproche de moi un sourire aux lèvres, et me fait un fougueux baiser. J’en profite pour lui caresser les cuisses au passage. Je voudrais remonter mes mains un peu plus haut sur son corps, mais elle m’en empêche énergiquement en arguant que seul le baiser est prévu dans l’instruction. Je fais néanmoins durer le plaisir et profite pleinement de ce cadeau qui m’est offert.


Quelle position aimerais-tu essayer que tu n’as pas encore faite ?


J’ai un peu de mal à trouver, car en termes de positions, nous avons, avec Carole, un peu tout essayé ; même si c’est avec plus ou moins de réussite. Je choisis finalement plutôt une situation. Je raconte que j’aimerais, un jour à l’occasion d’une de nos promenades, l’attirer à l’abri d’une porte cochère pour la prendre debout contre un mur voire contre la porte. Nous ferions ainsi l’amour alors que nous entendrions les passants marchant dans la rue. C’est une situation que nous n’avons encore jamais vécue, mais qui dans l’instant doit être très excitante.


Les yeux bandés, tu dois deviner qui te caresse par-dessus tes vêtements. Si tu te trompes, on recommence avec quelqu’un d’autre jusqu’à ce que tu trouves.


Sophie se met debout et nous lui passons un bandeau sur les yeux. En ce début de soirée, nous manquons d’audace, et c’est Marc qui commence à la caresser. Ce n’est donc pas trop difficile pour elle, et elle reconnaît rapidement les mains de son mari.


C’est déjà la fin du second tour, et nous décidons de passer à table. Avant de nous installer, je sors de mon sac la robe que j’ai préparée à l’attention de Carole, et dans laquelle elle ne pouvait décemment pas quitter la maison en présence des enfants. Il s’agit de la robe en dentelle qu’elle avait revêtue lors de notre précédente soirée. Elle présente cependant une évolution majeure. Cette robe était assez sexy dans sa coupe, mais un peu trop sage à mon goût. Après en avoir parlé au préalable à Carole, qui n’a alors manifesté aucun désaccord, j’ai pris l’initiative d’en découper la doublure, un tissu noir opaque.


Lorsque Carole revient après avoir passé la robe, le résultat est cette fois-ci à la hauteur de mes espérances, et la robe est maintenant très sexy. Plutôt courte et très décolleté, le tissu en dentelle laisse maintenant nettement apparaître ses formes appétissantes. Ses seins, ses fesses sont maintenant très nettement visibles en transparence, et le spectacle est tout à fait charmant. Sophie ne veut pas laisser Carole seule dans une telle tenue. Elle quitte donc momentanément la pièce et revient juste recouverte d’une nuisette, également en dentelle, très suggestive et couvrant à peine le bas des fesses ; et cette fois-ci, contrairement à notre précédente soirée, elle s’est bien gardée d’enfiler quelque chose en dessous. Nos deux femmes sont donc encore plus désirables qu’elles ne l’étaient déjà en ce début de soirée.


Je me rends ensuite dans la cuisine pour préparer les assiettes. Avant la soirée, compte tenu de nos exigences en la matière pour ce qui les concerne, nous avions demandé aux filles comment nous devions nous habiller. Elles sont restées très vagues dans leur réponse, Carole demandant « quelque chose de rigolo ». Je profite de mon isolement pour me changer et m’habiller un peu trash. En haut un polo noir sans manches, tout déchiré. En bas, un vieux slip que j’ai préparé pour la soirée avec des velcros sur les côtés pour en faciliter l’enlèvement « au cas où » et au-dessus, un vieux short tout aussi déchiré que le haut. Sur la tête, j’ai un chapeau de paille… lui aussi pourrait avoir son utilité.


Je reviens ainsi dans la salle sous le regard amusé des autres. Nous pouvons maintenant passer à table, et la discussion se poursuit tandis que nous dînons. Après le plat, nous partons pour le troisième tour ; cette fois-ci dans le niveau « milieu de soirée ».


Attention ne pas lire à haute voix – Bande les yeux de la personne de ton choix et fais-la frissonner en lui effleurant tout le corps.


Je me lève sans dire un mot. Marc me demande de quoi il s’agit, mais je ne lui réponds pas. Connaissant le contenu de leurs papiers, Carole et Sophie comprennent vite de quoi il s’agit. J’attrape donc un bandeau et l’installe sur les yeux de Carole. Je lui demande de se tenir debout, pour qu’elle soit bien accessible à mes caresses, et commence à la toucher. Je l’effleure de mes doigts en essayant de n’oublier aucune partie de son corps. À plusieurs reprises, surprise par l’endroit où se posent mes doigts, elle se tortille pour échapper à mes caresses. Je commence par les jambes, les chevilles, derrière les genoux, l’intérieur des cuisses, endroits où je la sais sensible. Ensuite, mes mains passent sur le haut de son corps, les bras, le cou, le dos. Pour finir, j’investis les endroits plus sensibles, et mes doigts s’attaquent à ses seins, à ses fesses et à son entrejambe. Je la sens au bord de l’abandon, prête à me laisser faire d’elle ce que je veux. Cependant la soirée n’en est encore qu’au début, et je décide rapidement d’en rester là.


Tu es belle. Pourquoi cacher ton corps ? Montre délicatement toutes les parties de ton corps sans enlever tes vêtements.


Atteinte d’un subit accès de pudeur, Sophie détourne le sens de l’instruction. Là où les rédacteurs pensaient que celle concernée par le papier devrait relever ou écarter ses vêtements pour se montrer, Sophie interprète le « sans enlever tes vêtements » à sa manière. Elle se montre donc en tournant sur elle-même, mais sans en montrer plus que ce que l’on voit déjà. L’instruction n’étant pas claire là-dessus, nous sommes bien obligés d’en rester là.


Faire un streap-tease de trois minutes sur une musique.


Je me charge de trouver la musique dans l’ordinateur, et avec l’aide de Sophie, je choisis la chanson de Dona Summer dans le film « The Full Monty ». Marc s’exécute après m’avoir emprunté mon chapeau, et tout le monde le regarde avec amusement. Je ne peux m’empêcher de prendre quelques clichés de sa prestation. Sa tâche est en partie facilitée par une chemise fermée par des velcros. Ce n’est pas un pro de la danse, mais il ne se dégonfle pas, et va jusqu’au bout en finissant par un lancer de chapeau le laissant nu comme un ver. Carole me dira par la suite avoir détourné le regard pour ne pas assister à la vision finale offerte par notre ami. Cela me confirme ce que je pensais déjà : elle est beaucoup plus à l’aise dans l’exhibitionnisme que dans le voyeurisme. À la fin, nous félicitons Marc pour son spectacle et pour son courage. Il faut remarquer que c’est la première fois que l’un de nous se retrouve nu au milieu des autres… et que ce sont les femmes qui en sont à l’initiative. Ne serait-ce là un indice prometteur pour la suite ?


Choisis quelqu’un pour te donner une fessée déculottée de dix claques.


Carole n’a vraiment pas de chance et, comme lors de notre précédente soirée, cela tombe sur elle. Ce n’est pas encore cette fois que nous assisterons à une prestation de nos amis en la matière ; sachant qu’ils sont très friands de ce genre de pratique. Là encore, Carole se dirige vers moi. Je suis donc chargé de lui infliger la punition. Je commence par l’installer debout appuyée au dossier d’une chaise tandis que Marc et Sophie profitent bien du spectacle qu’elle offre, le buste penché en avant et les fesses découvertes. Cette fois-ci, j’alterne les fessées du bout des doigts avec les caresses sur les fesses et son sexe que je trouve déjà tout humide. Je lui administre ainsi cinq claques. Ensuite, je décide de changer de position. Je m’assois sur un canapé et allonge Carole en travers de mes genoux pour finir mon travail. Elle ne proteste pas trop, et semble trouver cela assez agréable, même si elle finit la séance avec les fesses un peu rouges.


Après la fin de ce tour, je passe à la cuisine avec Marc pour la préparation du dessert. Vous comprendrez bientôt que le dessert a été choisi très soigneusement. Il s’agit en effet d’un ananas melba avec glace à la vanille et crème chantilly faites maison ; la chantilly devrait d’ailleurs avoir l’occasion de resservir avant la fin de la soirée. Nous nous installons de nouveau au salon pour la dégustation du dessert. Ensuite, nous engageons rapidement le quatrième tour.


Raconte une histoire qui nous fera mouiller toutes les deux.


La tâche s’avère d’entrée difficile, et je ne dispose que de quelques minutes pour trouver l’inspiration. Je me positionne sur une chaise entre elles deux.



Je commence ensuite mon récit. Voici dans les grandes lignes, ce que cela donne avec en plus quelques précisions sur ce qui se passe pendant que je raconte.


Ce matin, après mon départ au travail, tu as trouvé, sur la table de la cuisine, une enveloppe adressée à ton nom. Tu t’es dit en toi-même « qu’est-ce qu’il est encore allé inventer ? ». Tu l’as néanmoins ouverte pour en lire le contenu. Dedans je t’écris que je te rendrai visite cet après-midi à 15 heures. À cette occasion je te demande de t’habiller de ta courte robe noire, sans rien d’autre, de placer un bandeau sur tes yeux, et d’attendre sur une chaise au milieu du salon. Tu te demandes un temps, si tu vas te plier à mon nouveau jeu. Mais, ne voulant pas me décevoir, et surtout parce que tu aimes cela, tu n’hésites pas longtemps ; et le moment venu, dans l’attente de ma visite, tu te prépares.


Tu commences par une douche. Rien qu’à l’idée de ce que je pourrais te faire subir, tu sens déjà l’excitation monter en toi. Alors que tes mains enduites de savon parcourent ton corps, tu aurais envie d’aller plus loin et de te caresser pour satisfaire ce désir qui t’envahit. Cependant, tu décides de garder ton plaisir pour moi, et tu sors de la douche insatisfaite. Tu te parfumes le corps, puis passes la robe demandée. Il est bientôt l’heure, et tu vas prendre position dans le salon, un bandeau sur les yeux.


Tout à coup, la porte s’ouvre. Tu te demandes si c’est bien moi, tu m’interpelles… mais je ne réponds pas et t’ordonne juste de te taire. Hésitante, inquiète… tes mains se rapprochent de ton visage pour délivrer tes yeux. Tu n’es pas assez rapide, et tu sens deux mains fermes agripper tes poignets et les rabattre dans ton dos.


Au même moment, ma main droite agrippe les poignets de Sophie et ma main gauche ceux de Carole, et je les rabats en arrière.


Rapidement, tu te retrouves attachée, les mains dans le dos, les pieds aux montants de la chaise, avec impossibilité de bouger… Peut-être est-ce mieux ainsi. Tu ne seras en effet pour rien dans ce qui se passera par la suite. D’autant plus que tout à coup tu entends un bruit. Tu ressens alors la vague impression que nous ne sommes pas seuls dans la pièce, mais sans autre confirmation. Puis tu sens une main qui te caresse.


Dans l’histoire, je décris alors le parcours de mes doigts tandis que dans la réalité mes doigts suivent le même chemin. Pour l’instant je ne me rapproche ni du sexe ni des seins. Au petit sourire au coin de leurs lèvres, je crois comprendre qu’elles apprécient mon histoire. Je continue donc mon exploration. Je fais un signe à Marc qui se rapproche de Sophie, et les choses sérieuses commencent.


Ton excitation ne fait que s’accroître, et naturellement tes cuisses s’ouvrent pour être mieux caressées. Tu sens alors mes doigts se rapprocher de ton sexe déjà tout gonflé.


Mes doigts caressent alors franchement la fente de Carole, tandis que Marc fait de même avec Sophie. Je leur raconte comment je les caresse, tandis que Marc enfonce un doigt dans la chatte de Sophie.


Tu sens alors deux mains investir tes seins tandis qu’une autre est toujours sur ton sexe. Tu ne comprends plus. Mais tout absorbé à ton plaisir, tu ne réagis pas.


J’estime avoir atteint mon contrat. Pas de doute, elles mouillent toutes les deux et j’arrête là mon récit. C’était par ailleurs très excitant pour Marc et moi d’avoir nos deux femmes assises côte à côte, la robe relevée et se laissant faire sous nos caresses.


Cela leur a visiblement plu, même si de mon côté je suis un peu insatisfait de mon histoire qui ne brille pas par son originalité. Enfin le principal est d’avoir réussi la mission. La chatte de Carole est en effet dans un état d’excitation indiscutable ; et sans être allé vérifier de près, j’ai visuellement la confirmation que celle de Sophie est dans un état comparable. C’est la première fois que les femmes nous offrent ainsi une vision aussi explicite sur leur chatte.


Isole-toi avec une personne de ton choix. Celle-ci pose cinq gommettes sous tes vêtements. À votre retour, les autres cherchent les gommettes sans jamais ôter de vêtement.


Je sors cinq gommettes que j’avais préparées et Carole choisit d’aller s’isoler avec Sophie qui a pour mission de coller les gommettes. À leur retour nous nous attaquons à la recherche. Assez vite, nous avons la surprise de constater que Sophie a bien collé les gommettes sous la robe mais… sur le tissu et non pas sur la peau ! Ah, les blondes ! Enfin cela ne gâche pas notre plaisir, et c’est avec application que Marc et moi cherchons les petites pièces autocollantes. Nous profitons pleinement de la situation, et découvrons toutes les parties du corps de Carole, mettant à nu ses fesses, ses seins, son sexe… Ayant des difficultés pour trouver la dernière, nous y revenons même. Carole est bien obligée de rester immobile alors que nous la fouillons de toute part, lui demandant d’écarter les cuisses pour avoir accès au moindre recoin. Finalement, nous réussissons à trouver la gommette manquante, et cela s’arrête là… Une bien belle épreuve !


Chaque participant de la soirée, toi incluse, décide d’une pose coquine que tu dois prendre pour la prise d’une photo qui pourrait illustrer la couverture d’un magazine de charme.


Je suis un grand amateur de photos de charme – Carole étant mon modèle unique et préféré – et il fallait que je glisse dans le tas une telle instruction. C’est Carole qui commence et je lui tends l’appareil photo. Elle donne alors ses directives à Sophie pour la pose : une photo tout à fait sage de dos, la tête tournée vers le photographe.


C’est ensuite au tour de Marc qui se révèle un peu plus coquin. Il demande à Sophie de s’appuyer contre la table à manger, les mains en arrière, les fesses presque assises ; cela fait nettement remonter sa courte nuisette, ce qui donne une photo charmante ne cachant rien de son sexe épilé et de sa toison bien entretenue.


C’est mon tour : je lui demande de se mettre debout et de se pencher en avant. J’adore faire ce style de photo avec Carole lorsqu’elle prend une telle pose et que sa courte robe remonte naturellement découvrant une paire de fesses encadrant sa fente toute lisse. Cependant Sophie souffre d’un mal de dos et cette pose ne lui convient pas. Je la fais donc asseoir dans un fauteuil, les cuisses pas tout à fait jointes, et je la photographie telle quelle.


Vient le tour de Sophie de choisir sa pose. Marc prend l’appareil. Elle se poste debout face à lui, et pose un pied sur l’accoudoir d’un fauteuil. Là aussi la photo est plutôt réussie. Désolé pour vous, nous sommes ici sur un site d’histoires, vous ne pourrez donc qu’imaginer la qualité de ces clichés et me croire sur parole.


Ton voisin d’en face t’enlève le vêtement de son choix. Si cela te met nue, tu t’habilles selon son choix.


Cette instruction avait été préparée par nous à l’attention des femmes. Mais il n’y a plus de papiers dans la case « milieu de soirée » pour les hommes, et Marc a tiré un papier dans la case destinée aux femmes. Carole est plutôt chaste, et elle lui fait enlever sa chemise.


C’est la fin du quatrième tour, et il ne nous faut pas longtemps pour engager le cinquième tour ; avec le début des choses sérieuses puisque nous passons aux cases « fin de soirée » ; avec Marc nous retrouvons ainsi les papiers préparés par les femmes.


Enduis de chantilly une partie du corps de la personne de ton choix et lèche-la.


La chantilly va enfin servir. Marc demande à Sophie d’aller s’asseoir sur la table de la salle à manger. Il lui baisse le haut de sa tenue et badigeonne ses seins de crème. Ensuite, il la nettoie avec application. Comme vous l’avez déjà lu, les seins de Sophie sont plutôt menus. Cela fait d’autant plus ressortir le plaisir qu’elle ressent à se faire lécher les seins dont les tétons deviennent imposants. Nous admirons le spectacle qu’ils offrent tous les deux, et j’en profite là encore pour prendre quelques photos.


Caresse le sexe de ton partenaire pendant une minute.


Les instructions des hommes apparaissent bien plus directes dans cette troisième phase du jeu. Cependant Carole ne semble pas choquée par une telle instruction ; elle vient à mes côtés, et commence à me caresser à travers mon short. Assez vite, et pour mon plus grand plaisir, ses doigts se glissent à l’intérieur. C’est très agréable, et je deviens vite plus très présentable, d’autant plus que mon slip bricolé avec des velcros ne tient pas le coup. Mon sexe est donc ainsi vite libéré de toute entrave, et ce n’est pas le short largement déchiré qui dissimule les choses. Un bras autour de mon cou, l’autre main empoignant mon sexe, Carole est lovée contre moi. Elle m’embrasse amoureusement le cou et le visage tandis qu’un va-et-vient efficace me donne un plaisir très agréable. Et c’est sans aucune gêne que je reçois ses caresses sous le regard de nos amis. Heureusement, la minute s’écoule très vite, car il ne m’aurait pas fallu beaucoup plus de temps pour venir entre ses doigts.


Choisis quelqu’un qui te lèche la peau en remontant toute la colonne vertébrale, des fesses à la nuque. En même temps, il peut te caresser avec ses mains.


Sans autre commentaire Sophie vient se placer devant Marc en lui tournant le dos. Pour mener à bien sa tâche, il choisit de faire glisser les bretelles de la nuisette le long des bras de Sophie, qui se retrouve ainsi quasiment nue devant nous puisqu’elle a le dos découvert jusque sous les fesses. Marc remplit sa mission avec application tandis que Sophie semble apprécier les caresses de cette langue sur sa peau. Pendant ce temps les mains de Marc ne restent pas inactives, et avec Carole nous décelons un imperceptible mouvement de Sophie voulant visiblement favoriser l’accès à son entrejambe.


Attache la personne de ton choix à la chaise, mets-lui un bandeau sur les yeux et donne libre cours à ton inspiration.


À ce stade, il est intéressant de constater que nos femmes ont bien joué le jeu lors de la préparation, et que leurs petits papiers sont tout aussi intéressants et plaisants que les nôtres. Cela confirme d’une part que nous avons bien fait de les impliquer dans la rédaction, et d’autre part, qu’elles aussi ont envie d’un peu de piment. Ainsi, dans les deux dernières instructions (enduire une partie du corps… et attacher une personne de son choix…), elles nous ont offert le plaisir de faire d’elles ce que nous voulons ; cadeau qui est certainement loin de leur déplaire. On devine néanmoins qu’elles ont plutôt choisi de se placer dans un rôle passif, laissant aux garçons le choix d’aller plus ou moins loin. Dans les deux cas en effet, elles sont restées très vagues sur le contenu de l’instruction, préférant certainement laisser la responsabilité d’un éventuel « dérapage » au réalisateur de l’instruction.


Je demande à Carole de se placer sur une chaise, tandis que Marc va chercher quelques sangles, dont je me dis que ce n’est pas la première fois qu’elles sont employées à un tel usage. J’attache les mains de Carole dans le dos de la chaise, et les chevilles aux montants. Elle a les yeux bandés et, curieusement, nous nous retrouvons un peu dans la situation de l’histoire que j’ai inventée pour les femmes plus tôt dans la soirée. Dans cette pose, elle ne peut que se soumettre à mes caresses… même si visiblement elle n’a nullement l’intention de s’y soustraire. À ce moment de la soirée, je ne perds pas trop de temps dans l’approche, et après l’avoir brièvement caressée un peu partout, mes doigts et ma bouche se dirigent rapidement vers ses endroits les plus sensibles. Je sors ainsi ses seins de la légère robe et découvre en même temps son pubis. Je m’en donne alors à cœur joie, ma bouche sur ses seins et mes doigts lui caressant le sexe. Le bandeau sur ses yeux m’empêche de voir le regard de Carole, mais je me doute que, dans un tel moment, pour ne pas assister au spectacle qu’elle offre ainsi à nos regards curieux, elle aurait naturellement fermé les yeux. Son corps répond favorablement à mes diverses caresses. Malgré les liens, son bassin va en effet naturellement à la rencontre de mon doigt par un léger mouvement de va-et-vient. Une fois détachée, Carole a les jambes qui flageolent lorsqu’elle rejoint sa place sur le canapé.


Sans trop de transition nous enchaînons sur le sixième tour de jeu.


Rends-toi dans la salle de bain et ouvre la boite en bois


Nous sommes tous les deux intrigués. Marc se lève et se dirige vers la salle de bain. Au bout de quelques instants, les femmes lui demandent s’il est prêt. Il répond que « oui ». Les femmes se lèvent donc pour le rejoindre et je les accompagne. J’ai la surprise de retrouver Marc allongé sur le lit de leur chambre. Je vais dans la salle de bain avoisinante et trouve le papier suivant : Déshabille-toi (en slip) et mets le peignoir et le bandeau sur les yeux (ne triche pas) et va t’allonger dans la chambre des parents.


Je les rejoins, et découvre Sophie et Carole en train de le caresser à l’aide de plumes et autres foulards. Elles ont dénoué le peignoir, et il semble apprécier le jeu, même si visiblement cela ne va pas jusqu’à le mettre dans un état d’excitation repérable. Je me dis que j’aurai aimé avoir le papier à sa place, même si je trouve nos femmes plutôt timides sur les caresses qu’elles lui prodiguent. Elles s’occupent de lui un bon moment, tandis que je prends de nouveau quelques photos en me disant que Marc appréciera de voir ce qu’elles lui ont fait.


Après environ cinq minutes, elles mettent fin au jeu et nous regagnons le salon.


Les yeux bandés, tu es allongée sur la table du séjour, à la merci des autres pendant trois minutes.


Il est encore curieux de constater une nouvelle fois comment nos papiers et ceux de nos femmes se rejoignent et se complètent.


Sophie s’allonge donc sur la table, et tous les trois nous nous chargeons de lui faire passer un agréable moment. Alors que précédemment je n’étais que spectateur et trouvais les femmes, notamment Carole, bien peu entreprenantes, je m’aperçois que ce n’est pas si facile de caresser le corps d’une autre femme que la sienne. Si Marc est un peu plus entreprenant que les femmes dans l’épreuve précédente, caressant ouvertement les seins et le sexe de son épouse, je suis beaucoup plus timide, ne frôlant le corps de Sophie que du bout des doigts. Il en est de même pour Carole qui reste très en retrait. Les caresses de Marc semblent cependant suffisamment précises pour faire ressentir à Sophie un plaisir bien agréable.


Choisis quelqu’un qui t’enduit de chantilly la partie du corps qu’il souhaite et te nettoie avec sa langue.


Sans grande surprise une nouvelle fois, Carole me choisit, et je lui demande de s’installer, comme l’a fait Marc avec Sophie, assise sur la table à manger. Je commence par lui dénuder un sein, mais après un revirement de dernière minute, cela n’étant pas très original, je lui remonte sa robe et lui demande d’écarter les cuisses. Je lui recouvre donc de chantilly son sexe épilé de près. Je ne lésine pas sur la quantité, n’hésitant pas à glisser la cuillère entre ses lèvres. C’est la première fois que nous nous livrons à un tel jeu, et je prends beaucoup de plaisir à tout cela : la chantilly, la fente humide sous ma langue, le regard amusé et certainement un peu excité de nos amis… Je m’applique à bien la nettoyer, et à enlever ce qui a pu s’insinuer à l’intérieur. Sur la fin, j’introduis un doigt dans sa chatte pendant que je la lèche. Il n’aurait pas fallu grand-chose pour que je la mène là jusqu’à la jouissance ; cela fait en effet plusieurs fois que mes doigts ou ma langue caressent son sexe au cours de la soirée, et je la sens dans un état de tension extrême. Cependant, la soirée n’est pas terminée, et une fois le tout bien propre je stoppe mon ouvrage.


Le lendemain, j’apprendrai que cela a également beaucoup plu à Carole. En effet, lorsque je lui demanderai son moment préféré de la soirée, après un peu de réflexion, elle me répondra, un peu de gêne dans la voix, « la chantilly ». Dommage, ni Marc ni Sophie, certainement trop occupés à profiter du spectacle, n’ont pensé à prendre une photo pour garder un souvenir de ce très charmant moment.


Une nouvelle fois, nous avons épuisé le stock de papiers préparé par nos femmes. Il ne reste donc plus que les papiers préparés par Marc et moi-même.


Tu es assis sur une chaise les yeux bandés avec interdiction de bouger. Choisis quelqu’un qui fait ce qu’il veut de toi pendant trois minutes.


Je vais m’installer sur une chaise, et demande à Carole de me rejoindre pendant que je passe un bandeau sur les yeux. Tandis qu’elle me caresse le corps, m’embrasse de place en place, je m’efforce de respecter l’instruction à la lettre et de rester immobile. C’est très agréable de se faire ainsi câliner, les yeux bandés, en se demandant quelle sera la prochaine partie du corps atteinte. Je reste cependant sur ma faim, car Carole reste assez soft, et ne se rapproche pas trop des zones sensibles. Veut-elle me ménager ? A-t-elle peur d’en faire trop ? Je pencherais plutôt pour cette seconde hypothèse et pour un relent de retenue lorsqu’il s’agit de faire preuve d’initiatives.


C’est ainsi que se termine le sixième tour, et il commence à être tard. Nous décidons cependant d’en faire un dernier avant de nous quitter.


Habillé uniquement d’un tablier, tu sers des consommations ou petites dégustations à l’assemblée. Chaque personne que tu iras servir a le droit de te caresser là où elle veut.


Marc va donc s’isoler dans la cuisine et, conformément à l’instruction, il nous rejoint, nu sous un tablier, portant un plateau avec verres et boissons. Il commence alors à nous demander ce que nous voulons boire et à nous servir. C’est assez cocasse de le voir faire le service dans cette tenue. Nous avions imaginé cette instruction pour une femme, et j’avoue que cela m’aurait certainement plu davantage. Enfin les femmes semblent apprécier, et cela les fait rire.


Vient le tour de Carole de tirer un nouveau papier.


Chacun est à côté de sa partenaire. La lumière est éteinte pendant cinq minutes. C’est toi qui contrôles le temps.


C’est l’un des passages très agréables de la soirée. Carole me rejoint sur le canapé, et Marc et Sophie prennent place sur un canapé voisin. La lumière est éteinte et nous sommes dans la pénombre. Carole se place à califourchon sur moi et nous nous embrassons fougueusement ; nous sommes en effet très excités par tout ce que nous avons déjà vécu. Il m’est très facile dans cette position d’atteindre son sexe, et je le découvre dans un état d’excitation très avancé, ce qui n’est guère étonnant compte tenu de tout ce qu’elle a déjà enduré. Son sexe est gonflé à l’extrême, les lèvres ouvertes baignant dans une abondante humidité. Je la caresse en lui embrassant les seins. J’ai envie d’aller plus loin, et baisse mon short dans l’optique de la pénétrer ainsi. Il fait très sombre, nos amis sont sur l’autre canapé, bien peu soucieux de ce que l’on fait, mais cela semble la déranger de poursuivre. Elle change alors de position en s’allongeant à mes côtés, les cuisses largement écartées. Je poursuis mes caresses, tandis qu’elle s’occupe de mon sexe avec ses doigts. Après la soirée, elle me racontera que cela lui faisait mal tellement elle avait envie ; pourquoi alors cet excès de pudeur m’empêchant de conclure de belle manière. À nos côtés, aux bruits que nous entendons, nous comprenons que nos voisins ne restent pas inactifs. Finalement, comme convenu, c’est Carole qui sonne la fin et qui rallume la lumière. Les regards et les sourires en disent long sur ce que chacun a pensé de cette séance. Nous ne savons pas jusqu’où ils sont allés, mais ils semblent avoir nettement apprécié cet interlude. Quelques jours plus tard, Marc me dira même que cela a été son moment préféré de la soirée. Répondant à mes questions, il m’apprendra qu’ils ont tout fait sauf la pénétration : caresse, fellation, cunnilingus …


Va près de ton partenaire. Il doit vérifier si tu es excitée, et après cela dire aux autres ce qu’il en pense.


Je vais me placer près de Carole qui glisse la main dans mon slip. Il s’est passé quelques instants depuis la fin de nos petits jeux dans le noir, et mon sexe a un peu perdu de sa vigueur. Elle en fait donc la remarque d’un air moqueur. Heureusement, Marc vient à mon secours en précisant qu’il est impossible de maintenir une érection toute la soirée. Mais de toute façon, avec ses doigts autour de mon sexe, il ne me faut pas très longtemps, pour retrouver une forme optimale. Elle finit donc par confirmer à l’assemblée que je suis bien excité.


Ton partenaire te lèche, suce et mordille la poitrine. Il décide quand c’est fini.


Décidément, ce soir, les seins de Sophie sont à la fête ! Marc la rejoint donc sur le canapé et lui baisse le haut de sa tenue. De sa bouche, il s’applique alors à lui « torturer » les seins et les tétons qui ne tardent pas à reprendre un volume significatif.


Cette dernière instruction sonne la fin de la soirée. Nous rangeons nos affaires ; Carole se change en prévision du retour à la maison et Marc nous accompagne pour récupérer ses enfants. Nous nous quittons en nous souhaitant mutuellement une bonne fin de soirée, un sourire aux lèvres. Pour nous, la soirée se finit, comme d’habitude, assez rapidement. Carole est néanmoins légèrement déçue par l’intensité de son orgasme, pas à la hauteur de l’excitation accumulée tout au cours de la soirée. Nous apprendrons le lendemain que tout s’est également bien terminé pour Marc et Sophie.


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Cette soirée, que nous avons tous beaucoup appréciée, a apporté quelques évolutions notables. La nudité, l’exhibition ont ainsi fait une entrée naturelle mais remarquée, et cela sans gêne ni tabou. Nous sommes bien loin d’une des remarques de Carole faite sur l’oreiller il y a quelque temps : « c’est hors de question que je leur montre quoi que ce soit ». Les contacts physiques entre les couples sont cependant restés très succincts, chacun choisissant son partenaire dès qu’une action un peu coquine s’annonçait.


L’appareil photo a également fait son apparition, ce qui nous permettra de conserver quelques souvenirs de nos meilleurs moments ; même si ce sont des clichés que nous ne pouvons guère partager avec d’autres.


Mais le plus important de cette soirée tient certainement aux enseignements que l’on peut en tirer sur l’état d’esprit de nos épouses. Si avec Marc nous étions d’accord pour prendre du plaisir ensemble, sans nous fixer de barrière a priori, nous étions un peu dans l’incertitude et l’expectative en ce qui concerne nos femmes. D’aucuns commenteront certainement qu’il suffisait de les questionner. Peut-être, mais je crains que ce ne soit pas si simple, notamment lorsque l’on s’attache à de demander se qui se passe dans un cerveau féminin. Si j’avais posé à Carole la question suivante :



Je ne suis pas sûr qu’elle m’aurait répondu :



Il y a en effet une différence notable entre se laisser aller dans le feu de l’action, parce que l’on se sent bien et à l’aise, et exprimer par les mots ses phantasmes et envies. Parfois, il vaut donc peut-être mieux laisser patiemment faire les choses. Et je pense que cette soirée nous a donné raison. Elle a en effet été très instructive sur l’état d’esprit de nos femmes, et elles semblent tout autant que nous attirées par ce genre d’expérience et prêtes à se laisser aller, comme peuvent en témoigner les petits papiers qu’elles avaient préparés ainsi que leur comportement au cours de la soirée.


Cette dernière soirée était une sorte de quitte ou double. Nous savons maintenant que le jeu peut continuer… mais jusqu’où ira-t-il ?